LISEZ. Gr HOFSTEDEKEN ON DEMANDE l'OTICHOMAftlE L'EXPROPRIATION FORCEE L'ART D'IMITER SUR VERRE LA VÉRITABLE PORCELAINE de Chine ei du «lapon. OPENBARE VERKOOPING REMISE, STALL1XG, MAGAZYNEN EH ERYE, Md CHAPELIER, RUE DE LA HALLE, A YPRES, TE BEERST, JEAN BEKENDMAKIIVG-. LOIS OU Seul magasin spécial en Belgique. gros et détail. Assortiment de potiches et vases en verre, forme chinoise et japonaise, décorés avec des papiers peints, des dessins, des fleurs, des personnages et mille sujets divers. On peut également se procurer tous les accessoires séparément, Jels que les potiches et vases en verres forme et dimension variées, tous les dessins les plus nouveaux, les couleurs particulièrement apprêtées pour ce genre d'ouvrages, les pinceaux, etc., ainsi que la méthode indiquant le travail. On se charge aussi de démontrer en trois leçons le moyen de pouvoir faire dans son salon un vase grande dimen sion, imitant le plus lieau vase chinois avec une telle perfection que le plu» grand connaisseur pour rait s'y méprendre. Le représentant de la maison susdite est descendu avec des échantillons, il l'Hô rbl de la Cil aTellenie où il recevra et donnera tous les renseignements aux dames qui voudront bien l'honorer de leurs visites. Il a également avec lui un ballot d'échantillons de tapis veloutés Anglais et de Tournai, de Hollande, Ecossais, en poil de vaches et de chèvres, depuis le prix de i5 fr. le mètre jusqu'à fr. i-5o. Il se rendra avec ses échantillons chez les per sonnes qui lui en feront la demande. Plus de cheveux blanc»! L'Eau indienne, la seule véritable, teint la minute et pour toujours les cheveux et la barbe. L'Épilnloire Indien enlève en un instant les poils et le duvet de la peau. Chaque article garanti 6 fr. Dépôt Ypres, chez Barbieii, rue de Lille, 85. Dixxdde. Marché aux grains du 16 Octobre 1854. sorte NCMBRK prix de CiUAlXS. d'hectolitres PAS uk1toi.it»*. c. r». c. 20 50 27 50 18 00 18 25 Orge d'hiver 10 35 15 10 8 43 8 70 13 50 14 00 12 00 13 50 m van een ten d1enste van I1ERBERG, TER KAEI, TE YPEREN. CHEZ OVERSLAG Zatcrdag 28° October 1854 ten drie uren namiddagin de te koop gcstelde herbergter Kaeite Ypcren, door hetministerie vandenNoTARis VAN EECKE, van een HUIS ten dienste van Herberg, gcnacmd de Barge vanVeurne, en afhangelykbcdcnmet 10 aren 10 cen- tiarcn crve, ter ooslzyde der Kaei, verdeeld in 3 loten 1° Lot. TWEE MAGAZYNEN en 2 aren 35 c. Grond en Aeklererve, palendc M M Vanden Bogaerde-Dehem, VandcVyvcr, en de Kaei; gebruikt door.de W* Tremery Savitskyen de WAnnoot, 't zamen fr. 135-55 's jaers, vry van lasten. 2° Lot. Een HUIS en HERBERG, ge- naemd de Barge van Veurne, Peerdestal, Magazyncn, en 4 aren 65 centiaren Erve, palende M. Vanden Bogaerde,'t voorgaende lot, de Kaei en d'ervo in 't volgende lot gebruikt door Fr. Tack, 4^)0 fr. 's jaers, boven de lasten. 3* Lot. Een GEBOUW ten dienste van Remise en Peerdestal, met Magazynen, en 3 aren 10 centiaren Erve, palende M. Vanden Bogacrdc, 't voorgaende huis, de Kaei en M. Lnmbin-Becuwe gebruikt, zonder pacht, door Fr. Tack, Edmond Papeman en Syoen, 't zamen H5 fr- jaers, lasten vry. De 5 voorgaende loten zullcn ook in masse aengebodcu worden. De conditien, tylels en plans berusten ten kantoore van genoeraden Notaris VAN EECKE, te Ypcren. Grand assortiment de Vêtements Imperméables, Paletots réver sibles on a double face en Alpaca et antres étoffe* Imperméables, depuis 1% jusqu'à 70 francs le paletot. Assortiment de véritables Chaussures américaines, et Pelleteries en tons genres Coussins air, etc. Le tout des prix très-modérés. Dynsdag, 24° October 1854, ten 2 ure namiddag, in deu Tiuntelaer, te Bccrst, van EEN Groot h. 3-91-50, ten gcbruike by V° Louis De Puydttôt 1° October 1855, ad fr. 500-00 's jaers boven aile lasten verdeeld in 7 koopen palende aen de Wacrmoesstract, d'crfgenainen Lecleir, te Oosteride, V» Duylschncver en anderc. De veiling gcschied ten overstacn van 't Vredcgerecht van het kantou Dixmude, door 't a m ht van Me' IIOLVOET-VAN WOIIMEN, Notaris, te Bccrst, loedies gcconiiniltcerd, en men kan ook inlich- tingen bekomen by Mer ROBAEVS, Notaris, te Dixmude. ponr Vpres et pour les villes et communes environnan tes, des directeurs et des agents actifs et capables pour représen ter uue ancienne Société Touti- uière. Appointements raisonnables. Écrire franco, M. F. De Blende, inspecteur, l'Hôtel de la Chàtellenie, Ypres. En vente au bureau de cette feuille et chez M. Josse Sacré, imprimeur-éditeur, rue Cantersteen, n19, Bruxelles PEINT PAR LUI-MÊME; ou SIMPLE HISTOIRE D'Un FLAMAND DD 111° SIÈCLE. t. L'audace individuelle e>t réprimable, sans doute niais L'audace, mise au service de l'humanité, est La plus méiiloire de toutes les vertus. (iJartoi*; devant le tribunal révo lutionnaire en 1794.) CONDITIONS DE LA SOUSCRIPTION i Cet ouvrage paraîtra en quatre volumes, un par mois. Prix de la souscription 5 francs, payable A la livraison du premier volume; ou bien fr. 1-50 par volume, payable sa réception. L'envoi de l'ouvrage se fait franco au domi cile du souscripteur. NB. On peut envoyer le prix en tim bres-postes, ou en un bon sur la poste, l'adresse de MSacré, édileuret imprimeur, rue Canlcrstcen» Bruxelles. On souscrit également chez tous les libraires de la Bel gique. By den Agent van affairens Médahd DE GEEST, tôt Rousselaere, zyn gesta- dig te bekomen groote en kleine kapitale semmen, op leegen intrest en hypotheek. Den Notaris CAPELLE, te Watou, heeft de eer de bclanghebbenden bekend te maken, dal by alleen bezitlcr geworden is van de Arten, Kontrakten, Staten, Inven- tarissen en Testamenten ontvangcu door de volgende Nolarissen 1* bmaggbe, François-Dominique Rousbruggr-Hai-inghe, van 10° July 1753 lot 30"Ociober 1802. 2° Licfooghe, Pelras-Albertus, te Stavelc, van 50° Septcmber 1797 tôt 2" July 1800. 5° Cri cm, Eugène-Jacqueste West- vleteren, van 24° July 1798 tôt 31" De- ccmber 1818. 4° Crlem, Thomas-Eugène, te West- vletercn en te Rousbruggc-Haringhe, van 1° January 1819 lot 8° April 1838. 5° BatailliePierre-Jacques te Watou, van 26° Augusty 1802 tôt 5* November 1831 6° De Cork, Jacqucs-Cornilte Watou, van 15° November 1831 tôt 5" Juuy 1852, aen welken hy opgevolgd heeft. EN VENTE A Bruxelles, chez F. Parent, éditeur, Mon tagne de Sion, 7; chez Deprez-Pauent, libraire, rue de la Violette, f 5, et chez tous les libraires en province SUR ILES USnOEITS IDE SS/VCESSUON, ET LES RENTES CONSTITUÉES SUR PARTICULIERS, Accompagnées de tous les documents offi ciels relatifs ces lois Notes, avis, com mentaires rapportsdiscussions des Chambres, amendements, etc., etc.; suivies de tables alphabétiques et ana lytiques. In-8° 2 colonnes, de 994 pages; prix 9 francs. Cet ouvrage fait suite au Nouveau Ré gime hypothécaire, publié par le même éditeur, et dont deux éditions, tirées grand nombre, ont été vendues la mise en vigueur de la loi. nous nous soucions bien des réclamations des gueux qui ne peuvent pas seulement prendre un express- train, nous gardons la vîlesse de la locomotion, les procédés poliset les attentions pour les voyageurs de première classe, quant la canaille des waggons elle arrive quand elle peut et l'administration ne se fiche pas mal des réclamations de gens qui eu sout regarder une pièce de cinq francs. On pourrait traduire encore autrement le c'est comme ça du monsieur^ huppeamarante de Maliues, mais alors, monsieur le ministre, ce c'est comme ça, retomberait en plein sur l'administration dont vous avez l'honneur d'être le chef. C est comme ça dans ce cas voudrait dire Que voulez-vous l'adminis tration des chemins de fer est une vraie pétaudière où tout marche en dépit de la logique et du bon sens. Les convois qui partent de Liège midi, arrivent Bruxelles deux heures plus tard que ceux qui par tent de Liège une heure. C'est bêle, mais c'est comme ça Le voyageur qui n'a pas de quoi voyager par un express-train, est traité comme une caisse savon, ou un sacd'avoine. On perd un quart d'heure dans chaque station pour charger et décharger des paniers vides, des futailles et pour héler lccabaretier-; du coin. Si le voyageur se plaint, ou lui répond c'est l'ordre du ministre, c'est stupide j'eu conviens, mais c'est eomme ça Vous voyez, Monsieur le Ministre, tout ce qu'on peut tirer de cet impertinent, c'est comme ça, et combien il importe que vous ayez connaissance de toutes les sottises dont on vous fait l'éditeur respon sable. Il se pourrait très-bien que dans cette admi nistration de chemins de fer qui n'a jamais brilié par l'ordre, par l'économie, par l'unité d'action et où chaque casquette pourprée exerce une sorte de tyrannie dans sa station, il se pourrait bien, Mon sieur le Ministre, que cette locomotion des deux lieues et demie l'heure fut le fait de quelque cas- quelle amarante. Quant l'ingénieuse invention de faire attendre Waremme pendant trois quarts d'heure, le passage du convoi de Liège qui part une heure après celui de midi, cela me parait d'une âne- rie si colossale que je ne sais en vérité qui sera assez intrépide pour rereudiquer la responsabilité de celte jocrisserie. Il y a, vous le voyez, Monsieur le Ministre, quel que chose faire dans votre administration. Si tous les Belges sout égaux devant la loi civile, ils doiven^ l'etre également devant la vitesse de la locomotion. Le paysan, l'ouvrier, le petit bourgeois, ont le droit d'être voitures avec la même vitesse que le banquier ou le premier ténor, ou le ministre. La question de comfort que l'on trouve dans les diligences et non dans les waggons, est uu avantage que tout le monde a droit d'acheter ou de dédaigner, selon les nécessités de sa bourse, mais pour ce qui est de partager les voyageurs en catégories dont les uns voyagent raison de dix lieues l'heure, taudis que les autres volent avec la rapidité d'un coche du XVII' siècle, il V a là, ce me semble, Monsieur le Ministre, quelque chose qui heurte nos instincts d'égalité et de justice et tendrait faire croire aux pauvres diables, que le chemin de fer n'a été inventé qu'au profit des riches. Je suis persuadé, Monsieur le Ministre, que vous Vous hàterezde donner un démenti ces soupçons et que vous tiendrez it prouver au pays, que le c'sst comme ça du monsieur la casquette rouge est au moins uue impertinence, moins qu'il lie préfère le mettre sur le compte de la sottise. Agréez, Monsieur le Ministre, l'assurance de mon respect. Sancho.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1854 | | pagina 3