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-
dernière période des manœuvres au camp de
Beverloo, qui aura lieu ver* le moi^i^ioût.
Une dépêche télégraphique de Madrid, datée
du 4 mars, annonce que l'apciên régent dri Por-
-1-
.'♦ilSli
■-..1 - .ftir.fc.s
tugal, père du Koi régna
prochainement un voyage
uoci
!>ii
doit en^ç^endre
Civ
tKl
Ou donne de Turin les nouvelles suivantes de
la reine Marie-Amélie S. M. a passé la
semaine-sainte Gênes avec foute sa Famille, et
elle n'a jamais joui d'une santé si parfaite. La
population suivait ses pas Gênes avec u'dt
curiosité respectueuse: tout le moncfé voulaii
voir celte noble et sainte femme, éprouvée par
tant dé1 douleurs. Pans tous les élahlissemeqts,
de bienfaisance qu'çllç a visités, la Reine a laissé.
munaux d'Ath et dont nous avons déj
tenu nos lecteurs, sèra appelée devant la Cour
d'appel de Bruxelles, le 11 de oe mois.
La Cour, dans cette audience, ne traitera pas
Paffaîfe au fond elle-aura seulement a exami
ner si le tribunal correctionnel était compétent
e ou si, Comme laxléfense l'a soutenu avee suçcès
If ,a*foofnay,,fcett» affaire a un cafrticlère'pôlitiqii^
et est du sessorLde» caurs d'assises.
influence du séjour de Marie-Améuë'.'Devant i
malheur si noblement supporté, il n'y^ qq'upa-
nimité de respect ql sympal^ie^yCoippae
devant celle charité si spontanée et si simple il
n'y a qu'un seul sentiment, celui de l'admira
tion.
On écrit d"Anter» J" :uc4 r8-1'
Voici un fait qui prouve que .tops leseffbrlà
auxquels les détenteurs de grains se'livreraient
pour maintenir le prix élevé" dés céréales!,
seraient stériles en présence de là situation nou
velle qui résulte de la conclusion d<^4é paix 1.
Le déparlement de la gueére vîént cfa'èhe-
ter icipour la consommation dès trbnjies
2,000 hectolitres de froment étranger 30 fr.,
c'est-à-dire avec une diminution de 3 fr. 75 tt,
4 fr. sur le prix des achats du moi* dernier*.
ment, et le blâme e
justifié par les piè<
ru par lui suffisamment
la procédure, M. le
-
procureur-général a décidé qu'il ne donnerait
■r!
Trlbpnnnx
f J'L-.S'JJLS S».. j.lîu ri^-
.aOf
Flandre orientale.u -.noc il ««m 'Ci tVii
s M Mu Ferd. Van Hoorebeke et. De Baets étaient
aù bàac de ialdéfenée. 'Cenl huit témoins sont
assignés. Le greffier a commencé la lecture de
l'acted'accnsatidn',qui aabordé toute l'audience..
Le notaire Van Hoorebeke est-déjà un; vieil-
lard son attitude indiqueles traces d'une an
cienne atteinte-d'apoplexie ;^a contenance est
assurée et il ne ebercheipasà éviter:les regai ds
du public. Son oetvèuv au donlraire, essaie de
se soustraire l'attention des curieux en cachant
son visage dans ses maiiis et en se tournant con
stamment vers la îCour. i. -11 - ;ui n »i>
Le nombre, des faux reprochés aux accusés
s'élève cinquante-trois, divisés eu* plusieurs
catégories et comprenant-:-fàttx en dénaturant
ta siibstAnee-dès actes passés eh qualité d'officier
ministériel; ëtt constatant des faits faux; én éta-
Les arrivages attendus de plusieurs des ports blissânt de faussés obligations; en apposant de
ndus la liberté du'commercé èsérêëfon t'sur fausses signatures; etoi'! yjjyy or.:
te*'sommes produites par ces nombreux ac-
rendus
nos marchés une influence plus grande èncot-e. h
1 11 --it j iir"1 uh no:
La fièvre de l'émigration continue. Avant-hier,
Louvain, un grand nombre de éafripàgrfàfdi
des environs de Bauchevam, entreautrès, par
taient pour Anvers, où ils fespéraient é'bmbar-
quer pour rAmériTjoe cèntrate.
j-*— ffi-ittsi' 1 jihstm
M. Calmeyn, membre delà Chambre dès rer
présentants, a épousé; le 3 avril Liègé1,-W1*
Malhilde Orban de Rossius. .et Imoru
Il paraît que la reconstruction dul théâtre' de
la Monnaie copier» once cent mille francs en
viron. ni egfii !u ou eiitl a sr
n'?"P .in i'■- n1
1 1r—non
Le/Youvellùtf de Gand publip une lettre que
M. le procureur-géqéral près |a Çour d'pppejj
de Gand, a adressée M. Devylge, président du
tribunal de première instance de Cpurliai, re
lativement la plainte déposée par Ni. l'avoué
Salembier. un
Il est dit dans cètte ilejttrv, que la plainte de
M. Salembier aiyant été reconnue tans: fonder
J.lll .IIM.I Il t ll.l lij Si
soient leur carte dans un jeu présenté parfc-prwtidfgi.
ta leur Bosco, enfin, elle choisit le robe maudite mais
elle n'a pas assez d'argent; un jeune oommis ?a .l'accom
pagner chez elle. Il a ses instructions; et le paquet est
confectionné avec un lqxe de papier, de toile d'emballage
et de ficelles qui sera un. obstacle k toute tentation de
jeter un dernier coup, d'oeil sur l'étoffe, avant de. la placer
dans la caisse <Jè Voyage,
Enfin, elle est vendue, bien verjdue celle folyl.Qn
ne revient pas de Ta Nouvelle-OiTéaus pour changer vné
robe ir TX.pn
Le commis suit la dame, et arrive derrière elle tout
la recevoir évanouie dqns ses bras
!llf>nnmlinn n nnn ntt'nn.in fl'L I
juste k temps pour
son mari venait de succomber une attaque d'apoplpaie;
elle ne s'embarquait pas, et... et il ne lui fallait plus que
des robes de deOilT -v
Comme si elle n'aurait pas 'pu la faire teindre eri
hoir! s'écria le patrOn.^ *"rfj A'*V"
Un autre jour, une adroite voleuse emporte, soqs son
lanteau le fameux coupon. jLçpairpo r/t be'aucopp
manteau
d'abord
vn savon a ses commis. Cela pouvait arriver pour une
étoffe plus précieuse... etc... etc... 1
Eh bien} nnn -'**11-
paierons
Ndo» en voilà débarrassés!
La voleuse fut arrêtée le jour même, jugée dana le
'bord, mais il parle d'aller déposer sa plainte et dqnnè
savon ses commis. Cela pouvait arriver po.ur une
u« précieuse... etc... etc...
bien; nop, s'écrièrent les jeunes gens, nous
n0us lous5 mais pofte*paaiplpjntel
tes de fauxV^htié pour pfêt d'argent;-montent
environ 160 mille francs-.,~—
Malgré le rèlenlissement qu'a eu cette affaire,
cause du nom et de la position dés accusés et
par -le nombre de fâtt»llesjnléresséea,nàFi6t#re
dés débets) 14 curiosité
ai
Ue 8émble'peii
excitée et le prétoire-renferme pttU dé1 inonde;
.aaftfiil
On écrit de Gaod, 7 avril
yjrL audition des témoin* (affaire Van Hoofe-
bèke) .continuevi sans rien présenter de j'emarrr
quable. Lai principal accusé,, le .notaire Van
Hoorebeke, aux îuterpejlations de M.,'le présir»
dent, répond constamment par dés aveux; il
conserve,pendant toul^.l instruction ua air de
compléta ihdsfférence^ill lient le plus souvent
la main un livre de prières, qu'il (Ouvre par-»
fois. On le dirait plongé dans les sentiments
d'utie profonde dévotion. I io
1 |W^TTT***!l i. 1 .1' 1 N
Chronique poliliquc. u
n-> ri rr.t Du 6 Avril an 9 inelns. ah siifr.iu
Ui» journal de Tarin, VOpinion*, fart-connaître
tomiauffiëc li la prtgon, 'et 1e1 greffe rendir
la robe... pas trop cbiffonéel
Enfin, c'est le dénouement, une jeiM)0>fille, wvefemme
de chambre entre dsns le magasin, essoufflée, -haletante,
fatiguée Auriez-vûus dé ça, par hasard et elle présen
tait un échantillon qu'elle avait en vain promené <{ans
tout Paris pour le rassortir. ui >vi.,»so
Tout le personaoi.de la-mareon avait..pàJL jii b^.
Oui,répondit le patron, la couleur est assez... rare;
ejle n'en çst du rçste que plus distinguée. Voy^.de^c,
Messieurs, si nous n'ûulions p^s quelque chose dans cq
genre?. ,r •,:„i| - -, ,n ,i:,rn.
Comparaison faite,. l'échantj|J.on et lç,coupon avaient,
dû ffiire p^rtiede la même pièce.m
C'est indubitable, mademoiselle Off,p'a jamais pu
en fabriquer qu'une seule pièce ausçi bien réussie; elle
a été commandée par le grand suilan, et sans la guerre
de Morée... )[ju reste, vous saye^qu'ici, nou? je fepre-
nons jamais uu article vendu?
On! ne craignez rien, s'écria la femme de pha^?
bre, mademoiselle iera trop contente elle m'a promis
dix francs si je parvenais trouver du papeiJ!.,,n
V. «...-.r 1».
dans la,
jftuneclair, comme les vieilles b^ronqesçpéolçs ppùvjiient
seules en avoir en 1780. (La suif au prochain t|Ç.]
'•Un i t t-.'l» mon si i oRonneb no ,r." nadrt -jal
re. La Russie, d'y
e guerre arniés
d'une manière assez précise, les clauses principales
du traité de paix il dit tenir ses informations de
bonne source. A Paris, on attribue cette communi
cation une i ndupg^Mpé%M. le Hp f'-n "^y jf
Quoiqu'il en soit, ces clausei sont bonnes connaf-
tre, et les voiéM^v'JBjffîij
<1 I. Neutralisatioq de la mer NI
pourr».entretenir, qiie 10 b^timen
pour la défense des côtes.
U. Nicolaïeff sera réduit k la condition de port
de éôinmerce, et la Russie s'oblige h n'y construire
que le nombre consenti de bâtiments de guerre.
III. La Russie acceptera, dans les ports de la
mqr jKqîre er^a la Baltique, des consuls de toutes les
pàfssancë* Jwh
u IV. Elle ne reconstruira pas Bomarsund.
V. Elle cédera une partie du territoire de la
Bessarabie, y côtfipris-la forteresse d'Ishfalb Elle re-*
no'rlce au protefitoràt exclusif.des Prhlcipautésdanit-J
bien nés. es*;
VL.EUe renonce également au protectorat des
Grecs "de l'Ëm'pire dtloman.
iif: VII. La libre Papule esjt gar^ptie
Wi.Ksa"« ^Rtiop.,
yilf. Une' çor
inninanfoc X I'.,
lou5
tr vrsi m~>
Principautés, l'en
K:W:.r
^MPrMffiV -j. jjr>
mmission se transportera dans leë
erfet d'y étudier l'état de l'opinion
pin
seS'salnit dëjà^fixées; ,i;' 'tî tiu i>i
»v Le Congi-èt» n'est pas dissous; il conlihueses
discussions et délibérations. yid'i
On croit que dans ses discussions figure,1a ques
tion julienne. J«iO
Upus le traite ne
spéciale pour la Sarda
dans la question iralien
velle du Time»d'unecomfTTtcmrfavorable auPiémont
SShMhs^ondemenL;)> ibb tes i9ini9b i! uo"/
lf)ya dans- çea:çUusçs gpints re^és incon
nus jusqu'ici celui qui se rapporte au chiffre des
vaisseaux de guerre qqe la Russie pourra entretenir
dans la mer Noue, et celui qui concerne là commis
sion chargée de se transporter dans les Principautés.
La 'nc?û-recôhétruèïi<Jh dé Borrtarstind n'était qtifc
présumée; elle èst mairttenanlcertaine.
Le Time» assure que déjà les' troupes sardes oui
reçu l'ordre d'évacuer la Grimée. il J': L ueiii-
Le gouvernement anglais a envoyé ses recruteur»
de.l'îled'Éliéqland, l'orilrp de.iue plus .accepter d'en
gagements pour la légion allemande, a près le 4 avril.
Qqosqurq que lcflinj^ère angUis a rejeté fa pro-;
position de capitaliser Jeâ ^pits du. Sund telle que
1 a tormulee le Danemarck, et que l'Angleterre fera
i.iër.y. 1* 111 Ht' flSIj OSlil
une,proposition djtférenle.
La reine d'Angleterre do1t"pàssêr eu revue fa
flotte 'Anglaise, le 16 dè'cè mois, f^ortsmouth. La
flottéùecomptèéà'pas'mbitis'de élt^iavires/L/A^àl-
prett dit que là fauvense èevue de 131^, après la
signature de paix, n-'élsit qu'un* simple régate, «n
comparaison dii spectacle qéi sa prépare», y:
-Iles lettres particulières apportée^ d'Haï;i au JIâT
Port-au-Prince, pour signifiei-àTempereur Faustin,"
au nom des dèux gou ve r n ewpu i»>fiu'ïf éu t i ne pas
rëêddihtehcéi: ses opérations contre là République
dÔmidiCaintyfet même h prendèvRengagémerit d'un»
trêve d'au moioi' vin^l-ciUq SUnées. Cesjj|aitre»
ajoertent que l'Empereur»a mis+wruconp de ma»—
iiî^wiwiWôii «lifpf &e»/. a n
Le Moniteurptu**ien du:5 avril publie un arrêté
du ministre des finances contenant les dispositions
restrictives des transactions éh effets publics la
Bourse de Berlin.
oc 11 ;J o, rilitll iuol lilO'l ii îiJJu y
Lescourtiers assermentçs pourront seul négocier
au comptant, (zuy um zug] les yaleurs étrangères
complètement libérées.
Les actions intérieures non complètement libé
rées des titrëè provisoires, des acquit» de paiement,
i»rtp-
ih«b -y o
d'emprunts, etc., est défendue, sans distinction
4'o.péraiion0 failef ^u,comptant (?uy um zutj) ou
flOn» îjaa s.-. .11: I 1 rvAa I J *J 1, -, j;];
le doyen de
injjisl. ie
a Bourse
's p, 1 1:0a
L'arrêté ministériel invite
h éloigner de cet élàbliViéiMéWt les courtiers mar
rUhé'/'en Appliquant »l'o»donna»iee de mai i8»'5,
(Pa A o lu. uI èx' 11 uL anaîéî>li)« nu faisant rua
de
après laqueltè les înditidus ne faisant pas partie
J la'corporatibh des Courtiers peuvent êfre'exptil^l
sés de la Bourse pdjfïi do^Vri^hs àùFtiîié rh'dicatiôti
éje ropti^u
j L ZI 11III M
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