GOED, W PHENIX, A LOUER OVERSLAG RDST, VOORZICHTIGHEID fa Tête d'argent^. TE POPERINGHE, Voot ftl de persoonetn die hunne goedérèn doen rerzekerentegen brand- scliade, op vaste vejrzekerings-pre- ntien zoo larg mogeljk gesteld, Compagnie nationale DES/PROPRIETAIRES RÉUNIS, r— 4 mm Mb*. ■M bref délai possible. Dans ces conditions, l'arrosage général est matériellement impossible, mais la pluie opère une solution lenW, mesurée, et sauf les cas exceptionnels, en rapport avec les besoins de la plante de plus une grandé partie des matières insolubles dans l'eau n'est pas inerte, elle peut subir des li-ans- forniations productives par les principes mêmes contenus dans ]e terrain, et une autre partie, sans avoir l'action de l'engrais, peut servir d'amendement. L'action du guano, n'est pas encore parfaitement connue en Belgique,aussi il est impossible de prescrire un mode absolud'en faire emploi sans risquer de commettre de graves erreurs et d'éprouver des mécomptes; il peut rependant convenir a tous les terrains, toutes les cultures! niais des conditions différentes que l'qbsei'vation, la pratique et surtout une connaissance ap profondie de là composition élémentaire du sol peuvent résoudre, et déterminer; toutefois la prescription de quelques règles gé nérales d'emploi, et certaines indications pratiques peuvent être d'une grande utilité. Trois espèces de guano sont en us?ge; celui du Pérou, celui de la Bolivie et celui'du Chili lés deux premières sont supérieu res la troisième. Nous né voulons ni contester ni admettre les diverses opinioi s émises sur 1 origine du guano, les principes qu'il contient nous font cependant croire qu'il provient de ma tières animales. Les chimistes les plus célèbres, et les cultivateurs les plus distingués envisagent l'unanimité le guario comme l'engrais le plus fertilisant, possédant par l'ammoniac qu'il récèle, les qua lités les plus énergiques, et produisant, non-seulement les plus belles récolles, mais pouvant encore être employé bien moiùs de frais que tout autre engrais, quelqu économique qu'il puisse être. On doit autant que possible répandre le guano sur les Iqrres avant les pluies. Sa dissolution s'opère alors d'une manière,lente et continue et les ^plantes dont les besoins s'accroissent avec le développement, en retirent un effet utile et prolongé, L'on a reconnu qu'il doit être employé avec mesure et sobri été, car sa force et sa puissance sont toiles, que, sj on s'en sert en trop grande quantité, il brille 'a plante et la détruit. La terre végétale étant l'afirtendement nattfrèl dés' sols trofi sablonneux, et le sable celui «les terres trop argileuses, on pourra, suivant les localités, mélanger le guano av^c l'une .ou l'autre de ee^substaiices avant de le, répandre sur le sol. On évitera soigneusement de l'employer sur des terrains ou depuis peu on se serait servi de chaux. Si wfjo fcsaft; mil instant suffirait pour faire évaporer l'aiiiiiutniae que contient cet en grais et lui enlever ses qualités fertilisantes. El le fermier n'hé siterait pas attribuer le résultat négatif obtenu la qualité du guano, tandis qu'il ne serait, dû qu'à son inexpérience. ciigéais tout est' dans l'observation et la pratiqué. Y près', le 5 Janvier 1836. _L KETTOYAGE des TACHES sur la soie, le vl-luurs, l'a làiiié, sur toutes Jes étoffes el sur les gants de peau, par la BLKZINE-CULL18, i fr. 23° le flacon, ruq Dajiphiqc, 8> Paris chez les Mdl d'articles de Paris. 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Vrydag, 1" February 1856, ten 2 uren nanoen, ter herberg de Peeroe-Posterie, bcwoond door bacs pelânote, Vênifilic van 2 hectare» 61 arcn 90 centiaren BosCbtalIlic met 643 geteekende Plantsocnen en 28 Rrullaers, gr- legen te Cronibeke, toehehoorende. aén Mèvroilwe BurggraVin de Nieuport, groiïd cigenaeres, te Bi uggc. WATOU. Maendag, 18* February 1856, ton 5 uren namiddag, te Wntou-placts, 1er herlicrg en brouwery bewoorid door Pieter De Block, Verkooping van eenWOONHUIS, en depen- dentien met 1 are 70 centiami Grund en Erve, slaendc en gelcgen tôt Ii'çtjzèlVé Wa- tou, ter dOrpplaets. Gebruîkt doôr Livinus Caenen, toi 15" Maert 1856. Qm aile verderc inlichtingen, zîeh te begeven by den Notaris CAPELLE, te Watou. oLI i. w-.iu; ut DEFÏNITIVEN in D'AFSPANNING DEN G0UDEN APPEL. Don Vryqag, 8°. February. 1856, ten 4 uren namiddag, van 1° Vyl sclioone Woon- hnizen met- medegaetitle ErVcn en verder aenklevcn, toedies een séhoon Gebouw dienende yoor riaagazyn,al st-aende te Po|ieringhc, binnen de slad, alsinede van h. 7-01-10 c. schoone en goede Zaeilaii tien. Garztug en Meerscb, tôt T zelye Poperinghe, al te samen haer ingesteld 42,905 francs. 2" H. 0-87-90 c. allerbestc Zaci- land en Meerscbte Watoc, by de pjaels. ingesteld 3.650 francs. En 5" 11. 1-56-10 c. Zaeiland, ge lcgen te Proven, by île herberg de Nacld- ooge, gcbruikt door L. Van Ingheland. ingesteld 4.410 frang9- (By affiche yerdceld jn.ffl koopen. Door bel ârtibt:van deh Notaris VAN DEN BOOGAERBE, te Poperinghe, ten wiens stùiTie d'é coriditren berustende zynf Cn met tu^schètikomst van den Notaris F LOOK, toi Vzelàe Poperinghe, bezitter der feigendomslitePen, plans en pachtvoor- waerden en by tvdlken ook aile inligtingen opzicbtens de bcdôclde vefliûg le bekomen zyù. - LE NOTAIRE VAX DEXBOUGAERDE Poperinghe, PROCÉDERA l*-r- Le Lundi, 4 Février 185C, midi précis, Poperinghe, sur les terres dépen dantes de la succession de D"° Aniélie Rou seréj aune Vente de 5S lots d'Arbres, i Tyn'l'JG f/'Hi rR»îTil,T TTooTnvi r .j il! A.. li'Jr consistant principalement en Chênes. 2"— Le Mercredi, 6 Février 1856, k une lieure de relevée, sur la.ferme occupée par 1e sieur Pierre Maerten, Poperinghe, près du pavé conduisant Stcenvoorde, et ap partenant M. leBaron Pecstccn*De Vrière, propriétaire, Bruges, d'une belle Vente d'Arbres, consistant en Chênes- Bois- blancs et Peupliers, d'une épaisseur de 2 tuèlresàS™ 5Q c... .j,,, LE -TOUT AVEC TERME DE PAYÉMENT. ë.n waerborg door de maetsebappy Vet'beeld teA'peren door Es. CAR- DINAEL, Kandidiie.t-Notaris. S 5,3-3.5© Tfl lit) l J ©"saïisssi ÉTABLIE A BRUXELLES, POUR ASSURANCES CONTRE LES RISQUES D'INCENDIE. yi r r - La Compagnie assure contre C incendie et le feu du ciel et conUe'tes dontmàges occa sionnés par la foudre, quaud rnème celle-ci né ferait pas briser ou Renverser, ot-oe apx priincsÇlè^fifus modérées, tontes propriétés mobilières et immobilières, l'écojtcs, bes- lïaux, etc. Les dommages sont payés imhiédirflement après le règlement de la perte. Les en gagements de la compagnie- sont garantis par un capital de 5,000,000 de francs. A^fent principal h Ypres Mr LERNOULD, architecte, rue au Beurre. norable sénateur, l'avantage de pouvoir dire qu'il continuera, rue Vivietine. coiffyr la squje pratique qui lui reste, le Seul partisan du vieux régime en Fi ancele révérend père Veuillot, rédacteur spirituel de l'Univers! Le Caporal et la Pqyse est un éclat de rire perpétuel, une scène grotesque haute pres sion, jouée par un mari Alsacien, qui fait des agacerjeà une jeune soubrette du nom d'Ar- thémise, par la femme de cet Alsacien, qui est sur le point de céder la passion d un coiffeur, dont toute l'ambition çst de posséder, une mè che de ses cheveux (sans doute pour coifiFer le mari) et par le caporal Exupère. un gaillard fort amoureux et très-affamé; qui entre résolu ment chez Aflhémise pour satisfaire son double appétit Héureusemént que le hasard dont lés coups sont toujours empreinls d'une grande moralité, vient mèllre ordre ce dérèglemqçit général. An lieu de soqper en tête lèîe avec la soubrette, Exupère reste seul avec les enfants de Madame, auxquels ii doit servir de nourrice. Le mari donne s'a bague au caporal, croyant la doqner Arthémise,-le coiffeur est obligé de se contenter d'une mèche de cheveux, qui n'est pas même de Madame et Madame se voit ré duite pour le moment n'adorer que son Alsa- cien. Trompé d'abord par l'innocente soubrette, qui l a Taissé seul avec les deux mioches, le ca-l 1 poral trompe ensuite tousrles autres el finit par méchanceté de leur sexe d emprunt. Si elles ônt épouser .sa trompeuse ,!sans doute pour avoir réusSi au-del) de nos "espérances, il faut l'al un jour le plaidr de la tromper son tour. I Iribuer d!abord l'ar^ obligeant et délicat qui N'oublions pas de mentionner qu'entre les j a présidé la çpofeçtipn de leurs costumes çt deux premières pièce*, nous avons entendu !e enstiite l'abnégation de ces aimables cavaliers chœur de la il/mette qui a fourni M. C.qui'ont bien voulu consentir se faire épouser l'occasion de faire valoir une voix très-élendue par leurs camarades et paraître devant le pu .l.j.li i.k, i.. j- i et Irès-^ïLéable. Les quatre vaudevilles que nous venons d'ana- liser ont été joués avecj beaucoup d'entrain et de gaîlé. Les rôles d'Oscar Lecordier (sergent Ydânsj Croque-Poule de Guillaurne G,dans"(/es deux Divorcesde Ppudret (sergent Ph. É!...)7d Alcibiade(sergent Y.......) et de Desroches (sergent-major G, *«-«-* il dans te Coiffeur et le Perruquier; d'Ex opère, (sergent C....,...) et de Poupelaril (sergeut-majpr D dans le] Caporal et ta Payseont été particu lièrement applaudis. Les autres acteurs, dans des rôles moins importants, ont su également conquérir les suffrages dy ppblic Mesdames Lefèvre (sergent W.Desroche,s (servent- majpr L......), Justine (sergent-major P......), Thérèse (sprgent-fourrier DPoupelard sergent-fourrier Met Arlhémise (ser gent-fourrier Gont fait de leur mieux pour déguiser leur sexe réel et prendre les grâ- Ices naïves, les séductions félines ou l'acarialre blic sous un déguisement que le ministre de la guerre n'a pas encore admis comme tenue du militàlre hors d„e servjce. J Somme toute nous avons passé une bonne soiréeles pauvres feront une recette qui ne .il'! -t-»'-.. *3$i (sergent Cet de Lefebvrc (sergent-major sera pas dédaigner et les ennemis de la gau- driole ont reçu une bonne leçon. Qpepourrait- on djésirer île jJtns - L'aimable Uemouslier a dit quelque part-; L'art de pleurqr es.t un talent Qqe la femme la p|us novice Possède (ônil pt,que souvent fille entretient par l'exercice. La vérité nous oblige dire que la partie fé minine de l'auditoire n'a pas trouvé l'occasion de se livrer une répétition de cet exercice. On n'a pu que rire de bon cœur. Ce succès fait honneur aux philanthropes de la garnison et leur servira d'excuse auprès du Dieu des bon nes gens, qui n'est pas le Dieu du Propagateur

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 3