ASPASINE COLLES SSàataS chèneaux, beaute et conservation de la peau. ES CRÈME ET EN FOUDRE. Chronique politique. Nouvelles diverses. NETTOYAGE des TACHES a COMMUNE DE PLOEGSTEERT. ORMES, BOIS-BLANCS A TENDRE, LIQUIDES. tous deux demeurant Gheluwe, ont été alla- qués sur la voie publique Maddens a reçu un coup de bâton sur la tête et une légère blessure l'œil droit, après quoi les malfaiteurs se sont enfuis. Dans la même soirée, vers 8 heures, le sieur De Wannoye, marchand de bestiaux, demeu rant en notre ville, revenant de la foire d'Ypres, a été assailli par trois individus (probablement les mêmes), qui lui ont demandé la bourse ou la vie. Après l'avoir fortement maltraité et volé de l'argent (efiviron 500 francs) qu'il portait sur lui, les brigands ont pris la fuite, mais le même soir, sur les indications de la victime, les sieurs Ch. Cornelis, boulanger, et Ch. De Gryse, meu nier Gheluwe, sont parvenus arrêter l'un des coupables, journalier en ladite commune. Il est' espérer qu'on découvrira bientôt les complices. Le sieur De Wannoye est dangereusement malade. On lit dans le Messager de Gand: La chambre des mises en accusation a rendu son arrêt en cause du notaire Van Hoorebeke. Elle l'a renvoyé devant la cour d'assises sous l'accusation de faux. On lit dans le Verbond van Aelst, du 10 Samedi dernier parut devant le tribunal de Termonde, frère Wladimir, supérieur de l'éta blissement des écoles chrétiennes, sous la pré vention de banqueroute frauduleuse, ou du moins de complicité par recel dans la banque route d Eug. Casman, fabricant de meubles Alost. Le tribunal a condamné le supérieur, nommé P.-F. Van Rossem, né Opwyck, ainsi que Casman et sa femme, chacun six mois de prison et solidairement aux frais du procès. Lundi, la Cour de cassation s'est occupée de l'affairedu sieur Byl, rédacteur du Denderbode. Le jugement du conseil de discipline d'Alost a été cassé par un vice de forme, étranger la question de compétence. La cause a été ren voyée devant le même conseil de discipline composé d'autres juges. 11 est désirer que ces nouveaux juges ren dent une décision conforme au fond, la pre mière pour que la Cour de cassation soit appelée juger la question de droit. Cette ques tion est trop importante pour n'avoir pas be soin de celle haute sanction. Quant nous, plus nous y réfléchissons, plus nous sommes portés croire la compétence du conseil de discipline. Etoile Belge.) Par arrêté royal du 9 février, le sieur Wy- i liants, commissaire de police de la ville de Gand, est attaché l'administration des chemins de fer de l'État. Il remplira les fonctions d'inspec teur en chef de police. Sa résidence est Ma- lines. (Moniteur.) Du 10 Février an 13 inclns. Le Piémont obtiendra-l-il au Congrès de Paris la place qu'il revendique? Azeglio est tombé malade et les deux pléni potentiaires de la Sardaigne seront M. le comte de Cavour et M. le marquis de Villamarina. Vendredi, la Chambre des communes, M. Cob- den a interpellé le gouvernement sur l'état des relations avec les Étals-Unis. 11 s'est plaint du lan gage des journaux ministériels, qui semblent pren dre li tâche d'envenimer la question et^'exciter les passions belliqueuses. Lord Palmerstou a répondu que pour ce qui est des enrôlements, le gouvernement avait fait des ex cuses que le ministre américain lui-même, M. Bu- chanan, a jugées satisfaisantes. Quant l'Amérique centrale, lord Palmerston tient pour bonne, l'inter prétation donnée par l'Angleterre au traité Clayton- Ëulwer,que néanmoins le gouvernement avait offert de soumettre la question des arbitres, mais que le cabinet de Washington n'a pas encore répondu ces offres. En terminant, lord Palmerston a exprimé le vœu de voir écarter toute idée de guerre avec l'Améri que, et la conviction qu'il en sera ainsi, si des deux parts, on agit dans un esprit de justice et d'équité. La motion annoncée par lord Lyndhurst, a été soulevée jeudi soir, La discussion a été vire et impor tante. La nomination contestée était'celle de sir James Parke, l'un des juges de Ja Cour de l'Échiquier. Ce magistrat, dont personne ne conteste le mérite et les talents, n'ayant pas d'enfants et n'étant plus en âge d'en avoir, la Reine ne lui a accordé la,pairie qu'à titre personnel et sans droit de la transmettre ses héritiers. Lord Lyndhurst, au nom de préro gatives héiéditaires de la noblesse, a demandé le renvoi des lettres patentes accordées lord Wens- leydale, au comité des privilèges, pour être exami nées. L'orateur a fait ressortir d'abord ce qu'il y avait d'étrange dans cette nomination toul-à-fait sans précédents. Il n'a été créé de pairs vie, que pen dant les guerres civiles du temps de Charles II et de Jacques 11, et sans donner aux lords ainsi nommés, le droit de siéger au Parlement. Lord Lyndhurst a soutenu ensuite qu'il était dangereux de diviser la Chambre en pairs héréditaires et non héréditaires, et d'écarter ainsi le seul obstacle qui arrête le gou vernement, dans son droit de créer des nouveaux lords pour enlever des votes dans^des circonstances difficiles. Les lords Saint-Léonard et Campbell et le comte Derby ont reproduit les mêmes arguments. La doc trine contraire a été défendue par lord Granville, le lord chancelier, lord Grey «t le duc d'Argyil. Ils se sont appuyés sur l'utilité qu'il y a', dans bien des circonstances, augmenter le chiffre des hommes spéciaux dans la Chambre des pairs, afin de faciliter l'étude des grandes questions, administratives. La pairie héréditaire ne peut être iconférée qu'à des hommes jouissant d'une grande fortune, moins qu'on ne leur vote une rente sur les fonds du trésor, ce qui pourrait donner lieu de vives réclamations. N'admettre la pairie qu'avec l'hérédité qui exige l'appui d'une grande opulence, ce serait, a dit lord Grey, exclure de la Chambre le talent et le mérite. Cet orateur a prétendu, en outre, que la Cham bre n'avait pas le droit de refuser un siège dans son sein, i un collègue qui se présentait muni de lettres patentes de la Reine. Malgré ces raisons, la motion de lord Lyndhurst a été adoptée par i38 voix contre io5. Le gouver nement a donc été battu la majorité de 33 voix. Une correspondance particulière rapporte un bruit d'après lequel il y aurait Paris une double négociation. Les plénipotentiaires, réunis en confé rence, régleraient d'abord avec la Russie, tout ce qui concerne la question d'Orient. La Prusse demeu rerait étrangère cette négociation. Une fois le traité de paix signé, la Conférence prendrait le caractère d'un congrès général, pour s'occuper de la révision des traités de i8i5, et çette fois, la Prusse prendrait part aux négociations. Elle commencerait par adhé rer au traité, et elle le pourrait d'autant plus^faci- lement,qu'elle n'aurait plus craindre l'éventualité qui la fait se maintenir aujourd'hui dans sa neutra lité. Nous ne saurions dire ce qu'il y a de foudé dans cette supposition, mais elle n'offre rien que de logi que, ce nous semble. Il est vrai que le protocole signé Vienne le i* Février ne fait rien prévoir de semblable. Il indique seulement trois opérations: l'signature des préliminaires de paix; 2®conclusion d'un armistice; 3° enfin, traité de paix définitif. Mais rien n'empêche que, cela fait, on ne procède la révision des traités et de tous les points litigieux qui intéressent l'Europe. Personnellement, l'empe reur des Français a intérêt ce qu'il soit ainsi. La Chambre des lords est revenue, dans la séance de vendredi, sur le débat de la veille. Lord Grey, lord Lyndhurst, lord Campbell et lord Derby, pour éviter toute difficulté, ont engagé le gouvernement, conférer la pairie héréditaire^ sir James Parke. En accédant ce vœu, le gouvernement condam nerait définitivement la création des pairs vie. Reste savoir s'il lient assez la question de princi pe pour persister devant l'opposition de la Chambre haute. M. le comte Buol doit partir le 12, de Vienne, piour se rendre Paris directement et sans s'arrêter; nulle part en route. On a beaucoup parlé, depuis quelques jours, de l'interdiction par le Saint-Père, de l'évèque de Lu- çon et d'un autre évêque, celui de Pamiers. On a ajouté que cette décision, négociée'Ï^Rome par l'évèque de Poitiers, qui s'y trouve encore, et qu'on dit chargé de traiter d'une éventualité plus impor tante, était une double satisfaction couvenue entre les deux hautes parties intéressées et une répression simultanée des manœuvres légitimistes du premier de ces deux prélats, et des tendances ultra-gallicanes du second. Je crois très-peu cette sorte de com promis entre ces deux mécontentements souve rains; mais on a dû, en effet, demander ces évê- ques leur démission. L'évèque de Pamiers l'a donnée; quant l'évèque de Luçon, il refuse la sienne et, jusqu'à présent, tous rapports sont suspendus entre lui et le gouvernement. (C. de l'Jndép.) Plus de cheveux blancs L'Eau indienne, la seule véritable, teint la minute, en toutes nuances et pour toujours, les cheveux et la barbe. L'Épilntoire in dien enlève en un instant et sans retour les poils et le duvet de la peau. Chaque article garanti 6 fr. Dépôt Yphes, chez Barbier, coiffeur, rue de Lille, 83. sur la soie, le velours, la laine, sur toutes les étoffes et sur les gants de peau, par la BENZINE-COLLLS, 1 fr. 25° le flacon, rue Dauphinc, 8, Paris. Dépôts chez les MJl d'articles de Paris. Sur une partie de bois, dit Bois de l'Étoilb, et sur un terrain surnommé La Carperie, y attenant, sis contre le cabaret la Hutte, tous les ARBRES, consistant en ET CANADAS, Propres aux naccliers, meuniers, char pentiers, menuisiers, pompiers, tonneliers, sabotiers, mais principalement faire des billes pour les chemins de fer, Réglés en 93 portions, Le MARDI, 19 FÉVRIER 185G, 10 heures du matin, il sera procédé sur les lieux, la Vente des Arbres repris au texte, avec crédit, moyennant caution. La réunion au cabaret la Hutte. Le Greffier DE CONINCK, Messines, est chargé des conditions et de la recette de cette Vente. Ces Colles (brune et blanche) s'em ploient froid. On peut s'en servir pour coller le papier, le carton, le bois, la porcelaine, le mar bre, le verre, les potiches, les jouets, etc. Prix du flacon fr.0-50. Il suffit d'en appliquer très-peu sur l'objet que l'on veut coller ou raccom moder. Dépôt Yphes, chez LAMBIN, Fils, rue au Beurre, 83. APPROUVÉ PAR LES CÉLÉBRITÉS IIÉDICALES. Ce cosmétique blanchit et adoucit la peau, prévient la formation des rides, fait disparaître pour toujours les boutons, les taches de rousseur, les élevures de l'épi- derme, etc.; il est indispensable aux peaux sèches, arides et dures; délayé dans un bain, il répand sur l'universalité du corps une teinte qui charme l'œil, et après l'immersion les chairs se conservent souples, élastiques et fermes; enfin il se combine si intimement avec le derme de la peau, qu'aucun indice n'en révèle la présence; il est exempt de tout élément nuisible et remplace d'une manière absolue tous les blancs de fard base de plomb, dont l'emploi est dangereux. Entrepôt général chez MIGNOT, fabricant de parfumerie surfine, 19, rue Vivionnc, Paris; et chez M. BRULE, 25, rue de l'Hôpital, Bruxelles, où l'on trouve les spécialités de savon médical aromatique et de l'essence.dc violette de parure pour le mouchoir.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 3