SËTISIOK DES LISTES ÉLECTORALES. ''I Bulletin administratif de Tarron- disseme.it d'Y près. VENTE TERRES LABOURABLES, MAISON 3.- t.~9L *ex c» i SF7- uurr - c ■- En terminant, r%rrêl& ministériel recommande d'examiner de quelle manière, soft par la législation, soit par des mesures administratives, on poiirralt empêcher les avis de ttout'su-non officiels dpj4"ré'^ pandredan»lé public. ob i iv Le Moniteur français de dimanche malin anpQnce qu'eu attendant la ratification du traitétde paix, un armistice maritime b été conclu entre les puissances occidentales et la Russie, et qiie les mesures restric tives del'exportàtion' des produits russes, notam ment des çéréales', seraient rapportées s'ans retard, Le Congrès de Paris piiil'fipjie ses séance». 11 a du tenir la Vingt-troisième lundi, et fa.jjxqit court qne Les ratifications du traité de paix pourront être échangées le 20 de ce mois. C'est toujours le traité qui préoccupe la presse européenne. Malgré tout ce qu'on eu sait, on en veut savoir davantage, et cette curiosité nes'apaisera que lorsque le texte même en sera connu. L» Journal de* Débat*, paraît avoir reçu des con fidences, où nous voyons5 tout d'abord une cliotie inattendue-: c-Vfet'que le fameux article 5( des cou-f ditions proposées par la cour de Vienne, dont on pensait que l'inlerprétatiOé serait Pééueil des hégo-" ciàtious, est celui sur lequel les plénipotentiaires se «ont mis d'accord le plu» facilement. 'On sait que cet article réservait expressément'anx puissances 'belligérantes lé'droit de produire^ dans un intérêt européen, des conditions particulières en sus des garantie» écrites (fans les quatre premiers articles. Beaucoup de prétentions ont été soulevées sur le fondement de eelle stipulation. Mais, dit lé Journal de* Débutela Conférence a bientôt écarté celle sur lesquelles tes parties intéressées ne se soqt pas mises promptement'd'accord. Les plénipotentiaires russes iFont défendu ni l'| seoal mi fit a ire., de NicoJaïefF, ni: les établiMem militaires maritimes qu'ils avaient dans la Noire ou sur les rires de la mer Noire, dans la d'Azofou sur les rives de la mer d'Azof. Désormais ces mers ne seront plus que des commerciales ouvertes tous les bàtimenlsdu com merce, fermées toutes les marines militaires; on n'y verra qli'un petit ndttthre de bâtiments légers, armés pour faire la police et protéger le Commerce des nations. Sébastopol ne sera point relevé. La Rus sie n'entretiendra aucune marine militaire sur, ses côtes; ses ports et ses villes seront accessibles îi tous les gouvernements, qui pourront y exercer une surveillance açtive par l'intermédiairede leurs agents consulaires. T«jus les forts russes qu'on avait con- deux mers sera complète, et tout appareil militaire en sera banni. v 'mj" Le» plénipotentiaires russes n'ont pas voulu con céder,^ la Conférence a renoncé exiger la démo lition des forteresses construises;.,pur le versant méridional du Cauc^je,;depuis la mer Noire jusqu'à la mer Caspienne; mais le liaitéleqr interdit de jamais fortifier les îlç$ d'Aland, d'y construire de;s casernes Fortifiées, de» postes retranchés, de6 iiedod-fl' tes de protection 'foutes choses menaçantes'pour la Suèqe. b(ii' f ,l.e Journal dés Débats n'en sait pài'plùs qu'il y a trois jour», quant la question des Principautés. Il parle de trois commissaires choisir parmi ses membres, qui seront envoyés sur les,lieux pourijy, faire une euq.uête et rapporter Paris iq)résultat de léurs informations personnelle». Cette mission de.-ri mandera beaucoup de temps et retardera la clôture des conférences. Dans un autre article, le Journal des Débat* parle ■■iWàsï VMsrjm* wsar d'Un bruit d'apfès 'leqaél il serait question d'une (intervention diplomatique dans l'administration in térieure de plusieurs États de l'Italien On dit qu'on inviterait le gouvertienleut pontifical;<pbr exemple,' transférer l'administration des maitib des ecclé siastiques dans celles des laïques, et On a l'air de considérer comme une qûpstibn des plup simples', le problème ie.pius insoIuÉle peiit-êlre de .1 a_pptiÇtijjiLe européenne. On parle aussi d'inlerveqUqn.dans le royaume des Deux-Siciles; mais, dit le Journal de* Débat*, nous ne reproduisons cebfcuii-qu'aveç une très-grande réserve. V C esi prudent. Si®e Congrès voulait toucfôifii questions d'ailleurs, sqfu» quel pij?t£ifé lej^faji-il Se ra\t-ce pa 1^e'^ ifé S Ronaà .«àoJffeple 1 l#nn:ofeeV les libertés des peuples ne sont pas assez garantis? Mais ce titre, le Congrès devrait commencer par demander Louis-Napoléon de réformer la Cftiïfiiir tution impériale. Nous ne voyons pas en effet qu'il y ail une grande différence sous le rapport des'liber- tés publiques, entre ce qui'se passe dans ippoyaupie des Deux-Siciles et ce qui se passe en France. ;<i Xa q^pfiS/cncë, ouverte le 23 février, terminée le 3onotiansva duré trente-cinq.jours; elle a tenu dix- lu«t!gramles sèances et cipq petjtqs, dites confé rences de rédaction les premières ont eu lieu les ^S'.Wfévrlèr, Ji', Jyj, 8>'4, »8> *a, ^4» "*26, I» 37, 28,"îq; 3b mat-s; les Obnfér^nces de rédaction «ttleu-lieu le» 17, 19, ao, 53 mars. tr .2S.-4 A 1 3 On lit) dans la correspondance de Paris du Jour- fiai dq Br^ellet Jl ,yi«.Le prince Napoléon vit tnè»rretiré sa princi pale intimité; au PclaisrRoyal, est toujours arec 51M.iÉmile de-Gifartfio, directeur de la. tfreete; (j Haviti, directeur du Siècle, et les.principaux chef» dè'Pémigration italienne et polonaise. i |4f1 no "o"1'v oTI .-ii if ,.ii d Ce; recueil conlientidéjà 43 instructions, rè- t gletoenls, circulaires, etc. f-meit d'abbriAèment pouf'les particuliers, est fité fr. 2-5,0. par ap. n or Lu 1 - - mm vanavpnn r inno Nouvelles diverses. On Ht dans le Journal d'Afioétk': Jefke de Stryker a été mis en liberté sous caution. Il est toujours poursuivi sous la prévention d'homi- toujours poursuivi sous la prévention cide involontaire et d'escroqueries. Les faits né sqnt pas encore sufFisamment établis, maisïla justice agit' activement, et tont'fatt présumer que l'on netardera struits sur les rives de la mer Noire, tout le longdu pas d'avoir toutes les preuves nécessaires. Après i '"isfï Caucase jusqu'à la dernière limite du territoire tl «U-.r» •.""t,n4rf'i russe, don loin de Batoun, seront détruits et <ne pourront pas être remplacés. La neutralisation des sqr .les traces des yictimes. de l'impudence de charlatanf»"* 'A e >0! ,Le:â àôtfilcriptéurs pour lft5'6 recevront fous les n°» qui ont paru depuis le lr Octobre 1855. ijs v 1' y. 1 VILLE D'YPRES. M 4MË-' nliîî jif «•>.a BOllRGHESTUE ET ÊCHKVIXS. qaT» Jnos nuenr de prévenir René» adrai- ic conformément nnx dispositions s sur la matière, il sera procédé, 4* Avril prochain, la révision des listes électorales pour les .Chambres légis— onsell provincial, ainsi qne ponr communal, r^tonnes réunissant les qualités {re quises pour être électeur, peuvent; se pré senter^, munies de leurs pièces, l'effet tl'itiié Inscrites, an btircan dn secrétariat de ràdmînistration communale, tons les; jours, l'exception des dimanches et fêtes, uii-iiirt» enre» du matin' jusqu'à midi' et sttpuiKOhc dejltiljbVbe dejp|ii{ii|; heures jusqu'à 5 heures de l'après- midi. TYves, le 28.ifor» 1836. j yy j'.vî.ï'»»!to fï! LES BODRGMESTRÉ ET ÉCHEVIXS, beaucoup. de recherches, il paraît qu'on est enfin ii*'«'rto«è*»cï B. VaIluER^TICHECK. TH D UNE xtlisd-! ,y D UNE ET DE mi VILLE D'YPRES. iillv. tvirUTt 1° Une EERMË avec ses iBàtiments, Fonfls,.Jardin,,Ver- tger, Pâturage, terres labourables et Prairies, toiq.de très-bonne qualité, si tués Dickebusch, le long du pavé d'Ypves Reninghelst, contenant 26 hectares 04 ares 67 centiares, aboutissant aux propriétés de M. Félix Berten, Poperingbp, de M. et M"* Sartel, de MM. et M'|« Terrier, de M. Jules Capron, de Mm« Vauderilonck, de M De Wilde-Vcrgeelzoone, de Mm" De Neckere. IJeConincketdeM"* Robaèys, tous Ypres, de M. le baron De Bethune, Cnurtrni, des enfants de M. le comte Ch. De Robiano, Humillies, de M. Fretin, Lille, et de M. De Terlinde, Gand. i Celle 'Ferme avec la Pâture ci-après, située en la commune de Vlamërllnghe, sont occupées par le S' Charles-Louis De 3aeneau fermage annuel de 2,12b francs, ttre les contributions, jusqu'au 1* Octobre 1862. i.MulvL Cette fertile sersj exposée d'abord en 20 lots.et ensuite en-différentes masses ou eu une sculp,masse. 2» Une partie de GRAS PATURAGE, située en là-commune de Vlamertinghe, contenait t. béetarc 31 ares 60 centiares, confinées par les propriétés de M. le che valier Cl. Uynderick, Ypres,.et par Iç cbemin dit Marshofstraet. Et 3» - Une partie de TERRES LABOU RABLES, située en la commune de Wcst- outre, e<Sitenant, d'après le cadastre, 1 hectare cenfiaies;'pb(il4's4ar'* aux propriétés de M. Huugbe-iDe Schodt, Rcninghélst, dés béVitibrs de Jàcqùes Gfab- be, cl au èlifeujin de Reninghelst Locre. .Celte piècé'dç terre est occupée par le S' Charles Cwoefler, jusqu'au l'Octobre 18S7, au prix annuel de 120 francs, outre les contributions. La Vente se fera par M" LAMB11V, Notaire Ypres, 6e commis, au Café d'Anveiis au dit Yprès, sur l'Esplanade, en deux séances l'une, pour la M1SF-A-PR1X, Samedi, 19 Avril 1856, l'aintre pour rSDJU- D1CAT10N, Samedi, 3 Mai suivant, chaque fois deux heures de relevée. Le cahier des charges est déposé en l'étude (fu dit Notaire LA1IBI.V. On peut prendre communication des titres et du nouveau plan chez le Notait-é RENT11, Ypres. .âR| On peut aussi obtenir tous renseigne ments chez M'* EORREST, Notaire Wervicqet Mr* L U C1E AI, Notaire Reninghelst. .il LANGEMARCK. V MERCKEM EN CLERCKE&/. VAN sDO'jkpoREN;';;!; i l 91) zusin icq OfiJ&J qwÉ Ull MUE» H tmxsq»:. t JUO i |rV Ht (:x"> i ares 50 centiares ^aboutissant IZ DEN- BOSCH VAN -HOUTHULST. Donderdag, 17nApril 18o6V-l«rki!'u- 's morgensNza|'er mêl,ty4 W* de priucipale k vabelé mCTèkoo^feKrT"^®br W îtOtahis CUiUVSi, te Langemarck verblyvendc, in d'herberg den Meêble digt by gémtrtd Hiiuthulst, gehouden xvordau. kbopdagjan 500 K00PJEN DENNE-HQU|, veèl klcinéboppe, boon, baeg, Deslop en decltperscn met shoeiliggende op de drevep.endn-de grachten, toèdies nog veel seboon en zwacr ejken eh beuken Boom- DE VIIV DE CHAMPAG.YE, Avantageusement connbe dans toute la Belgique, désire trouver des représentants la commission pour placer ses produits dans les deux Flandres. Adresser les demandes, renseignements référanees;,francaisous les initiales C."V. D,-, I'Office de publicité, 39, Montagne de la Cour, BRUXELLESi' 3 0 1 1 i 1 11 1 .1 XAMAyX^i'; uÔ0,S - •M .a n:i BEBIGT. By M' POUPART-VlEMIYE, Notaris ter residentie van Zonnebeke, is crgeld in leèntng te bekotncn mits goed bczet. snoei, in rameyen, in de hanwen varrt854 en 1855, gl in de groote loten 12 eq 4 vtm den bosch v^n Hbuthàlàt^èigtmdfcjm, yati dé llceren llaine, AeÀtmans,-Vhbdeil Bérgli en andere, te Antwerpen), ondér de triagen van Louis B.outquillonen félin Delheye, lc Merckeni eft Clercken, 'deyblke b'eneVens den bDschivàcfiter David Éh',' âëfti^fe'fiéf- hébberi ailes zullen aèhtodpen'. Nota. Ter oorzaek der groote hoe- Teelheid koopen, zal dezen koopdag, zob yoorengezegd, om 9 .uren's mdrgens pre- cies brginnen, en nûreti zal eerst (te koop i)enbieden 't" gonqe zich bevind onder de triage van Jean bklheyè tfi daerba in dié van Boucquillon. QTraïïSï jagnfc nationale DES PROPRIETAIRES RÉUNIS, ÉTABLIE A BRUXELLES, POUR AS?eRANCSS CONTRE LES risques - D'INCENDIE. La Compagnie assure contre 1 incendie et le feu du tiel et contre les dommages occa*r 'siéfinés par la foudre, quand mèitiefXléHetei ne ferait pas briser ou renverser, et ce aux primes les plijs modérées, tdutes pij-pppiëtés mobilières et immobilières; récoltes, bes tiaux etc. lASIADui :i.uAI Lfes dorthldges sont payés immédiatement' après le règlement de La perte. Les en- gagçmentf {«je la compagnie soqt; g^-qntis par un capital de 5,000,000 de fraftes. Agent pribcipal Yprbs M' LERNOULD," architecte, rue au D^urre.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 3