MAISON H. BLÏTZ, ERTS ET DENTIERS PLUS D'OPÉRATIONS AD! TEDI. Etude de M" FORKEST, VENTE A DEUX DEMEURES, AVEC SON F0XDS D'HÉRITAGE, D'ACCOUCHEMENT. SURDITp sans crochets ni ligatures. lard le pauvre animal passait après das heures se lécher. La délivrance de S. A. R. la duchesse de Brahant est attendue ce mois-ci. S. A. R. désire vu la belle saison, faire ses couches Laeken. Déjà on a trans porté la layette du palais au château. On écrit de Merry-Ia-Vallée, le 37 avril, la Constitutionjournal de l'Yonne Ce matin, sept heures, notre paisible commune g été visitée par un énorme sanglier en fureur. Le sieur Jean Calmua, qui l'aperçut le premier quelque dislance de Merry, se dirigeant de son côté, l'attendit de pied ferme; quand il passa auprès de lui il lui asséna sur les reins un violent coup de pioche. Le sanglier n'en fut que plus irrité et continua sa course furibonde vers notre bourg. L'arrivée de cet hôte terrible et imprévu causa un émoi que vous pouvez vous figurer facilement. Le solitaire fit comme vous eussiez fait après une course fatigante, il entra sans plus de façon dans la cour du sieur Perreau, aubergiste. Le fila de ce der nier était occupé puiser de l'eau quand ce voyageur de nouvelle espèce vint se blottir sous le hangar. Le jeune Perreau voulut lui servir un plat de sa façon, et, fermant les barrières, s'assura de la fidélité de son hôte. La femme Perreau arrive, voit tout et court fermer son étable restée ouverte. Le sanglier l'aperçoit, sort de son repaire, se jette sur elle, lui laboure la cuisse d'un coup de bouttoir la femme tombe. Le sieur Monoury, horloger, vole son secours, armé seulement d'un piquet. L'a nimal se réfugie de nouveau dans le repaire qu'il a choisi. Un nouveau combattant arrive c'est le sieur Bardot, aubergiste; il est armé d'un fusil un coup; il ajuste le sanglier la tête; le coup part, mais l'a nimal est encore debout. Le plomb zéro dont firme était chargée a atteint un oeil sans causer de grands ravages. Uu charron, le sieur Laveau, se présente son tour armé d'une lourde cognée. L'animal ne l'at tend pas et se précipite sur lui. La cognée se lève et retombe lourdement sur ses reins. Le sanglier n'est pas hors de combat et il s'élance plus acharné sur son ennemi il va l'atteindre quand le sieur Perreau père, voyant le danger qui menace son fils, s'élance et atteint l'animal la nuque d'un second coup de cognée. La masse a pénétré dans les chairs la bête roule terre, le cou partagé en deux parties; elle expire aux acclamations de tous les habitants réunis pour voir cette scène émouvante. Un épouvantable sinistre vient d'avoir lieu sur les cotes de la Grande-Bretagne, dans la nuit de jeudi dernier, i5 milles au large de Suffolk. Le navire hollandais Auslralia, allant de Shields Cadi x, s'est perdu sur un écueil connu sous le nom de Ship- wash Sands, et l'on craint bien que tout le monde n'ait péri. Pendant la nuit les vents soufflaient en tempête du nord-est, et la mer était très-houleuse. A neuf heures on vit de la côte un grand navire échoué sur les Sands, puis un gig et un canot la quille on l'air et plusieurs chapeaux de diverses formes flottant autour de ces embarcations. Au point du jour, le navire était dans la même situation impossible de s'en approcher, tant la mer était mauvaise. Le jour suivant, la coque se dé membra, on recueillit de nombreuses épaves, et, entre autres objets, une lettre datée de Rotterdam, 29 mars, écrite par sa femine M. Mayer, de l'é quipage de V Australia, capitaine Jenseti. D'autres papiers confirmaient les indices et prouvaient que le navire perdu était bien {'Auslralia, de 700 ton neaux, parti de Shields, le 4, avsc un chargement de charbon et, dit-on, un certain nombre de pas sagers. On lit dans le Journal de Saône-et-Loire Un déplorable accident est arrivé, le 2 de ce mois, dans la commune de Verzé. Le sieur Jactnin, proprié taire, s'était rendu avec sa femme la foire de Saint- Sorlin. Ils avaient confié la garde d'un de leurs parents, le sieur Jean Henry, leur petite famille, composée d'une fille de cinq ans et d'un garçon de deux ans et demi. Ces deux enfants jouaient ensemble dans une cour où se trouve un puits; la personne qui avait été chargée de veiller sur eux, crut pouvoir les laisser seuls un instant. Elle s'absenta pendant quelques minutes pour aller tra vailler dans une vigne voisine d'où elle pouvait entendre leur voix. Tout coup, ou bruit que faisaient les enfants en se livrant leurs jeux, suceéda un silence complet. Le sieur Henry rentra aussitôt dans la cour; elle était déserte. II s'approcha du puits et distingua les deux enfants qui flot taient sur l'eau. Paralysé par la frayeur, il perdit la tête et n'eut pas l'idée de porter secours aux pauvres vic times il ne songea même pas appeler les voisins son aide. Le croirait-on une demi-heure s'éeoula ainsi. Enfin, la mère arriva. Elle apprit de la bouche de son parent le malheur qui venait de la frapper. Qu'on juge de sa douleur. Ses cris de désespoir attirèrent du monde. On s'empressa de descendre dans le puits et d'en retirer les enfants. Mais, hélas c'était trop tard tous deux étaient asphyxiés, et les soins qu'on leur prodigua de meurèrent sans résultat. ëtat-c1vil d'Yfbeh, du 15 Mai au 21 inclus. Naissances. Sexe masculin7, id.féminin 4, total II, Mariages. Pannekoucke, Jean-Baptiste, domestique, et SwaegersÉmérence, tailleuse.^DeclercqFlori- mond, vitrier, et Duhen, Marie-Thérèse, dentellière. Grymmonprez, Henri, domestique, et Van Ghieluwe Pélagie, domestique. BergmanJean, journalier, et Ardaen, Rosalie, couturière. Décès. Tremery,Isabelle, 81 ans, dentellière, épouse de Joseph Lapierre, rue de la Bouche. Timmerman, Caroline, fit ans, célibataire, rue au Beurre. Hardy, Calhérine, 56 ans, jardinière, veuve de Louis Van Over- scheldc, rue du Corbeau. Vanden BusschcHenri, 8 ans, rue de Mcnin. Enfants au-dessous de 7 ans sexe féminin 2. IHAKCBÉ DTpres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen det grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 21 Mai 1859. NATURE dus grains et denrées. Froment Seigle Avoine Foie. Fèveroles Pommes de terre Beurre quantités venddes. Kilogrammes. prix moyen pie 42,238 5,244 320 416 5,400 0,200 fr. 24 44 16 70 25 00 24 03 20 30 5 50 193 22 POIDS NOYBN sa Thectolitr®. 78 40 73 60 40 83 20 80 Notaire, Wcrvicq. 2223 S>A3a3S2<DS32&2«. d'une Contenant 10 ares, située Wcrvicq- Belgiquc, rue de la Pompe-à-fcu, section C, n" 897 et 898 aboutissait la vT* et enfants Potteau, Pierre Dumont, M. Fidèle Syx- Paret, la v" Lalau et la dite rue occupée par Pierre Bonneel et Jean Dhooghe 12 fr. par mois, sans bail. Cette vente se fera en conformité de la loi du 12 Juin 1816, et en deux séances, l'une pour la MISE-A-PRIX, le Mercredi, 1r Juin 1859, et l'autre pour l'ADJUDI- CATION DÉFINITIVE, le Mercredi, 15 du même mois, chaque fois 5 heures du soir, l'estaminet le Pavillon Belge, tenu par le sr Catteau-Berten, Plaça de 1s Station, Wervicq. PB1ME DE MISE-A-PRIX D'UN DEMI P. Les conditions sont déposées en l'étude dudit Notaire LORREST. Mme CUINNIEZ, Sage-fem me, niE des Bouchers, 16, LILLE, reçoit des pensionnaires cl se ci>arge dés enfants. n BOURDONNEMENTS dam. le. OREILLES, MAUDIS DES SERFS, DE LA TETE ET DE L'ESPRIT. Remède anglais certain et infail lible. Infirmerie anglaise et étrangère pour la guérison de la surdité et des maux de la téte et de l'esprit, 52, Spring Gardois, Charing Cross Londres Angleterre. Chirurgien consultant: Cbarles, Henri Edgell Skinner, ècuyer. Secrétaire, Joax Powell, ècuyer. Nouvelle découverteméthode certain# pour se guérir soi-même, procurant un sou lagement immédiat et magique ceux qui sont sourds depuis 40 50 ans, au moyen d'un médicament appliqué l'oreille ex terne. Le patient le tient pendant une minute contre l'oreille affectée tandis que la vapeur en sort, sa surdité passe et il est capable maintenant d'entendre une conver sation ordinaire. II suffit d'employer de cette manière le remède pendant quelques soirées pour s'assurer de la guérison des cas les plus invétérés de surdité et de bour donnements. Plus d'empirisme, plus de dépenses exorbitantes. Par ce remède, ceux qui sont extrêmement sourds peuvent tou jours se guérir eux-mêmes, sans douleurs, dans toutes les parties du monde. 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Quant au mérite des dentiers base de caoutchouc et gutta-percha, tous les journaux l'ont proclamé assez haut pour qu'il soit inutile de lo rappeler ici. PILULES ANTI-NÉVRALGIQUES. Il faut en prendre deux par jour une le matin, l'autre le soir. Dans Ie3 cas de migraine violente, on pourrait en prendre quatre par jour, une avant chaque repas. Ces pilules guérissent radicalement les Névralgies, les Migraines, les Maux d'estomac, l'Hjrstérie, elc., eto. Dépôt A Paris, pharmacie E.-B. DUBLANC, aîné, 221, rue du Temple, 221, au coin du^Boulevard, et dans toutes les bonnes pharmacies de Bruxelles et de ta Belgique. SIROP FORCET Ordonné journellement par les médecin» les plus rccommandables de Paris pour guérir les rhumes, les toux, les ca- tharres, l'asthme, Insomnie, Irri tations nerveuses et tontes le» affections de poitrine, b agit dès la pre mière cuillère. Il suffit d'en prendre une seule soir' et matin. 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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3