SCHOOLLOKAEL PILULES VEGETALES WOONING BERIGT. PURGATIVES ET DÉPURATIVES PILULES ANTI-NÉVRALGIQUES. DÉPOTS GÉNÉRAUX. GEMEENTE PASSCHENDAELE. OPBODWING ▼a* esn met VOOR DEN ONDERWYZER. Het kollegie Tin Burgemeester en Sche- pcitcn tier gemeente Passchendaele, arron dissement Ypcren, Vrrwittigon de gegadigde, dat op Bon- derdig, September 1859, ten 2 nren namiddag, te P»s«chendaele,ten huize van gemeente, bcwoond hy sieur Brouekxou, «al overgrgacn worden, lot de openbare Acubeoledlng by afbod, der nitte- voeren nerkeu met Icrerlug der bonniloffen in een 1*1, der op- bontving van een nleuw Scbool- lokael uiel Wooning voor den ouderwyzer, waervan den oukost be- groot il op fr. 16,000-00. Het plan, bestek en voorwacrdcn liggen ter image van een ieder, in het Sekrelariaet der voormeide gemeente en ten knntoore van den beer ArrondissemcnU-commissaris te Yperen. deïl toottzitter, Ch' BiflRT. DEM SEkRETARIS, H. CuniiTUET. D ONE FERME SITUÉE A LAAGEMAHCK. Le Notaire DELAV1E, Langemarck, vendra déGnitiveinent, le Samedi, 10 Septembre 1859, 3 heures de rele vée, I'Hôtel de l'Épée royale, Grande Place, Yprcs une BELLE FERME avec 19 hectares 36 arcs 42 centiares de Verger, Jardin, Prés et Terres labourables, for mant pour ainsi dire un ensemble, très- favorablement siluce Langemaick, ha meau de S' Julien, contre la chaussée de Langemarck Zonncheke. Exploitée par Théodore Dubois, par bail expirant le 1* Octobre 1802; divisée en 14 lots. Portée la somme modique de 50,600 fr. By M' POCPART-VIE1VNE, Notaris ter residenlie van Oostvleteren, is cr geld in leening te bekomen mits goed bezet. (Les seules entièrement exemptes de substances minérales.) Ces pilules, entièrement composées de substances végétales, toutes inoffensives, ont lin avantage sérieux sur 1rs autres pnrgatifs employés jusqu'à ce jour. Elles constituent un dépuratif infaillible, et les maladies les plus rebelles et les plus invétérées ont dû céder h l'usage de ce médicament, qu'on peut appeler juste titre Régénérateur du taug. Leur emploi n'exige aucune préparation, ni aucun dérangement dans les habitudes ordinaires. La dose pour une grande personne est de deux pilules par jour, qu'il faut prendre en une seule fois au commencement du repas. L'effet se produit habituellement quelques heures après mais si la dose n'était pas suffisante, il faudrait l'augmenter progressi vement d'une pilule par jour jusqu'à cinq et même six pilules. Pour les enfants de dix ans et au-dessous, on n'en donnera qu'une ou même la moitié d'une, selon l'âge du sujet. Le repas le plus substantiel est celui qu'on doit choisir pour prendre ces pilules, afin de réparer promptement le vide produit dans l'économie par l'expulsion des humeurs Si, i la suite de l'ingestion des pilules, on éprouvait quelque malaise, ce qui se pré' sente très-rarement, il faudrait prendre au lieu de tisane, des boissons fortifiantes, telles que eau-de-vie sucrée, vin chaud, thé, bouillon gras, café noir, etc., etc., notre système étant do fortifier le malade et non de le débiliter. En résumé, pour obtenir un résultat satisfaisant, il faut prendre la dose nécessaire pour chaque jour en une seule fois au commencement du repas le plus substantiel de la jour/.éc, en l'accompagnant de boissons fortifiantes, au lieu de tisanes débilitantes recommandées pour les autres purgatifs. On devra continuer l'usage de ces pilules tous les jours jusqu'au rétablissement com plet de la santé, en ayant soin d'en augmenter ou diminuer progressivement la dose, selon l'effet produit. Ce précieux et nouveau médicament, véritable trésor de la médecine, est le seul qui ne contient que des principes végétaux. 11 convient tous les tempéraments et tous les Ages. Son heureuse découverte est duc 20 années de recherches sérieuses et d'expériences multipliées faites par lo docteur Paoll sur lui-même et sur des sujets de tous les âges. Les résultats obtenus par l'emploi de ce bienfaisant régénérateur sont merveilleux. II combat avec avantage la Constipation et tous les maux qui en dépendent. Il fait des prodiges dans le traitement d'une foule de maladies chroniques, telles que Asthmes, Cathurres, Migraines, Dartres, Scrofules, Engorgements, Rhumatismespris au com mencement de l'accès, il arrête les Douleurs de la goutte, et son usage rationel et prolongé, éloigne et finit par faire disparaître les accès. 11 faut avoir bien soin de de pas le confondre avec une foule d'autres préparations de ce genre, annoncées comme Végétales, et dans lesquelles l'analyse a fait découvrir des Minéraux souvent très-nuisibles, tels que le Mercure, l'Antimoine, etc. Prix le flacon entier, 5 franc*. Le demi flacon, 9 franes 50 cent. AVI* IMFORTAXT* Pour éviter toute coutrefaçon ou imitation qui viendrait porter atteinte anx intérêts des malades, son nom PAOLI A Paris, est imprimé sur chaque pilule; chaque étiquette portesa signature ci-contre, chaque llacon est garanti pai son cachet en cire rouge, et sa signature est repétée sur les deux ex trémités de l'tnveloppede chaque flacon. Tout flacon ac portant pas res marques et n'étant pu aeaoapagné d'un prospectus ayant i sou centre u marque de fabrique, devra être refusé, comme une coutrefaçon nuisible. A sois cabinet, N» 18, RUE LEPELLET1ER, A PARIS. asroaé convosuéumt a la loi. Il faut rn prendre deux par jour uns lu matin, l'autre la aoir. Dans les cas de migraine violente, oh pourrait «n prvndie quatre par jour, une avant chaque repas. Ces pilules guérissent radicalement les Névralgies, les Migraines, 1rs Maux d'atnmae, l'Hystérie, etc., eto Dépôt I Pans, pharmacie E.-B. DU BLANC, aîné, 331, rue du Temple, 331, aueoindu Boulevard, et dans toutes les bonnes pharmaciel de Bruxelles et de la Belgique. »IMffl III I I r J rM—c POUR GUÉRIR RADICALEMENT (SOUVENT EN QUELQUES HEURES), LES NEVRALGIES, LES RHUMATISMES, LA MIGRAINE ET LA SCIATIQUE, Affections reconnues jusqu'ici comme presque incurables. Ce moyen (végétal) autorisé en France, breveté en Angleterre, résultai de dix années de travaux et d'expériences dans les principaux hôpitaux de Paris et de Londres, est sûr, économique et d'une application des plus simples. Sou emploi (usage externe) est tout fait inoffensif, même sur les personnes les plus délicates. OPINION DES CORPS SAVANTS. ACADÉMIE DE MÉDECINE. - COMPTE-RENDU PAR LA GAZETTE DES HOPITAUX. Un médecin, doué du talent d'observer, a lu pareillement dans l'avant-deruière séance, un mémoire remarquable, surtout par le nombre de faits et leur importance, aur un nouveau mode dx traitement de la névralgie faciale, affection si souvent rebelle et redoutable... n Une des obserratioos nombreuses de l'auteur, montre une névralgie de la cinquième paire, datant de dix aus, ayant résisté aux traitements les plus variés, les plus énergiques, notamment trois opérations pratiquées par Blandin, et cédant presque immédiatement l'application méthodique de la nouvelle pommade sédative. Nous hésiterions accepter de tels faits, car l'illusion en pareil cas n'est que trop facile et trop commune; mais nous avons vu. u RAPPORT DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DE PARIS. (Extrait du Bulletin.) Or, oes névralgies, ces rhumatismes, ces lumbagos, ces sciatiques traités par les frictions pratiquées pendant vingt minutes avec ce liniment (baume), ont été calmés ou guéiis paifois eu vingt-quatre heures, ailleurs en peu de jours ou en un petit nombre de semaines. Dans deux cas, dont l'un de nous a été témoin, c'est immédiatement après l'emploi de ce liniment et de ces frictions que votre rappor ts teur a vu de tels résultats être obtenus, TRAITEMENT DE LA SCIATIQUE. Les dix cas de guérison de soiatique exposés dans ledit Mémoire, sur une nouvelle méthode ccratlve externe contre lbs névralgies scixtiques, sout tous remarquables par la durée antérieure de la maladie (jusqu'à quatorze ans}, par l'insuccès des médications qui avaient été employées (tout ce que la médecine a de plus rationnel), par la persistance du succès (plusieurs guérisous datant de plus de troi^ans), enfin par la^courte durée du traitement spécial qui a été de quelques heures souvent, et jamais de plus de vingt jours, u (Académie des sciences. Extrait des comptes-rendus de l'Institut de France.) MANIÈRE DE S'EN SERVIR. La quantité employée pour chaque friction est d'environ un quart du petit pot, excepté dan» les cas de scialique ou de lumbago, où la moitié est nécessaire. On frictionne avec la pulpe des doigts toute la partie douloureuse, au moment où la douleur se fait sentir, légèrement, de manière ne pas irriter la peau, et assez longtemps pour que la pommade soit entièrement absorbée (vingt minutes). Appliquer, immédiatement après, on morceau de taffetas gommé, de gutla-percha, ou bien un cataplasme de farine lécente de graine de lin Continuer les frictions toutes les quatre heures jusqu'à ce que le mal cesse, oe qui a lieu ordinairement après la première, la seconde ou la troisième frietion. Si la guérison n'était pas complète après ces trois premières friolions^ une ou deux frictions par jour seraient suffisantes ,1e soir de préférence jusqu'à ce qu'on ait obtenu un résultat satisfaisant. Pour les rhumatismes goutteux surtout, principalement quand le mal a été négligé son début, et qu'il résiste plusieurs frictions, le malade, eu sus du liniment, prendra 20 gouttes de teinture de colchique le matin et le soir; vêtement de flanelle, boissous émollieules tièdes avec du bicarbonate de soude, 5 grammes par litre. Pour la scialique et la névralgie anciennes, quand elles ne cèdent pas après quelques jours de frictions, le malade, en outre de sa friction, devra prendre 5 grains d'iodure de potassium, matin et soir, dans un verre d'eau sucrée. Quand le rhumatisme est articulaire et général, c'est-à-dire quand plusieurs jointures sont attaquées en même temps, il serait bon d'opérer en deux endroits la fois, en commençant par les plus douloureuses. Pour la migraine, faire une ou deux frictions sur tout le front et les tempes chaque crise, ce qui la fait avorter; la migraiue disparait généralement après la troisième crise. Avant chaque friotion, il est bon de bien nettoyer la partie malade avec un peu d'eau tiède. Les frictions mal faites ne donnent aucun résultat. Tenir le ventre libre, avec de la magnésie de préférence en prendre une cuillerée bouche le soir, dans un verre d'eau sucrée, ou une infusion de tilleul. 11 arrive quelquefois que la douleur augmente après la friction; mais cela dure peu de temps, et c'est d'ailleurs un symptôme favorable. Quelquefois le succès n'est complet qu'au bout de deux ou trois jours, après que les frictions ont cessé. Parmi le grand nombre de cas qui ont été traités, le maximum des frictions a été de trente dans l'espace d'un mois. Voici quelques faits SCIATIQUE. HOPITAL DE MIDDLESEX, LONDRES. Cambridge, salle Word, numéro 7. Septembre 1853. Louis Frank, âgé de 59 ans. Douleurs très-vives dans la jambe et le pied droit, le long du nerf soiatique impossibilité de marcher nuits sans sommeil, malade depuis six mois. Le 4 septembre, une friction; le lendemain, guérison complète. (Attesté par le chirurgien traitant.) RHUMATISME. - WESMINSTKR HOSPITAL. Octobre 1853. Georges Blackbourne, âgé de 35 ans; rhumatisme; depuis dix jours l'hôpital, douleurs aiguës dans les maius et dans les doigts, s'étendant au-dessus des poignets; inains enllées, impossibilité de plier les doigts. Guéri complètement après deux frictions. (Signé par le chirurgien et le médecin traitant.) NÉVRALGIE DE L'ÉPINE DORSALE. HOPITAL DE L'UNIVERSITÉ DE LONDRES. Septembre 1852. Anne-Marie Benyon, âgée de 19 ans, souffrant, depuis deux mois, d'une névralgie de l'épine dorsale; douleurs des plus violentes toute la moitié du dos et de la poitrine. Le traitement commença le 7 septembre 1853. La première friction produisit une légère amélioration; la seconde, une plus grande; la troisième, après une recrudescence, le soulagement fut considérable; et enfin, après la quatrième, qui a été la dernière, toute douleur avait cessé, et la malade était lout-à-fait convalescente. (Signé par le chirurgien traitant.) NÉVRALGIE INTERCOSTALE. - Salle S'« Aune, numéro 11. Rosalie Vanderstraihn, 28 ans, atteinte d'une névralgie intercostale gauche qui l'empêche de dormir. Lorsque la malade veut respirer un peu |orl ou parler, la douleur est si vive qu'elle devient insup portable. Traitée pendant un mois très-énergiquement l'hôpital saus résultat, Guérison après trois frictions. (Attesté par le chef de Clinique.) MIGRAINE. M. Nublat, typographe, atteint de migraine depuis einq ans; accès tous les. huit quinte jours. Le malade garde le lit pendaut la crise. Médications antérieures très-variées; entre autres 18 doses du remède Leroy, six mois d'homccopathie. D'après le malade, ces médications n'auraient qu'aggravé le mal. Guérison qui se maiutient depuis trois ans. Nous terminerons ce travail par mentionner une guérison d'une névrslgie faciale de douxe ans, pour laquelle la malade affirme avoir consulté pendant ce laps de temps trois cents médecins; du nombre sont MM. Andrail, Blandin, Cruvelbier, Lisfrauc, Louis, Gendrin, Jobert de Lamballe, Jules Guérin, Remusat, Roux, Trousseau et Velpcau. Amsterdam, Uloth. Alexandrie, Perrini. Bombay, Franjee el C'*. Bucharest, Honig. Bruxelles, Schoofs. Buenos-Ayres, Burgos. Bahia, Sanlos. Cadix, Taconnct et C1*. Constantinople, Della- Sudda. Québec (Canada), Brousseau. Cuba (Havane) Lcrirerend. Caracas, Sturup. Calcula, Lintz et Cu. Canton, Newil et Cu. Dublin, Butler. Dresde, 0. Scheider. New-York (États-Unis), Gaudclet et Cu. Florence, Picri. Londres, Barclay et C'#. Lisbonne, Scsqueira, Lima, Ilague-Gastagnigi. Madras, Barrie et C1*. Moscou, Forbriechcr. Milan, Andrea-Ravizza, Madrid, Bord! frères. Verra-Crux (Mexique), Carrcdano. Matanzas (Cuba), Sautô. MontevideoLascazes. Naples, Senès et Bellet. N.-Orlèans, Ducongé. Paris, Menier et C'*. Philadelphie, Leuschcrring et Alsopp. Rio de Janeiro, Palmer. S' Pétersbourg, Tschrenia- guine. San-Francisco (Californie), Chevalier. Smyrne, Giudici. Sidney, Amie et C1*. Trieste, Zanetti. TurinDepanis. Vienne, Moll. Valparaiso, Mongiardini. Varsovie, Sokolowski. Lambin, Vil*, MUm», rat mi Btwrti >9.

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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 4