K1KE\, IEPK\, nouvelles diverses. AVIS. - LesieurROSIMONT-VERPOORT, directeur de la Compagnie d'assurances contre la milice, rue d'Argent 38, Bruges, a l'honneur d'informer le public, qu'il se trouvera la dispo sition des intéressés tous les Samedis jour du marché, aux Trois Rois, a Ypres. BOOIEI, Les arohiducs Léopold et Eroest, armés cette après-midi, de même que les archiducs Charlss- Louis et Louis-Victor, arrivés dans la soirée, se sont rendus dix heures et demie du soir bord de la Novare. L'archiduc Charles-Leuis a déposé sur le cercueil une grande couronne de fleurs prises dans les serres de Miramar. Cette scène a été on ne peut plus mouvante. LL. AA. II. étaient accompagnées du capitaine de frégate M. Radonez. Le cercueil était déjà orné de trois couronnes, dont l'une avait été déposée par le corps de la marine de Pola, l'autre par la gar nison de Queretaro, et la troisième par le gouver neur de Ténériffe. La dépouille mortelle est en fermée dans un cercueil de bois rose et placée dans la batterie, près du logement du comman dant. Le général Mezzacapo, un colonel et deux offi ciers de l'armée italienne sont arrivés pour assis ter la cérémonie funèbre. Le comte Moiiceoigo, haillif de l'ordre de Saint-Jean, arrive aussi de Venise pour se trouver la réception en qualité de représentant de l'ordre. Toutes les rues de Trieste qui, demain, doivent être parcourues par le cortège, sont tendues en ■noir, et on a aussi élevé des tribunes couvertes de drap noie sur le parcours. Ou va travailler toute la nuit pour parer en deuil les embarcation* du convoi mortuaire pour le débarquement. Épizootie. Dans nn de dos derniers bulletinsnous expri mions l'espoir que le typhus contagieux resterait confiné dans le petit groupe de nourrisseurs, ag glomérés au pied de la citadelle du Sud, Anvera. Nos prévisions ne se sont pas réalisées. Nous «apprenons, en effet, que la peste bovine vient de faire irruption Cappellen, au-dessus d'Anvers* 'Trois bêtes malades et trois suspectes ont été «battues. Il faudra, sans doute, recourir une mesure plus radicale, car il n'y a qu'un moyen d'artêler 4e fléau, c'est de faire le sacrifice de tout le bétail ■des étables infectées. On vient d'appliquer cette mesure aux foyers «d'Anvers, et c'est peut-être parce qu'on n'y a pas -eu recours assez tôt que nous avons aujourd'hui •de nouveaux cas déplorer. Journal de la Société agricole du Brabanl Par arrêté royal du 16 Janvier, le sieur M.-P. Christiaeu, notaire Passchendaele est nommé Juge suppléant la justice de paix de ce canton, en remplacement du sieur M.-A.-L. Christiaen, ■appelé d'autres fonctions. Un accident, qui a failli avoir des suites bien malheureuses a eu lieu hier -à Bouvignies. Par suite du dégel, d'énormes pierres se sont dé tachées de la tour en ruines de Crèvecœur et se sont précipiiees sur le toit de la maison habitée par M. Douillet. L'une de ces pierres, Cubant en viron cinquante centimètres, a traversé le toit, enfoncé le plancher du premier étage, au-dessus d'un lit où reposaient deux demoiselle*. Heureu sement qu'une solive a empêché la pierre de tra verser le plancher. Ces demoiselles en ont été quitte* pour recevoir les débris du plafond l'une d'elles cependant a été assez fortement blessée la tête par ces débris. Une pierre angulaire de près d'un mètre a écrasé un toit porc, une autre est tombée sur une tablette d'un mur qu'elle brisée, et est allée s'enfoncer dans une cave. Il y a plusieurs années déjà, le gouvernement, auquel appartient la tour de Crèvecœur, y avait fait commencer des travaux de restauration. Nous ignorons pourquoi ils ont été interrompus. On a annoncé dernièrement l'arrestation, dans le comté de Jefferson, près de Louisville, d'un nègre qui avait commis un acte de la dernière brutalité sur la personne d'une jeuuefille blanche. Noua avons appris depuis le dénouement de cette affaire, dénouement qui ajoute encore l'horreur du crime. Aussitôt que l'événement fut connu dans le pays, tout le peuple des environs, blancs et noirs, s'assembla et se mit la chasse du cou pable. II ne tarda pas être arrêté, et il fit des aveux complets. Aussitôt, la fureur publique ne connut plus de bornes, et les gens de couleur se montraient plus irrités encore que les autres. Le prisonnier fut saisi, garrotté, hué, conspué, battu, c'était qui en aurait un morceau; on l'attacha un arbre, on le brûla vif, on lui coupa les oreilles, on lui hacha la figure coups de couteau; bref, jamais supplice ne fut plus horri ble, on aurait dit une horde de caonibalee se dis putant les lambeaux d'une pâture humaine. L'officier préposé au bureau des affranchis avait été averti de ce qui se passait, mais il est resté impuissant devant la nombre et devont la celère populaire. 11 a écrit au général Sibley,qui a en voyé des troupes sur les lieux,et l'on pensait que de nombreuses arrestations seraient opérées. Alexandre 11. Ce digne fils d'un monarque extraordinaire est un des sou verains les phis éclairés de l'Univers I ii a été appelé au trône de Russie, au moment où cet empire était en guerre avec les puis- sauces occidentales. 11 s'occupa tout d'abord du bien-être de ses sujets ensuite, il rétablit ses relations étrangères sur nn pied pacifique. Son occupation suivante fut de régulariser les affaires intérieures de ses États. Le plus grand bienfait accordé ses sujets c'est l'émancipation des serfs, réforme par laquelle des millions d'individus ont été élevés la vie sociale et sont deve nus des êtres pensants. Le serf n'avait rien qui l'attachât S la vie, rien qui dut lui survivre L'homme libre a devant lui tout ce que son ambition lui suggère d'obtenir; sa marche progressive n'est point obstruée par les préjugés de caste, ni les restrictions légales. Un autre de ses actes qui fera qu'on se souviendra de lui avec reconnaissance, comme le bienfaiteur de son pays (au moins le Professeur Holloway), est l'Ukase qu'il vient de pu blier pour «renouveler et coufirmer celui de sou père, Nicolas 1., par lequel la vente des Pilules et Onguent Holloway est non- seulement permise, mais même fortement encouragée dans tout l'Empire Russe. Cet hommage rendu un homme de l'ambition d'Holloway doit lui avoir été très-flatteur. Cependant, nous croyons bien que tout cela ne s'est point fait sans une profusion d'or parmi certains fonctionnaires parce que, prétendre que les Pilules Holloway ou sou Onguent, eusseut été connus, même imparfaitement de l'Empereur serait ridicule; mais, qu'un rappoit très-favorable sur l'efficacité de ces médecines ait été présenté, par de puissantes raisons, de hauts fonctionnait t*, cela ne peut être douteux. N'importe, Holloway arriva là son but, comme partout ailleurs. Il fit briser les barrières de la Russie et actuellement, nous voyons qu'elles se vendent dans la plupart des villes de ce vaste Empire. Nous ne prétendons pas dire quel peut être leur mérite mais, que leur propriétaire soit un des hommes les plus entreprenants de notre époque, cela ne peut être rais en doute, et, oe qu'il obtient, il s'y attache aussi. Hol loway a maintenant introduit son Onguent dans plusieurs hôpi taux militaires, parce qu'on a trouvé qu'il surpassait tous les autres remèdes pour la guérison des anciennes plaies, blessures et ulcères. En outre, le soldat Russe souffre beaucoup des mala dies cutanées et préfère cette préparation toute autre. I«a ques tion est celle-ci: Holloway a-t-il subventionné les médecins qu'il y ait quelque chose d'inexplicable la-desscus, il n'y a pas le moindre doute. Holloway était St. Pétersbourg en 1853 et il fut invité par l'empereur Nicolas lr, assister la grande parade militaire qui eut lieu, environ vingt milles de la Métropole. Jermont Eagle. Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers de béné dictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866: La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repasde la Revalenta Arabica dîj Barry, qui a opéré des effets surpre- sants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantagea, n'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiette chaque repas. Le problème de se guérir sans médicament a été parfaitement résolu par l'importante découverte de MM. Barry, de la Reva lenta Arabica du Barry. qui économise cinquante fois sou prix en d'autre remèdes. Voici un petit extrait de 65,000 guérisons parfaites N° 62,476. Sainte-Romaine-des Iles. (Saône-el-Loire), ce 30 Décembre 1862. Monsieur, Dieu soit béni! La Revalenta Arabica du Barry a mis fin mes 18 ans de souffrances de l'es tomac avec faiblesse et sueurs nooturnes, pour m accorder de nouveau le précieux trésor de la santé. J. Comparet, curé. N* 47,121. mlle E. Jacobs, de quinze ans de souffrances hor ribles des nerfs, indigestions, éruptions, hystérie, mélancolie. N° 48,514. mlle E. Yeoman, de 10 ans de gastrite et toutes les horreurs d'une irritabilité nerveuse. No 49,842. M®e Marie Joly, de cinquante ans de constipation indigestion des nerfs, asthme, toux, iiatus, spasmeset nausées. N° 36,212. M. le capi taine Allen, delà marine royale,sa fille d'épilepsie. DU BARRY, 12, rue de l'empereur, Bruxelles. En boîtes de 1/4 kil., 2 fr. 25 1/2 4 fr. 1 kiî., 7 fr. 2 1/2 kil., 16 fr. 6 kil., 32 fr.; 12 kilfranco, 60 fr. Contre bon d eposte. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exqois pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assiroulant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffeoieul, ni les autres inconvénients de chocolats ordinairement eu usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. fi* Se vend Ypres, chez G. Vkys, pharmaoien Frtsou-Yan Outrtvk, pharmacien Ch. Bccuwe pharmacien; Mahiru, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers et confiseurs daus toutes les villes. Pilules Holloway. Les affections bilieuses et les dérange ments du système, produits par une suraboudauce de bile im pure, sont toujours corrigés par quelques doses de ces inestimables Pilules, partout admirées par leur rare combinaison de douceuj et de pouvoir, parce que tout en guérissant avec facilité et rapi dité les maladies les plus obstinées, elles n'affaiblis eut jamais l'estomac, et ne nécessitent auouue interruption dans les devoirs de l'existence, ou les amusements. Au contraire, elles augmen tent l'appétit, fortifient les organes de la digestion, donnent une nouvelle énergie et uue nouveHe vie ioutes les fonctions ani males, et conviennent tout la fois an corps et a l'esprit pour de nouvelles forces. Celui qui se sent malade ou faible peut faci lement découvrir quelle heureuse révolution le pouvoir de ses Pilules peut exercer sur le système humain. o. Eu vente: Pilules et Onguent, chez Fr*sou-Van Outrtvb, rue de Dixmude, 35, Ypres. VENDIT1E van -zwahe ABEELEN POPULIEREN EN BEUKEN SfiOO 11EI, 0P PASSCHENDAELE. by ben keibkiig. Op Woensdag, 5° Fcbruary 1868, te beginnen met tien iniddag, zalden Nota- ius CHRISTIAËN vèrkoopen, op de groiiden <hrr hofstede gebruikt door sieur Désiré Van Halewyn, le vooren de kiudc- >en Lefewre, op Passohcndaele, by den Keiberg, aen den kciwcg van Moorslede naer Becelacre, 75 koopess Bosnien, waenndcr zwarc Eiken, lepen, Abcelen, Popnliercn en Beukcn, dieu- stig lot veei slach van» erken. Op gewoone voor waerden en lyd betaling, tnits goede borg stcllendc. De vergadering ter hofplaets vangcmclde hofstede en 1er herberg deu Keiberg, be- woond by sieur De Groote. VEND1T1E VAN ZWARS EIKEN, IEPEN, ABEELEA EN POPULIEREN OP 20NNEBEKE. Op Donderdag, 6" Fcbruary i868, te beginnen met den middag, zal den No- takis CURISTIAEN verkoopen OP ZONNEI3EKE. 1* By den IIaen, op de gronden der boftede gcbruikt door sieur Constantin Van Wallegliemaen den steenweg 50 koopen Abeelcu, Popnlieren en Ciken-Boomcn. En 2° In den Westhoek, op de gron den gcbruikt by sieurs Vandevoordc en Durnez FO koopen Boomen, waer- ouder Molenasscn eu 2 groote lepen. Op hewoonc voorwaerden en lyd van betaling, inits goede borg stellende. De vergadering ter hofplaats der hofstede gcbruikt by sieur Van IValleghem, alwaer uicn zal beginnen. BERICHT. Den ondergeleekenden Mijnheer A. VUYLSTEK.É, agent generaal der Lo- tingverzekering te Moorslede, voor Mr DELEU, zaakwaarnemer te Meenen, maakt kerilbaar dat hij of wel M* Deleu zich zal laten bevinden aile weke van io uren voormiddag tôt 3 uren na middag, le rekenen van i" Jauuarij 1868 tôt i° April volgende, te weten: Deu Maandag.te Kohtrtk, in bel Hôtel du Nord bij Filleul, aaii de Statie. Den Uijnsdag, te RotissELAREE. ia dea Café du commerce, bij Jaa Van Biervliet, Zuidstraat. Den Zaterdag, te Yeebeii, iu het Hôtel het Klein Uperen, bij Joye, Dixiaudestraat. Oui le apreken met de persoonen die hunne zoaen voor of na de loting willen doen verzekeren. Ailes mits volkomene waarborg, aan getiadelijke prijzen. A. VUYLSTEKE. âa® 2)52 de Me VAIS EECKE, NOTAIRE, A NEUVE-ÉGLISE. mercredi, 22 Janvier 1868, une heure, sur le verger de la ferme occupée par le sieur Louis Deneudl, Ploegsteert, section du hameau Tente de 60 portions de très- beanx et gros, Orsncs Chênes et Frênes. l undi. 3 Février 1868, une heure, dans une pâture Wytschaetb, près du village, Vente de 45 portions de beaux Canadas, Aulnes, Bois blancs et Chênes. Jeudi, 6 Février 1808 neuf heures, sur les vergers et terres de la ferme, le Locrehop, Loche, non loin du village, Vente de 154 portions de Chênes, Orsnes et Canada», les plus beanx du pays.

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Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3