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IHTÉltlElIt.
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HflMMMkl
mÊÊÊa
Le lendemain il y a eu grande revue, mais le
temps n'a pas été favorable, il a plu constam
ment. Le général a quitté notre ville pour se
rendre Bruges, Lundi soiej par 1er dernier
convoi.
M. Verheyen, major de la'gendarmerie nai'
lionale, est venu hier Yppés, afin de passer en
revue les gendarmes cantonnés dans la jieute-
nance d'Ypres.
Dans la séance de vendredi,
création de là société du Crédit mobilier belge
M. Vcrhaegen a insisté sur un point important,
pelgi de savoir si les jetions seraient émises par
souscription» publiques et au pair. M. Mercier
a refusé de s'expliquer col égard, il a dit que damnait M. Goffiu, de soi le que la protestation
celte
c'avait
lion
iM lé
n était
tfpoit t
is encore résolue, et nu'i
diVe cè.quflsera décjdei
Celte réponse a droit de surprendre. L^gçij-i
vernerrtent è'st le maître de prescrire la sous
cription publique et au pair, et il le doit,; au-
tYefoent, il fait aux fondateurs de la Société, au
"préjudice du publie, un avantagé scandaleurç.
'Oh ne conçoit pas qu'il puisse v avoir hésitation
'là-dessus, ni matière délibérer.
A la vérité, il devient'dé'mode d'éaieltre.desj
actions avec,prime. On l'a vu pour la souscrip
tion de là Banque du Luxembourg, fa semaine
dernière. Noirs nt savtffis'dtiël, en a été le suc
cès; mais en fait, les fondateurs s'attribuaient
50 francs de prime pour une action de 500 fr.'
et cela, àvîrtit d'avoir'rJert fkil, ayant que la
Banqiië ait commencé"fïl moindre opération.
C'est admirablement ffiàndî3Vi1£.vEti bieit'l'il ne
faut pas que cette mode-là s'implarité'eti'^éïi
gique avant l'approbatidAi dtkgotrvernément.
C'est pourqboi M. le ministre «dés financés
eu tort de ne jias s'expliquer et de ne pas:an-
copions). L'Enunfiipatian déclare aujourd'hui,
que c'est la prière du chargé d'affaires de
Suède et de Nor\vè^e*près notre cour, qu'elle
a publié ce document.
Que va faire le Grand-Orient de Belgique? Il
excommuniera son tour probablement les
Après, la
terre
loges suédoises. Et après?
tournera comme auparavant
Ceci était écrit quand nôus avons reçu l'/n-
dépendance belge. Ce journal explique les faits
la confusion de TEinancipation, Il parait
certain que le désaveu de la Grande-Loge suè
de doise reposait'sui ce'qd'ellU'cfoypit le Grand-
elge, Orient de Belgique favorable aux'tïb'ctrfnès de
M. Goffin. 0»:, pendant qo« ki protestation de
la Loge suédoise faisait le trajet de^Sjockbolrq
Bruxelles, le GraodvOi'ient de Belgique içpoT
portail, a faux.
L Indépendance déclaré que lorsque M. le
chargé'Affaires de Suède lui présenta la dé-
V T n |Uu 111» -
cTaraljon, de la Grande-Loqe suédoise, et sur
l'exposé des faits ci-dessus, il renonça sponla-
UUlT U. 'r 1 i il 'A l»lllUUj
rtement a 1 insertion de la piece, qont voici le
Lexle îiC' !iV n
Déclaration officielle.
O
sente-
dé
.iioitël
nooeer tout de suite qu'il né prêterait pà A II
mains un pat-eilabup. il"*' {Étoile berger.)
n mil'-
in 'ri
les
■il
Inëviioq
Un bruit, d'après lequel Si A. Ri Mm« la du
chesse de Bràbaat;seraitehcéinte, circule depuis
plusieurs jours.et prend «if la:consistance.-Nos
propres informations ne.nous permettent ni de
le confirmer ni de le démentir. \{Êtoile belge.)
i,;;i iib L.i 'il oui) imoqs
Lundi, le duc de Bfabftnt a:dinéià.la tablf
des officiers du-régiment des grenadiers, itc
La musique du régiment s'est fait entendre
pendant le dîner.
m n nr isnk niJ n i1
L'Emancipation a publié. iby a trois semai
nes, une déclaration officielle, des logds maçon-
niquesde Suéde, excommunia rat le Grand-Orient
de Belgique, propos de il/affaire Goffin.. €ey
jours passés^, un correspondant de Bruxelles a
écrit la Meuses que la décision des loges sué
doises n'avait pas été notifiée auiGraocb-Orieiit
de Belgique,-et que-ectt«-pièee-étail probable-
menl Ioeuvre de quelque aimable fanpe«r (riôus
■1 I 'i 11
et d'acticHis..tlwvcçi-jiq*^s«ircié|çnt JdcrÎBOï.iiilx iqdiw-
dus qui exercent la même profession, une physionomie
un langage et des gestes particuliers faciles saisir. Cèla
M vrai peur les savinls/poufles àrtlsle», pour li s mil
lionnaires, pour les militaires, pour les bureaucrates
comme pour les commiç. (^lg ptç.,trit.quelqig! ohof&à la
valeur de l'Iiomiae?jleias^ p.icrrç ritdé Paul, j>cmlauf
que Paul rit de Picufp; et t^ui osera jamais juger on;der
nier ressort si c'est Picore ou Paul qui a raison?
On a VU des commis'sortir du magasin pour faire vail
lamment le coup «Ipdusil -l'heure dudarrger y rl.en est
qui sont devenus des artiste» distingués, de bons soldats.
Et dans le magasin, un bon wndeur ttfc dMOil pàs'êti'ë
un homme dé tact,'de goût et d'obServatibû
Sans vouloir t'oheher l'histoire-du ctidle Sélim, déli
cieusement mise en scène par Balzac dans dix ou douze
pages de su Comédie que bous disions
quelle intelligence doit déployer le vendeur, én. dehors
de fa connaissance spéciale dq non articleî rjui lli j
Apprécier du premiercoup-d''œil, leTgivg, le caractère,'
les goûts, la fortune, les maniés même de l'achète il tq'él
savoir soudainement lui appliquer une rhétorique sa
portée devenir comédien pour se choisir lo 'visage dé
circonstance, et improvisateur podp soutenirqe'fdte d'un
uininent;. cire n volonté abondant, diffus, démonstratif,
ou sobre de parblcs conimc un trappiste, sombre comme
- r'
-'b .wàfcfltvK;. nuî.i., qisq i**rtn
i»
ient
Véic
"Logis nàflèrta'lè de Suède,' W
tous ceujé'qiii liroht la jïresi
i" Que Je Grand-Orient élites Loger belges mé
connaissant l'esprit et les tettilâncé» de l'ordre ma
çonnique, proclament au .sein de leurs réunions et
au dehors des principes et de*, doctrines réprouvés
par tqut. Vf^i, fraup-xuiaçon et ccpdgpoi» d'avance
par les. loisiqui nous régissent;
iQu'il n'existe plus aucune relation entre
Grande-Loge nationale de Suède fet le Graud-Oiiei
et les Loges belges;
3° Que les membres du Grand-Orient et les
Loges belges sdht considérés eil'Sdede emtinieiie
falsarr't plus pbrtie de l*èrdrfe dès Franés-Maçbns.
v.« Stockholm, le février i856>
c.-l. de dahlfelt.
I Goiintnetit éelle pièce aA-^Hé'Vk le jour C'ëst
qu'avant d'aller 1"Indépendance, M. le chargé
d'affairés de Suède était allé XEmancipation.
II y'retouénà potir'y eiprirtlei: I® désir formtel
de ne pas voir paraître la protestation, mais
XEtnttncipàtidh refnsa^de déférer sôtl désir,
-in» bàliffi Inoà oiiduq agi -[Étoile Bilgt.)'-
.1 O'il.j. la 1i j méàtiUâli n i— .9i'll<
Les organes cléricaux espéraient que leur
ptirti allait tribitiphër ^àns lutte aux prôèhainés
élections Gand; Ils se sont gravement trompés:
le |$arti libéral a, hdn-sëtileûVent' pris In ferme
résoliitiônde'^rb^mséf'de sérieux telndidats aux
élécteiir*,' ibhis: aus$'d'tengà^r en létir faveur
uhe lutte outraldcfê.'Déjà \fri àppelchalëdtëlix
aenP^artiSdnâiidè nOtéé bpÇniort a «Hé fait pàr
l'Association hbéràle. Nbtis lé'fhisonè suivre :n
Appel aux électeurs llbcéanx.
Le Comité do VÂisbciatiqii libérale c'ohsiiiu-1
fionnelie 8 :a»« m* m iUlTlj uk j
LL-
Considérant que les pouvoirs qui lui avaient été
conférés, sont expirés
Considérant que les élections pour le renouvel
lement de la moitié de la Chauibre des Représentants,
sont prochaines
Qu'en conséquence il importe, pour assurer le
triomphe de l'opinion libérale, d'organiser toutes
les forces dont cette opinion peut disposer,;'
lévite tous les membres de l'Association, tous
les électeurs vraiment dévoués aux principes du li
béralisme, tous ceux qui veulent la pratique sincère
de nos institutions,"l'independance du pou voTr civil,
la tolérance religieuse, le développement du travail,
de ^'io4«strie et du commerce, la diffusion de l'in-
striciion tou'sJ les degrés, et surtout le maintien
des établissements d'instruction, l'honneur et l'or
gueil de la ville de Gand
»1Â s«!réunir>lundi prochain, 14 avril,au local
de la Sodalité, ruè du Marais, 4 heures de relevée,
aux lins de procéder l'élection d'nb^aepvpau
cqrnilpTdiffictenr, et de prendre telles autres résolu
tions qui seront jugées'utiles ou nécessaires,
Le prè4ident\ P. Rôsseel.
N'R. Il ne'séta point fùit'd'mvitation tnilividà-
elle, par cireutaive domicile. {Communiqué.)
NoUs'sbmmëà'bëurëMx de poùimih confstïrtéh
là réS'oftltîoh prisé par lesiibér'aux'gnrtiois d'eb-
Irer fièréhaéfii dans la lice cdntééle cté'éicAliàM¥é!;
le iiombrë'des apostats et des indifférètilii'tf'ëté,
il est vrai, considérable dans leur ville, mais
déjà bpaucoup dp ces derraiers doivent avoir're-
connu qu'ils ont commis une immense faute;
Du-restejieh-'n'est pas quand, la réaction redou
ble <i'audace qu'il faut lui laisser le champ libre
'et se draper dans don manteau en attendant
des temps-meilleurs. C'efcl une lutte incessante,
fan combat sans iperci qu'il faut engager^^L'en
tretenir. o - nî il i;-j
T -
M. le général Chazal, qui a passé l'hiver aux
îles d'Hyèréày est de retour Bruxelles, depuis
- d»v m
nn foisoyeiit'^ parler Ia,téoiiicihc'<jlëésonne, oû'tâfio'tter
les maius de sa pratique On l'appelant :!nia petite nièro i
LES KAYOH8.
Chaque rayon a un nreo]\ier qui fait pu ne faitipaa les
iicbaU, selon le degré de capacitéqu'ondlii rqçonnait. S'il
fait les voyages' en jqbriquç,,,il, a atteint le». Gttjonnes-
d'Hcrculc; il n'a plus qji'à s'çtablip. v
Il a sons qâ di^eclionysclo^ finiporlancç (fe la rnsq-qn,
un sçppndy,un treizième^ un quatrième, etc. -Le dernier
csf le plus souvept un jeune ltçnn»ie au ;jar>, ç'(;st-à-dice
qu'il n'a que le coucher et ia nourriture. Et après; fuj,.
vient le pensionnairemais celui-là pwfUc up, bué;pafa-
graphe lui joqt scpL !i 11 ,noi'( I
..i DIV18ION9.
Lê'ëoyeuky le 'chtili.er, te drapier et iis'tilàhc de coton
sont Ibs m'eoà partagés dif magasin poiir Lctnplaceniqnt'
cf'fa'luinièrc.
1,'indien, autrefois, représentait la partie la plè'S im
portante1 bt la plus active'dtï rflngà'sirt' dé nouvoatttés;
voir 1 1ti£i_liJ 1 i t1
coup plus distingué de porter'd'horriblës étoffes tnoi,tié
laine moitié coton, dans lesquelles le cdtbh fchcrclid
imiter la laine, quand la laine clle-mcnic imite Je plus
1 souvent le coton s'y méprendre; depuis ce tempà, l'ar-i
vendrédr.'
un
irrr-
M. le lieulenan.ç-co|onp| Paris,du ^".régiment
de ligofi, est.désigné pour commander provisoi
rement le 4e régiment Gand; commandement
devenu vacant par la mort de M. le aotonel
Willem»,1' Ht]
"I 1 M 11 Ît1:1 1 s
Par suite du refus du procureur-général près
là Gour d'appel de Gand, de donner suite à>la
plainte portée contre M. le président dti tribu
nal dé Ornarléaipar M. Salembier, ce derhier
a donné sa démission de Ses fonctions !dhvoué.
Le Moniteur publie un arrêté royal qui accepte
uoiàt -1 i-':.' iw'I
cette démission.
M.'Sv! Vain Pirméz, pretaier président de notre
V1 Il l'J t sf là 1 »'V
tribunal, a annonce a ses collègues, que sa sanle
l'obligeait résilier ses fonctions.
Jde Charleroi.)
-11 (:>.-/II:J.
«îli'l
im
On écrit de Charleroi. que des agents, que
l'on suppose être envoyés par les manufactures
d'ârffiés dé Liège, parcotfr'étit1 eh ce ré<!>ment
cette locplité et y achètent tout prix'les poyjpi's
- - i 1__L_i_»i_L11 -i±15—
tidtc Indièrtnc eh 6st réàélt'à de iriiSerablès capevas har-
bèunféS Rbuèn tant bicM'tjoe irtàlj èt dorii' lès cÀiil-
nières elles-mèmes-ne veulent-plus. -■
Le tuilier est ordinairement relégué dans la partiel»
plbs'sérîiut'è <hi itftgasm.*ll voit peu dé "monde son
rayon, et devient généralement misanthrope. Il est mé
lancolique comme les bergers, comme les employés des
tcfégi-aphe's s'ur les grandes routes, enfin, comme tous les.
iridividûs tidbitdés silence etla solitude. Nou^ ïçi
comparerons encore ce matelot qui, dans un navire,
est spécialement'préposé la snrfoillance de cette partie
de.jls, cale que l'on appelle la fosse aux lions. Eugène
Suc.prétcrtd que c'est une corruption de fosse aux liens
parce que la sont entassés les vieux càbleso Noos nous
garderons bien de contredire Eugène.Sue, car nous avons,
puisé dans ses anciens romans, toutes nos connaissances
maritimes- n 12 iicin llionsfog iinn
Il.ya encore.le bonnetier, le commis au deuil elle
mercierm oui .1 loni éoa
Ce|ui-ei est tonjourg/.— été comme hiver, —'placé
devant la porte d'entrée; c'est là qu'est son comptoir.
Aussi; Je rhume est devenu pour tui ûiie seconde1 nature.
Ses doigts, qui sont continuellement en exercice et qui
ne manient que des objets microscopiques, semblent atti
rer eux les engelures. un^o!, 111
i y h in (la suite çui prochain n*.)
lili
îiol jOd
A