H té H I Tfl 1 Z -a Nouvelles diverses. fi N> H fa fa a I et qu'on les aAait pris au moment où ils'ten- taient de s'enfuir avec leur butin par le balcon de la rue Bois-Sauvage. Informations prises, tout ce roman c'est ré duit ceci: quelques ouvriers, maçons,occupés travailler dans le bâtiment et que le con cierge avait enfermés par mégarde n'ayant pu se faire ouvrir la porte, s'en allaient tout tranquillement par la feaêlre sans avoir songé un seul instant diminuer l'encaisse métal lique de la banque Nationale. Un télégramme d'Anvers nous apprend qu'avant-hier soir un bateau chargé de 280 barils de pétrole brut a fait explosion sur l'Escaut et a été complètement incendié. Le feu s'est communiqué d'autre» navires, où l'on a promptement réussi l'éteindre. Heureusement, ce sinistre n'a causé la mort de personne. Le bateau incendié n'était pas assuré. (Indépend.) min— i On écrit d'Anvers On vient d'inaugurer ici avec éclat le deuxième grand steamer neuf, City ofRio- Janeiro, qui complète l'organisation delà ligne postale établie l'an dernier par MM. Tait, sous le patronage de l'État entre la Belgique le Brésil et la Plata. Ce steamer qui est l'un des plus beaux navires que l'on ail vu Anvers, est parti de notre port pour Beunas-Ayres, avec un plein chargement de marchandises et de voyageurs dont environ 80 émigrants. >i Un magnifique déjeûner a été offert bord aux autorités belges, anglaises et amé ricains, ainsi qu'à quelques notabilités d'An vers et de Bruxelles, par MM. Tait frères, chefs de la nouvelle ligne transatlantique. Les rapports que l'inauguration du City *5/ Rio-Janeiro crée entre la Belgique et l'Amérique du Sud, sont d'une importance qui ne peut échapper personne Aussi est- on heureux de pouvoir augurer favorable ment de cette grande et courageuse entre prise. Dernières nouvelles. Malgré une mauvaise nuit, nous ne constatons pas d'aggravation. Dr WlMMER. Dr Henriette. Château de Laeken, le 18 Septembre. Le correspondant de l'Economie de Tournai raconte qu'un imprimeur de Bruxelles a imprimé en caractères microscopiques, sur du papier mince comme pelure d'oignon, les o08 parus de la £aw- terne de Rochefort. Plusieurs brochures tiennent -à l'aise dans la caisse d'une montre. Si la douane française trouve le moyen d'empêcher l'intro- -ductiou decesbrochures-là en France, c'est qu'elle aura de l'ingéniosité revendre. On écrit de Berne Une scène assez comique ^ient d'avoir lieu dans la fosse aux ours, que con naissent tous ceux qui ont visité notre ville. Une vache s'est sauvée du marché au bétail et s'est pré cipitée dans la fosse. Celte irruption inopinée a tellement stupéfié l'ours et sa compagne qu'ils se sont retirés daus leurs cages. Le maître du logis, l'ours Mani, connu par ses démêlés avec le capitaine danois Lort, chercha, il est vrai, un instant défendre l'inviolabilité de son domicile, mais il préféra bientôt de ne pa9 s'ex poser plus lougiemps aux cornes de la vache. Malheureusement celle-ci n'a pas joui longtemps des fruits de son héroïsme. Vendue uo boucher, elle est tombée bientôt sous la hache. Victoires pacifiques. NI TUÉS, NI BLESSÉS TOCS SAUVÉS C'est avec raison que l'illustre Milton a dit La paix procure des victoires, Non moins que la guerre, notoires. La vérité, aussi, procure des victoires, et elles sont les plus glorieuses parce qu'elles ne sont point sanglantes de tous les triomphes, elle tue son plus beau lustre du nombre des sauvés et non pas du uombre des tués. Telles out été les victoires de la vérité i emportées par un de ses plus fervents et philanthropiques champions, le Professeur Holloway, le Grand Réformateur Mé dical de l'Epoque II revendique l'honneur d avoir découvert et appliqué les remèdes naturels pour presque lou es les maladies internes et externes, et de ce que nous avous vu et appris, su, et entendu sur l'efficacité de ses deux préparatious bien connues djms le monde entier, daus l'Amérique du Sud, surtout, et aulres contrées voisines, nous sommes portés a regarder sa reveudicatiou comme légitime. Le Gouvernement Russe l'a jugé ainsi eu réa lité, il y a déjà longtemps, eu rendant un décret spécial pour l'introduction de ses Pilules et de son Onguent daus ce vaste ernpi re. La Presse monarchique et républicaine, ainsi que les citoyens de l'Amérique du Sud connaissent, depuis longtemps, les pro priétés de oes préparations, et les commissions sur leurs ventes doivent être ires-importantes. Les Indiens, même ceux des tribus les plus éloignées, ont une coniiauoe qui va jusqu'à la superstition, dans les propriétés curatives de cet Ongueut, et les Araucaniens lui donnent un nom qui signifie, Baume^defa vie. Les docteurs Indiens, aussi, ont découvert que les Pilules Holloway sont des spécifiques pour les fièvres bilieuses et les dérangements d'intestins, et, fréquemment, ils ajoutent, leurs charmes et incantations une dose, en temps opportun, de ce re mède, dans les cas de maladie. Nous concluons de l'adoption de ces remèdes par les hommes de la profession, aussi bien que par le témoignage spoutané de nos ooneitoyeus, que cet Ouguent agit d'uue maniéré plus effi cace pour les hémorroïdes, que tout ce qui a été employé jus qu'à ce jour, dans quelque contrée que ce soit. Cette maladie est si commune et si pernicieuse, que ta plus graude publicité doit être donnée ce fait. Si, comme ou nous l'assure positivement, cet Onguent guérit les hémorroïdes les plus invétérées, dans l'es pace d'une semaine cinq, sans endommager la santé générale du malade, par l'obstruction des matières, il est du devoir de la presse de propager ce bienfait au loin et au large. Il nous parvient des rapports si favorables et certifiés par de tels noms, que nous ne pouvons nous soustraire l évidence aussi, recommandons» nous chaudement tous ceux qui sont affligés de ces douloureux dérangements de recourir cette préparation et de l'appliquer sans délai. Ses effets sur les parties enflammées sont vraiment surprenants. Les plaies ouvertes, les vieilles blessures, les fraîches coupures, les fortes éruptions, les brûlures, les piqûres et toutes sortes d'éruptious cutanées sont guéries avec une promptitude extraordinaire. Si oe médicament avait jamais manqué de guérir, on n'eût pas manqué de le divulguer au loin, parce que les hommes de la profession se fussent empressés de proclamer l'in succès d un remède, qui est eu opposition avec leur pratique; mais, tout ce que nous avons entendu dire, soit des Pilules, soit de L'Ouguent, tend maintenir leur réputation sur des bases inébraulables. Démocratie Reporter. État—civil, d'ïprei, du 15 Septembre au 19 inclus. Naissances. Sexe masculin 5, idem féminin 3, total 8. Mariages. Kestelyn, Pierre, boulanger, et Thieuw, Florence, sans profession. Décès. DonnyHortense, 46 ans, sans profession, épouse de Bernard Cruyplants, rue au Beurre. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 4, idem féminin 7, total 11 Marché o'Ipre». ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 19 Septembre 1868. RATURE .ES GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX MOYEN PAR cent ilogram mes. POIDS M° DE l'hectolitre. Froment 62,700 fr. 20 75 80 11,900 22 25 73 500 25 00 44 Pois 1,100 25g50 80 Fèveroles 800 27 00 80 Pommes de terre 8,500 6" 50 M 515 00 Pain de farine de froment brute, 29 c. le kilo. Idem pour les fondations, 50 c. 1,050 grammes. Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers de béné dictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866: La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica dd Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. La Revalenta Arabica du Barry, délicieux aliment réparateur, a opéré 65,000 ^uérisous sans médecine et sans purger. Elle éco nomise mille fois son prix en d'autres remèdes, rendant la par faite santé des orgaues de digestion, des nerfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, daus'les mauvasies digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habi tuelles, liémorrhoïdesglaires, vents, palpitations, diarrhée, gouflemeut, étourdissement, bourdounementjjd'oreilles,^acidité, pituite, migraine, nausées et vomissements douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac insomuies, toux, surdité, oppres sion, asthme, bronchite, phthisie (consomption), dartres, érup tions, mélancolie, dépérissement, rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhe, hystérie, névralgie, vice du sang, hydropisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. Extraits de 65,000 yuérisons. N®„52,081, M.Jle duc deJPuls- kow, maréchal de Cour, d'une gastrite. N° 48,842, Mme Marie Joly, de 50 ans de constipationindigestion, des nerfs, asthme, toux, fiattus, spasmes et nausées. DU BARRY, 12, bue de l'empereur, Bruxelles. Eu boîtes de 1/4 kil., 2fr. 25 1/2 kil., 4ïfr. 1 kil., 7^fr. 2 1/2 kil., 16 fr. 6 kil., 52 fr.-, 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée du Barryeu poudre. Ali ment exquis pour déjeuner et souper, éminemment uutritif, assimulant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffémeiit, ui les autres inconvéuieiits des chocolats ordinairement en usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasses, fr. 52 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. Se vend Ypres, chez G. Vkys, pharmacien; Frysoc-Vaii Outrtvk, pharmacien Ch. Bkccwe, pharmacien; Mahiru, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers^et confiseurs daus toutes les villes. Pilules d1 Holloway. La Mortalité proyenRnt de Diarrhée et de maladies d'intestins est aujourd'hui alarmante un haut dégré. Des doses appropriées des Pilules renommées d Holloway guérissent les maladies d'intestins et sont connues de milliers de personnes qui out sauvé leur existence au moyen de cet oxcelient remède. Que le relâchement soit causé par une?suppression de transpiration, un fioid subit, uu aliment indigeste ou des fruits acides, ces Pilules offrent un antidote efficace; elles enlèverout l'irritation des intestins, calmeront les tranchées, feront cesser les flatuosités désagréables et détruiront toute* inclination une maladie. Les Pilules d'Holloway, autant que possible, devront prises au début des désordres, car elles prucurerout uu adoucisse ment immédiat et empêcheront la diarrhée dc^seeconvertir^en dissenterie ou choléra. 17. En vente Pilules et Onguentohez Frysou-Van Outryvb, rue de Dixraude, 55, Ypres. Nous apprenous que M. Adler, cédant aux sollicitations de sa clientèle, viendra un jour tous les mois, Ypres C'est une heureuse nouvelle pour notre ville, car la réputation, le talent et l'estime générale dont il jouit depuis de longues années, sont un gage de confiance pour les personnes qui ont recours son art. N'oublions pas qu'il est le seul dentiste dans toute la Belgique qui a été couronné d'une mention honorable de la faculté de médecine. M. Adler a déjà produit plusieurs ouvrages remarquables, entr'autres VOsléologietraité sur Vart dentaire, en^vente chez les principaux libraires de Bruxelles. ÇA es H X Si I*.- ■c - s f- g g S 2 o "S fi «x çj ri 3 S O y C O o 00 y "O ~-cc i - -a 3 g h w S C3 w -a 58 y c C c CJ S 3 00 ir< c. y- s-ë =5: 3 cr CX - -CD - -c 4eC o c TS 3 O S. y g y 3 O "C y <0 3 3 O cT 2 -a 5.-3 3" QJ G c/> J §3 y i «2 2 z w - G O y CL_^£ Cfi -T- s- S 'fa g: -C H c 3 60 -c a "Z H jQ WJ3 tn g fe 5C O 3 Se"1 00 y - S o* CD Cfi y O fi -» i 1 KU OC ."G 23 3 -O 2 S >li~\iO 2 a. - e- S— £5 "S" 3 o OO C« O - - C) 3 s •o r» - c - S c «g r- "C S: 00 o 'Z O - r - O - t W S. - Jî 3 2 o a c 5 CC E o -3 G.-O C r> Qj SS-g -o" T3 Ca -S» OO O 3 ■e a o -c cr. d. y *3 y S -«S y G y G. 3 O 20 23 y y C y C es b S— as y y G ro 0 -CD y y 3 U, cr <c cr -3 "C -G ÙC a c a. 0 -CD os •0 en ca _y C ee -y y -c en y -y cr a- CD -y es en y -50 ce ci: G 0 y - us y "C y y y O cc o •c 3 "C G CD c o 3- - 3 S g 2 C .2, S c c* «<c "O *0 G O5 «2 o 3 CS o «y S T3 i 3 6- o 3 O O C- C- CU îS" W E-I es - 2 G -J J 13 "G eu "S s - .0 îg NO ■h 2 s "5 C£, -Z -J w Cff ce m d d g S s- v p S çs C0 bâ S U mm CC I S a N c K m fa a e o 8M 5 a A a o C "o fa 3 y CC z I 2 s -a .2 c o as w ri m V a O I 3 s S 5 a- a •s s 2 e -a "3 t e5 Si 5 s a 's h J e fa -i c G fa c S 5 f H en c y •-r y c G CD y C O c 0 3 ■me .G 3 3 CD CD y C cr 00 y -3 y CD en 3 G y en y y O y O O IO y c r* 0 *o 0 (fi 8 en y en 3 bC CD 3 CD -3 -3 3 Cfi -es 3 a G* S O Cfi ai

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Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3