a^tiiiwawei«|inra fi- -** ,eronl tSf JJK 1,335. - 13' Année, 1 «HH W i Uk Mummt âïîÔD l«9 o -e !(f tonn S'ttï JS îb uUlms* i iuaTno:mMi u9 nô*cp infl ITokL .uiîlkuI noiUoiî nilh 1 .ir.iiT-,fl£i,.;n lit Jni. sitoà ci-tufl c! ob'.noitiis |o>q h' »«p •»nm|s«.v>tA *>i\ C Là-iqc |9 nr.soH ff. *»t> Wr.^tnini'l un J^j'O 22 l m i vôie ,iini i u i i .qao>k'^^n i «xl M «I BKHHBB 2 9y: oïl InuaVi lin J:v»JÎÎ5f^^?xicq«b «1 i-û'Vtq .89tfU'in»*l (jo'j'qe.ui; a^b «uo Jiov A,u<i c (u II fil anp lAirRIVifx u» l'iol -nfii !dq lu eavirjIMBJllawI*» ;!>l?.9lool lu /Vuiiilnop e. v 9tipiiti,q. ql ,tulgu6»ni(l Jeudf. 17 Janvier 1856. i p civa'b U" 9iq pi M |J9. slilu lo:> al p;!:|; li lliB Ùlfi LniiO eO'tqfi I Jitoisa aotipi-iJsoiù «mviuliod i; oui lnr;' i D'YPRES ET DE L'ARROiYDISSElIEYT. ■Ji c* ii i. 1.1-» iijiu rTTiiitt 'i 11 11 - f ((J i M? *)}j si IU lOIJr llio lU'J ri j - i AiriftNJteMÊNTS Y-pnrs (franco), p»r Trimestre, 3 frtnes *n«tf tmfes,4francs. J Le Progrès parait le Jeu SrTIOiNS Annonces, la ligne *15. centimes. Ruâmes, la lignée 50 centimes i ctréadrpsee «l'édité», Ri en («noO* non venu nroîet de loi surin charité, et ditauf •îïSîiwnio 9»pi.. m; Vires arauiriteund®. imif, vil 'Il Mlf.ùdl i'b 1 us ;*i9ivnBl le jeudi étlé'DimancHe. Tout eequi concerne lejournal doit Rue.au BeureexU-. On ne reçoit que les lettres àffraacliies. i i un muijoi «bl^HOo-sb-lnoM uh, Ruaiuua n'ibTulauod f>D Ypbes, 16 Jtanvîçr. nouveau projet de loi sur la charité, et dit que on-s'attend de«i lutlés polili- r I_ ^..'1 >1A.. «AÎ.vt^ioi vviixi lo l^oyrq^s la u^çussiorij du bu^gèt de Hnlé- fl est plaisant, néanmoins, d'entendre mettre R Yojqpsur le jpiême sujet uqe qprifps^p^dfnce particulière de Bruxelles que nous empruntons au Précurseur d'Anvers tdU. rem ise des-txajrauxdes.Chambres est atteu- ministère Qhé pbliiion des fdvïs difficiles. Après avoir'annoncé au Sénat, sur la* pvovocatinq de M. D'Anet ban, qu'il prendrait des mesures répressives contre VI. Brasseur, si ces mesures étaient justifiées, le miui8*èr»'S*est arrêté une rétàdulioii qui,le Aiet très-mal en cause avec ses amis .politiques. Ils pa raissent assee disposés l'attaquer cette «cession, comme l'atUqlient chaque'jour avec tant d'acrimo nie tes feuilles cléricales. ut -u.';-. Iv fi, C'est'M. Nothomh, à»ce que na'assore une per-r choses en ^dient véniiés ch point qute l'hofto- rable M. Dede'cker ail cru devoir offrir sa -fptatiu .-isilonêo «il mon Euatflo «non rut ucuvl /Inmiccirtn o il rni fies AS81°U nMiuW'nu c li,,ï;,i<j Ce,,qui npps confîrpié dans nos dputes, c'est qu'un journal «niaistérial annoncées» .matin mêi me la pré«eot,ali;aq r pour cette semaine, du ttijnl;111 nu .ni »i p. imiiuni m -Oflni *JJIO3 allîOB 91111 al aii id I lidl *>b r>un •ma UHB rATAMTÉ. 1 .sixjoi (stnTBi)i''Vii|v*i i l |te; i'ùY oniiu «10 niid Jifi kilt Tinq a nu j ivail ->ii tï ixiov ta ,oàlii r.J ...loeeiifb ep sijspjpi^n ies,senumejni.s religieux ae tuai. Dedecker et Vilain XHII, et de voir ce parti, qui a tant accusé le ministère du 12 août d'exercer une tropgrande pression sur ses amis, menacer le..ministère actuel de le renverser, s'il n'obéit pas avetiglement aux résolutions prises, dans certains conciliabules sqcrels. conlie quelques ré-Mn.riri aé, j. r i -«• professeurs de l Université de band, sinon coq- r {Ind) texte >qu'il faut du calme, coolr6nll?3ifiefppié4 -témVnls du clerué et celuit-di ne uecUlBijamais devant l'aoitation politiqpe, quoad, elle peqt - a SHfR lui profiler. Nous faisons suivre la cônes- le ce e "iversi e meme pondance de la Gazette de Cologne1 avec téflé'xjbhs dé [''Indépendance tit' uhffllétfr'è par ticulière adressée au Précurseur d Anvers. Ol'jl a i 11(11. w i J II. .lit i V II On écrit de Bruxelles la Gawlte fa Cologne 'BOUS' la daté du 11 janvier .Ginib iciiM^r. nO ,;i «'CérTainèi d^vérgenèes d'dpihlonïs existfiîèot ilë- •jbiiid qïreltjue tèmps'entre lé miiifét'fè'dé t'iritépiéiii^ Mi De Decker, et l^s AÙtYeS trié'îlfbÈès dû'cabiliét. 'Ces divérgeriÇés Sé sont égaléiPehtiprèdtt^tëJ'd»its "l'affaire Brasseur j -prftpès delW sblo'tibn de laquelle 'lés clêricaiix'o'rt't aecabté Mv Oe D^kéF HéS "plus d dés reproches, fatigué de cela, M. De Decker déclara 'quIl Viô^croyàrt paâ pbuvoiVdortitet1 pluS' Idng- témpsivec horitieursbhporleféiiïl'lésièsié line tutelle "jërhblafiïe cëlle qufe son parti'jpiétléAid lfii'imposer, ét îf adressé àti'Roi sa demande de démission. Quoi, que la lettre soit, dit-dH, rédigée d'ùne façd" 'aiaeq prçpîÈé, le B'oi 'se'rtiMe peu disp'oSé accépterdi'dé- 'iTli^sîbn'dfferte,' et S; M. a provisoirement ajour'n'^yà tjëcisîbil jos^li'ajn-ês son éetonr d'Ardertnéë.' eieupl fil e on isibqaa'b *»ldi«eoci(ni.èl(!iri9& iiuoinod J jfès-vrai qqe la décision prise par le cabinet, au sujet dès accusations ihrigpes contre M. Jirasseur, a c^psç un grand mépojpjçptetqeni parmi les ultras du parti clérical..Cglllf qp^uvai- -ee humeurtse manifeste dans de: nuuubveUX ar ticles de journaux et dans l'anxionOeid'interpelU dations qui' seront faites-au sein du^ndl :deux chàtohTés. NdlVi dotstons, né^nmïiinsî-que'Je* se serait rangé de son avis.^.emlèt 1res publiées par le professeur,- si étrangement!; mis- en accusai ion, modifièrent forcément la manière de voir du cabinet et alors fut rédigée la uo e publiée dans les colonnes du Moniteur. Mais avant que cette publication eût lieu, la question était déférée aux évêques, et ces derniers, réunis en conseily menaçaient, dit-on, le ministère, au cas où M. Brasseur ne serait pas des titué, du jeterihnterdit sur les universitésde l'État. M.. De Decker fit remarquer combien Ji question était délicate et dangereuseil exprima la crainte de froisser la populatioli de Gand par une maladresse, la veille d une élection parlementaire dont le ré sultat pourrait changer complètement la situation des partis politiques au sein de la Chambre. Ces raisons ne furent! trouvées que médiocrement bon nes; mais comme, en fait, l'intérêt du parti était .jneuacé dans tViii comme dans l'autre cas,.la réao- ■jlll .11' I - I 11 1 II I 11 1 I Ilmmmm lution des évoques a été ajournée et l'interdit tenu 'tispenï. 7* J j V A la reprisfe des travaux parlementaires la qwei- sira soulévéé dès' les premiers fbiirS par veje jbifrs 'pat^vej le ministère es» décidé en faute en suspens. "V1 tiob d'interpellation one question de cabirrel.'lUaiimi»ii»tre des plus in fluents exprimait hier uoidépulé des craintes sé rieuses ep sujet» et;»e disait, pour sa pavf, tput abandonner l.e.xoitiisl4re. Uue solution a été trou- etre M. ixothomb. Lue consiste a proposer a la Çh^mbre. c|e supprimer"COniplqtemeçl les subsides accordés pàt'i'L-fat itux universités de Llé^e -Jt de Gand et de les transformer en univet*sitéi1,ribrts dont le gouvernement n'aurait supporter n5 les idupges, ni la responsabilité.'Celte propnsinoo-sera- t—elle faite c elle rencontrera sans doute de 01 OSAC a n t V n s 11 1 An a m nia /u, o ffn> p n 11 P I m i hI&Im'P V'I V^O vpUvai I Ivtlo IHwIw \y 11 O Xx:l llrv II v JW' ISW^«w«'XH O de la justice travaille en-ce moment la question et sp prépare i.la dé^eroppèr devantlâ Chanifire^, ïjîl hùrtnnfe (j'ui iid troo vëra fdff efffpééfié'dans èè^âéBW;ë'fctil Ml'ÉitldMVb. S'fi -se prbnxrnce'(ÀitiMa mesure prise par le cabinet, il s^alièiiédés'cbthldicpiés dont l'appui seul-est--sa rawtm-d'existence; s'il se prononce daps;|pAeqp fiOfdW' e, '1 comprotnef jéri- eusemeqf'aa, iéé|eçtion; la ville de Gaud ne lui paç- qu'an se murmure tout dans les ceicles politiquqs et'laquelle on assigne des cAvrétà èt'des cdnséqiienëes assé2 siri^ufière'ï. Je me borne pour le moment vbns sigb'àlef Te* fàftt.'M. de Brouckere, notre'bourgrrtestrê, va donner sa dé- sontae eo position d'être bien âiiformée; qui aurait misiiWn de membre de la Chambre, Ort ii Vrtlpose eu l'idée de destiluqr M. Brasseur et M. De Decker j Bruxelles de porter M. Rogifir pbUr te remRlae®-. Cette candidature, si émioemment populaire, «e peut manquer de iéus»iifk.>i .oT s ,i!oa ":ni ,mil On nous prie d'insérer la letygg^jjgptj^Q, Ypres,.le t5 Janvier i856. Monsieur V éditeur du journal LE Paq&Rjès, En donnant, dans votre journal du (3 de de mois, le récit de l'iiipepdio qui a eu hgttpn cette ville pen dant la nuit du g au io courant, il s'est glissée une erreur firobablement involontaire de votre pai'Gjji En faisant l'éloge du corps des Sapeurs-Pompiers, vous dites que les hommes ont travaillé avec ordre, sahgfroid et sans confusion sous mon conimande- Wérttj'jè dois voui ïéiro obsérv«r*,MônsièdY','qy'at?- TJUw mouvement n'a été exécutéJdans cet iiicéhdfe du corps, M. Alphonse. Vanden .Peereboom, qui se mitai Ce fut la marquise Pirnnese qui, prévenue par son fils, l'heureuse nouvelle aècourut au chevet de Cécîlia pour lui donner tous les parlent dans les s Soini àu'exikcaïfsa :ùôuvélVe posilion,''1' 1 uni [fs'éfàii1 fëléiltée én J'entends marcher ma mère dans le corridor, dit- C'est un vœu. Moi, je monterai, pieds nus, Lorelte, et clle'rjè rëctfhnais'le bruitdè Ses pas c'omraë le son de je couvririij'(l'or la nappe de son aul'el, voix... C'est elle c'est ina mère La marquise Pîranese sortit pour obéir l'ordre sacre Ce n'était point le comte Piranese qui avait annoncé de sa belle-fille. La mère, au comble Je l'exaltation, HAbotaïuuuUuajiftt {qiù)ire, è'était xrtfé (le ces voix qui s'assit sur le lit de Céeilia, et elle ne pouvait se lasser de Migés et qtii' rienrtèn't dù bièi.'Elle regarder la jeune .reçsuscilée qui-Tui souriait de toute la sursdût,'car efle rivait vVfèrt rêVë s'a doucetïr angélique de séS beaux yeux d'azur. Ces (feux Itfs flliatë qu'elles av«ien( en réserve; aussi, quand elles se ië(tt prir1èj*ent, elles s'étaient déjà Août dit, dans la larfguq.de i- '"F-- (|(.s carresscs et des regards. Pourtant, ce fut un itemCnt îneffable l'oreille de la mpre, Iorsqu'elre t.J.' J V- U- I encore un, mu a protégée parce que vous avez ctf? fés'ikhée'édWhtéAinqj la i.. - .r. l^dhë n EPWnittes6'é'Tîrariif!së5|Wre'ffè joie, s'arracha aux ca- entendit, comme pour la première fois; l'accent virginal Wiïtk efitatity—'tt tqàli^èrëi^Oh^wVéitti rçsses de sir'fille, et pfcSétiWt'Vtvement les mains, de' sa qui sortait de la bouche adorée de sa fille, et qui résonna Mûnilïfll hnllu.innt><i t - '1 j ,l„nn' l',,|nn>.n nnmiim In m-nlmln rl't.rvA n.nlnil i a îtnlionnn larièiHs votre n6r# .'«-Cette, nmt jWrf!sï)icux anges gardiens... i six chandeliers d'argent massif èafes 1" châjklic de mon Cccilia se leva tout-k-eoitp sor son séant, et regarda du', château îf Ifci pbrterà riii n ésoricr de Notrc-Damé-de- eêté de la perte, j Lorelte, la patronne de Tolentjno, pour cent messes. dans'Talcove, comme lç prjSlude d'une jnelodie italienne. Ma bonne mère, disait Céeilia, dis-moi si je me - - r r-j-jiji Y fl"' V ïfllTlaVuf) f «Vif Q trouvera trompe il nie semble que ce matin, en me révcillarft, j'ai Vu,,là, devant moi, ce beauijeune homme qui a dansé avec moi... oh! il y a bien longtemps! le comte Pira nese... Le comte Piranese? dit la mère; et un senti-

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 1