BOOMEN
TAILLIE
GOEDEREIV,
1,000 TOMES
BRARD- ER TIMERHOBT
GRAIRE-DE-L1H A SERIER,
Nouvelles diverses.
EN SPARREN.
PRENEZ EN ABONNEMENT.
EN AERDAPPELEN,
2*Op Maendag, 10° Maert 1856, ten
2 ur» namiddag, in d'herberg van sieur
De Block, DEFINITIVE TOEWYZ1NG van
Wei- en Zaeilauden, gclegen ter gc
meente van Winnezeele, groot h. 2-91-69 c.
AVIS.
La maison
attend directement de Riga Anvers.
3
Jl ajoute, le fait était prévu, que le cinquième
point sera mis en discussion le premier.
Un armistice sera conclu pour les armées de terre
feulement; le blocus maritime sera maintenu.
La mise en discussion immédiate du 5* point,
lit le Morniny-Postservira de pierre de touche
a sincérité de la Russie. Les puissances alliées ne
leniandent que ce qui est nécessaire; elles n'accep
teront pas moins. L'Angleterre compte avec con
fiance sur la fermeté de l'empereur Napoléon. Si le
bomte Orloff arrivait avec l'espoir d'ébranler l'al
liance entre la France et l'Angleterre, sa mission
léchouera.
Un journal allemand donne quelques renseigne-
îenls sur le caractère et sur les limites de l'amnis-
Itie que le gouvernement autrichien est dans l'inten-
Ltion d'accorder aux émigrés lombards. La levée du
séquestre rais sur les biens de ces émigrés est
Isubordounée plusieurs conditions. Le gouverneur
Ide la Lombardie ne devra l'accorder qu'à ceux des
'émigrés qui la demanderont dans le cours de l'année
li856, pourvu qu'ils demandent en même temps la
(permission de rester sur le territoire de l'Empire,
liie recouvrer leurs droits civiques, et qu'ils s'enga-
Igent par écrit se conduire loyalement l'avenir.
|Le gouverneur est également autorisé prendre une
(décision sur les pétitions de ceux qui demanderont
là rentrer et dont les biens n'ont pas été séquestrés.
Ill peut en outre lever le séquestre en cas de décès
ld'un émigré politique lorsque les héritiers résident
(dans les États autrichiens. Lorsque les héritiers de
l'émigré se trouvent l'étranger, ils peuvent obtenir
lia levée du séquestre si par des raisons de santé le
retour ne leur est pas permis, ou s'ils prouvent
qu'ils ont un intérêt quelconque séjourner
l'étranger.
Dans le cas qu'on vient de préciser, la levée du
séquestre peut être subordonnée, pour les héritiers
comme pour l'émigré lui-même, la condition
d'aliéner leurs biens immobiliers dans un certain
délai,et ces aliénations devront être soumises l'au
torisation du gouverneur,qui devra s'assurer que les
ventes ne sont pas simulées. Les biens des émigrés
qui ne formeront pas de recours en grâce dans l'an
née i856, ou auxquels l'amnistie ne sera pas appli-
I quée, seront vendus après l'expiration de l'année.
Le produit de la vente servira d'abord couvrir les
I frais de séquestre et payer les dettes des émigrés;
le surplus sera dévolu aux héritiers.
L'Invalide Russe du 16 février annonce que l'é-
1 mir du Kaboul, Dost-Mohamet-Khan, après avoir
pris possession du Kandahar, après la mort de Koën-
dil-Khan, tente d'entreprendre des hostifilés contre
Hérat. Le gouvernement persan s'est, ce qu'il pa
raît, résolu défendre Hérat, et concentre les troupes
qui doivent servir cette expédition. Il a également
résolu de réunir des troupes dans l'Aderbeidjan, où
ces préparatifs sont regardés comme très-urgents,
afin de répondre aux attaques que les Anglais pour
raient tenter, par suite des différends survenus der
nièrement entre le gouvernement du shah et celui
de la Grande-Bretagne.
Les nouvelles des États-Unis par Southampton
vont jusqu'au 12 février. Les discours prononcés au
Sénat avaient un caractère plus pacifique. Ils exci
taient d'ailleurs peu d'intérêt, personne ne croyant
la guerre.
Une lettre de Rennes annonce que le théâtre de
cette ville a été dévoré par les flammes, le 20 février.
La veille, on avait représenté les Pilules du Diable
pièce féerie qui se termine par une apothéose. A ce
moment, la scène est brillamment éclairée par des
flammes de Bengale qui, paraît-il, auraient occa
sionné un commencement d'incendie dont on se
rendit maître, mais qui, mal éteint sans doute, a
$ouvé toute la nuit.
Ce théâtre, construit en 1833 et 1834, avait coûté
600,000 fr., et récemment, on y avait fait des répa
rations pour plus de 60,000 fr. La salle seule était
assurée pour 35o,ooo fr. La colonnade d'avant-corps,
les escaliers en pierre et les gros murs n'ont pas
souffert.
On lit dans l'Éclaireur de Namur
«Un prêtre asiatique, autrefois jacobite, devenu
papiste et évêque d'Anlioche, est maintenant dans
notre ville. Il a dit la messe dimanche dernier daus
notre cathédrale. On dit qu'il assistera quelque
office dans chacune de nos églises. On y fait des
quêtes pour la prospérité de l'Église romaine en
Syrie et on nous assure que les dons sont très-con
sidérables. Il nous semble que l'on pourrait plus
heureusement employer tout cet argent dans notre
pays, où il ne manque pas de besoins satisfaire.
Ceci nous rappelle involontairement les collectes
que l'on fit, il y a quelques années, pour les petits
Chinois. Les premiers apôtres de l'église chrétienne
étaient pauvres, très-pauvres, et ils faisaient des
miracles. Les temps sont bieïi changés ceux de
notre temps ne peuvent rien faire sans argent, sans
beaucoup d'argent. Nous dirions bien les raisons,
mais il vaut mieux laisser quelque chose penser
au lecteur.»
UN MILLION STERLING DE FAUX.*On connaît
maintenant les causes du suicide de M. Sadleir,
membre du Parlement pour le district de Sligo en
Irlande. Elles offrent un pendant aux empoisonne-
mentscommis par M.Palmer, le chirurgien de Rugby
et aux abus de confiance que les chefs de la maison
de banque de Slrahan et C* expient en ce moment
Newgate. Non-seulement les affaires pécuniaires de
M. Sadleir étaient fort en désordre, comme on l"a
dit dans les premiers moments qui ont suivi son
décès, mais, bien plus, on vient de découvrir que,
dans le cours de sa vie, il s'était rendu coupable de
faux dont on ignore encore l'étendue, mais qu'on
suppose s'élever la somme incroyable d'au moins
un million délivrés sterling (à5 millions de francs.)
Cet honorable représentant avait étendu sa crimi
nelle industrie toute espèce d'actes: inscriptions
hypothécaires avec les signatures et les sceaux offi
ciels imités dans la perfection, contrats d'achat de
propriétés immobilières, actions de .Compagnies
d'assurances, de chemins de fer, de bons de caisse
émis par des Banques, de n'importe quelles valeurs
enfin, sur lesquelles il était possible de lever de l'ar
gent. C'est ainsi qu'il a émis cinquante mille actions
du chemin de fer royal suédois, qui valent 5 1. st.
pièce.
Le suicide paraît avoir été amené par le départ
pour l'Irlande d'une personne qui avait avancé M.
Sadleir une somme de 10 mille livres sterl. sur un
acte d'achat d'uno propriété située dans cette île. Le
prêteur ayant voulu faire enregistrer son titre au
bureau des hypothèques, M.Sadleir,aprèsavoir vai
nement essayé de le détourner de ce dessein, com
prit que ces crimes allaient être découverts et il prit
le parti de prévenir par sa mort la'justice de» hom
mes.
CJne lettre laissée par lui contient 3es aveux il
déclare qu'il n'a pas eu de complice et qu'il se tue
parce qu'il ne se sent pas le courage d'affronter les
haines et les douleurs des innombrables familles
dont la découverte de ses faux va causer la ruine.
Il parait, d'ailleurs, que depuis quelque temps
déjà, il prévoyait la fin prochaine de sa coupable
existence. On a trouvé son domicile le traité
deTaylor sur les poisons, très-gros volume, qu'il
avait lu avec soin jusqu'au chapitre intitulé:Essence
d'huile d'amande* am 'eres. On sait qu'il a eu recours
ce toxide pour mettre fin ses jours.
Samedi après midi, quelques heures avant sa
mort, M. Sadleir rencontra, en sortant de sa de
meure, un grand spéculateur delà Cité,avec lequel
il était lié. Il causa gaiement avec lui et lui serra la
main en disant Adieu, je vais faire un grand
voyage et il se passera bien du temps avant que
nous ne nous revoyions.
La consternation dans la Cité de Londres ne con
naît pas de bornes; elle va croissant mesure que
de nouveaux faux se découvrent. On croit que le
continent n'échappera pas non plus aux consé
quences des opérations du faussaire.
M. Sadleir était intéressé dans le chemin de fer
royal suédois, le Grand-Central de France, le che
min de fer de Rome Frascati, et une foule d'au
tres entreprises.
VERKOOPING
van
Dan Woensdag, 12" Maert 1856, ten 12
luren 's middags prccies, zal den Notaris
LAMBIN, te Yper residerende, openbacr-
flyk verkoopen 10% koopen schooue
lÊlken (waeronder ecncn molcnas), Po-
I puliercssAbcelen en Benkcn-
Boomcn en 1 koop Sparrcu, dien-
1 stig voor aile slach van werken en voor
Ibrandhout; staende' in eene partie bosch
lgenacmd den Molcnbosch, gelcgen te Zillc-
Ibeke, gehuchte den Verbranden-Molen
(zeer gemakkelyk voor den transport.
Mettyd van belaling mits stcllendc goede
en welbekende borg.
Les abonnés DR FRARC PAR AR,
reçoivent, franco domicile, l'Indicateur
des DÉPARTS du cliemin de FeR BELGE, FRAN
çais ET ItnÉNAN ET DES BATEAUX a VAPEUR,
au moindre changement qui intervient dans
le service des convois.
Écrire et envoyer franco pour un frang
de timbres-postes, l'Éditeur Charles
Jasimn, imprimeur, rue de France,
COVRTRAI.
KOOPDAGEN
VAN
ahdere
IN IIET BOSCH HOUTHULST,
TE LANGEMARCK,
Ten verzoeke der erven van wy lent Mynheer
DE RIDDER, op de hierna gemelde dagen,
lelkens ten 12 uren 's middags
1* Donderdag6° Maert 1856,
In de partien de Westmullebroucken en
Doornvyvcr
A. 12 hectarcn extra schoon en zwaer
Toillie-hout op stam, wanof er kacrten van
acnvvys te bekomen zyn in de herberg het
Kasteelken;
B. 4,000 harde en zachte Ameloozcn;
C. 4,000 Sparrebusschen.
De vergadering ter gezeide bci'bcrg bel
Kasteelken.
En 2* Maendag, 24° Maert 1856,
(2° Paeschdag),
In de partien Elzenkuil, oost- en west-
Smallescypc, Kruiseiken en Mcynaert
A.10,000 barde en zachte Amcloozen;
B. 10,000 Sparrebusschen
En C. 5,000 kilos Eet- en Plant-Aerd-
appels.
Deze zullcn verkocht worden ten 3 uren
namiddag, ter meer gezeide herherg het
Kasteelken.
De vergadering ter herberg Ruyssen.
De boschwagters Noyez en Lâchâtzullen
aen de liefhebbers ailes aentooneu.
Op gewuonc voorwaerden en negen maen-
den tvd van betaling, behoudens bekende
solvable medekoopers te stellen, ter aen veer>
dingvan den Zaekwaernemer LIEBAERT,
te Langemarck, met den ontvangstvan diere
belast.
Studie van den Kotari8 lEfS,
te Bonsbrugge.
OPENBN.BE VERKOOPINGEN
VAN
2><&US[î£2©Sîaa2iï2
ONROERENDE
TE KOUSBItlJGGE EN AVAT0U.
Op Maendag, 3° Maert 1856, ten
3 ure namiddag, in d'herberg van sieur
F. Loncke, in het dorp Rousbruggc-Ha-
ringhe, VE1L1NG van h. 4-29-80 c. Be-
bonwde G rond. Hofplaets, ISooin-
gaerd en Zaeilauden met deel
Gcbonncn, makende deel der gesepa-
reerde hofstede genaemd Ter Hand, gelcgen
ter gcmeente van Beveren? gebruikt by
sieur Francis Gast, met pachtrecht tôt 1
October 1857, b 360 fr. by jare; palende
voornamentlyk aen de eigendommen van
Joefvrouw Keyser, te S' Omars, den heer
graef Yisart-De Man en Franciscus Gast
by affiche verdeeld in 7 koopen.
WATOD, dorpplaets.
gebruikt by sieur Franciscus De Croocq,
met paclit tôt den 1" October 1860, 182 fr.
by jare; palende aen de eigendommert van
d'beeren Cazcin, Liefooghe, F. De Croocq,
L. Bockct, De Kester en Declebsotcl
verdeeld by plakbrieven in 6 koopen.
De veilings-voorwaerden, titclen en plans,
berusten teu kantoore van den Notaris
FEYS, voornoemd.
TAS IMSCH00T-DE BR0CK,
D'OSTENDE,
Par navire Obéron, capitaine Schmidt.