D'YPRES ET DE L'AWtOYDISSEMEXT. ÏPBES, 30 Avril. V.— ••Iituo V.II uvasiua" I _f T ^.v. „.,v >v.«iu iiiiov O la puovu 13u ..C uuii .«S se le dissimuler, «i de l'htôiorable M. de (San resiaft 'ddioui, si les faits qui 'a attention bienveillante dp iM. le ministre des tra Dation. Nous ne devons pas oublier que parmi ]adn"n,sl,'»flon D'-SAWçux puflics en général et d< nous,:il existe une faction absolutiste par eg- -u-jg nvn»r*.,'(î'V?«°h« fep en Pa,'iculicr J'normales avec le centre du fîâys. Gt ainsi, par excm 1 la'"re a l'®^"«înnnw'llf 5"^ ',rol1r«- MÉLANGES. 1 If 1,565. - 16- Année. JFeudl, V Mal 1856. gïp fi» iuii; ni i iofnoi H J t.j-m-jL «iicj tKaa*\i f ■■■T"" 'Tii - -r. lir:*anj U' i -.-i'J,:»:. »Y 1 là'j ABONNEMENTS: YwES,(ftoineo), pat trimestre, 3 franc? 90 ci Pnovwcïs,4franes. 1 Le Taocnès parait le Jeudi et le Dimanche. Tout ce qui concerne, INSERTIONS Annonces,,1a ligne 1$ çentitacs. RécuABSi, la1 ligne 50 centimes. être adressé l'éditeur, Rue au Beurre. On ne reeoit due les lettres le journal doit reçoit que les lettres affranchies. La paix qui vient d'être conclue Paris, don nera une autre impulsion la politique Euro péenne. Des tendances qui se sont fail'jour, dans les hautes régions gouvernementales, font pressentir qu'on veut revenir aux vieux erre ments de compression qui ont été mis en œuvre après 1815 contre les libertés des peuples. Du pouvoir sans contrepoids et sans limites s'est dressé dans un pays où la liberté avait dégé néré çn anarchie et favorisé par le résultat d'une guerre entreprise pour proléger un souverain A I »- JI' 7nr-, arriver a Bruxelles, s ils parlent après di« 4 oiize heurçs Belgique ne compte pa* de traîtres en sotiiseiu, j du matin et ne peuvent également sk rendre de Bru*- elle avili se fier son boni droit et maintenir, c^'es d'ns ^te province s ils ne se mettent en roule LU malnré les rn—- ^.béqresd5 du malin. Vous conviendrez qu un pareil état de choses est réel lement intolérable. Pendant la période d'hivçr, on a pu prendre patience mais comme il s'agirq. bientôt de mo difier les heures de départ pour la période d'éié, je crois que cet abus ne peut se continuer. Il résulte des heures de départ, telles qu'elles sont éta- ;Do .i~j- malgré les menaces d'un aventurier heureux, u y sou autonomie. 7''|*I ,Vi rI UT Nous reproduisons en partie la discussion qui a eu lieu la Chambre sur le buduel des Ira-1 "J."."" f""" r"j"",V""V. n 1 7 ii l L i i nilLi;„ m j n t. i'1 u résulte îles heures de départ, telles quelles sont eta- fatble et empecber que sous pi etexle de pi'k»»»* publics. M. Vanden Peereboom a signalé blies, de grands inconvénients pour le service de la poste. tectoratun puissant autocrate ne pàrvjut le la uetpstable coïncidence des trains en destina- Si je vous disais, messieurs, qu'une lettre mise la poste supplanter, ce pouvoir suit le? mêmes tendances lion des Flandres et fait remarnner rnmhipn u» Bnixeùp. 11 h—a.. - I' r-r—r Tt"~ ,V/ supplanter, ce pouvoir suit les mêmes tendances et veut intervenir dans les pays .voisins pour tion des Flandres et fait remarquer combien les! Bruxelles 11 hçurcs du matin est distribuée Yprcs retalions sont devenues difficiles non-seule-le lendemain entre 10 et 11 heures et qu'on ne peut re- cevoir une réponse que le surlendcinain vens 1) heures au ~lnmiin s. ii en ...n r..v .vuut/muilA.x iitic iu ci 11 Heures et Q -wv» trwx,i»uci? uimvncs uuii-«seuie- r --- r~j~ "T" m cevoir une réponse nue le surlendemain étendre aussi loin que son influence,-le niveau">ent au point de vue des voyageurs mais en- voug aPul.itz 'etoeàk croire, et du despotisme. c<*,e Pour là »',nn«ÙH-,i»ion des dépêchés. Nous est ainsi. De lotit temps l'absolutisme, basé sur l'abus donnons le discours de M. Vanden Peereboom Le gouvernement nous dira qu'il est A* lalfnrnp «orili I» nérva.îli nar l-a i'«i -J.. «t la ■M»n«m.nwli. Jî-i...-- r„ .-.y..,..—o«. ammo ""wuiue m. vHiiiien t'eereDoom de la force, a senli la nécessité, jwr la ipi de el la réponse du ministre, ainsi que la réplique Son existence, de péser sur toutes les nations de notre député. Il ne nous reste qu'à faire re soumises d'autres régimes et la Belgique ne marquer que par le tableau du lr Mai, du service sera pas l'abri d'inconvénients de céUê'nature de» chemins de fer, aucune amélioration n'est avec le système qui prévaut en France. introduite île nature faire cesser le» plaintes Hlai» cela ne d»'1 Pas'"mit r" sommes pas faciles nous Ramier et ensuite lious vons encore sans abdiquer nos dépendance. X Toutefois, on ne doit pa Mais celu ne doit pas ..nu, itia,,;°'"r n"*»-1 -- des Flandre* Vanden Peerebeom. La discussion du .„11.jP|n-,.-,.-T.-r -ir; -g -o-.fqrtgédRÔil0 de régler les heures de départ, surtout quand pu doit traiter avec les compagnies particulières. Mais je ferai remarquer M. le ministre que 1rs compagnies çn généra), et celle de la Flandre occidentale ne demandent pas mieux que de s'entendre avec le gouvernement. Les intérêts sont com muns ei d'ailleurs le gouvernement ne doit-il pas exercer Jffijân^r,i'adraijn|tw^yi des coinpagnies, [exister en définitive entre Je gouvernement et les compa gnies, non nas rivalité, mais solidarité et mutualité daqs observations et je recommande cette af- ldomm.'lla— J itl rapport irès-ri rtiarijuablè, très-laborieusement travaillé •<'c e.PS observaliqn» et je recommande celte af A Sr buvait ïe bréseoler pour la Belgi- y sont consignés n'étaient pas contrdi.s, ,11rs critiques) V8£ f un dwige P n|%a€4fc nil HIe -qtt'il rei.F rme n'élaicot P« dans^»e ^ns mon PP""'®"» .ranger une opinion eïrêmemrnt mauvaise ation «H travaux.punies en général et de t danger pouvait »e pi CSCUICI' pt'Ui iu uui^ij- cuiii uuiioi^f te dans la nouvelle phase politique qu elle fib'il renferme ^jil traverser, il surgira;:du sein même de la W CM !'é>r sence dévouéetà .tous les systèmes de compres-) pas l'entraver par des Iwrva^ions neS,,,?, Iffema!' «ton depuis I jnquisilion jusqti -la transporta- M 'J tiori en màssq. telle faction doit applaudir aux -^vrr-r - J~JI- tion en masse. Celle faction doit applaudi) paroles par lesque^lps un Wajewski, ancien révolutionnaire de 1830, cqnspiraleur systé^- matique sous Louis-Pbilippe, ose présenter la Belgique Comme un pays de sauvages et Un repaire d'assassins. Celte itiâulle faite une Dation des plus morales el des plus sages qui tiennent leur place sur le sol. de fEurope, ne pouvait être proférée que par le ministre d'un potentat qui, sous prétexte de sauvegarder la - -Et'l nu tu pas l'entraver pa.-, derai la permission d'adresser M. e ministre pçlliilipp tg'uçeaAviii. de son budget. Depuis que le tableau des dépari du chçmin de fer a élé fixé, de nombreuses réclamation ont surgi sur divers points du pays et sont arrivées au ^parlement des tra vaux'publies; par suite de ce régiment de départs, on neutralise poue beaucoup éc locales les avantages que promctinjl Je chemin de fer. Cçs l éclmilions, mon avis, sont en général parfaitement fondé. Sans m'oceupCG des autres partielu pays, je dirai la Âlinontiali nu itoll l'inomn.» fmirina-» 4^, cians mon opinion, il P»?8 P°'."- c'iaoune des n_T:»M w.,,.v nu.pajs pour enaeun localités extrêmes, un départ le matin de bonne heure çt un départ le plus tàrd possible le soir et réciproquemeqt un départ du malin et un départ du soir des extrémités Ilc[du pays vers le centre. Pendant la journée on pourrait je régler les heures de départ çelon les convenances, soit e une inter- p0ur |e transport de marchandises, soit pour les trans ports intermédiaires de localité localité. Mais il est, je le répète, de l'intérêt général qu'on puisse arriver des ex trémités du pays Bruxelles et Anvers et retourner le même jour; comme il est de l'intérêt de la généralité aussi qu'on puisse se rendre de Bruxelles ou d'Auvers aux extrémités les plus éloigpées du chemin de fer et revenir avant la nuit. M. le mloistre des travaux publics. Les observations différentes que vous venez d'entendre se Chambre et fei ai observer au gouvetemeiU oue r proiiners sont privées dé commnnil ions suffisantes et1 'W au budget des^ravaiix^iî1! ?.mcndro sc Draixace. Bien qhe la pratique du drainage sem ble avoir dit son derniér tnot, il est encore une question fort importante pour les pays platS et qui, jusqu'à ce, jour, n'avait pu être résolue. Nous voulons parler (les inconvénients niw* Ttr^.pnf^nf t— î..nii,aîhiu Pan* le* plaines où exemple dans les plètement remplis, cl dont le niveau s'élevait de plu- siondes eaux de drainage et leslaîss'éeouler librement. Au contraire, lorsque les eaux dfossé de décharge s'élèvent, leur foree impulsive faitir le elapet en sensi inverse, et le drain se trouve liwftiquemenl fermé. Avec ce simple appareil, on n'atiratns craindre dé-j sormais les reflux si nuisibles aux utiles ni les enva-' troduisent tion. Ge qui distingue la découverte M. Vifard, c'est s i i.ii_t. «I». a. „iW,uB„ .t.I"" aieurs centimètres au-dessus des drainé^colleeteurs qui viennent y aboutir. De là il lésultc un reflux qui Pe,ie ^|e'ëst Extrêmement simple efcu coûteuse. Son bien avant dans les terres drainées et peut causer un q ellec, ()0urrt< poulP.être a briquer pour un grave préjudice aux ricoliea. Mais il y Pi f j t ^uret.a autant que les autreains. Or, comme, Tes eaux son. trouble», dans'la pratique actuelle, chaque lare ne comporte vase qui les obstrue et peut 8,0811 (^eux oU trois eolleeteur'accroissemcnt de dépense serait peine de deux t Tra ne». Eu égard aux avantages qu'ils doivent retirer a-si faible charge, V«U* y tuyaux, y déjmse une vase qui les obstrue et peut rendre l'opération sans utilité pour le propriétaire. Cette situation, qui paraissait irrémédiable aux prati ciens, n'existera plus l'avenir. M. Vitard, un des.pro- moteurs de la société de drainage de l'Oise^.connu par sea écrit* et par *es nombreux «celle* sur le terrain, viebt d'imaginer un tuyau pourvu son extrémitéjd'un clapet ou d'une soupape qui répond aux vœux des pays plats. Ce clapet ext disposé do telle eorle, qu'il cède l'impul- aux avantages qu- •miwIv uijni les propriétaires n'hésiteront pointsire l'essai de la découverte de M. Vilat'd. Moutox tSoiTH-Dovsvr- L'éducation de l'ospêee ovine en Angleterre, et prtalement celle de South-Down, se. fait toujours en plur, par les froids les plus rigoureux; les animaux ne rentrent jamais la bergorie. L'année dcrnièfe, l'issue du concours universel de reproducteurs, nous visitions un jour la colonie du Petit- Bourg en compagnie du célèbre éleveur Jones Webb. Celui-ci fut fort étonné d'apprendre que M. Allier élevait l'écurie les souili-dnwns de Babraham. A l'appui de ses observations, il citait les six magnifiques béliers qui avaient remporté les premiers prix et qui avaient con stamment vécu en rase campagne; il insistait en invitant M. Allier faire un essai et soumettre toutes les rigueurs de nos saisons quelques têtes de son troupeau d'élite. Persuadé que les conditions économiques et de climat ne sont pas les mémos eh France qu'en Angleterre, M. Allbr, moitié convaincu, choisit, au mois de septembre dernier, quelques tètes de sonth-downs, de coiswoMs et de divers croisements, qu'il établit dans un pare, au mi lieu duquel il éleva un hangar qui devait servir de refuge au petit troupeau contre les pluies torrentielles de l'hiver. Chaque jour ces animaux reçurent une ration supplémen taire. Malgré les fortes gelées de décembre, dès le mois de janvier, l'essai avait complètement réussi. La vie en plein air et en toute liberté avait singulièrement amélioré l«s

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 1