7S BMEX 0R1MS, TAXE 80 BOIS-BLANCS, AESIERKELYKE TEHDITIE Nouvelles diverses. NEUVE-ÉGLISE DADIZEELE EN MEENEN. ADJUDICATION ROUTES COMMUN'AIES si lo roi de Sardaigne a promis ce concours, 011 ne comprendrait guère qu'il l'eût promis sans avoir sondé les intentions de la France. Il est pourtant bien sûr aujourd'hui que la France et le Piémont désavouent hautement cette élection. Au milieu de tous les incidents et de tontes les difficultés qui chaque jour compliquent de plus en plus la question italienne, le cabinet sarde poursuit activement la réforme de ses loi». La Gazelle piJmontaiee qui avait déjà publié les loiscominunaleet provinciale, publie eu ce moment les lois sur la réorganisation du Conseil d'État, sur la suppression du contrôle et sur l'organisation de la Cour des comptes. Bientôt suivrontce qu'on assure, un nouveau Code de procédure civile et pénale et un nouveau Code pénal militaire. Toutes ces oeuvres de législation, si rapidement accomplies, n'ont qu'un tort, c'est d'avoir été décré tées et non votées, et de porter le stigmate de la suppression de la conslitution.'Elles font plus d'hon neur M. Ratazzi qu'à la naiion sarde. D après une dépèche particulière, en date du 11, qu'on reçoit de Madrid, le général O'Dormell a dû partir, ce même jour, de Cadix, sur un bâti ment de guerre, pour faire la reconnaissance des côtes d'Afrique. On assurait que Ips opérations mi litaire* commenceraient le n. Tous les services étaient au grand complet. La même dépêche nous annonce que les décrets relatifs la clôture de la session législative sont prêts, et que, dans le cas où lo Sénat pourrait terminer, dans la journée du la discussion du budget et celle des réengagements militaires ils seront portés aux Chambres le len- :4èaMiifcv>' .WW'IM VEuropa et VHammonia viennent d'apporter h Londres de* nouvelles de New-York du 2 novembre. Le capitaine Brown, chef des conjurés de Harpers Ferry, a été condamné être pendu. C'est par erreur qu'oo a dit que le dernier acci dent arrivé sur le chemin de fer de Mons fe Manage avait eu lieu la Halte de l'Etoile; c'est la Halte de la Paix que le train de voyageurs partant de Mons 6 4 heures 4o, a pris une voie de garage où se trou vaient quelques waggons chargés. Nous sommes heureux d'annoncer que cet inci dent, n'a pas eu les suites fâcheuses qu'on lui avait données d'abord. Il y a eu quatre ou cinq voyageur» légèrement contusionnés et ils se trouvent pour la plupart aujourd'hui entièrement rétablis. - nfi «silioel aal nsq eloob ne (J, Je Charleroi.) Il» J. jOlKlTS - t *9 On mande de Charleroi, le g novembre: Les chasses organisées hier au château de Lover val, 'occasion de la visite de S. A. R. le comte de Flandre, oot été vraiment royales. Elles ont com mencé vers 11 heure», dans les foiêts sur Nalinne, dans le bois du Prince, en un mot, dans les vastes propriétés boisées qui se trouvent sur la droite de la route de PhilippeviIle. a Cent traqueurs, sous la conduite de dix gardes- chasse, rabattaient le gibier aux tireura. Douze chevreuils, cinq i-pnaids et une quantité de lièvres ont été abattus. Le cumlede Flandre, pour sa part, a tiré, en fait de gros gibiers, trois che vreuils et deux renards. Après S- A. R., le chasseur le plus heureux a été son grand veneur, M. Farer, directeur des chasses royales de Ter'vueren. Il était cinq heures et demie lorsque la chasse est rentrée au château. On vient d'arrêter Bruxelles un marchand de pommes de terre soupçonné d'avoir, par de mauvais traitements exercés sur sa malheureuse petite fille, âgée de 4 a"s, causé la mort de la victime. Le puits artisien d'Ostende, a atteint la profon deur de 3oim 11. Le forage continue dans le schiste. On lit dans le Journal de VAune La petite commune de Cuurmont, canton de Fére en Tardenoia, vient d'être le théâtre d'un évé nement qui a jeté l'épouvante parmi ses habitants. Deux vieillards, les époux Laly. cultivateurs, pres que octogénaires, habitaient anxGrèves, dépendance de Courinorit, une petite maison dont ils étaient propriétaires. Mercredi matin, 1 novembre, jour des Morts, les deux vieillards ont été 11 oc vés assas sinés. Tous deux avaient été frappés la nuque de deux coups de masse (espèce de marteau servant a casser les pierres), qui leur fracassa la tête; la femme était quelques pas de sa maison tout habillée. L'homme, au contraire avait été arraché de son lit en chemise et jeté sur le carreau, où on l'a trouvé gisant. Ils avaient dû succomber immédiatement ces affreuses blessures, car aucune contraction du visage n'a indiqué qu'ils aient dû souffrir, comme aucune trace n'existait (ion plus qui put faire présu mer qu'il y ait eu lutte; ils sont tombés comme frappés par la foudre. Le vol a été le seul mobile de ce crime aifreax. On a constaté que l'armoire avait été fouillée mais on ignore si les auteurs ont pu emporter quelques valeurs; on sait que ces pauvres vieillards devaient recevoir la veille une somme de 600 fr., prix d'un cheval qu'ils avaient vendu quelques jours aupara vant, paiement qui n'a pas été effectué. Nous lisons dans l'Avenir d'ffyires r Le jour de la Toussaintvers une heure de l'après- midi, M. d'Angerot, capitaine des douanes des Vieux Salins, se confia un léger canot, ayant avec lui un patron et quatre matelots douaniers. L'embarcation voile se dirigeait vers Léottbe. C'est là que M. d'Angerot avait faire aux préposés de la douane une remise d'ar gent. On était arrivé en face de l'embouchure de la rivière de Msravône jusque là, la traversée avait été heureuse. On n'était plus qu'à un quart de lieue du rivage, lorsqu'un coup de ventrejetant la voile du côté opposé, entraîna, par un mouvement de bascule, tout féquipsge dans la même direction et fit chavirer le bateaui«ulq «l> t-nfib xuéinilo'i tnamitnseMMMpH Le nommé Jean Garnicr est le seul qui soit parvenu après de pénibles efforts se sauver la nage Personne ne s'est trouvé même de porter secours aux naufragés qui ont péri dans les flots, "et dont jusqu'ici on n'a re trouvé que les chapeaux. UOtM ou M. d'Angerot, le capitaine,' laisse cinq enfants. Il était âgé de quarante-neuf ans; un de ses matelots, Joseph Marglieritiâgé de trente-trois ans, laisse deux enfants et une femme au terme de sa grossesse. accusation n'inrANTiciDC. Au mois d'août 1859, le bruit se répandit dans la ville de Chinoti qu'une jeune fille de seize ans, appartenant une famille riche et honorable, était accouchée d'un enfant qu'elle et sa mère avaient fait.disparaître. Un domestique renvoyé de la maison avait répandu le luuil qu'il avait entretenu des relations intimes avec sa jeune maîtresse, et qu'on ne l'avait congédié qu'à la suite de ls découverte de ces rela tions par la mère. Ces tumeurs prirent bientôt une plus grande consistance. On désignatout haut la mère et la fille comme ayant brûlé l'enfant né des* relations de celle-ci avec son domestique, ia r Des poursuites furent commencées elles smenèrent l'arrestation de la dame VictoireMingdt, fertmè Lembine, et de la demoiselle Angélina Lemoine, mai fille. Toutes deux ont été renvoyées devant la cour d'assises d'Indre- et-Loire par un anêt de la chambre d'accusation de la cour impériale d'Orléans. La daine Lemoinc et sa fille se sont pourvues contre cet arrêt. La chambre criminelle de la éonr de eassafioiia statué sur le pourvoi, et, sur les conclusions de M. l'aveeRt généralelle l'a rcjeié. Il est dès lors probable que l'af faire pourra être portée aux prochaines assises d'Indre-et- Loire, qui vont s'oqyrir au commencement de décembre. recettes des théâtres de Paris, pendatit fie mois hre, donnent le résultat àuîvant Les d'octobre, Théâtres impériauxfr. 435,673 KO Tliéâlres secondaires 618,494 75 Cafés, spectacles, concerts, bals I# 45 Curiosités diverses îfsfôiL 037 jf |265,278 90 Ces recettes, comparées celles du mois de septembre, présentent, en faveur du mois d'octobre, la différence totale de 519,510 fr. 95 T. Voici un cas de longévité peu commune qui mérite d'être mentionné. Il existe dans la commune de Gouy- Icz-Pié'on une famille (celle des Bronchain), dont cinq membres, habitant sous le même toit et encore céliba taires réunissent eux seuls 405 ans. Cette portion de famille se compose de trois garçons et de Jeux filles. Le membre le plus âgé, qui rst une fille, a 85 ans, et le plus jeune, qui est un garçon, en a 77. Les frères et sœurs Bronchain jouissent encore pleinement de l'exer cice de toutes leurs facultés, fruit d'un tempérament vigoureux et d'une vie des plus régulières. «T Bn0«tj-10;)n9 86q ,r DRANOUTRE 4» Sur le verger de la ferme occupée par le sieur Louis Heughebaert; 2*t- A proximité de ce verger, sur le chemin appelé Ouderdonilyndeslraet 5* Près du Marie-Bruggesur une pâture et un pré, dépendant de la même ferme, 1 ifesuo al ib m DONT UNE PARTIE A FINES FEUILLES, LA PLUPART D'UNE BELLE GROSSEUR, HT 4 FIBÉM^S, PROPRES A LA CHARPENTE, AU CHARRONNAGE, Rtr.1 A^bJfNAOEtXFRIEETC.. divisés IOO portions, A VENDRE Le Lundi, 12 Décembre 1859, 11)heures piécises du matin, avec long crédit. 8| La réunion pour cqntjmcnoer sur le verger de la ferme du sieur Ifeughebaert. TU'" GVLLOO, Notaire Radinghcm, «t THERKY, Nothièc Neuve-Église, sont chargés dé cette ètMW? 8,1 van te Don Notaris DU FORT, te Ledeohem, znl Woeusdag, 7' December 1859, len negen ui en vooriiiiddag oprnbaerlyk verkoopen, np hel vorzoek van Jnrfvronw Marie Cornillieweduwc van Mynlieer Josephus De Itacker, te Mnorseele, een groot gelai schoone en zwnre i l ken, Abeelen en Popeliercn, waer onder versebeide ter clikte van 2 lot 3 melers, initsgadcrs Essehen en Sper- ren, staende 1* Op de hofstede gebruikt door Mar- tinus-Judocus Vanden Berghe, te Dadi- zeele, digt oost de kassei van Meenen naer Rousselaere 2» In eenen bosch te Dadizeele, wrst by gcmelde kassei 5. Op de hofstede gebruikt door de kinçleren. van Antonius-Josephus Mas- quelier, te Meenen, digt oost denzelven stéenweg. xuoigilov «L Mèn zal bèginncn op de hofstède onder nuinmer ccn. Op gewoone conditionlajigçn tyd van betaling. DE LA des sdr les DE L'ARRONDISSEMENT D'YPRES. Le Commissaire de l'arrondissement d'Yprrs informe le public qu'il sera pro cédé, l'intervention des commissions res pectivement chargées de l'administration des routes communales et sous réserve de l'approbation ultérieure île la Dépuration permanente, ('ADJUDICATION PUBLI QUE de la Taxe des barrières sur les routes ci-après dénommées, pour le terme de un trois ans,coiiiincnuer le t'Janvier 1800, savoir -m a ml no iiniuxl* I* Les barrières I cl 2, sur le gravier de:Pn>*kw4oq ?dpn aù.lq. «aql" -| 2" Les barrières t et 2, sur le gravier de VVatou l'Abeele 3e L» barrière 2, sur la route de Mes sines aux Quatrè-Rois, avec embranche ments vers Neuve-Église et Keminel 4' La barrière 1sur le pavé com munal de Zillcbcko; 5* - Les barrières 1 et 2, sur le pavé communal de Wcrvicq Cruyscecke 6° Les barrières 1, 2 et 3, sur le pavé communal conduisant de Poperinghe par Wcstvleteren Oostvk'teren 7° Les barrières 1 et 2, sur le pavé communal de Bixschote par Langemarcq au Keirzi-laer; 8° 1— Les barrières 1 et 2, sur le pavé communal du Keirzelaer Zonncbeke 9° La barrière 1sur le pavé del'Hal- lebast Reninglielsi 10* La barrière 1, sur la route de S' Éloi Messines 1 11" Les barrières 1, 2 et 3, sur la route de Luzerne par Zuydschote et Re- ninghe Oostvleleren 12"'La barrière sur le pave'communal dèPdckein; j 13° Les barrières 1'2 et 3, sur la route d'Yprès par le Moulin-Brûlé, Holle- bcke et THoulhem Comines 14*[M barrières 12 et 3, sur les routes de Stavele au pavé de Rousbrugge Hongstade et de Stavele par Crombeke WestvJe|fC«n.4,91.1"; ail: 15» La barrière sur lo gravier de War- néton Ploegstcert. Cette Adjudication aura lieu l'Hôtel-de- ville d'Yprcs, le Samedi, 3 Décembre 1859, 10 heures précises du matin. Ypres, le 28 Octobre 1859. Bewbi CARTON!.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3