BOOMEN. DORMES, BOOMEN, D'ORMES Nouvelles diverses. Variétés. VERKOOPING EIKEN, IEPEN, ABEELEN, BEUKEN ESSCHEN t Z& koopen sclioone Eiken. lepen, Aheeleu, Beiifccn en Essclien-Boemen. A VENDRE, AENMERKELYKE VENDITIE NEUVE-EGLISE. 7 S marchés premier lord de la trésorerie, persiste mettre en relief arec un soin particu''«r les titres qui recom mandent le premier ministre i la préférence de la reine. Le journal anglais fait ressortir l'importance du rôle que l'Angleterre est appelée jouer dans ce Congrès, où elle ne se décide 4 prendre place que parce qu'elle y est invitée, et où elle doit servir d'arbitre entre les prétentions opposées des puis sances. On assure que l'Angleterre et la France se sont mises d'accord pour proposer au Congrès de consti tuer au centre de l'Italie un royaume indépendant, compoosé des Duchés et des Romagnessans an nexion la Sardaigne. Des lettres de Vienne du 3o novembre donnent l'analyse des dépêches de convocation qui ont été expédiées, d'abord, aux cabinets de Londres, Berlin, Saint-Pétersbourg, Madrid, Stockholm et Lisbonne, ces puissances seules ayant signé les traités de Vien ne. Lescabinetsde Rome, Turin etNaples recevraient une circulaire ultérieure, qu'on leur enverrait peut- être après la première séance. Dans les lettres de convocation suivant celte correspondance, l'Autriche et la France, après avoir rappelé sommairement les préliminaires de Villa— franca et les stipulations de Zurich, disent que la réorganisation de l'Italie, la solution définitive de la question italienne appartient aux puissances signa taires des traités de Vienne. Tant qu'il ne s'agissait que d'un changement soit politique, soit territorial, concernant exclusivement l'Autriche, l'empereur François-Joseph a pu prendre vis-à-vis de l'empe reur des Français tels engagements qui ont semblé aux deux souverains compatibles avec leurs intérêts et leur dignité. Mais du moment où les événements survenus dans l'Italie centrale menacent d'entraîner des modifications de nature affecter les bases don nées l'équilibre européen en i8i5, les gouverne ments d'Autriche et de Franceont jugé de leur devoir de convoquer les puissances des traités de Vienne. A partir du 8 décembre, les gouvernements sé parés de l'Italie centrale seront supprimés, et il n'y aura qu'un seul gouvernement avec un seul minis tère siégeant Modène. On aura remarqué que, dans la dépêche de Turin, qui a apporté cette nouvelle, il n'était pas question de la Toscane. Cette omission pourra faire croire qu'il existe en Toscane, propos de la mission confiée 4 M. Buoncompagni, des diffi cultés sérieuses. D'un autre côté, s'il fallait en croire une correspondance de Vienne adressée au Courrier du Dimanchel'Autriche ne serait pas plus résignée que la Toscane la régence de M. Buoncompagni. Suivant cette correspondance, le cabinet de Vienne, après avoir annoncé l'intention de rester en dehors du Congrès si M. Buoncompagni était reconnu ré gent de l'Italie centrale n'aurait cédé sur ce point qu'en se réservant de protester aupèrs de toutes les puissances par une note circulaire qui devrait être expédiée quelques jour» après la cohvocalion du Congrès. L'Autriche, dit la correspondance, ne veul pas laisser établir une situation qui permettrait au Piémont d'invoquer son profit le grand argument fondé sur l'autorité du fait accompli. Nous doutons fort que cette protestation subsi diaire produise une grande impression sur le Con grès. L'association de Liverpool pour la réforme finan cière a tenu un meeting, le i* décembre. M. Bright y a réclamé un impôt direct sur la propriété; il a qualifié d'injuste d'indigne et d'oppressivela répartition actuelle des chargesjpubliques, et l'assem blée lui a témoigné la plus chaleureuse sympathie. P.-S. Une dépêche télégraphique datée de Turin, porte que l'affaire de la délégation de la régence M. Buoncompagni est arrangée la satisfaction commune des parties intéressées. M. Buoncompagni ira bientôt Florence, en qua lité de gouverneur général des proviaces de l'Italie centrale. Les attributions du gouverneur général sont éten dues aux forces militaires de la Ligue et aux rap ports de l'Italie centrale avee le Piémont et les puis sances étrangères. Deux amis, négociants Paris, M. D... et R..., chassaient avant-hier sur le territoire de la com mune de Magny (Seine-et-Marne.) Un lapin se lève et fuit aussitôt M. D... l'ajuste et lui envoie deux coups de fusil. L'animal fait quelques pas et entre dans un taillis. Les traces de sang qu'il laisse der rière lui attestent qu'il est blessé. Les chasseur» arrivent près du taillis et se mettent 4 le fouiller. M. R..., pour sonder les broussailles se sert de son fusil, qu'il tient par l'extrémité du canon. Le mou vement qu'il imprime son arme fait lever un des chiens de la batterie qui, bientôt, par suite du même mouvement, retombe. Le coup part, et les projec tiles, formant balle, atteignent en pleine poitrine M. R... Il est mort instantanément. A COALITION DE BRASSEURS GRÈVE DE BUVEURS Ou écrit de Mannheitn que les brasseurs de cette ville, qui vendaient 4 raison de a kreutzers la chop- pe de bière jeune, se sont réunis la semaine dernière en assemblée générale, et ont décidé que, pour la saison qui va s'ouvrir, le prix de 2 1/2 kreutzers serait établi. A cette nouvelle, une vive agitation s'est répandue parmi les buveurs, qui ont aussitôt provoqué uue réunion générale afin d'aviser. Cette assemblée, qui était extrêmement nombreuse, a déclaré la grive en formant une société dont les membres s'engagent par écrit, et sous une peine de 10 florins, ne plus boire de bière dans les brasseries de Mannheim. La durée de la grève a été fixée pro visoirement un laps de trois semaines. Jusque làon espère amener les brasseurs 4 résipis cence, sinon on se propose de prendre les mesures les plus énergiques. Cette coalition comptedéjà plus de mille participants et espère de nouvelles adhé sions qui porteront le chiffre des coalisés plusieurs milliers. Les membres de cette association absorbent, en attendant, des bières étrangères et surtout de la bière de Spire, qu'ils trouvent dans les auberges et cafés, et qu'ils payeut également 2 1/2 kreutzers par choppe. Nul doute, affirment les associés, que le triomphe ne couronne leurs efforts. De leur côté, dit un journal allemand, les bras- seursse flattent de vaincreleursadvers»ires,et comp tent, pour y parvenir, sur les fêtes de Noël et du jour de l'an L'oncle de Guimbard appelle le fait soumis aujourd'hui la justice L'assassinat de la Barrière de l'Ecole, et il l'a dénoncé de la manière suivante assassinat, barrière de l'ècoli. Paris, 11 octobre 1889. A M. le procurieur impériale, Monsieur, Un escandal térible a eu lieu le 9 écoulé rue Croinivert a Grenelle, 00, le nommé Guimbard Pierre a été lobjet d'un gai tapant on a asomé ce jeune homme ces jour ne sont pas assuré je sollicite la bienveillance de M. le pro curieur impériale afin de faire donner les suites nécessaire. Agréez, etc. L'oncle dudit Guimbard. Nous allons avoir tout l'heure les détails de cet escandal térible par M"* Clara Dognon, qui arrive avec son père, sa mère et toute la famille Dognon en rang, que c'est tirer les larmes des yeux de voir toutes les victimes du jeune homme dénoncé par l'oncle dudit Guim- bard. Il parait que ce jeune forcené est jaloux comme un tigre, et que sa jalousie l'aurait poussé flanquer deux coups de poing dans la poitrine de M,,a Dognon, sa bon ne amie, qui ne l'aimait pas, et un troisième eoup de poing sur l'oreilie de Guimbard, futur préféré de cette demoiselle, lequel, depuis, est ailé demeurer Limoges, où il a emporté une surdité qu'il attribue au coup de poing en question c'est du moins ce qu'il affirme au tribunal. M. le président. Vous dites que vous venez de Limoges? Guimbard. Oui, m'sieu, exprès pour déposer. M. le président. Qui done vous a envoyé une citation Limoges? Guimbard. C'est mon frère qui m'a écrit par le télé graphe, de venir tout de suite parce que mon procès se jugeait aujourd'hui. M. le président. Mais il n'y avait pas urgence, on au rait lu voira déclaration qui est dans le dossier. Guimbard. 11 m'a dit que si je ne venais pas, ça serait moi le coupable. Rires bruyants dans l'auditoire.) Le témoin expose des faits qui vont être reproduits dans la déposition suivante. J/"° Clara Dognonquinze ans, marchande des quatre saisons. i j j «skjoiixw «oi «Qfcb aisoilùe.uOB vL AI. le président. Avez-vou6 quinze ans accomplis? Le témoin. Je vas sur seize. M"* Clara, alors, prête serment et dépose Étant allée au bal du Grand-Balcon avec papa, maman, mon frère et deux jeune hommes auquel monsieu Guimbard que papa avait réglé un compte avec lui et qu'il me fréquen tait pour le mariage dont pour lors que je danse avec lui, et puis après que ce jeune homme ici présent m'invita danser. Alors, comme i! était en ribote et très-jaloux, qua papa n'a pas voulu qu'il me fréquente, il me cherche des raisons et se met danser d'une façon qui n'était pas convenante. Comme ça ne me convenait pas qu'il danse comme ça, et papa ni maman non plus, je le plante là et je vais m'asseoir pour lors, la danse suivante, com me je la faisais avec un autre, il s'en vient me dire qu'il va me faire danser moi et toute ma famille il avait un air menaçant, et m'allonge trois coups de poing dans l'estomac que voyant ça, moi, papa, maman et mon frère, nous nous en allons du bal, et que M. Guimbard veut s'en revenir avee nous, mais qu'en sortant ce jeune homme ici présent lui pose un conp de poing sur l'oreil le, qu'il en est resté sourd de ce côté-là. Tel est l'assassinat de la barrière de l'Éeolo. Le tribunal a vu dans les débats des circonstances très- atténuantes, et a condamné le prévenu h trois jours de prison seulement. BVRGERLYKE GODSHUIZEN DER STAD YPRE. ▼an 195 koopen SCHOONE De Administratie der Burserlyxb Gods- huizeh te Ypre, zal den IVlaendag, 19" Deeember 1859, ten twaeif uren des middags precies, verkoopen op de landen der bofstede gebruikt door Basile Vanden Broucke, gelegen ter gemeente Zillebeke, by het Hooge Deze Verkooping zal gebeuren met tyd van betaling mits stellende goede borgen of medekoopers, en betalende gereed tien ten honderd aen den Notaris VlMDF.lt- MEERSCH, Oudc-Houtmarkt, te Ypre, met gemelde Verkooping gelast. Elk zegge het voort. NEUYE—ÉGLISE. Sur une pâture occupée par les frères Dumon, près du cabaret nommé Calais, le long du chemin de Ploegsteert. IOO Marchés propres AU CHARRONNAGE, A LA CHARPENTE ET AD CHAUFFAGE, Le Lundi, 19 Décembre 1859, dix heures du matin. Long terme de paiement pour les ache teurs qui fournirent bonne caution. Les Notaires LECLEItCQ, Lille, et VAN EECKE, Neuve-Église, sont char gés de cette vente. van TE GULLEGHEK. Den Notaris DU FORT, te Ledeghem, zal Douderdag, 15° Deeember 1889, ten negen uren voormiddag, openbaerlyk doen verkoopen, op het verzoek van Joof- vrouw Maria Cornillie, weduwe van Mjn- heer Josephus De Backer, te Moorserle, een groot gctal schoone en zwarc Abeelen en Popelieren, waeronder verschcidc van 9 tôt 3 meters dikte, mitsgaders Olmcn, Esachen, Bcuken, opgaende Wilgen Tronkwilgen en eenen Pecrlaer, staendc op de liofsteden gebruikt door Petrus-Ludovicus Rekaert en Bruno Fonde Putte, te Gulier- gliem, by dcszelfs plaets. Men zal beginnen op d'hofstede gebruikt door Bekaert. Op gewoone conditien en langen tyd van betaling. 1 Sur une pâture près du cabaret nommé Courte-Pipe, proximité du pavé de cette commune au Seau Et 2° Sur une pâture près du bourg, le long de la rue de Dranoutre, dite Korte- kalchiede SI «r Dernièrement occupées par le sieur Louis De Bruyne, PROPRES AUX CHARPENTIERS, CHARRONS ET AU CHAUFFAGE, A vaaamis» Le Mercredi, 14 Décembre 1889, dix hcuiesdu matin. Long crédit moyennant bonne caution. La reunion au dit cabaret la Courte-Pipe. Le Notaire VAN LECHE, Neuve- Église, est chargé de cette vente. By M' POUPART-V1ENNE, Notaris ter residentie van Oostvleteren, is er geld in leening te bekomen mits goed bezet.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3