MAAIGItAS lI00I(rltAZE{\ GEWASSEN MAAIGRAS. LA PRÉSERVATION PERSONNELLE TELANGEMARCK. IIVSTEL fan 9 fVootihuâzeii met Erf, Weiilcu, Bosch eu Zaailaudeu iahoudende in oppervlakle 4 hectare» 99 aren, te Langemarck, gehucht Poelcapelle eu wyk. Hooglicht. 2° GRASYERKOOPINGEN A. TE ZONNEBEKE, in het dorp. 8 LOTEN (ALLERBESTE PEERDEHOOI) KONINKLIJK GESTIGHT VAN MEESSEN GELEGEN IN NOORDSCHOTE, SCHOONE KOOPDAG VELD- VERKOOPING Pour obvier aux dangers de cette situation, il n'y a rien de malaise faire, rien inventer, il suffirait de suivre l'exemple donné par plusieurs villes de France. A Reims, on a pratiqué entre autres, dans tous les trottoirs de petites excava tions que les habitants remplissent d'eau plusieurs fois par jour, et dans lesquelles les chiens vien nent s'abreuver. Avisa ceux qui redoutent la rage. Les journaux belges et les journaux français continuent nous apporter de terribles histoires de chiens enragés. Les précoces chaleurs de cette année ont rendu les cas de rage plus nombreux que jamais. Voici ce qui est arrivé ces jours der niers dans une commune de S1 Mandé, près Paris Un chien noir, les yeux en feu, le poil hé- risse, une écnme sanguinolente la guenle, mani festant tous les symptômes de l'hydrophobie, répandait hier soir l'alarme dans la commune de Saint-Mandé. Il se jetait sur toutes les personnes qu'il rencontrait. Deux passants étrangers la lo calité et un grand nombre de<chifens avaient été mordus par lui, et il allait causer d'autres mal heurs quand on avertit le maréchal-des-logis Humbert, qui se mit aussitôt la poursuite de l'animal. Le chien s'était réfugié dans la boutique du sieur Hulme, poêlier fumiste, rue de Charonne, dont personne n'osait approcher. Le sieur Hum bert l'en ht sortir, l'attaqua sur la voie publique, «t, après une lutte de quelques instants, parvint a le tuer. Le cadavre de l'animal a été envoyé l'Ëcole vétérinaire d'Alfort. Il était atteint de la rage au plus haut degré. Il appartenait au sieur B..., jar dinier, rue du Chemin Vert, et le jour même avait mordu la dame B...et ses deux enfants. Les blessures des personnes atteintes ont été cautérisées; les chiens mordus ont été abattus et «nfouis dans la terre. i> Petite cause d'une grande souffrance. Une es causes de la diminution dans la consommation des étoffes en 1867, et qui a échappé aux observa tions des défenseurs du libre échange, est évidem ment la diminution de l'ampleur dans les vêle ments des femmes. Avant 1867 uoe robe exigeait de ii 16 mètres d'étoffe, tandis qu'on n'emploie plus que 8 10 mètres le jupon avant 1867 exi geait de 4 S mètres, il lui suffit actuellement de 3 mètres. Conséquences 3o 4o p. c. de moins pour l'achat d'une robe; et cette diminution de l'am pleur permet beaucoup de femmes économes de transformer leurs vieilles robes et de les façonner la coupe nouvelle. Les vêtements d'hommes ont également subi une réduction sensible, particulièrement la redin gote, en l'estimant de 25 3o p. c., on reste dans la vérité. Le typhus, qui a fait tant de victimes dans la Prusse orientale, ravagée en même temps par la famine commence décroître. En revanche l'émigration sera, cette année, une des plus con sidérables qu'on aura eu signaler en Allemagne. Elle ne s'élèvera pas moins de a5o,ooo per sonnes, écrit-on de Berlin au Times. Son princi pal caractère est la prédominance de l'élémeot septentrional, principalement des protestants et des hommes ayant un petit capital dans leurs poches. Il y a dix ans, la masse des émigranls se composait de gens du Sud, catholiques et pauvres, ayant tout juste de quoi payer leur passage, au jourd'hui, c'est l'inverse. Les centres de la population du Sud se sont dé barrassés par ce long écoulement de leurséléments superflus le Nord, au contraire, où le surcroit de population n'a jamais été un mal, envoie actuelle ment ceux de ses laboureurs qui peridaot les quinze dernières années ont pu mettre de côté quelque petite somme. Le prudent habitant du Nord s'embarquera rarement pour une telle en treprise, s'il est absolument dénué de ressources. Si l'émigration prussienne conserve quelque temps ce nouveau caractère,nous commencerons savoir quelque chose de la situation des Allemands aux Etats-Unis. Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers <l« béné dictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir poudre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866: La sauté du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, «'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica on Barry, qui a opéré des elf'cts surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantagea qu'elle ressent de oette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Voici encore un petit extrait des 65,000 guérisons sans mé decine par la délicieuse Revalenta Arabica du Barry qui économise cinquante fois son prix en d'autres remèdes. N* 62,812, Liège, le 14 Novembre 1865. Atteint de dartres au bas c es jambes depuis 1851 et trouvant que le mal ne faisait que s'empirer sous le traitement de trois médecins qui m'assura ieat du reste qu'à mon âge (55) la guérison était impossible, je me suis décidé.mon grand bonheur, faire usage de votre Reva- lenta Arabica qui m'a parfaitement guéri en peu de temps et aDermi ma santé en général d'une manière surprenante. Gr. Voos, concierge au banc d'épreuves des armes feu. N* 46,270, M. James Robert, négociant, d'une consomption pul monaire, avec toux, vomissements, constipations et surdité de vingt-cinq années. D(J BARRY, 12, rue de l'empereur, Bruxelles. Eu boites de 1/4 kil., 2 fr. 25 1/2 iil., 4 fr. 1 kil., 7 fr.t 2 1/2 kil., 16 fr. 6 kil., 52 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon d eposte. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assimulant et fortifiant les nerfs et les ebairs. sans causer de maux de tête, ni échaufifemeut, ni les autres inconvénients de chocolats ordinairement eu usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. 5. Se vend Ypres, chez G. Veys, pharmacien; FaYSou-VAif Ootkyvk, pharmacien Ch. Bkccwe pharmacien Maiiiru, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers et confiseurs dans toutes les villes. Onguent et Pilules d1 Hollaway. Important pour Tous. 11 y a plus de 50 ans que ces remèdes ont été reconnus supérieurs tous autres agents curatifs, par cette seule raison qu'ils ns peuvent jamais être employés a tort, aussi bien dans les maladies externes qu'internes. L'Onguent Huiloway doit être bien frotté sur la gorge et sur la poitrine, en cas de mal de gorge, enflure des glandes, toux chronique et enrouements. Dans les cattarrhes ordinaires et 1 influença, l'Onguent bien frotté sur les parois de la poitrine, avec l'aide d'une douzaine de Pilules, effectue une guénsou prompte. Le même traitement, suivi judicieusement, enlève la dipthérie, l'asthme, la brouchite, la pleurésie, et em pêche cette grande inflammation qu'il se convertit si facilement eu abcès ou ulcère, quand les affections de gorge et de poitrine sont négligées. 8. yan den I«t*«i»DE TAVEKMEK, 1° Vrijdag, 26° Jnnl 1868, Om drie ure des oamiddags, ter herberg Se.n Haas le Langemarck, wyk Hooglicbt, imstelpemuisgen te winkee. Op Wocnsdag, 17" Juui 1868, om Vicr ure des namiddags, "VERKOOPING van \Vassendc op cene partie Meerseh gcnaamd Coene 's Meerscli. Vcrgadering ter herberg dbn Hert. EN B. TE LANGEM ARCK, GEHUCHT S1 JULIAAN Op niaaudag 29° Juul 1868, (S1 Pietersdag), om drie ure des nammiddags, VERKOOPING van 8 KOOPEIf zekr goed Grocicndc in de Vogelmeerschcn. Vergadcring ter herberg van de kinders De Coninckle S* Juliaan. AANZ1ENELIJKE VERKOOPING van toebehoorendb aan het VOOR DEN ONTBLOOT 1868. Aile deze Maaigrazen zijn ten dezen jare buitengeweon goed -en van schoone hoe- danigheid. Den nieuwen steenweg lei- dende van liet gehuchte Luxerne naar de gemeente Noordschotevergemakkclijkt voor een ieder de bewerking van deze be- faamde meersclieu, door de buiteuge tvoone goede kivaliteit kooi die zij op brengen. hun s an tek pxaats accoord maken voor set ophooijen. Op Weeusdag, 24° Jtanij 1868, om drie uren namiddag ter herberg het Geheentg-Huis, in de dorpplaats van Noord schote, zal cr ten verzoekc van de heeren Administrateurs van het Koninklijk Ge- sticht van Meessen en door het Ministerie van den Notaris PIETEBS, ter verblijf- plaals van Reninghe vcrkocht worden de volgende HOOIGRAZEN IN DEN GROOTEN BROUK, tcsschen den peeheboom en broekstraat. 24 hectaren 9*2 aren 64 centiarcn, ver- dceld in 22 koopen. tusschen de gezhide oude-broukstraat en den upehvaaut. 25 hectaren 61 aren 34 centiaren, ver- deeld in 22 koopen. ZUID-RI0LBR0UK. 2 hectaren 80 aren 52 centiaren, verdeeld in 5 koopen. NOORD-RIOLBROUK. 21 hectaren 46 aren 21 centiaren, ver deeld in 18 koopen. WEST-BROBK. tusschen den land-dux en den kfs1mel. 44 aren 10 centiaren, verdeeld in eenen koop. Onniiddelijk daarna zal vcrkocht worden eene partie groot 1 hectare 52 aren 50 cen tiaren, gelegen 1n Noordschote, locbehuo- rendeaan MM. Geldof, eigenaars, te Brugge. Degene wenschendc de voormcldc par- tien Booigras na te zien, kunnen zich bc- gevenbij den veldwachter Van Elslander, te Noordschote, hij welken te bckomen zijn uittreksels inhoudende het uummer en grootle van elke partie. De verkooping zal geschiedcn op tien maanden tijd van betaling, voor het prin- cipaal, onder solvabele borgstelling, betaal- haar in handen en ten kantore van den Notaris PIETERS, voornoemd de l>e- spreken comptant in zijnc handen te vol- doen. van OP STAM, TIMMER- EN BRANDHOUT, IN 'T BOSCH HOUTHULST, 33 cassa&aiss, ten verzoexe DER ERVEN VAN WIJLENT M. DE RIDDER. TOa.1ud.1g29° Jtuiiij 1868 om Lwaall uren 's middags, zal men er ver- koopen in de partien Doodkeirel en Kruis- eiken 1° 5 hectaren ROGGE OP STAM, (zeer dienstig voor zaaigraan) 2° 5,000 Hardc en zachlc Taillie- en Snoek-Ameloozcn dienstig voor bakkers; 5° 5,000 Sparrehusschen 4° 50 Koopen grôote en kleinc Spar- ren, benevens Eiken Lijsteboomenen PJant- soenen, dienstig voor aile slach van timmer- werken 5° 100 Koopen Rodingblokken, Veld- spaenders en Boomtoppen. De vergadcring ter herberg het Kas- tbelken. De boschwacbters Petrus Noyez en Petrus Lechat, zullen aan de lielhebbers die zouden wcnschen 't ecne of 't anderc te bczicbtigen, ailes aantoonen. Dezen koopdag zal geheuden worden op gewoone voorwaarden en negen maanden tijd van betaling behoudens door de koopers bekendc solvabele uiedckoopcrs te stellen ter aanveerding van den Zaaxwaar- n'emer LIEBâERT, te Langcmarck, met den ontvangst van dien belast, welken zal moeten gesebiedenden Woensdag van iedere week1. van Op Zaterdag, 20° der maand Jtanij 1868, zal cr door de tusscbcnkoinst van den NoTARisVANiBEUmEEBSCB, om 5 uren des avonds, overgegaan worden lot de openbarc vcrkoopingdcr GRASGEWASSEN in de speelgoeden en aanpalende eigen- dommen van M. Carton eu Mcvrouw de douairière Alergkelguck, te Sint Jacobs- nevens-Uperen, en op ccnen Meerscb der l'amiIlie Markeybij de bofstedc gcbruikt door sieur iluygbcbaert. TRAITÉ PRATIQUE DES ORGANES GÉN1TO-UR1NA1RES. Essai médical populaire, sur la guérison de la Débilité Nerveuse et Physique, et les infirmités secrètes de la jeunesse et de l'âge mur, suites d'abus précoces ou excès, qui épuisent prématurément les fonctions de la virilité, détruisent tout espoir de postérité, et mettent en danger le bonheur du mariage, par Dr. S. LA MERT, n° 57, Bedford Square, Londres, membre du Collège de Chirurgiens de l'Angleterre, etc. Consul talions tous les jours. Les personnes qui ne pourraient se rendre chez lui peuvent être traités avec succès par correspondance, et les remèdes sont expédiés d'uue manière secrète ot certaine dans toutes les parties du monde. La PRÉSERVATION PERSONNELLE ornée de nombreuses gravures et de cas, contient les causes, les symptômes et les complications de toutes les maladies qui se rattachent aux voies uriuaires. Cet ouvrage eu français, ou hollandais ZELFBEIVARING] se vend 1 fr.; franco par la poste fr* 1-50; chez F. CLAASSENj libraire, 88, rue de la Madeleine, Bruxelles, et chez LEGROS ET J. DEDEKENj Rempart Slc-Catherine, 23, a Anvers.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3