INTÉRIEUR, a/pett Chronique polit ici île. Il Ml second vole, du projet.de loi re cession d'il chemin dé fer de Lie de nouveau la société a obtenu un succès com plet. o. Différents morceaux ont été chaleureusement et très-justement applaudis et la bonne collecte, faite au bénéfice des pauvres, a été versée inté gralement dans la caisse du Cercle philanthro pique. - j - D'après des nouvelles du 27 Mars, M. le che valier Gustave De Sieurs,.nommé récemment premier secrétaire de la légation de Belgique Constantinople, est arrivé vers cette; époque ej^ celle capitale. - - i Mardi, la Chambre des représentants a con-jil Sâràhîq païriarchë d'Àntioche; après sacré tenu sa a la .discussion^ pour le atojr fait mottoot* d'aumônes en France, relatif a acon- e|j JloUande-îeiJdansliiaftdajèureupJsrtie idejila Belgique t—sans autorisation du gouvernement est arrivé;de màlip en notre ville, venant de Bruges.iiLaJvoilure.de M.Delacroix était venue prendreà la station, jeippélat.syrieail cl Ji.qoo- Cet évëque barbu vient, dit-on, en notre ville pour quêter poué la reconstruction de son église patriarohalei^ et peut-être aussi de son pa.lajs .détruits par le pjliage et l'incendie d'Alep en 1830, Si le fait est vrai, nous ne pouvons nous.empêcher de faire remarquer que lorsque l'iûcendie détruit La masure; dp l'ouvrier belge, il. est défendu celui-ci de solliciter la bienfai sance publique pour réfiarerce désastre, àimoàns d y être autorisé. .ilfY «q supila >.o Nous.nous,permettrons donc dé demandera Mgr. Samhiri.quel est le fonctionnaire qui l'au torise mendier en; Belgique Notre ville a déjà assez de.snisères soulager, la chenlé.dqs den rées alimentaires a: laissé cet hiver un assez large gouffre combler, sans qu'il faille encore don ner spo argent J'^mploy.eJî.a.pJqjnj» J,'qdi- fication d gptemple et;, d'un^upçj.be palais. Le Christ l.ui, e^t né fJans, VD?» é^^Wiv><j Du reste,. Mgr,, d'AMiqchç choisit, njaj soq j'ïenu ^u'à l abstention de deux npem cei membres avaient .voté contre, il y aurait en parité de voix', -53 contre 43. Mercredi, discuté le- ciers li ants la Chambre des rèpi jlé le projet de loi sur les pensions des offi- i volon (aires de 1830 amendé par le Sénat. cjq amendement de M. de Perccval, d'après lequel la loi s'appliquerait tous les volontaires On lit dans le JofirHnl de Charleroi On nous assure qge M. Jean Pirmez, retenu par des devoirs de famille, ne peut plus accep ter la continuation de son mandat de député, la représentation nationale. Nouà apprenons en même temps que sop neveu, M. Eudore Pir mez, avocat, se présentera aux prochaines éleç lions pour le remplacer. Si nous somipes bien informés, e£. nous croyons l'être, Mi Gustave Vanderpepen?'de Bincbe, nouvellement nommé bourgmestre de cçtle ville*, sa porte candidat aux élections pro chaines1 podr l'arrondissement déTbuin.iOn sait que M - .Aygusle Licol se met également sur les raons. r î- In4?.- iio. ont le men- en général, a provoqué un Jong débat,, d< résultat a été le renvoi du projet et dp l'a dement la soction centrale. Au .oonamençement dé la séance, 'a Chambre avait renvoyé la prochaine session,:la discus- sion du Code pénal niiliiaire. J .1 1 J'Y - i Jeudi, la Chambre .des représentas a voté le budget dp» receltes et dépenses pour ordre, pour l'année 1837. Elle a ordonné le renvoiau minisléedes finan ces et la section centrale qui examine le pro jet de loi introduisant des modifications/au tarjf douanier, d'unepétition, des administrations communales de Sainl-Gilles-Waes, Kemseke, Saint-Paul, Slekene,i.la Clinge, Meirdonek, Vracene et Nieukerke, qui se plaignent bon droit de la disposition du tariLqui, sous la/dé nomination commune de lin bruly soumet unj droit uniformele lin vèrt, Je lin sec et le lin teillé. .H.'àr. <w i« sJloo uitiooiq ,li> ;I Vendredi, la Chambre a discuté lés explica tions de M. le mibistre de intérieur sur ta pé tition des professeurs des Conservatoires royafhxi de Liège, et de Brurfèlléé,'Ijui'^e COrisidêi-e'rit comme des fonçlionneAres de l'État,' et denlarii- dentà ce litre,'que le bébéfieë dè*la loi tle 1S44 sur les pensions leur soit appliqué. Les explicatiddVdéf'M-.' ftf'^OMriîstre'tle l'inté- rieiir sont favbfables àl' lë prétêriiion dés pro fesseurs, et un projet de loi sera sans dijute présenté pour yfaireidfASfl0 Zl I g i i mo« :>iii temps popr mendier en notre ville,au,moment où le clergé indigène fait lui-même des quêtes pour l'université çalholique. Nos abbés ne craignent,donc pas,la concur rencé, ou nos concitoyens seraienl-jls si faciles tondre, qu'on ose courir deux lièvres la fois. yys-'.lï i JiiyiLin» n.'ufj.iu Jjâ J\ (Mémorial de Covrtrai.) i- Les ventés importantes de Blés et de farines qui ont eu lieu aux enchères Marseille, il y a 'quelques jô'ùrsl 'Vont se réb'otf vêler dané cétte ville et aussi au Hâvre et Nantes sur une échelle encore plus considérable. C'est là un "coup mortel porté là spécùl'àlioH la hâtisite suriKs'Wréal«:Jalliksi' loûtes' tai* itébvelles re çues des divers marchés ajipféénéfat-ênes' qiie les cultivateurs et tous ceux qui avaient des {jfàinii'êHréàêi'Ve'ou en^Alagasitt, è^disposéht'là les vendre le plui tét possible dans la ctalnte quë les prix ne deslcéndèôt ràpidferiienti' Au La pratique est l'ennemie de fous t#s.jours, de fous lçs moments; elle ennuie, elle assomme le cojpuiis>t faut que celui-ci se veûgc Madame Jièzuchit fiorit-elle en core?.C'est possible! En tous cas, elle florissait il y a vingt ans. ,i, <q-ib ait >aovo so«.i I Tiens, voilà madamcBézueliet, disait-on en voyant passer., et le plus souvedt. én .voyant entres la vieille pu jeuoe marchandeuse bien oPsauc. m m •>-. r j Ou bien encore .m >1 anab - c i Comment, Madame, vous ne voyez rien là qui vous convienne? Voua avez tort de ne.pss. Vous décider.pèur cet article nous avons vendu dernièrement, le pareil madame la duchesse de Bézuchet, qui en a été fart satis faite! il:» i»i i bnv. - q air ïtorW** uiManolr. Nous n'osons afQkmçé.qUe éette vietilSfmystiGcatinn l'usage des néophytes soit encore eavigueur. C'était le pendant de la fameiqq li\iilede^otret. Le velours ne doit jamais être plié serré; un pli mar qué équivaut une tare on le serre dans im carloh'très- haut de forme, en arrondissant acrtèni que possible les pliures. vl i >*>i sl-| *l e».,5li '-n< j - Petit bonliomme, disait-on au dernier vehu, àllez dans telle maison redpmandeMa presse presser le ve-. tours, que noue tivons prêtée, m 9b -j. -It 'j i Le petit bonhomme partait et était renvoyé de maison eo maison, de-façon faire son tour de Paris vere six ■HÉiiiWÉi heures du soir, on lui mettait sur les bras un pavé bien emballé,'' On lui'recommandant de prendre les plus mi-, niitieoses précautions! On assure que cïétait fort érôip Chacun 6oh'goût. 1 n .a ihti-ii i i Ai Wtàh r, - On dit encoreiepaeha! C'est un cliiffre qui,peut,.la rigueur, se contenter de sa valeur personnelle mais cette valeur est sujette changer^ salonf]uV>n y ajoute, droite, Jun. autqei.bliiffre .qui, neprésentant up associé, donne pour produit le patron multiplié, par dix* pu bien un chiffre gauche, suivi.d'une virgule qui .divise par dis la raison sOciale tlié'est.le patron marié, li Suivra avec soin,-lés phases de celte comparaison ma thématique, eti.vmwiSrrivercz avec nous ce résultat, que le patron marié, mais associé, est égal au,:pa!ron simple. 'jlaijir/l lmav,M no Ji.' iinrnoo ioio1/ )3 J] m Si les deux associés; »nt mariés, il n'y a plus de cal cul possible. G'es*|l?*n«rchie; tout dépend du hasard. h, La.femme du patron,.si-elle se mêle des affaires, bien eniendu, dovientla bêle noiredescoinmis, devient la l^te de Méduse pour les pratiques. Y J' L'associé apporte/avec luidans la raison sociale l'aitU- gonisme, qui est,.siftt>B l'élément, du inoins l'auxiliaire forcé do toute puissance motrice. Le magasin alors so divise en Capulets.eteu Montaigus. iifcl t, fi.i i {La suit* au proch*ik n>.) - i y ,n'>r -iu- i-i'l iVOOi Havre et Nantes les premières ventes aux en chères qui seront effectuées, le seront pour le compte de la maison HoUinguer et du crédit mobilier, qui ont fait venir des quantités énor mes de blés et de farines d'Amérique et aussi d Italie, fl- 5 Nods apprenons, dit un journal, quç MM. Crombez et de Rasçe se présentent aux élections de Tourniai en remplacement de MM. Lejffôn et Yisart. M. Crombez appartient l'opinion libérale. rosTZS. re Pendant le lr trimestre 1836, il y a eu 10,702 lettres qui n'ont pas été remises Jeuçx-.destiua^irefi. 1^,. .adre^es étant jacom-ç pIètes,.ilJisibles ;ou inexactes. Pat mi ces lettres 23.1 contenaient des valçtirs pou^ypej^ra^e de 9,313 fr. Moniteur r une cha mèrp se trpuvail-elle quelques instants au jar din, qù'ëfflè èhtëWdlti l^f crW 'dès ërffâtrts 4lle â&ô'u'rttt fr&Mà;«a "rfllë dans Iè Wtt| âVànt'rèÇu déjà ra!figlirë, là poitrihê ël là mhiti dHoité des"brûlures bcit'ribles, auxquelles elle suècOtôba deux jours après. I l -60 09 Dis àiti Du 9 Avril au 12 inclus. l'itre Ji 'n t Pet 3'e'là signal nrà du1 liTtifé dé pàik1 y ést'i me joui*, ét dès le iendemain, a partilè manifeste impérial dotit W télégrapU, nous a donné la subsis tance. Le Nord publie ca;document, i :,iu vlL eut été.peu raisonnable d'dspéirer dej'èmpereur Alexandre; h'coudauiqalipi) de Ja p.tolitiqpe d» son père. Aussi,'ne sommes-nous pas surpris que son Ma I été', de sauvegarder lès droits dé ses corèligiéni d'One'pt., i 1 'H est vrai ^ué l'étripéfétifNréoIàsn'a £as déclaré la gotrt-e à'Jfc i'urquie^ et quela décLaratiôn est Ve nue de cette dernière;-mais la Russie l'avait provo- qoéaenp«ssaut,iePru|h,ei;elle Pq rendue inévitable, r. Pour cr.oiyfiApr^ cela, que l'eq;per^ur NicoUa ne voulait que sauvegarder les droits des chrétiens d'Orient, î-«__.s avec que d'éiivahir leterritoite OUoma ouvertes SVec toutes les puissances'européennes, n'aUraiertl-eHèS pas mieuxàtLerntleur but? N'est-'ce .pas»là .qu'il ia fallu en veuir-apréis là cbNte deSébaS- •top»4? Ce qu'a fait le Congrès de Paris après, ne pyuvait-ij paa le faire avant ZjSq«s!yipn! le Manifeste n'est pas dans la vérité. Le langage de l'Emp"ereur est tel qu'il doit être sains (foute, parlant au peuple russe; mais le reste de l'Eiïhipe ne s'y méprendra pas. i;f!' ->r> .m ehiq .1» j,; ia •t(«q-,.i.nO L'Emperenr rendpin^juste hômmageà la hravbtare de Son armée et au dévouement de son peuple. Sans doute, liré ce document,"on ne deviriebait pas qiie les Russes ont été battus peu pies partout; mais on pouvait s attendre i y trouver de pareils aveux. Le télégraphe avait bien traduit le prétexte dont le Manifeste colore les conditions imposées la Rus sie. Il n'y aura plus de.vaisseaux de gugrje cjans la mer Nqire.pÇkst^ dit le afin de prévenir liûè jCpllifiqn de nos bâtiments avec peux d,e la Tur- quiç. On aurait,- pu trouvqr» ce nous semble, une rajson fftoipa naïve. i,„, o? La neutralisation de lg mer Nojreet la cession du territoire en Beaparabiç sont d'aijleurs des cQuces- ajons. Dos'gravité, ajoute Le.Manifeate, ai onles met en balance avec les chances.d'une guèrre prolongée. Ce langage vient unpepjt»rd ç<ùi'né l'a paé tnujours ténti..Les conoesaions.dont;«q fait s».bon marché, on les;eût trouvées exorbitantes au début de la 'guerre, et elles le sont en effet, ce qui ne prouve pasdd lotit, .01 Jmori nid iui> j I Jnos laiij.cq xcal c'i'A

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 2