PETITES POELES POUDRE mwàit&9 ENTS ET DENTIERS H. BLÏTZ, JATaS. PLUS D'OPÉRATIONS AUX YEUX. .VINS.EAUX-DE VIEetLIQUEURS ft sans crochets ni ligatures. MAISON D'ACCOUCHEMENT. !|™cuinniez, Sage-femme, me des Bouchers. 16. LILLE, reçoit des pensionnaires et se charge des enfants. ET ©©1RÉES, DU MANS DE JÉRUSALEM), USINE GLUTEN d'ULYssE ROY, de Poitiers. ministériel, un domestique se rendit h la chambre de l'anglais, qui lui dit de faire monter ces messieurs. Arrivés dans cette chambre, l'insulaire qui était resté dans son lit, dit l'huissier qui voulait lui faire lecture de l'ordonnance C'est bien c'est bien Je suis ce que c'ett Prenez les chiffons de papier qui te trouvent là et payez-vo. L'huissier prit le tas de papier indiqué, lequel contenait une quantité de bil lets de banque de 5oo fr. et 1,000 fr.j il voulut les remettre en mains de l'Anglais qui refusa de les recevoir et répéta C'est bienc'ett bien, prenez ce qu'il vous fautpayez-oo. L'huissier fil observer que la créance était de goo fr., plus les frsis et qu'il n'y avait que des billets de 5oo et 1,000 fr.; qu'il fallait de la monnaie pour faire les appoints. Eh bien dit l'Anglais, voilà sur le secrétaire une Iourte,prenez ce qu'il vous faut. L'huissier prit en effet une longue bourse, remplie des deux côtés de pièces d'or. Il voulut la remettre l'Anglais qui re fusa encore de la prendre, répétant de nouveau Payez-vo,prenez ce qui vous faut. L'huissier fut bien forcé de compter lui-même la somme nécessaire. Pendant ce temps l'Anglais causait avec le juge de paix de la fête de la veille et de celle du lendemain. Le compte terminé, l'officier ministériel remit la bourse et les chiffons de papier leur place primi tive. Il voulut donner les pièces du dossier l'An glais qui refusa de les prendre, sous prétexte qu'il n'en avait nul besoin. Le juge de psix lui fit observer que ces pièces pouvaient lui être utiles; qu'elles con tenaient un billet i ordre, signé de sa main que d'ailleurs la loi exigeait que le dépôt lui en fût fait. Eh bien, dit l'Anglais, mettez les là, sur la table, quelque part, où vous voulez, et il se recoucha tran quillement pour achever son sommeil interrompu. Nouvelliste Ou sait qae le gouvernement provisoire de Mo- dèue a institué une commission chargée de recher cher dans les archives du duché, ceux des actes des derniers souverains qui peuvent le mieux faire apprécier les tendances du gouvernement de ces princes. Cette commission vient de publier le résul tat de ses investigations et de livrer au jugement de l'Europe un grand nombre de règlements, d'ordres, d'instructions, doleltresde toute nature, émanés des deux derniers souverains ainsi qu'une liste de sen tences prononcées sous leur règne par les tribunaux ordinaires et extraordinaires. La plupart des docu ments que comprend ce recueil révèlent les idées les plus réactionnaires. Quelques lettres qui se rappor tent i la politique générale de l'Europe s'expriment •ur le compte du gouvernement français avec une crudité incroyable. Nous avons été les premiers démentir la dépêché de Marseille annonçant le massacre de la population européenne Bornéo. Y!Indépendance et la Patrie de Paris confirment notre démenti. Il n'en est pas moins vrai que la situation des Indes néerlandaises, cette poule aux œufs d'or de la Hollande, excite de sérieusesinquiétudes chez nos voisins d'outre-Meer- dyk, et qu'on s'y plaint de l'inaction du gouverne ment. Nous croyons savoir que des mesures efficaces seront bientôt prises en vue d'assurer la tranquillité de ces précieuses colonies, et notamment que cinq vaisseaux de guerre ue tarderont pas y amener de nombreux renforts. Voici un nouvel accident dû la crinoline Il y a quelques jours, dit le Morning-Herald, une fête avait lieu sur la propriété de M. Willshire (ancien représentant d'Yarmouth la chambre des commu nes), près Hitchen, dansle Hertfordshire. MmeChea- shyre, femme d'un pasteur protestant d'Etex, qui portait une volumineuse crinoline, s'assit brusque ment sur le gazon ce mouvement brisa l'un des cerceaux d'acier qui supportaient sa robe. L'acier lui fit malheureusement une blessure de laquelle il ré- aulta une abondante hémorrhagie on eut beaucoup de peine en arrêter le cours. Cette dame est tou jours très-souffrante. Deux jeunes écrivains, MM. Amédée Rolland et Ch. Bataille, ont mis en scène cette année, l'Odéon, un usurier de village qui faisait des pauvres quand il n'y en avait pas, et durit la fortune s'est sensihle- blemerit accrue grâce des procédés, prévus et pu nis par le code pénal. Le Siècle raconte ce malin l'histoire suivante d'un usurier qui lui aussiavait fait passablement ses affaires, et sans trop de scru pules, dane le pays qui lui donna le jour. Dans un des plus riches villages de notre riche Bourgogne, vient de mourir le nommé X..., prêteur d'argent gros intérêts, et dont le chiffre de fortune doit nous édifier sur la façon dont il traitait se* pra tiques. Cet homme, jadis simple journalier dans le pays, s'est vendu en 1817, moyennant la somme de 1,000 francs, pour remplacer au service. Rentré dans ses foyers après son congé, il se mit faire valoir ses fonds, et Dieu sait s'il s'entendait ce tra fic; car, bien qu'il eût été pris en i84x en flagrant délit d'usure et condamné une restitution qui, avec les frais du procès, s'éleva au chiffre énorme de 5o,ooo fr., il vient de laisser en mourant un héri tage de deux millions de francs. Mais hâtons-nous de dire pour la réhabilitation du défunt, qui, du reste n'a pas d'héritiers directs, que son testament, dont l'exécution est confiée au maire de la com mune, n'est qu'une longue liste de restitutions faire. (Historique.) S*** dont nous contions l'autre jour les naïvetés de langage, assistait dimanche au feu d'artifice du Kursaal. Les dernières fusées étaient parties, il accos te plusieurs personnes Comment trouvez-vous le feu d'artifice? Beau- coupde bruit, beaucoupdVclal,en somme, pas grand' chose. Je n'y ai rien compris. Parbleu, lui répond quelqu'un, ce n'est pas étonnant il était tiré en français. Nous apprenons avec un vif regret la mort d'un des hommes les plus considérables de la ville çle Gand,d'un des industriels les plus éminentsdu pays, de M. Ferdinand Lousbergs. Ses vues larges, son esprit d'entreprise, couron - nés par le succès, ont fait réaliser par M. Lousberg» des progrès qui le plaçaient la tête de l'industrie cotonnière gantoise. Ëtat-citii. d'Tpbes, du 28 ioût au 8 Septembre inclut. Naissances. Sexe masculin 4, id. féminin 5, total 9. Mariages.Minnaert, François, filcur, et Fan M egen, Dorothée, couturière. Décès. Vlaminck, Françoise, 71 ans, dentellière, épouse de Charles CardinaelS' Pierre-loz-Yprcs. Vanhaerde, Marie, 38 ans, dentellière, épouse de Fran çois Rauwelrue des Bouchers. Wallaert, Marie, ii9 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Turck Jean, 72 ans, journalier, époux de Marie-Thérèse Van- derghote, rue de Menin. BaelenConstance, 90 ans, sans profession, veuve de Joseph Vuylsteke, rue du Corbeau. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 2, idem féminin 3, total 5. Mouvement de Vétat-civil de la ville d'Ypres, pendant le mois d'Août 1859. 25 Naissances. Décès. Mort-nés. ÎSexe masculin, idem féminin 18 Mariages. 12. Sexe masculin. 23 idem féminin 22 Sexe masculin. 2 I idem féminin 2 total 43. total 45. total 4. Marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 3 Septembre 1859. NATURE SES grains et denrées. quantités VENDUES. Kilogrammes. prix moyen PAR cent kilogramme!. poids moyen l'hectolitn. Froment 33,712 fr. 22 44 78 40 8,004 16 30 75 60 792 19 88 44 Pois 832 18 26 85 20 Fèveroles 6,300 17 14 84 Pommes de terre 6,000 6 25 233 89 D MASTICATEURS, <3ï2as®&<a32£jh2>2£ïïïa3ïïa g Informe sa clientèle qu'il se trouvera Ypres les premiers Jcndl Vendredi et Samedi de chaque mois. Les personnes qui auraient besoin de ses soins sont priées de s'adresser dans son cabinet, depuis 10 h. du matin 5 h. du soir, Hôtel de la Tète d'or, Ypres. M. Blitz se rendra chez les personnes qui en feront la demande. L'F AU CÉLESTE DU DOCTEUR ROUSSEAU, pour la guérison radicale de toutes les maladies d'yeux, telles que cataractes, taies, inflam mations, etc., fortifie les vues faibles, en lève la goutte sereine et apaise les douleurs les plus vives. 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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3