CHÊNES WINDMOLEN, BOOMEN VETTE WEIDE an AïtDSjt iilïtX», ÉTUDE ET CHÊNE AUX. A VEWDKE, KOORN- EN OLIE- TE KOOPEN. VERKOOPING Notaris VAN EECKE, COURS PRATIQUE L'Indépendance fait connaître le sommaire d'une nouvelle circulaire de l'Autriche, en date du ai février. En réponse la circulaire prussienne du ia fé vrier (qui avait été adressée aussi, avec une lettre d'envoi, au comte Fleinming, chargé d'affaires de la Prusse Vienne) l'Autriche exprime la confiance que la Prusse, dans tel cas donné, saura faire fléchir sa position de puissance européenne devant ses de voirs fédéraux. Il est dit ensuite, dans cette pièce diplomatique, que, en présence des armements de la France, de l'altitude de la Sardaigneet vu la confiance que lui inspirent les dispositions unanimes et patriotiques de l'Allemagne, l'Autriche croit le moment venu de saisir la Diète germanique, Francfort, des propo sitions concernant les mesures prendre pour faire face des dangers communs. Ces mesures seraient la miseen état de défense des forteresses fédérales autant que la nécessité en serait démontrée, les dispositions prendre pour les com mandements fédéraux, eufin une défense d'expor tation des chevaux. Cependant, bien que l'Autriche juge le moment venu de faire cette proposition, le cabinet de Vienne, par égard pour la position de la Prusse, déclare vouloir ajourner cette proposition jusqu'au mo ment où sou armée d'Italie serait complètement mise sur le pied de guerre. Le Morning - Herald annonce d'après des nou velles de Dublin, en date d'hier, que le David Steward, allant de Cadix <t New-York, est entré dans le port de Queenstown, ayaut bord les pri sonniers napolitains qui devaient être déportés en Amérique. Ces prisonniers se sont soulevés en route et ont forcé le capitaine les conduire en Irlande. P. S. L'heureux époux de la princesse Clolilde vient d'éprouver un nouveau mécompte. Après avoir perdu ses illusion» il perd sa place. Le Mo niteur annonce que, sur son désir, l'Empereur a accepté sa démission de ministre des colonies. Le prince Napoléon, tour tour général d'armée, com mandant d'une expédition maritime, ministre et fulurroi, commencoà ressembler heaucoupà Jérôme Paturot la recherche d'une position sociale. Avec la meilleure volonté du monde, il nous devient im possible de prendre celte politique au sérieux. Voici que M. Renée explique dans le Constitutionnel l'ar ticle du Moniteur. Celui-ci ayant déclaré, il y a trois jours, que tout ce qui ne paraît pas dans ses colonnes est le produit d'une imagination en délire, il nous semble qu'il n'y a pas lieu d'attacher grande importance la prose de M. Renée. nouvelles diverses. Affreux incendie Londres. Les sinistres de ce genre se multiplent chaque jour Londres, et leurs résultats deviennent de jour en jour également plus désastreux. Les journaux de ce matin donnent les détails d'un de ces incendies dans lesquels plusieurs per sonnes ont péri. Il paraît que dimanche matin, entre trois et quatre heures, un constable de service s'aperçut que le feu avait éclaté dans une taverne située Greal-Portland-slreet Mary lebone peu de distance de Regentstreet. Immédiatement il don na l'éveil aux habitants de la maison et envoya les machines de sauvetage qui arrivèrent sur les lieux en moins de deux minutes. Il y avait neuf personnes en ce moment dans la maison où l'incendie avait éclaté, mais comme le feu exerçait sa violence le long des escaliers, tous les moyens de fuite étaient coupés. A l'arrivée de la machine de sauvetage, son con ducteur nommé Mitchelsen, l'approcha du bâti ment et parvintaux applaudissemens de la foule, sauver \I. et Mm* Price, propriétaires de la taverne et leurs deux enfants. Au même moment on en tendit sur les derrières un horrible craquement que l'un attribua la chute d'une partie des bâtirnens, mais c'était un locataire qui se voyant près d'être atteint par les flammes s'était précipité du second étage sur un passage vitré, d'où on put le retirer grièvement blessé. Son exemple fut suivi par un autre habitant de la maison qui ne fut pas moins cruellement blessé et tous deux ont été transférés l'hôpital dans un état déplorable. Une tentative fut faite de nouveau par Mitchelsen pour atteindre les étages supérieurs et sauver trois autres personnes que l'on savait être dans l'intérieur de la maison mais le feu était maître du terrain et les derrières s'écroulèrent avec un horrible fracas entrainant dans leur chute les malheureuses vic times que l'on entendait demander des secours im possibles. Ce n'est qu'après des efforts inouis que l'on par vint enfin se rendre maître du feu, activé par les spiritueux qui se trouvaient dans les caves; tout ce que l'on put faire fut de préserver les maisons voi sines, dont une était un établissement d'huiles. Trois personnes ont été retirées des décombres tout h fait méconnaissables, savoir, Robert Moou, le garçon, âgé de 28 ans, Sarah Jones, servante, âgée de 3o ans, et un ouvrier peintreJoseph Partis, âgé de 60 ans, locataire dans la maison. La perle maté rielle est en outre très-considérable. On ignore la cause de l'incendie qui paraît avoir pris naissance au rez-de-chaussée. Avant-hier, vers une heure du matin, en sortant du magasin du costumier dans le passage de l'Opéra, où il avait loué un costume de bal, un jeune homme avait voulu, dit le Constitutionnelallumer sa pipe qui était iort courte, et au même instant la flamme de l'allumette s'était communiquée une énorme perruque en étoupesqui lui couvrait la tête et l'avait embrasée. Arrachant cette perruque, il avait essayé d'éteindre le feu avec ses pieds mais la flamme se communiquant au bas de ses vêlements, les avait aussitôt entièrement enflammés, et plus il courait dans le passage, plus il activait 1 action du terrible élément. Un sergent de ville, accouru ses cris, essaya en vain d'étouffer l'incendie en enveloppant ce mal heureux dans son manteau. Il a fallu arracher les vêtements pièce pièce, et l'on a pu juger alors de l'étendue des brûlures. Elles sont telles que tout espoir de guérison est peu près perdu. Le mal heureux jeune homme a été transporté chez lui api ès un premier pansement. Mais si l'on est lieu - reux de constater le dévouement montré par quel ques personnes, il est pénible de dire qu'on n'a pu retrouver, après l'événement, ni la montre ni le porte-monnaie de la victime. Ëtat-citil d'Vpbks, du 6 Mars au 12 inclus. Naissances. Sexe masculin 9, id. féminin 5, total 14. Mariages. Busegne, Auguste, journalier et Ponfoorl, Clémence, dentellière. Landeluos, Henri, musicien ga giste au 11 régiment d'infanterie, et Vergaclen, Cathérine, couturière. Vanden Bulclte, Charles, journalier, et De LangkeVirginie, dentellière. Ai/s, Pierre, bottier, et Derebreu, Reine, sans profession. JYevejans, Louis, journalier, et Lieverman, Eulalie,dentellière.Baroen Henri, tisserand, et OdentMarie, dentellière. Ilae- zebruucl:, Charles, journalier, et Carregn, Marie, domes tique. Décès; Depature, Angeline, 82 ans, sans profession, veuve de Jacques Maerten, Marché aux Vieux-Habits. Ampen, Reine, 62 ans, sans profession, veuve d'A lexandre Van Uxom, rue des Plats. De-Weerd 1, Jacques, 67 ans, journalier, célibataire, rue de Tourhout. Ver- straeteJacques, 63 ans, journalier, époux de Marie Rubberecht, rue Crapaudière. MerghelynckAuguste, 44 ans, propriétaire, célibataire, rue d'Elverdinghe. LowierPierre-Jean, 34 ans, ramoneur, époux de Sophie De Handt, rue de Menin.*— ClaereboudtCathérine, 74 ans, sans profession, veuve de Louis Van Heule, Marehé- au-Bois. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 2, idem féminin 1total 3. Marché d'Vphrm. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 12 Mars 1839. NATURE des grains et denrées. quantités vendues. Kilogrammes. prix hoyen pa1 cent kilogrammes. poids hoyen de l'hectolitri. Froment 31,556 fr. 21 17 78 40 10,580 15 76 75 60 1,120 25 62 40 624 25 00 85 20 Eèveroles 15,500 22 00 80 Pommes de terra 5,200 5 50 l> m 261 01 m du notaire BUTA1E, WARNÉTON, PnÈS LE hahkaii ivov, Sur deux parties de bois connues sous les noms de bois de Philippe Dehem et bois Martin, appartenant Madame la veuve de M De Simpel, propriétaire au dit Warnêton. ENVIRON 40 TRÈS-BEAUX DIVISÉS E> PORTIONS, Le Vendredi, 25 Mar.«1859, (Fête de l'Annonciation), 2 heures précises de relevée, dans les dites parties de bois. Ces Arbres conviennent pour nacelliers, menuisiers, charrons, charpentiers, etc. Avec long crédit moyennant caution sol- vable. Le Notaire BUTAYE, susnommé, en fera la recette. OP S'PIETERS HîEVEIVS YPIIE, 1* Eenen WEL GEKA- LANTEN EN VAN OUDS BE KËNDEN KOORN- EN OLIE- WINDMOLEN, met Woonhuis en voordere Gebouwen en 14 aren 70 centiaren onder Grond dies en Tuin. 2* - Eene A LLERBESTE VETTE WEIDE, groot 69 areu 98 centiaren, en i are 50 centiaren ZAEILAND. En 3* Twee en zestig aren 50 cen tiaren onder ZEER GOEDEN MEERSCH en ZAEILAND. Al afhnngende der ervenis van sieur Pieter-Albertus Odou, om door de koopers cr «en haud te slacn met de voldocning hunner koopsom. Den INSTEL zal gebeurcn in de esta minet det Zilveren Hoofd, in de Ryssel- straet hinnen Ypre Zaturdag 2° April 1859, otn 2 uren namiddag, door het ambt van den Notaris VANDER- HEERSCH, te Ypre. 1 p. voor lustelpreinie. van zeer schoone van verschfiden aerd. Donderdag, 17" illaert 1859, om twee uren namiddag, ten verzoeke van het Bureel van weldadigiieid der stad Yperen zal den Notaris BAYART, ter verblyfplaets van Becelaere, verkoopen ter hofstede ge- iiruikt door de weduwc en kindercn van sieur Josephus De Vlies, gelegen in de gemcenten Becelaere en Moorslede, op het gehuclit den Keibcrg, te weten 1» BECELAERE. Hoogland langs de beke: 5 Abeelen, in ecncn koop. Oostkant: 27 Beukcn 3 Eiken en 3 Essrhen, verdeeld in 18 koopen. Westkant, singel: 22 Beuken, 7 Eiken, 11 Lyslehoomen en 4 Plantsoenen, verdeeld in 21 koopen. 2° MOORSLEDE. Groot-Leen 13 Abeelen, 2 Eiken en 5 Popelieren, verdeeld in 8 koopen. Kleen-Leen 6 Abeelen en 2 Eiken, ver deeld in 5 koopen. Singel 37 Abeelen, 2 Eiken en 13 Beu ken, verdeeld in 14 koopen. Stul; aen het wagenhuis 3 Iepen, 6 Beuken, 3 Abeelen en i Eik, verdeeld in 5 koopen. Uitweg 2 Abeelen, in eenen koop. Weide 13 Abeelen en i Eik, verdeeld in 7 koopen. Uitweg: 11 Abeelen, 19 Beuken, 7 Eiken, verdeeld in 11 koopen. Met tyd van betaling mits goede borgen. kantoor tan den sa 12ÎP2&2SÏ. Op 15"5Iaert 1859 en volgenden dag, ten hu4ze van M. Charles Bonduk, Thon- outstract, n* 4, le Yperen, door veran- dering van wooning, Venditie van veel «cIioonc Wenbeleii, meest al van kecr- zelaren- en accnjou-hout Koper-Tin-, Yzcr-, Galeis-, Glas-werk en Crislacl; Bed- dingen, Stoven, Lynwaed en Vrouwklee- deren, al breeder by affichen beschreven. En vente au bureau de cette feuille DE LA TAILLE ET DE LA CONDUITE des arbres fruitiers, par b. mortier, instituteu» en cuve l'école communale d'après. Brochure in-8°, contenant 44 pages et 3 grandes planches lilhographiécs, prix fr. 1-25.

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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3