'DEUX FERMES,
r
LYE BELLE FERME,
rjtmnmé.
HfBLlÔGUAl'lUi:.
monde avant la création «le
DOMANIAUX.
PÂTURES ARASÉES.
TERRES A LABOUR
.hl, ET TRAIB.IZ3
-
PATRIMONIAUX
PÉTITE FERME,
PRAIRIE
ET FONDS DE MAISON
A VENDRE PUBLIQUEMENT,
Le Mardi, 23 Décembre 1854,
2 heures de relevée, a Baillénl,
eu l'uue des Salle» de la Mairie,
par le ministère dudit M" Léo,
LOTTUL, Notaire Baillent.
désignation.
- 3'~-
v 1 OOi
bise souillait, et, pour garantjr Ip cheval du froid,
pn, l'avait cpiffij. d'un de ces bonnets oreilles dont
on affuble générale,rçiço1 les.cjieyaux do prix.
i, Ote^t-uioice bonuetj dit le maqjjigflôn ,un par
Itlienier. l,, r j
Oit enlève le bdnnet. Le chétàli-n'avait qu'une
roreille l'autre était en caûuitch'oiïc* f/ucheteur jura
"et tetnpêtàfMâ^s il a'Ueau fairé( il' rië pourra point
'aionti 1er son .marché»ta toi ior les yice's redliibitoires
n'a pas prévu les oreilles en'caoutôhqdc, i
Paris est depuis quelques jours inondé de femmes
qui portent des chapeaux de feutre la Louis X|IE
avec la plumé historique qui fend les an s.
,1
a*!
f<i nb
ÇËRCEAUX EN, jàe's c|ames Veulent
aujourd'hui, tant <le latitude ou plus de cil'bOnfé-
iencij en .fa.it, de aoys.-jjupes qu'il est ç|ijlicilé>à-|a- mode
dè les servir-leur goût en: lpsvé;risRUttlb<yi)ffl;t''1de
•apahière ee qu'elles n'éprauvept flutouiiëèWstrèc-
tion dans certains passages et sur les ti-oitôil'à. Oh
est parvenu dans ce bot remplacer les baleines
'Intidéiles par dés cfcrcêaux d'unemitière plus flexi
guÉla-péiclid permet dé "rapprocher*
1U I1..A.L A,„
l'eau chaude pour en réunir les deux liorits' él"
lurinei- un cerceau plus ou moins ample, plus ou
moins bouffant
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u n'-.T no- i«»4ww mvii,-brir.'.l ni./ usvra
•3 ifi >iul33t{V/ II»:» tsUrhtrj Jod e
Quelle est l'angine du- monde? Quel, (uf le berceau de
ila Wrre?NoU-e planète fjit.-rllc au début,des siècles, ce
qu elfèi est aujourd'hui? Ses moutagncf, ses Va'lléë^, se:1
jjfiprs, ses courants,,— les p,lances, les^imaux, sont-ils
'le contemporain de la ferre ou bien a-t-il existé une
époque ôù_nul éU-e. intelb'gcrit n a ve^ ici-bas hrr. i u
Qui donc eût osé dire, il y,a un siècle, qu'un jour ces une terre sur làquelle l'Iiiver était inconnu, un temps ou
mystères seraient approfondis-, ces grands problèmes ré- j l'Europe était peuplée d'éléphant? «oiossas, parcourant
sofusi que l'iiojpme écrirait un jour les annales .d'un des Jôrcls de (palmier? géants, tapissées de fougères
inonde antérieur de plusieurs millions d'années la créa- grosses comme des arbres pour habitants du globe, dos
tion de soft espèce? Qui donc eût soupçonné qûe-nous êti'es monstrueux, tels que la lablo en a crée, (le^ani-
possédions, pour cette histoirp, des archives plps riches maux ayant un museau de dauphin, des déqts et une
et pl 11s nombreuses que celles qui ont servi àjl'histoire tète de crocodile, des nageoires de baleine, et des yem
*4è l'humanité, de.s témoignages irrécusables inscrits par plus gros qu'une l'été.'d'homme, des serpents volants,
la nature sur la pierre, et gravés dans le sol prédécesseurs des oiseaux, rappelant b-s dragons dès le-
Notre époque a qu la gloire de déchiffrer ces docUl gendes, fies oiseaux ayant des orlils h.ngs de 17 pouce>,
mente obséurs/dont l'étmlp lui .révélé h création q»«rde? "f^3 »««pàjnwms humaines aux tetes cou-
l'hommé a été précédée d'une foule de révolutions terres- vertcs '•'"S1105 chcvcluics., eim- lopune», c""~
très dont chacune changea U forme du globe et lui'PoissoQ?." .lclsTcJ4 '^f|'olqg.c nous représenté les
feltytiWM d<J nouvelles créatures t/ui périrent leur tour - ^dons w. les* suèdes.
dans quelque aulrc cataclysme. No uSotrou torts dans tasch La cpnniusôatice.deces merveilles^ nous Ja buisons dans
ÉàjÉàÉT *aux répandus sur toute Jù' surface de la terre, ici
ml 1 lé f nr, vr 1 il ÇlCS
archives du monde, les restes do plusieurs milliers deces '?s miner
pj,e5 de.çaeeinks pour la toilette des dames L êtres disparus nous y trouvons le début élémentaire <iei*é!JS forme urigyiclle,- là modifies par le travail
•2tCJL.7v.J3w3 -211.-1 U5û. w.Vè-o5r.lO.l-... rilitoute vie terrestre; nous voyons comnientjouts'cst formé. siceLeas nous la puisons dans I élude des pétrifications
successivement, en prçcéifrht de liipaparfait au,p«rfajti j-,de$plantes et dès animaux du monde primitil. Et c'est là,
c.oiqmqntja terrefut d'abord un choas dépourvu, de toute certes, unesouffcé féconde de lumièrds "et de corot>ai$i-
yégçtation, comment de la pierre riâquit la plante, et de f0[>s) puisque les aèelfiye^ih raonde'prirtiitirrioûs offrent
lapante,l'animal; comment des aniin'auxquo Fon dis^-' l'miage de 27,000 différente^-espèces de plantes et
tinguait peine,!des végétaux succédèrent les inseeles, d'animaux.
les poissons,.,les reptiles, puis les ois'eanx et les mammi- Ç'est sur, ces bft'écé positives, sur ces restes que nous
Cin|... e. .ij.i"i1, vons sous les;veOx qti'tin écrivain àllcrtiaiidi'd'uh ^rand
Ziinincrmadn,' vient (l'établir l'Iristhire
rJif; s'Sppuyant toujours,sur iesiaits et
apprert'd'ù'é par l»s archives de la terre, q^ie des -mon-1 donnée* positif? de la scicnpq, ef accompagnant ses cxpli-
(nram./int' mm Hn« m«nt+,M t.ntixt ii-ni-c u -atiorfs (ld' hôiihrepx jlessiqf, il l'iiconfe ies mystères de
a création et de la formation du monde d'une raaniète
intéressante, «1 en même temps avec tant de. elarlé at de
couverts des flots d'iiit' océan au sein duquel les paVtles simplicité, qu'il ne faut aucune étude scieatj&(|(ie;pou«.lc
lés plus élevées surnageaic'nt:à l'élit dilles. En iin m|ot, comprendre1; et si notre époque est échue la mission
''tifiuy'pourrio'rt^'tracer de ces époques pleines de ténèbres, dpcraoljef aux savantsrlc monopolqde 1» science poor en
dés cartes plus exactes qac beaucoup de cartes de l'anti-, faire la propriété coninluReié tous les hommes, ce livre,
jd'un intérêt saisissant/d'un «bout A l'autre, en est-une
Aussi quelque jeune que soit la science nouvelle en- preuve nouvelle car le succès qu'il obtient est immense
fantêtf pàr le géiiie'ïium^jn, elle a «Kès oc jour obtehu de et, pour un ouvrage de ce genre, sans précédents neuf
tiite résultats, iiUÉiHtj"de tels hauteurs qu'elle peut pré- éditions n'ont ,pas suffi satisfaire la cui-iosilé du public
tendre au orem'icr rànlr narmi tontes le* srWheeti tneinlns t et déjà la dixième est sur le point d'être épuîsee.
,m. o.«wn» uu luia iiuuvl tti 3 ou Cliu B
tendre au premier rang parmi toutes-les scténccà sociales.
Elle est la cJeTdes sciences naturelles; elle en résout
le? pl'ob'lèines les plus ardus; elle nous introduit dans le
sanctuaire'de In liaturc, nous montre ses enfantements
successifs, nous prédit presque l'es révolutions que la
terré dbit Subir encore. Jntimemènt liée a la 1
la science nouvelle se meut cû'hiçme temps daiis un jau-
tastique dom-aine, tel qulaûcunj p'ôëtc ne l'eût' rêvt Elle
nous révèle un) monde- emtiè'fCincnt dîffér^'nl du nôtre.
déjà la dixième est sur le point (l'être épe
L'édition française de cet intéressant ouvrage, due
MM. L. Ilymans et Slrcns, forme un beau volume de 500
pages, grand iq-8*, iilustpéid'un grand nombre de gra
vures, qui est en vente au peixjde 8 fr., broclié, ei lOXr.
élégamment relié. (Paius, chez MM. SçImUz et ,Tbuillié,
quai des Grands-Auguslinsn* 7. Bruxelles, chea: M.
SfuquarïiiA yc'-'t vnin :>i «»nq -v; -ii
MINISTERE DES FISAWtlES.
,S\tO-v Vf l,r. :,e.,y 'UtTÎ
AdfcfiiiètratiDp' 4e XEnté^çiièmept
DOMA1^srEAUX ET FOffÊÏS.
ne? A,ai b eu ..-.ig .booid «il:s
bfio'- floiaB96iBï9CîBkq ..iLabfis
wjib'i'»-; n a taIctli Jeia nbo
lirai. nfi'J
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-i< -, - 10;
•liaD
LOI BU 30 JUIN 1840.: ,9
ont ûi r;
Le Directeur de-l'enrégistccipent!, ef .des
domaines dans la Flandr^. occidentale, fait
savoir que le Lnudi, 22 Décembre
18S0, a dix hetirè's dû niatinVll sera p'roî-
cédé -dans une des1 saflés'de 'l'tlètel-de-ville',
iypre^, la Vente publique aux, en-
elvèies ci sans-intervalle de jours, de di-
"R'4)"® domaniaux, provenant
d'aneiens chemins supprimés dans les com
munes de'Vooi-mczéele, Kcminel, Wulver-
ghem, Neuve-Église, Poperinghe, Béverén
Ipirès Bariffghè)s\Ghyvbrinchovo, Laraper-
pisse et Oosfkcrkieifipi'ès-iFjuwesj.qu,
I njb .(hloéi'» jiio P tir:
Etude de M'* IlO^ thTTHÊ,
Notaire, Dailfcul (Nord).
'TOuL-'i''--f c.i 31.
- ViiiV. .t f19:io.iui ..®-*l5 'i 'O.ôJ ,bUÎ'. lUJliA
t.;- DJORlQlîsE PATRIMOISIALE,
A TENDRE PEBLIQTEIIIENT
l flardi16 Décembre'187»6',*i!
2 benrés de reïévéc, a ltaillcul, en
in:? >'i .noir.: 110a
l'une dp» Salles de la Mairie, par
le .ministère de !U" Léncv LOTTÉfil
Notaire hudit lieu; t
bV^WÛbf) RÉSIGNATION:
1° Toute une FEBME ama-
sée et plantée, au territoire de
ÊBaiHeûlLocre ;,çt Dranoutre,
cetion de la Douve), contre le pavé de
Éaillcul Y près, comprenant parmi Pâtu
res, Terres Labour et Prairies, 9 hectares
02 ar^ 14 ççpfiarcs, eu 14) parties :dLs-
^)oy il) i il
Occupée, jusqu'en IgCQ, au fermagq ap-
nuel de 800 fr. plus impôts et charges, par
les'frére eè sœurs Boudry, de Loere.
L'a valellt- estimstive des bois reprendre
eit'Ak^à 1,4fo fr.
2» 7-2 arcs 33 6. de JARDIN, TERRE
A LABOUR cl portion de PRAIRIE, avc«
Maisou d'habitation et autres Bâtiments,
LaèrC, ch face du château de M. Joseph
Behaghel.
Ocoupés par le siehr LaqutUliey au fer
mage annuel de 100 fr. ot l'impôt.
3° Une petiteEERME,à Neuve-Église,
(section du Scau)<. le long du'ptfvé, conte
nant 3 h. 7 ares 78 c. cn nature;de Pâture
amasée, Fonds, Jardin et Labours.
Louéeuà la veuvo Foèseu Cl aux époux
Hei)te-Verbecque, jusqu'en 1861 et 1862,
au fdrmagc annuel de 413 fr., phis impôts
et charges.
La reprise des arbres, sqr ce bien est fixée
4,41/ fr.
4? 3 hectares .14 ares 40 c. de LA
BOUR, en un seul tenant, Neuve-Église,
contre le pavé du Seau.
Occupés au fermage annuel de 285 fripes
plus impôts, jusqu'au 1" Octobre 1862 par,
la veuve WechsUcn, cabarcljçrc audit lieu.
FONDS de maison,.JARDIN etpe-
tite PRAIRIE contenant 12 a. 78 c. Neu-
?6-Égl^c,,(section du Seau.)
Occupes par Pameele, a,u fermage de 15
francs lnn et l'impôt.
ii'€<v_ i
impôt.
Ii. 05 a. 84 e. de dÉATURE
NeuveJÉglise, (même section.)
Occupé? pay Philippe 6'oste«ô&fÂ,-âu fer-
ûfâgé de 100 fr. l'an, plus impôts.
7° 41 ares 80 c. de PRAIRIE Neu-!
tcivint au pavé du Seau.
'f lr
Les bois reprendre sur ce bien sont es-
|timés 134 fr.
8' 1 h. 50 arcs, 94 c. de PATURE,
JARDIN, avec Maison et Bâtiments usage
d'exploitation rurale, situés Neuve-Église,
contre ledit pavé du-SeaU. -Si.
Occupés par les frères Delahmjeau fer
mage annuel de 160 francs onlre l'impôt et
avec droit d'occupation jusqu'au f Novem
bre 1860.
La reprise des'arbres sur ce bien est de
953 fr.
Les biens Neuve-Église ne formaient
autrefois qu'une seule exploitation. Leur
réunion ppurra encore facilement se faire
toutes les terres sont limitrophes et touchent
en majorité au pavé qui conduit delà route
impériale n" 42, Neuve-Eglise»
t n' -jj-ji.i
Ji i'.; g»
Occupée par Betih-Vatist, jusqu'au P agricole, contenant parmi Pâturages, Terres
Octobre 1859, au fermage de 40 francs et Labour, en diverses partie», il hectares
l'impôt. 78 aèes 88 Centiares.
Occupée au fermage annuel de 700 francs
plus impôts et charges, jusqu'au l'Octobre
Î861par les époux Potié-Decrocq.
Bois reprèndre pourra7 frV
A*i; 2. 'COMMtRVË DE WESTOUTRÊt
Petite FERJIE amasée et plantée, divisée
en 4 arfîclés, contenant parmi Pâture-Ma
noir et Tertres Labour, 2 h. 75 a. 40,
Occupée par la v" et enfants Vanden-
ubeele, au fermagéde 150 fr. l'an par dassus
l'impôt et: les charges.
Les arbres reprëndre sont estimés
195 fr/""1'? ,!ÎI^ 'îr^-£-'- r-
Art. 3. COMMUNE DE WESTOUTRE.
2 h. 84 a. 80 c. de PATURE avee Fonds
et Jardin, àmasés de Maison d'habitation et
aûtj-es Bâtimcots d'exploitatioa rurale. /.'g
Occupés par les époux De IIouck-Ç,ap~*\ t
poen, jusqu'au,1/Octobre 1863, au fermage
annuel de 225 francs outre l'impôt et les
charges.
Les arbres .^reprendre sur ce bien sont
prisé» 672 fr. ,r,,.1 i
ARTj 4;«-4-WESTOUTRE.
46 ares 35 centiares de LABOUR avec
Ronds de.Maisons. 0 c
Loués au sie.ur Pierre Curon, jusqu'au lr
Wai 1868, la redevance annuelle de 45
francs «t l'impôt. -,3 wt il.i
Abt. 5 et dernier. WESTOUTRE. P
l 4 arcs 04 c. de JARDIN et FONDS de
Maisons. nb :>r «il
Occupés'pàr les sieurs Hùlhjnek, Bâyart
et Haerdemany h la redevance totale de 20
francs l'an plus iihpôts. v
Pour plus de détails voir les affiches;1
Et pour tous autres renseignements
COMPRENANT
"final
autre
PATURES AMASSES,
no L 1 .n - .n
Art. t'. COMMUNE DE WATOU
(Belgique.)
Toute uhc'FERME amasée de
sud cesser M" LEON LOf THÉ,Notaire
Maison d'habitation pt Bâti.menls.à Bailleul, dépositaire des plans et des titres
divers usage d'exploitation.dc propriété, s'appliquant aux dits biens.
***&--=-mm lia jiujp .&mn
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