BEAUX ORMES, 1111111 PEUPIIERS-CANADA. 0 EVOS-CAILLIOU, WlBBllle 75 BEAUX ORBS, 80 BOIS-BLANCS, s Nouvelles diverses. VENTE BAS-WARNÊ TON FRÊNES ET PEUPLIERS. ET ORMES FINE FEUILLE. AENRESTEDING KOOLZAEDOLIU, EN DOODKISTEN. VEUVE-ÉGLISE divisés en IOO portions, A VENDRE fonctions offertes au prince de Carignan, n'est au fond qu'une acceptation assez peu déguisée. M. Buoncompagni n'est pas prince de la maison de Savoie, ni cousin de Victor-Emmanuel, niais il est un des agents les plus actifs de la politique sarde, et pourra par conséquent poursuivre et consacrer l'oeu vre de l'annexion sans compromettre devant le Congrès la respontaliilité du roi Victor-Emmanuel. Mais cette responsabilité, quelque soin qu'on ait pris, est engagée par le fait de la désignation nous allons dire de la délégation du sénateur Buoncom pagni. Nous ne voyons pas la moindre différence entre la désignation et l'acceptation de la régenee ce sont deux actes de souveraineté et d'intervention. Personne ne peut soutenir que la désignation de M. Buoncompagni entraîne pour le Piémont une moindre responsabilité et lui impose envers l'Italie centrale des obligations moins étroites que ne l'eût fait l'acceptation du prince. Et, pour en citer une preuve facile k comprendre, supposons que le gou vernement du Pape, raisonnant seulement d'après le droit des gens, considère comme une déclaration do guerre cette désignation officielle d'un régent pour une partie importante de son territoire supposons qu'il attaque les Légations annexées celte nouvelle régence; la Sardaigne ne doit-elle pas voler au secours du régent? Peut-elle honorablement s'en dispenser sous le prétexte que le régent qu'elle a désigné n'est pas de la maison royale C'est dans ce sens que le refus du prince de Cari gnan est interprété par le Journal deDébatt. s Nous assistons s dit ce journal, avant l'ou verture du Congrès, au dénoument de la question de l'Italie centrale. Ce dénoument peut u'être pas le dernier; il peut être au contraire le commencement d'un drame nouveau; mais ce n'en est pas moins la démarche la plus décisive que la Sardaigne ait faite jusqu'ici pour sanctionner le vœu des popula tions de l'Italie. Que ce soit la main de M. Buon compagni, ou celle du prince de Carignan ou celle du roi de Sardaigne qui s'étend aujourd'hui de Flo rence Bologne, il n'est pas moins vrai que par la désignation d'un régent, le Piémont semble avoir mis la main sur ces territoires et ue peut plus guère s'en dessaisir. Aucune subtilité ne peut enlever cet acte sa signification et sou importance, n Maintenant que les traités de Zurich sout signés, ou commence parler du Congrès avec un peu plus de certitude. Pourtant Bien des doutes restent en core. Ainsi pendant qne les journaux français dési gnent Paris comme te lieo où les plénipoleritaires devront se réunir, le Journal allemand de Francfort affirme que le Gabinet de Londres insiste toujours pour Bruxelles. Les ministres anglais, au reste, n'ont pas, l'heure qu'il est, notifié officiellement leur acceptation. S'il faut en croire le même journal, la discussion sur la conduite tenir a été si vive dans les conseils de la reine Victoria, qne l'existence du cabinet en a été un moment compromise. Enfin lord John Rus- sell et M. Milner Gibson l'ont emporté; et il a été résolu que l'Angleterre n'entrerait pas dans le Con grès sans avoir préalablement posé des questions favorables aux États de l'Italie centrale. Sans confir- mer la nouvelle de la feuille allemande, le Nord dit que «c'est la situation du ministère anglais qui semble être la pierre d'achoppement. Certains gou vernements du continent, ajoute-t-il, joignent leurs efforts li ceux du parti de la cour en Angleterre et des autres adversaires de lord Palmerston pour ame ner la chute de eet homme d'Etat et le retour des tories au pouvoir, a D'un autre côté, on assure que la Russie préfère un Congrès dont le programme devra être arrêté d'avance, des conférences où toutes les questions pourraient être engagées avec plus de liberté. Enfin le Nord annonce que cabinet de Turin vient de faire parvenir aux grandes puissances un Mémoire où il s'efforce de démontrer l'impossibilité de toute confédération laquelle l'Autriche devrait directe ment ou indirectement participer. «Tout n'est donc pas réglé, comme on voit. Cependant une date est déjà assignée par quelques journaux la réunion du Cungrès. C'est le i5 décembre. Le courrier d'Amérique, apporté par VEuropa, mérite de fixer l'attention. Une correspondance adressée de Washington au New-York-Herald Au 2g octobre présente sous des couleurs assez alarmantes les discussions soulevées entre l'administration américaine et le cabinet de Saint-James. Les deux gouvernements, «dit-elle, «sont bien plus près d'une rupture violente qu'on ne le suppose généralement. Il parait que les dépê chés de lord John Russell relatives h l'affaire de San- Juan n'avaient rien de pacifique ni de conciliant, et que le gouvernement américain, répondant sur le même ton, soutient éuergiquement ses droitsde pro priété sur l'île. La question, ajoute le correspon dant, a pris un caractère non-seulement sérieux, mais menaçant. Cette mésintelligence sera aggravée encore par la ratification du traité conclu le 1" mai de cette an née entre le gouvernement anglais et la république de Guatemala, traité qui concède la Grande-Bre tagne, en souveraineté absolue et exclusive, un ter ritoire de 1600 milles carrés le long de l'Atlantique. Cette cession cal directement contraire au traité de Clayton-Bulwer,en vertu duquel l'Angleterre et les Elats-Unisse sont engagés ne chercher, ni par con quête, ni par traité, aucun accroissement de terri toire dans l'Amérique centrale. plus grandes difficultés de la part de nos voisins les Belge», dont on connaît l'adresse tirer parti de leur position mixte sur les deux territoires. Plusieurs fois déjà, ces ouvrages on! été renversés pour livrer passage a travers cette propriété en dépit du droit incontestable que le propriétaire a de se clore, droit reconnu et justifié par deux jugements rendus en France contre ses voisins récalcitrants. Cette querelle entre partïcùtiers, qui dure depuis trois ans, et qui n'aurait jamais dû sortir du cercle étroit où elle est engagée, vient de prendre subite ment des proportions extraordinaires, par suite de l'immixtioD d'une autorité étrangère dans celte •fflîêHïi 9I,' etbic sttzKliÛt oloo3 l ê'iiftW Le commissaire de police de la petite ville de Péruwelz, commune limitrophe située de l'autre cô'é de la frontière, suivi d'une escouade d'ouvriers, s'est transporté sur les lieux pour mettre un terme toute» ces discussions par la démolition de ladite muraille sur une longueur de plusieurs mètres sur notre territoire, s On écrit de Dison, le 10 La gendarmerie vient d'arrêter en cette localité un septuagénaire prévenu d'un attentat la pudeur l'égard d'une cofant âgée de douze ans. État-civil d'Vprcs, du 13 Novembre ait 19 inclus. Naissances. Sexe masculin 3, id. féminin 6, total 9. Mariages- VandemoortelPhilippe, maçon, et De Coninck, Marie-Thérèse, dentellière. Ghysel, Auguste, tourneur de chaises, et Struyve, Fidélie, repasseuse. Décès. ffeugebaert, Charles, 36 ans, sans profession, époux de Constance Robaeys, rue Lnng'uc-du-Marais. Vanhée, Pélagie, 24 ans, journalière, épouse de Phi lippe Carnier, rue de Menin. Ghys, Louis, 58. ans, tailleur, époux de Pauline De Gruytere, Place de la Pri son.Fanoo<e</ùem,Çlement,70ans, piètre, rue S' Jac ques. Joos, François, 62 ans, couvreur, époux de Marie-Thétèse De Huysscre, rue Basse. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 1idem féminin 3, total 4. on Marché d'Tpres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourruges et autres produits agricoles, vendus le 19 Novembre 1859. j On lit dans le Courrier du Nord, journal français: Un propriétaire de» environs de Condé, a fait construire, il y a deux ou trois ans, un mur de clô ture sur un terrain situé en France, faisant autrefois partie de la forêt de Condé, de la contenance d'un hectare et tenant la ligne de démarcation des deux pays sur une étendue de 100 mètres en virou. Celte clôture qui supprime toute communication immé diate d'un territoire l'autre, soulève paraît-il, les NATURE DM gnains et denrées. quantités VENDUES. Kilogrammes. prix moyen FM 1 cent kilogrammes. poids MOTEN >1 l'hectoliin. Froment 44,496 ftWéiP i 78 40 Seigle 4,352 33 38 75 60 88 >e 44 530 85 30 Fèverolei 6,500 50 71 84 Pomme» de terre 6,500 7 75UC 3 Jl6I ïCîBlo O Ml 1 u Par le ministère et la recette dn Notaire LANNOTj domi nes-Belgique. Mardi, 29 Novembre 1859, dix heures précises du matin,autour des fermes exploitées par Vanden Broucke-ûecquart, Jean-Baptiste Desmaretset la veuve Dekerle, 80 marchés de Jeudi. 1' Décembre 1859, deux heures précises de relevée, dans une pâture appartenant Monsieur Auguste Laumos- nier, près la Station Couines, J^JW'MARCHÉS DE GROS Jeudi, 8 Décembre 1859, dix heures du matin, autour de la ferme exploi tée par M. Louis JoyeHouthem, 95 marchés DE TRÈS GROS LE TOUT A LONG CRÉDIT. Grandes facilités de transport par des routes pavées. AVIS. demeurant RUE DE B0ESINGI1E, N* 18, A YPRES, A l'honneur d'informer le public qu'il se harge de la Taille et de la conduite des arbres fruitiers et de tous les soins douuer aux jardius frui tiers et légumiers. Il se charge également des plantations d'arbres fruitiers et d'agrément. By M' POUPADT-VIENNE, Notant ter residentie van Oostvleteren, is cr geld in leeBing te bekomen mits goed kezet. BURGERLTKE GODSIIU1ZEN DER STAD TPRE. van KEERSSEN, STOVEKOLEN De Administrai der Burgerlyke Gods- huizen, binnen Ypre, maekt bekend aeu bot publick dnt zy den Vrjdag, 2° De- cember 1859, ten drie uren namiddag, in hare gcwoone Zittingzael, zal acnbe- strden 8,500 kilogrammen Vleesch, 6 hectoliters Koolzaedollc, 150 kilogrammen Keersseu, 2,000 hectoliters Stovekolen, eu 100 Doodkisten. De voorwserden dezer Acnbesteding be- rusten in het Sccretariaet der Godshuizen, Rysselstraet, alwaer de gadinghebbenden mogen lezingnemen. M en verzoekt de rugtbaerheid, )iio«!9n'!i9''n9'l jttr^oiq inp xuoo DRANOUTRE 1" Sur le verger de la ferme occupée par le sieur Louis Heughebaert 2" A proximité de ce verger, sur le chemin appelé Ouderdomlyndcstraet 3* Près du Marie-Bruggesur une pâture et un pré, dépendant de la même ferme, DONT ONE PARTIE A FINES FEUILLES, LA PLUPART D'UNE BELLE GROSSEUR, HT tk FBIÊMES, PROPRES LA CHARPENTE, AU CHARRONNAGE, A LA NACELLERIE, ETC., Le Lundi, 12 Décembre 1859, Il heures précises du matin, avec long crédit, .siins'-")'b lirri6it3 nu tu. Iubiu La réunion pour commencer sur le verger de la ferme du sieur Heughebaert. Mr" GALLOO, Notaire Radingliem, et TBEBRT, Notaire Neuve-Église, sont chargés de cette vente.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3