2 fa es H i n t S P g fa H 5 fifi S M~ r w PS M A3 c c fi fi <Je i-S ans de pastoral, toute la paroisse a été présente tan* distinction d'opinion, de fortune ou de position. Cela m'a profondément ému, On m'a dit aussi vous n'avez éloigué-pei surine de Dieu ni de vous par l'effet d'un zèle trop an/fr.... Je préfère rendre compte Dieu d'un peu trop de bonté que de trop dé sévérité, car je suis moins le ministre de sa justice que celui de sa miséricorde parmi vous Il nous semble que-si le clergé, haut et bas, avait toujours de pareils sentimens, il y aurait moyen de faire concorder l'Évangileet la Constitution. J'i u -' 'l'-" |tf". L'arrestation de Charles Carpentier est confirmée en ces termes pajr IpiV^tç- York-Herald du 21 oct.: -Charles Carpentier, l'ex-caissier du chemin de fer du Nord, a éré arrêté dans la soirée de jeud,j der-j nier, daiis une ferme dix milles de Newburg, dans le comté d'Orange. Même après l'arrestation de Çfellel et de ses Co-accusés il était reste plusieurs jours dans notre ville, mais ayant failli être arrêté chez ut» parent éloigné, il avait pris le parti de se ré fugier la campagne et s'était présenté sous le déguisement d'un ouvrier au fermier chez lequel il a été an été. Le lendemain de son arrestation, la police a fait une descente a p. n* 197, 16* rue, et y a trouvé en fouie, sous je charbon une boite en fer blanc conte nant cent mille francs en or et en billets de banque, ainsi que quelques bijoux. Nous avons été admis voir le prisonnier avant qu'il n'ait eu aucun rapport avec ses complices pré sumés.et sa version ne diffère aucunement de celle de Grellet quant la manière dont l'abus de conti- apce a été commis. Il n'y a eu ici ni complicité ni entente avec Guérin, et pour s'emparer des actions soustraites, il n'a pas té nécessaire de recourir de fausses clefs ni l'effraction. Toutes les actiops manquantes ont été prises des 3o,ooo déposées par M. Rothschild et qui se trouvaient dans un bahut où Guérin a puisé le premier. Lorsqu'au moi» de juin, M. Rothschild a réclamé les actions laissées par lui dans les bqreaux de l'administration, il se trouva qu'on construisait^de nouveaux caveaux et op a profité du travail «je déplacement des actions, pour combler le déficit qui se trouvait dans le dépôt fait par M. Rothschild. IL n'y a donc eu ni faux, ni effraction et on ne croit pas ici que le gouvernement français puisse obtenir l'extradition des, prévenus contre lesquels M. Tissandier, l'inspecteur du Iche mm de fer du Nord, a commencé des poursuites civiles. Voici un court extrait d'une lettre du soldat James Cabb, du 93* highlanders, blessé dan» les tranchées, le jour de la prise de Sébastopol Depuis nia dernière lettre, j'ai reçu uu présent de S. M. la reine; c'est un foulard de soie, et la lettre d'envoi jlorte qu'il a été ourlé par la princesse royale. La Haute-Cour des Pays-Bas a décidé, par un arrêt rendu mercredi, que la loi sur la célébration du dimanche ne défend pas de travailler ce jour-là dans une fabrique. La Cour a considéré que cette loi, ainsj qu'il résulte de tout son contenu, interdit seulement le travail PUBLIC et non pas celui qui se fait l'intérieur d'une maison ou dans une fabrique, quand bien même il serait possible de présumer, par des signes extérieurs, qu'on y travaille. Par suite de cette décision, MM. T. Cate et con sorts, fabricants, qui avaient été condamnés de ce chef par ta cour provinciale d'Over-Yssel, ont été renvoyés de toute poursuite. Cinq hommes parcouraient, pendant la nuit de samedi dimanche, la chaussée de f,aeken, condui sait! avec eux une petite charrette bras, assez lour dement chargée de fer. Vérification faite de la cargaison du véhicule par une ronde de police, il fut reconnu que cette cargaison se composait de coussi nets et de ferrures de divers genres, provenant des rails de l'un de6 chemins de fer-voisins. Deux seule ment des auteurs de cet audacieux vol nocturne purent être arrêtés. Toutefois, si l'on admet la com pensation de la quantité par la qualité, il y a encore lieu de se féliciter de ce résultat, car, au nombre des deux individus appréhendés se trouve une des célé brités du monde-voleur belge, le sieur J..., blanchi sous le poids des condamnations plus encore que sous celui des années, et désigné Koeckelberg, où 11 avait fixé sa retraite, par la dénomination carac- të,risque de Père de* voleur*. On écrit de Berlin M. Normann, un de nos ha bitants les plus riches et les pluschariiablesesl mort l'autre jour. Par son testament, il laisse tous ses biens des institutions de charité, l'exception de quelques legs. A l'un de ces legs se trouve attaché une condition singulière. Tous les ans, l'anniver saire de la mort du testateur, Je légataire doit faire exécuter des chants funèbres minuit devant sa demeure. M1'* Rachèl se trouvait Alexandrie (Egypte) le 12 octobre, jour du tremblement de terre. Tous les européens,dit une lettre de celte ville, ont aban donné leurs maisons et se sont réfugiés sur la grande place,enveloppés dans la première couverture qu'ils avaient eu sous la main. On remarquait même des messieurs qui, dans leur précipitation, s'étaient couverts des robes de leurs dames, et des dames en veloppées dans les paletots de leurs maris. Quelques dames ont même fui leur demeure Dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil. M11" Rachel et sa sœur étaient au nombre des plus éplot'ées. Après un séjour de deux heures sur la place publique, dans" une anxiété aussi pénible que difficile rendre, chacun est rentré chez soi. L'Estafette rapporte le fait suivant «Hier, un attroupement considérables'était formé sur le côté nord de la commune de Montmartre, dans une des petites rues comprises entre l'abreu voir et le cimetière. Une jeune femme et son mari étaient le sujet de ce rassemblement on les regar dait ramasser ça et là sur la voie publique le peu de linge et de meubles que le propriétaire venait de faire jeter dehors avec les locataires. Jusque-là, rien de nouveau, puisqu'ils avouaient n'avoir pu payer leur terme, et nos lecteurs sont en droit de nous ré pondre Mais c'est ce que nous voyons quelque- fois, s Ce que nous devons ajouter, c'est que les voisins qui formaient l'attroupement étaient, prin cipalement émus des circonstances de cette expul sion. En effet, la femme, que son mari cherchait consoler,était accouchée au moment mêraedu terme et les frais occasionnés par la naissance de soo enfant avaient absorbé le peu d'argent qu'ils auraient pu co'nsacrer payer leur loyer. Disons, l'avantage de la propriétaire, car nous voulons être juste, qu'elle avait donné l'accouchée un temps bien raisonnable pour se rétablir/ Il est yrai que cette propriétaire est la mère de la locataire expulsée... Le Courrier de FEscaut raconte que le Dimanche, 26 octobre, dans une des communes des environs de Teurnay, le bourgmestre et un échevin, assis une table de l'auberge du lieu, venaient de prendre une tasse de café. Ils jouèrent aux cartes la dépense l'échevin perdit la première partie; il perdit encore la seconde, la troisième, et, comme on jouait au doublé,l'entêlement a'en mêlant ainsi que la fortune adverse, il en perdit tant et tant que, vers la fin de. la journée, il devait son bourgmestre 267,120 las ses de café. Il y avait là de quoi régaler tous les ad ministrés de la province; en attendant, les adminis trés présents cette scène, ouvraient déjà de grand» yeux, tout disposés ouvrir autre chose. Mais le bourgmestre, bon seigneur, dispensa son échevin de lui fournir cette mare de café, et se contenta de la modeste tasse qu'il avait prise. A a5 centimes par lasse, la dette de Tééhevia ne s'élevait pas h moins de 66 mille 780 francs. l'î u.. Un des plus riches plantedrs de cannes sucre des bords du Mississipi, vient de mourir en accom plissant un acte qui fera bénir sa mémoire.M G:W. Johnston, dont la fortune en biens-fonds était esti mée valoir au rnoiniVtio mille dollars(3$oo,ooo fr.) a voulu que tous «es esclaves (au nombre de deux cents), fussent affranchis, et qu'en outre Une cin quantaine de dollars fût remise chacun d'eux. On prétend que le voyage de l'Empereur et de l'Impératrice d'Auti iche en Italie, est fixé au 20 de ce mois. mon t - 1 - Iihves. Marché aux grains et autres denrées, du 5 Novembre 1856. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. Froment btano. Seigle Escouvgeon Avoine Fèves ao»i.T|TisatiiNT|Tis EXPOSEES i EX VESTE. VENDUES 1497 75 1123 18 151 1293 75 1068 18 111 25- 16 12 8 14 MESURE. -08 94 52 48 -par bect. idem. SE"**- j idem. idyn. idem. État-ci vu, d'ïvrf.s, du tT Novembre au 8 inclus. Naissances. Sexe masculin 0, idem féminin 8, total 11. Un niort-n.é du sexe masculin. Mariages. Indevuyst, Ange, 57 ans, journalier, et Plancke, Anne, 33 ans, domestique. Décès. Cooren, Catherine, âgée de 57 ans, colpor teuse, célibataire, domiciliée Zarrcn, rue de Mcqin. De Beer, Daniel, 23 ans, soldat au 2" régiment d'infan terie, domicilié Linkebeek. -n- Marquette, Marie, 78 ans, dentellière, veuve de Louis Françoise, rue de l'Hô pital S'Jean.Billiet, Reine, 68 ans, couturière, veuve de Jean Cylor, rue de Mcnin*. RuthskindtHubert, 61 ari£, corroyeur, époux de Julie Verschoore, rue de Menin. Eufants au-dessous de 7 ans sexe masculin 1idem fémiuin 1total 2. ■»u«l- Marché d'Ypres. -t- Du 8 Novembre 1856. OBJETS VENDUS. NOMBRE d'hôC: tduties. PRIX MOYEN. PRIX MOYEN DU MARCHÉ HAUSSE. M C/5 C/3 CO précèdent. ri!or Fromentbïanc. 703 FAR UF.CT. 27 20 FAR HFCT. 28^,40 Il H 1 20 Fromehtroux. 240 26 20 27 00 I» go Seigle 96 16 40 17 40 1) 1 00 Avoine 4 9 00 8 75 25 M Fève» 72 17 20. 18 30 H 1 10 Pois 4 18 80 00 00 Pomme» de terre rouges EÎLOG. 500 P.IOORIL. 6 50 P. 100 Kit. 6 50 n Il w Idem blanches. 4500 6 50 6 50 n N 2 44 2 61 n 17 m m fl s -S M z C s S •0 e «5 ■B S M» 5 2 O' M S •J =e -e S W o Z I H S 2 art g *C8 J •x 3 «s <35 -1 4! -o S m H U sa H u S <0 -e a s. _-o 3 «"S c M O Zs. 2 ■O 3 c -5 - S V 2 _2 es O O •c m - u y .2 '2 "3 o .-5 "5 g -» g S 'S o E ■- -v _r G £23 a Z-v Z -c 5 s ce 45 c S si - S E I Z os W lo s a S o 11 S. «v c 5-B^- as gis -g a. O Si m S- O S o 5/5 •C "t"-.** u 4 0 1 a. I •o s irl-S P i •yc L O «O sa 5_c 25 .«2 o t» 5'; 3 C 2 E.i z 0 S W m o a 5: 5 S.J c o S 3 -x 1 O -V) tT Q 6 C •- 2 l£ 5CJ S. CD J5 3 S ci ,5 "3 O <5 Z o 0 o g z* 0 S o "2 ,-2- 02 -o S P 0 1* -a T; -S £3 2 1 - Af 0 S u «"S -a c «c C J3 c o Ci "S I C -g s" 'O -g 'Q -m «4 o 4) 3 t I'2 S w v s -a o C S ^1 1 s o s Jft g A B S ■n V .n 1—y I I - g -l B-g- -s"® - 2 a e v"§ c5- o S 0 3 O O -a "O ZJ 3 =- C 4 rd es a fg "7" oc î- 4: 3 i '3 - «•Sol S.§ ■v r-s ï- S.® t S O- |- I f s s 5 •- t S -a -o .2 <0 O tn O c 2 c s— £2 3 a s o -3 .2 3 T3 én w CTC. "O ns 3 o> c £>5 t£ S 79 -Q Gu ai£ 2 •3 a p O 73 s 'O "C 23 -es te> a* c -q a i s n ca -o o -J ►j fc- w -j çu C! -5 a^. Z. v 9 -c H H a* C CS -o 3- ai s a eç a «s ■m tn. W ûv sL 0 O S O z TJ e f y 11 il s j« S es-93 1e-Z-* Ppm S S-2 C- V, z V 2 A 0 g -g >dt -d faC u u oa -0 ir -< KJ 0 H sa ■G c= C O iii -S O P c-> m a» u .9 a g Cl te H u Zjj -a 0 s-" en w k g B JO - 60 rjT CS S §"pb as

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 3