Variétés. 72 s* S fa - ta s S I fe e NEVRALGIES 2,400,000 âmes, trois habitants seulement avaient dépasse l'âge de cent ans. Un mot d'une profonde naïveté. Il est d'une cascadeuse des Variétés. Arthur m'a promis VHittoire de France illustrée Qu'est-ce que tu en feras le laisserai le livre ouvert sur la table de mon salon.... Pour faire croire que tu le lis Non... mais il y a une image dont on m'a parlé.... Laquelle C'est un roi de France qui est représenté au moment où il lit la constitution. Un touriste, au moment de quitter son hôtel, vérifie sa note. Le service est-il compris là-dessus demanda-t-il. Non, monsieur, c'est la générosité du voyageur. Mais je ne suis pas généreuz,. Alors, mousieur, c'est deux francs par jour, soit pour trois jours, six francs. S'il en est ainsi, j'aime mieux d'être généreux... Voici trente soùs Le capitaine Boum, conduisant sa oompagnie au oamp, venait par une chaleur accablante, de faire une étape de 38 kilomètres Animé d'une louable sollicitude pour ses quatre-vingt-dix- sept hommes, il leur prescrivit de changer de chemise. Eh bien, dit le plus ancien sergent aux soldats, u'ayez-vous pas entendu ce qu'a ilit le capitaine C'est que, sargant, nous n'avons pas de chemise sanger Que vous dites une bêtise, mon garçon répondit le ser gent el que vous devriez savoir qu'un ordre doit toujours être ■exécuté militairement. Changez-en entre vous!!! L'autre jour, un de nos confrères alla voir un huissier qui, sur dénonciation de sa qualité d'hommes de lettres, lui témoigna les jplus grands égar ds. Vous paraissez aimer la litlérature, lui dit X... touché. Si je l'aime!... j'ai saisi Balzac A propos d'annonces, parlons de la réclame ambulante qui, les jours de courses, brûle le pavé de Paris, au grand bruit de ses •roues et de ses grelots. On sait on peut-étreou ne sait pas, raconte Emile Blavet,dans (la Situation, que l'agence des poules pour les courses a fait con- •strinrc une espèce d'omuibns peint en rouge sang de bœuf, qui a tun faux air (le l'équipage de Monsieur de Paris. Dimanche matin, avant lefcourses de Vinoennee, oet omnibus, grillé comme une voiture cellulaire, parcourait la rue Mont- •martre. Les passants étaient fort intrigués par ces trois mots •peints sur les panneaux du véhicule mystérieux Chalet des tPoules Qu'est-ce que le châlet des poules se demandaient les pro vinciaux de Paris. Le châlet des poules répondit un gavroche qui vendait do (buis non baptisé, connu c'est la voiture qui porte des œufs •domicile. Connaissez-vous celle plaisanterie villageoise •que raconte l'Echo agricole Chacun sait, au dix-neuvième siècle, que les Sarrasins envahirent la France et furent battus, ■entre Tours el Poitiers, par Charles Martel. Un vieux campagnard des environs d'Ocleville •qui lisait dernièrement ce fait dans une histoire «de France, jeta son livre de dépit, disant qu'il ne lirait plus d'histoires, que toutes étaient remplies •de mensonges. tjuoi s'écria-t-il, Fauteur de ce livre n'a-t- il pas le toupet de prélendre que Charles Martel battit les tarratinau mois de Mars Personne «'ignore qu'on ne les bat qu'à la fin de Septembre «1 au commencement d'Octobre 1 Une charmante idée venue de Mons L'administration communale'd'An vers vient de décider qu'elle n'accorderait pat d'emplace ment pour l'érection de la statue équestre du roi Léopold ir. On sait que la statue est faite. t» A Mons, il y a longtemps que l1emplacement ett accordémais la statue est faire. Messieurs les Anversois nous feraient grand plaisir de nous recéder leur statue. Un naïf villageois disait l'autre jour sa femme: a Accoute donc, Gertyude Eh ben, quoi? Y en a qui disioat que l'homme et la femme ne font qu'un, et d'autres souteniont que ça fait deux. Eh ben, après En v'Ià des bêiises 1 Comment Mais faut c'tapendant pas biaucoup de carco- Iation, pour dire que je fesons trois, oous. Ah par exemple Tiens, suis-moi ben dans mon carcul. Je te suis. Toi Gertrude, ça fait unmoi Boniface ça fait deux r or, si j'sais ben compter, un el deux font trot* c'esl-y clair, ça-? Ah! Boniface, Boniface, tu ne vivras pas m'n'ami. Ah bah pourquoi T'as ben trop de sens Préjugés nationaux vaincus. LES TRIOMPHES D UNE GRANDE DECOUVERTE. La magnétique influence de l'or attire le peuple de toutes les régions sur notre sol. Hommes de toutes les nattons et parlant tous les langages civilisés, sont agglomérés dans nos plaines au rifères. Différents en toutes choses, dans leurs coutumes, habi tudes et religion, il est un point sur lequel leirrs opinions coïn cident. Anglais et Américains, Français, Suisses, Allemands, Norwégiens, Italiens et Chinois admettent d'un commun assenti ment, que les remèdes introduits daus le monde, il y a vingt ans, par Professeur Holloway, le médecin distingué et pharmacien universel, sont mieux appropriés la guérison des maladies de notre climat que toutes les autr-es préparations existantes, cela paraîLetre, «u fait, l'expérience de l'humanité dans-toutes les parties du monde, de là la popularité universelle de ses méde cines. Nous considérons donc, que la confiance sans bornes dans leur efficacité qui leur est aocordée paî1 les représentants de tant de nations aux mines, est le phénomène le plus considérable daus l'histoire médicale. Beaucoup de ces individus, dans leur jeunesse et même dans l'âge mûr, étaient habitués 1 usage de médicaments et romèdes secrets; particuliers leurs différentes contrées. Ces remèdes, dans leur esprit, faisaient partie des cho ses de la famille et cette idée se fortifiait, pour ainsi dire, par leurs préjngés nationaux. Ces préjugés ont été rejetés de côté et répudiés résolument, aussitôt que les Pillules et l'Onguent d'Hol- loway ont été adoptés, par une impulsion commune d'un bout l'autre de la région aurifère. ïi n'y a qu'un seul moyen d'oxpli- quer ce mouvement. C'est le résultat de la conviction, con viction basée sur l'observation et l'expérience personnelle. "L'Onguent a été employé avec un succès si étonnant, dans le pansement des blessures, des ulcères et des maux de jambes et pour toutes les maladies externes et accidents auxquels sont si particulièrement exposés les chercheurs d'or, qu'il est presqu'im- possible de rencontrer un campement dans ces vastes plaines au rifères, qui ne soit approvisionné de cette préparation guéris sante, adoucissante et rafraîchissante. La vie dure du mineur et quelquefois ses habitudes tendent vicier le sang et développent des maux qui courent et des ulcères virulents, dans le corps et les membres. Maux de jambes, spécialement, sont très-fréquents dans les mines et entravent les travaux des mineurs. Les cas les plus fâcheux dans cette classe, se guérissent avec une rapidité extraordinaire avec de l'Onguent. £a meilleure méthode de gué rir les maux de jambes, maux et ulcères en général, est de frot ter l'Ongueut sur les parties enflammées autour de l'orifioe, en ouvrant d'abord les pores et en adoucissant la peau avec des fo mentations chaudes* La parti-e affectée est alors dressée avec de la charpie ou du linge saturé avec l'Onguent. Tel est le traite ment externe, mais il est aussi très-convenable de donner au patient quelques doses des Pilules pendant le traitement, at tendu qu elles servent purifier le sang et expulser les matières morbides du système, pendant que l'onguent agit la surface. The Southonian. CAISSE DES PROPRIETAIRES. société anonyme belge pour prêts sur utpothéque. Fonds social 3 millions de francs. A partir du 1r Octobre 1867, les obligations seront émises aux conditions d'intérêt suivantes Obligations un an de date. 3 de 2 4 ans. 4"/. 5 ans4 1/2"/. 10 ans4 3/4 primes 4 1/2 équi vaut 5 au minimum en tenant compte de la prime de remboursement. Conclusion de prêts par annuités long terme, et ouverture de crédits, le tout sur hypothèque. S'adresser Ypres, M. L. Dbsmarets, chez qui les prospectus et renseignements sont la disposition du public. Désormais nul ne pourra douter des curea merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers de béné dictions déjà reçues, nous tommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866 La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenaut de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica, dd Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de oette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Guèrison n° 56,935. Barr (Bas-Rhin), 4 Juin 1861. Mon sieur, la Revalenta a agi sur moi merveilleusement mes forces reviennent et une nouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse. Mon appétit, qui, pendant plusieurs années, a été nul, est revenu admirablement et la pression et le serrement de ma tête, qui, depuis quarante ans, s'étaient fixés l'état chronique, ne me tourmentent plus. david R0FF, propriétaire. En effet, plus de 65,000 guérisons par cet excellent alimen* prouvent que les misères, dangers et désappointements que» jusqu'ioi, les malades ont éprouvés par les drogues nauséa bondes, se trouvent présent remplacés par la certitude d'un® radicale et prompte guérison moyennant la délicieuse farine de santé Revalenta Arabica Du Barry de Londres, qui rend la par faite santé des organes de digestion, des nerfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, dan9 les mauvaise» digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habi tuelles, hémorrhoïdes, glaires, vents, palpitations, diarrhées, gonflementétourdissement bourdonnement aux oreilles, acidité^ pituite, migraine, nausées et vomissement douleurs, aigreurs crampes et spasmes d'estomac insomnies, toux, sur dité, oppression, asthme, bronchite, pbthisie (oonsomptiou), dartres éruptions, mélancolie dépérissementrhumatismes, goutte, fièvre, catarrhe, hystérienévralgie, vice du sang bydropisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. du barry, 12, rob de l'empereur, Bruxelles. En boîtes de 1/4 kil., 2 fr. 25 1/2 kii., 4 fr. 1 fcîl^ 7 fr*, 2 1/2 ktl., 16 fr. 6 kil., 52 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon d eposte. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assimulant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffement, ni les autres inconvénients de chocolats ordinairement en usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 6Q, soit environ 10 centimes la tasse. 11 Se vend Ypres, chez G. Vrts, pharmaoieu Frysoo-Vi!I ootryve, pharmacien Ch. Bbcuwb, pharmacien; mabibu, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers et confiseurs dans toutes les villes. Onguent et Pilules <THolloway. Urgente Nécessité. Ces préparations procurent les moyens les plus sûrs et les moins chers pour éviter toutes les maladies chirurgicales et médi cales, aussi bien dans cette contrée que dans ses colonies. Dan3 les colonies, l'Onguent et les Pilules sont inappréciables, car la, personne excepté ceux qui n'ont aucun soiu de leur sauté, ne voudrait rester sans être muni d'un antidote contre' les accidents occasionnels et les indispositions nombreuses auxquels l'emi- grant peut être plus ou moins exposé quand il se trouve éloigné de tout secours de l'art. Entorses, coupures, brûlures, maladies de peau, ulcéras, abcès, et varices sont promptement guéris par les remèdes d'Holhway. Les varices et les maux de jambes sont immédiatement soulagés et graduellement guéris par l'usage de ces remèdes salutaires et purifiants qui, par la modicité de leur prix et la profusion avec laquelle ils sout répandus partout, se trouvent la portée de tous. 6. En vente Pilules et Onguentchez Frysou-Vaw Ootryve, rue de Dixmude, 55, Ypres. W cfl fis bJ y e o es -35 E- O Z fc u fi m w 9 a E? a H ft, VW là G CD W a m Si o S O A a g s •a s S a u a o m H U u s a t) fi «B T3 LU - X H h S V V g g r fs Ci] _J S A - J U U b m X K S. 5 S Ul E— S a a S LU W o ts ae -J u - i" a s U3 ca a ■s a S S C S" 4) aa G V M n h 2 -g H I f «d u CJ H P 53 -ê a Opr a M a o I CD ef) z .2 c 9 O 2 S «5 «o «J C s .2 e "ci or «o 2 *1* *3 &r cj a c rr 2 o u S teo xj a S» ta - a S s 0nH s S g S n s-.S X - K - - C3 «o 2 tt <o e. 2 S; S =- S g a S r °-w g o o O v> ^3 OO c J I S-a en H g g O H H g P H g P 1 S g"* S s O 2 2 5 So s ÇJ CD -O Sd* s c ■g «- S - =5 3 O y D g- S: o S 1 m p -a g 9.^5 3 M w o - u a ■UT3 .1 O t- ai O V -a «7 u o k. c -o "s ON= fe g S - 3 a. S.C S, F .2 S g.0"." S •5: .ET S o -c 5 GUÉRISON PAR LES PILULES ANTI-NÉVRALGIQUES DU D? CRONIER Il n'est pas un praticien aujourd'hui qui ne ren contre ehaque jour, dans sa pratique civile, au moins un cas de névralgie, et qui n'ait employé le sulfate de quinine, tous les antispasmodiques et même 1'c- leclricilé. Tout cela bien souvent sans aucun résultaL Les pilules anti-névralgiques du Dr Cronierau con traire, agissent toujours et calment souvent les né vralgies les plus rebelles en moins d'une heure. 3 fr. la boite. Dépôt général, pharmacie Scho/fs, 15, rue de la Montagne, Bruxelles, et dans toutes les pharmacies de la Belgique.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3