UNE FERME
D'INSTRUMENTS
H.BÛJTZ,
UNE FERME
MATÉRIEL DE FERME,
10 BELLES VACHES
MF17BELS,
ENTS ET DENTIERS
PRAKTISCflE LEERGANG
Étude de Mre CAPEIaIjEj
Notaire, Watou.
RÉCOLTES ET BESTIAUX.
8 PORCS,
ET DES RÉCOLTES.
BERIGT.
sans crochets ni ligatures.
het snoeijsn en opleiden der Fiuitboomen.
Cette hardie fraudeuse habite Denain, près Valen-
cienues.
Le lord-maire de Londres reçoit une indemnité
d'environ 7,900 liv. st. (197,500 fr.), aussi le chiffre
généralement accrédité est-il de 8,000 liv. sterl.
(200,000 fr.) quoiqu'il soit peine d'autant. Il varie
même quelquefois de 1,000 liv. st. (25,000 fr.) d'une
année h l'autre, plus ou moins, parce qu'une partie
de l'indemnité est payée par le droit prélevé sur les
fruits. Les bureaux Manlion-House se composent
d'une vingtaine d'employés, et il y a un chiffre rai
sonnable de domestiques le lord-maire est obligé
d'avoir ses écuries lui et une voitore et des chevaux
pour la mairesse. L'excès de dépense sur l'indemnité
est habituellement de 5,000 liv. sterl. (125,000 fr.)
par an.
Un nouvel exploit de Blondin. Nous n'on avons
pas fini avec le fameux Blondin. Les Américains qui
ont inventé ce saltimbanque phénoménal, se disent
probablement que l'on ne saurait avoir trop de con
fiance dans le audaces fortuna juvat du poète latin
et qu'il ne risque rien frapper de plus fort en plus
fort. Voici ce que nous Itsons dans le Courrier des
États-Unis
A la dernière représentation de l'intrépide
Blondin, ce danseur artiste, après avoir passé sur son
câble du Niagara lié par des chaînes a fait une se
conde traversée, le dos chargé d'un poêle de 2 pieds
pouces de long, de 18 pouces de large, de 20 pou
ces de hauteur et ne pesant pas moins de 56 livres.
Arrivé la moitié du trajet il a attaché le poêle la
corde, a allumé le bois qu'il renfermait, et cassant
ensuite quelques œufs il a fait deux omelettes qu'il
a descendues, au moyen d'une ficelle aux passagers
du vapeur Maid-of-the Misl. Ensuite surmontant
toutes les difficultés qu'il y avait se recharger, sur
un plancher si étroit, d'un fardeau pareil, Blondin a
repris sur son dos le poêle encore tout chaud et
regagné la rive américaine.
Un voyageur au lapon écrit de Nagasaki, la date
du 6 juin, une lettre dont le Globe reproduit les
fragments suivants
Ma première impression en arrivant au Japon a
été véritablement agréable. Rien ne peut surpasser
en charme ce que je vois ici. Depuis les bords de la
mer jusqu'au sommet des montagnes, ce ne sont que
paysages où règne la végétation la plus luxuriante.
La vie est peu coûteuse. On a un bœuf pour 7 dollars
(35 francs), des poissons, des œufs et des légumes
pour rien. Les autorités sont très-bienveillantes et
très-désireuses de nous contenter. Le port de Naga
saki contient en ce moment 17 navires de diverses
nations. Les côtes sont mal gardées. Le peuple sem
ble désireux de s'entendre avec nous. Ici les rangs et
les cérémonies sont très-respectés. Si tout va bien,
comme je l'espère, le Sampson quittera Nagasaki
pour Yedda dans quelques jours.
On raconte Paris l'anecdote suivante: Il y a quel
que temps, Horace Vernet passait en tilbury, rue
Dauphine, et accrochait un lourd camion chargé de
pierrçs et dont le choc violent vint briser son frêle
équipage. Un artiste en attributs peignait la devan
ture d'un charcutier il reconnut le célèbre peintre,
vola au devant de lui et l'aida h réparer les dégâts
commis. Horace Vernet veut le récompenser en lui
offrant une pièce de 20 francs. Ah M. Vernet,
dit l'ouvrier, vous humiliez un confrère. Pardon,
répliqua Horace, m%is alors, comment puis-je re
connaître votre obligeance, votre dévouement
Ce sera bien simple, dit le badigeonneur je fais là
un travail dont j'ai bien de la peine me tirer
veuillez me donner quelques coups de ce pinceau
que vous maniez si bien Horace confia son til
bury la garde de l'ouvrier peintre, s'empara de
son pinceau, de sa palette et grimpa sur l'échelle
comme un jeune homme devingtans. Il peignit aus
sitôt, en quelques secondes, le plus admirable jam
bon de Bayoune qu'on ait jamais vu Paris, même
chez le grand Chevet.
Ah! M. Horace, s'écria l'ouvrier en pleurant et
baisant les mains du grand artiste, je ne me servirai
plus de ce pinceau, de cette palette ni de cette échel
le ils seront pour moi des reliques.
Voilà ce qui fait qu'en un certain endroit de la
susdite rue il y a toujours encombrement c'est la
foule qui admire, faute de pouvoir le dévorer, le
jambon de Bayonne, d'Horace Vernet.
On écrit de Brionne, le il septembre, au Courrier
de V Eure
Un pari assez bizarre a eu lieu avant-hier entre
quatre pensionnaires del'hôtel de France. Un d'entre
eux, M. B..., riche rentier, domicilié Paris, qui vit
Brionne depuis environ trois mois, pour y prendre
l'air de la campagne, a gagé 4o fr. qu'il cirerait sur la
place publique, pendant quatre jours, les bottes de
tous ceux qui voudraient lui faire décrotter et cirer
leurs chaussures, et cela moyennant 10 c. par paire
de bottes ou de souliers.
Pour l'exécution de son pari, il s'est placé contre
la halle de Brionne où il doit rester quatre jours,
depuis sept heures du malin jusqu'à cinq heures et
demie du soir. Ses adversaires lui envoient, pour le
fatiguer, le plus qu'ils peuveut de pratiques; mais
arrivé presque au terme de sa gageure, M. B... lient
bon, et empoche imperturbablement les locentiines
qu'il prend par paire de bottes ou de soulier». 11 a
résolu, dit-on, de verser le montant du pari et le
produit de son travail au bureau de bienfaisance de
Brionne.
On lit dans le Journal du Havre M.Wienawski,
dont on annonce le prochain mariage avec une nièce
du pianiste compositeur Osborne, a acheté de
Bériol son violon de prédilection; c'est un Masinido
la plus grande authenticité. Le marché a été conclu
pour la somme de j4,ooo francs.
Uo banquier dépose son bilan, et quelqne temps
après il est condamné six ans de réclusion pour
banqueroute frauduleuse.
L'un de ses anciens clients ignorant le fait, va le
demander son ancienne demeure.
M. X. dit-il au portier.
Il n'est plus ici, il est en prison, il a été con
damné six ans.
Pourquoi
Pour rupture de lianque.
État-civss. nlpnr:sdu 18 Septembre au 24 inclus.
Naissances. Sexe masculin 8, id. féminin 8, total 16.
Mariages. De CroixBarthclemijournalieret
RaeymakersRosalie, dentellière. BoulangerFran
çois, boucher, et Verhack, Amélie, bouchère.
Décès. Dupanchel, Pierre, 41 ans, journalier, veuf
de Cécile Alexandcr. rue de Meuin. Metz, Pauline,
28 ans, dentellière, célibataire, rue de l'Étoile.Vassut,
Amélie, 79 ans, dentellière, célibataire, rue Close.
Muyllaert, Louis, 31 ans, journalier, époux d'Amélie
Van Mcchelcn, rue de Menin. IlammelralhHenri,
39 ans, docteur en médecineépoux de Marie Duliayon,
rue du Verger. Storme, Scholastique, 69 ans, sans
profession, veuve de Louis Vcrlynde, rue du Corbeau.
Enfants au-dessous de 7 ans sexe féminin 1.
Marché d'Ypres.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des
grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus
RATURE
DES
grains et denrées.
quantités
TEN Dr P. S.
Kilogrammes.
prix moyen
PAI
cent kilogrammes.
poids moyen
M
l'hectolitre.
Froment
77,126
fr. 25 97
78 40
13,524
18 75
75 60
559
18 75
44
512
19 23
85 20
Fèverolei
4,200
16 66
84
Pommes de terre
4,500
7 00
U
U
245 76
U
Le Lnndl, 10 Octobre 1859, deux
heures de relevée, Stavele, au cabaret
occupé par la veuve Rousseau, il sera pro
cédé la Vente de
COMMUNES
D'OOSTVLETEREN ET RENINGHE.
De la contenance scion titre de
[9 hectares 25 ares 89 centiares,
£et d'après le cadastre, de 9 hec
tares 16 arcs 06 centiares
Occupée par le sieur Charles-Hubert De
Molderjusqu'au lr Octobre 1860, moyen
nant 700 francs par an.
COMMUNE D'OOSTCAPPEL (France).
De 2 hectares 27 ares 84 cen-
[tiares d'après titre, et de 2 hec-
tares 17 ares 90 centiares d'après
le cadastre
Oceupée par les sieurs Lips et Danes
jusqu'au lr Octobre 1860, moyennant 173
francs par an, outre les contributions.
Plus amplement décrites aux affiches
parcellaires, et pour tous renseignements
s'adresser au dit Notaire €APELLE,
Watou.
Mardi, 97 Septembre 1859, 9
heures du matin, la ferme occupée par
Colette Mahieu, IIouthem,
VENTE
de
Mercredi, 28 Septembre 1859,
deux heures de relevée, la ferme occu
pée par Louis Mahieu, Confines, près
la Station,
VENTE
ARATOIRES,
HT ^É©©LTdi.
Mardi, 4 Octobre 1859, 9 heures
du matin, la ferme occupée par les enfants
Delbecque, Couines, hameau du Godshuys,
VENTE PUBLIQUE
de
LAITIÈRES,
MATÉRIEL RE FERME
Par le ministère et sous la direction du
Notaire LANNOY, Comincs.
VKYYVILLIGE VERDITIE
van
HALLAEM, BRANDH0UT
EN BEE§TIALEN,
Ter hofstede gebruikt door de erfgenamen
van de weduwe DELVOYE,
OP MEENEN,
NABT DEN LiGEN-WEG LEISENDE NAER WERYICE.
Woensdag, 98" September 1859,
ten negen uren 's morgens, zal men ver-
koopen ter gemelde hofstede, veel Meubels,
als Stoelen Tafels, Kleerkassen, Scha-
praeyen Koper, TinGleis en Yzerwerk,
Stove onlangs nieuw, Ledekanten, Herlogie,
reel Hallaem waeronder Bascule,Ilavcrkist,
Snypeerd, twee Schuermolens, twecTrog-
gen, dric Zwingelvoelen en drie Korde-
wagens, Diltpersen, 500 Ameloozen, 100
Sperren, veel Splete, 500 bondels Kool-
zaedstrooi, veel Commeine-strooi, Kuipcn
en Kecrn Graenzakken en 5 schoone
Melkkoeyen.
Tyd van betaling mits goede borg.
De Notaris FORREST, van Wervick,
is gelast met den ontvangst dercr Venditic.
By M' POtJPART-VIENNE, Notarii
ter residentie van Oostvleterenis er geld
in leeBing ta bekomen mits geed bezet
D
MASTICATEURS,
<3Q3SïïI'jà(&23Sïa32S3'tïaïîïP42 8
Informe sa clientèle qu'il se trouvera
Ypres les premiers Jlendi
Vendredi et Samedi de chaque
mois.
Les personnes qui auraient besoin de
ses soins sont priées de s'adresser dans
sen cabinet, depuis 10 h. du matin
5 h. du soir, Hôtel de la Tête d'ob,
Ypres.
Al. Blitz se rendra chez les personnes
qui en feront la demande.
Te bekomen ten bureele van dit dagblad
▼OOR
DOOR
B. MORTIER,
nOOFDONDERWYZER BY DE GEMZKNTESCBOOh
YÀN YPEREîf
Brochuer in-8", inhoudende 44 bladzyden
en 3 groote op steen gedrukte -platen,
jprys fr. 1-25.