BOOMEN D'ARBRES, B0SCHTAILLIE EIKEN, IEPEN, ÀBEELEN, Nouvelles diverses. VENDITIE sgsq ,>V»' Tan 11S fcoopen EXTRA SCHOONE COURS PRATIQUE COMMUNES de WARNETON ET PLOEGSTEERT. SCHOONE KOOPDAGEN POPELIEREN Peupliers du Canada, A VENDRE, VENDITIE veulent garantir leurs houblons contro les mélanges, elles peuvent instituer des plomba portant les noms de leurs communes; M. Van Reninghe pense même que la commune de Watou a eu jadis un plomb, elle ne devrait donc que le rétablir. M. Delie croit aussi que la principale cause de la différence de prix que l'on signale est que le houblon des communes est déprécié par la fabrication cette année, dit-il, on a fait venir une immense quantité de mauvais houblons d'Angleterre qu'on a mélangés avec du houblon de nos contrées pois vendus pour du houblon pur des communes; M. Delie reconnaît toutefois que dans quelques communes, notamment Vlamertinghe, il y a encore des cultivateurs qui ne s'attachent pas assez extirper le houblon rouge, d'autres n'apportent peut-être pas assez de soins i la cœillette il faudrait employer des moyens de persuasion auprès des cultivateurs pour les engager ne rien négliger de tout ce qui peut relever cette culture. M. Berten, tout en admettant que le plomb crée une garantie pour l'acheteur, pense que les houblons de Poperinghe empruntent leurs principales qualités au terroir même ces houblons ont une telle répu tation qu'ils sont partout préférés par les brasseurs, il avoue d'ailleurs qu'il est assez difficile d'établir la valeur relative de ces produits, et il reconnaît que la fabrication peut être pour quelque chose dans la moins value des houblons des communes. Peut-être aussi, dit-il, ces houblons ne sont-ils pas assez con nus et il engage les communes envoyer des échan tillons de leurs produits aux expositions agricoles. M. Huyghe fait remarquer que si la sophistication est la cause réelle de l'état de choses, dont on se plaint, il faut trouver moyen de mettre un terme cet abus; que le meilleur moyen peut-être serait d'établir un plomb, mais que cette mesure nécessi tant une dépense assez considérable eu égard aux ressources des communes, celles-ci feraient bien de s'entendre pour la supporter en commun. Il sou tient d'ailleurs que la qualité du houblon de Pope- ringhe n'est pas supérieure celle des houblons de Reninghelst, Dickebusch etc., et il propose d'éta blir un plomb pour ces communes. Après une échange d'observations entre MM. De Vos, Ver- schaeve, Van Alleynes, Forrest, etc., M. le Président résume la discussion qu'il demande compléter par la lecture d'une lettre dont M. Jean-Baptiste Vanden Peereboom a demandé la communication i l'as semblée, voici comment s'exprime cet honorable membre Pour ce qui concerne la question du prix des houblons je pense qu'on pourrait beau- coup approcher du but que se propose M. Huyghe en créant un marché dans les halles d'Ypres et en y plaçant une presse publique. Aujourd'hui Poperinghe est la seule place dù on applique un plomb et on a soin de ne présenter au plombage que les bonnes qualités; de là l'étranger on ne connaît pour bon que les houblons de Poperinghe, tandis que, s'il y avait un plomb pour tout l'arrondissement d'Ypres, l'étranger ap- prendrait estimer les houblons des communes comme ceux de Poperinghe, et beaucoup de nos n communes pourraient rivaliser pour leurs pro- duits avec cette dernière ville; le marché d'Ypres présenterait cet avantage que le propriétairt^des houblons non vendus pourrait trouver dans le bâtiment des Halles un entrepôt sec et sur moyen- nant une fort petite rétribution. Je ne dirai pas, continue M. le Président, que cette lettre résoud la difficulté une question de cette na ture est trop importante pour recevoir une solution avant d'être mûrement méditée mais je dis qu'elle est un des nombreux éléments d'appréciation qui sont sortis de cette discussion. Je ne pense pas toute fois que nous puissions en ce moment prendre une décision, c'est là une de ces questions pratiques sur lesquelles on ne peut courir risque de se trom per nous avons indiqué la difficulté, nous avons cherché l'éclaircir, laissons l'avenir le soin de la résoudre. Je vous propose donc, Messieurs, de met tre la question au concours et de décerner une mé daille en or d'une valeur intrinsèque de i5o francs l'suteur du mémoire qui l'aura le mieux traitée. Après une courte discussion laquelle prennent part MM. Berten, Cordonnier, etc., celte proposition est adoptée. Enfin, M. De Meester commence faire l'exposé de notre législation en matière de vices rédhibi- toires, l'honorable membre s'occupe d'abord des principes qui régissent la vente et dans une pro chaine réunion il traitera de la garantie et ensuite des symptômes distinctifs des différentes maladies rédhibitoires nous nous dispensons d'analyser ce rapport parceque nous le reproduirons en entier la suite de la prochaine réunion. La séance est levée midi et demi. L'interrogatoire de Mme Lemoine a confirmé ce qu'avait fait pressentir celui de sa fille. Elle a décla ré avoir médité et réalisé le projet de se débarrasser de l'enfant, en le faisant transporter au loin, s'il naissait vivant, en le brûlant, s'il venait sans vie. L'accusée a déposé avec une rare énergie, invoquant, diverses reprises, la nécessité où elle était de sau ver son nom d'urie honte ineffaçable. Fétis, dans sa déposition, a soutenu que les pro vocations étaient venues d'Angélina Lemoine. Le président a fait lire une lettre dans laquelle ce té moin, indigné du crime commis, suivant lui, sur l'enfant, exprime le vœu que Mme Lemoine subisse un pareil supplice. A la fin de l'audience, une déclaration du docteur Deniau est venue donner au procès une nouvelle physionomie. Ce témoin a déclaré que de l'examen du fragment d'os frontal trouvé dans les cendres résultant de l'incinération du cadavre, il fallait con clure que l'enfant était né sept mois. Par conséquent, la version de Fétis, qui fait re monter la grossesse au mois d'octobre, serait erro née, et celle d'Angélina Lemoine, qui la place aux premiers jours de février, serait exacte. Dans tous les cas, le fait d'infanticide deviendrait plus que jamais problématique. Tours, 11 décembre. VERDICT DU JURY. Angelina Lemoine a été acquittée. Le jury a ad mis des circonstances atténuantes en faveur de la mère. Celle-ci a été condamnée 30 ans de travaux forcés. Un affreux malheur est arrivé vendredi en notre ville au local habité par le concierge du tribunal. La mère de ce dernier, âgée de 65 ans, a été horrible ment brûlée. Voici dans quelles circonstances: M. Pelzer, commissaire de police de la ville de Si* Trond, qui était venu déposer dans une affaire cor rectionnelle, descendant vers midi, de la salle d'au diences et étant parvenu au rez-de-chaussée du palais, entendit que des cris déchirants partaient de l'étage. Aussitôt il s'élance vers la chambre d'où venaient ces cris et il y trouva une vieille femme, assise dans un fauteuil et enveloppée des pieds la tête de flammes et d'une épaisse fumée lui-même tomba un instant suffoqué mais comme l'air péné trait par la porte qu'il venait d'ouvrir, il put se rele ver et avec un admirable sangfroid il s'empara de la malheureuse, la coucha sur le plancher et la cou vrant de couverture» et autres objets de litterie, il par vint éteindre les flammes. Malheureusement la victime n'a pas survécu ses horribles blessures et le lendemain elle expiraitdans d'atroces souffrances. Tout fait croire que sans le courage et le sangfroid de M. le commissaire de Pelzer, peut-être eussions- nous eu déplorer l'incendie de notre palais de jus tice. Constitutionnel du Limbowg.) fss spoaats&spsassa, GEIICCHTE TRECRNIET-MOLEN gemeente langemarck. Maendag, 16' December 4859, om 10 uren s'morgens, op de hofslcden ge- bruikt door het stcrfhuis weduwe Flyps, Pietcr Soenen en Goemaere, op gemelde Poclcappelle, zal men publiek verkoopen 175 koopenzcersehooncen zware Abeelen, Popelieren en lepen. Deze Verkooping zal geschieden met langen lyd van betaling mits stellcnde goede medekoopers ter aenveerding van den Notaris COMYN, te Langemarck, belast met deze verkooping en den ont- vangst. t»o i« sup noiJ-)iviio| si 1 itndrns En vente au bureau de cette feuille de ï,a taille et de la conduite des arbres fruitiers, -ina 1 ptilenp uensqoa »no* vit 1 b. mortier, IHSTITCTEOR EN CHEF A L'ÉCOLE COHMDNALE D'TPSIS. Brochure in-8*, contenant A4 pages et 3 grandes planches lithographiées, prix fr. fi»3io-n* lit eyilsup eal l»l Études des Notaires DANCOlSNE, Frelinghein, et BUTAYE, Warncton. 1* Au chemin menant de Frelinghein d VAN EN ANDERE au cnemin menant ae rreungneui a /RS\ VTVfi1 Wk V\J*Y Messines, l'entrée de la ferme occupée 1 En f| |E* lNi| par la veuve Auguste Deb.mlleul et sur «Al 4L A par les vergers de la dite ferme, 16 TRÈS-GROS D EXCELLENTE QUALITÉ, ET 4 TKÈS-BE4UX SAULES, Une quantité de gros monte de Fagots, Bois éeartelés, Echettes et Débris, essences d'ormes. 2" au chemin de la Blancheprès le cabaret de la Dimi-Luni, UN TRÈS GRAND NOMBRE ESSENCES D'ORMES, BOIS-BLANCS ET FRÊNES, et 7 très-beaux BOIS-BLANCS, CROISSANT SUR LA RIVE DU CHEMIN, Formant en tout 92 marchés, AVEC CRÉDIT JUSQU'AU 1' OCTOBRE 1860. Le Jeudi, 5 Janvier 4860, 40 heures du matin, M" BIJTAYE, Notaire résidant Warnêton, procédera la Vente publique des Bois ci-dessus. La réunion au chemin de la Blanche, où la Vente commencera. La recette se fera en l'élude du dit No taire DAiYCOISNE. dien8tig yoor Schip- molen- timmer- en klompwerktn, TE LANGEMARCK. Ter liierna gemelde dagen en plaetsen, telkens ten een ure namiddag, zal men verkoopen, op gewoonen tyd van betaling en verdere voorwacrden, onder de directie van den Zaekwaernemer lierai,rt, te Langemarckmet den onlvangst van diere kelast, de naschreven BOOMEN A. Donderdag, 15" December 1859, op d'hofstede de Kraevbekb, gebruikt by vidua Jacob Van Eeckegelegen west de kerk van Langemarck, op klecnen af- stand van den Plaetsemolen en hetgehuchte Pilckem 4* Op de dreve in de Mole-weide, loopende naer de Groenestraet: 38 Abeelen, verdeeld in 24 koopen. 2° In het Kraeybeekbosch, palende aen 't behuisd land Picter-Ignaes Bekaert, gelegen op kleenen afstand der Dixmude- straet en der steenwegen van Pilckem en van Langemarck naer Bixschote 4 Popelier en 4 Eik (molenas), verdeeld in 2 koopen. En 3* In de weide achlcr de scheure: 4 lepen, 40 Abcclen en 3 Appelboomen, verdeeld in 12 koopen. B. Vrydag. 16* dito, op de h'of- stede gebruikt by Pelrus Mattenna Char les Baeldegelegen zuid de kerk van Poelcappelle en op klccnen afstand van den Wallemolcn 4* In de grasweide zuid 't hof 41 Abeelen en 59 Popelieren, verdeeld in 33 koopen. 2* In de meersch palende noord voor- zeide weide 12 Popelieren, verdeeld in 7 koopen. De vergadering ter wederzydsche hof- steden, ter dagen en uren voorzeid ivivra J83 lioa y1N SCHOONE ©P WE^VI©[& i TUSS6HEN D'HERBERG DEN NACHTEGAEL EN DEN K0ELENBER6. Maendag, 26" December 1859, ten twee uren namiddag, zal men verkoopen ter.plaets,omtrent 4 Uec ta ren schoone Taillie, groeyende in de bosschen ge bruikt door d'beer Aullst-Van Raes, te Wervici, en gelegen zuid en noord aen den steenweg van Yperen naer Gheluwe, tussclien d'Jberbcrg den Nacbtegacl en den Kocleuberg,verdeeld in vcrscheidekoopen. Langcn tyd van betaling, mits goede làflfeJaeiî» rua ànnob Jflûgia îoj oi>y - De Notaris FORREST, te Wervick, is gclast met deze verkooping. By M' POUP ART-VIENNE, Notaris ter residentie van Oostvleteren, is er geld in leenin^të bekomen mits goed bezet.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3