O o CQ o Zo Variétés. M H s g ta ti Voilà le côté doré de la médaille: voici le revers: «Il résulte d'un document parlementaire qui vient d'être publié, que le nombre des pauvres, en Angleterre et dans le pays des Galles, au ir Janvier dernier, était de i,o4o,io3; sur ce nombre, 43»i58 sont aliénés, savoir i0,o33 hommes et 341135 femmes, La famille impériale russe va voir se conclure un nouveau mariage: le prince Eugène-Maximi- lianovitch Romauovitch Romanovskiduc de Leuchtenberg, épouse M11' Apatchinine, demoi selle d'honneur de la cesarewina. Le prince, deuxième fils de la grande-duchesse Marie, est petit-fils de l'empereur Nicolas; il sert dans les lanciers de la garde. Sa jeune fiancée appartient une famille noble,mais non titrée, alliée aux Tol- stoy, au Scabolew, etc. elle ne sera pas traitée d'Altesse Impériale, mais aura la cour un rang honorable. Le tribunal de Vienne a condamné, le 33 Oc tobre, un prêtre catholique, six mois d'empri sonnement pour un attentat commissur une petite fille de quatre ans. L'inculpé avait été poursuivi déjà antérieurement pour un fait du même genre. Le tribunal a néanmoins admis des circonstances atténuantes, déclarant que les parents de la vic time avaient eu trop de confiance daos l'inculpé. On peut voir en province, et plus notamment dans le département de l'Aube, dit la Pairie de Paris, des facteurs ruraux montés sur des véloci pèdes trois roues, tricycle*, et ayaut derrière leur siège une boîte ad hoc, pour faire tout la fois le service des dépêches et le petit factage par ticulier. Ainsi monté, le facteur devient la fois un mes sager, un colporteur, un commissionnaire. Et on a prouvé que le facteur qui va en vélocipède met, (aire son service, trois heures de moins que celui qui va pied. En outre, il suffit au facteur de deux ou trois mois pour payer le prix du vélocipède au moyen tie ce qu'il gagn^ en faisant les petites commis sions. La conférence des femmes allemandes, qui était réunie, il y a quelques jours, Stuttgart, a voté une motion sur la nécessité de modifier les toi lettes des dames, afin de mettre un frein aux ex travagances, au mauvais goût et aux changements incessants des vêtements de femmes. La conférence a chargé ensuite l'Association générale pour l'édu cation populaire et l'amélioration du sort des femmes d'organiser une commission composée d'artistes-peintres, de médecins, de tailleurs et de modistes, qui sera chargée de proposer des modèles de toilettes nouvelles. La Gazette de* Femme* re produira les costumes, broderies, etc. recom mandées par la commission. Un recueil très-spécial, yHoroscope, donne les règles de l'art qui consiste reconnaître le carac tère d'une personne sa manière de rire. Il y a autant de genres de rires que de voyelles. Les personnes qui rient en A sont franches, in constantes, amoureûsesdu bruitet du mouvement. Le rire en E esl le propre des flegmatiques et des mélancoliques. VO indique la générosité dans les sentiments et la hardiesse dans les mouvements; y prendre garde si l'on appartient au sexe différent. 111, rire des enfants et des personnes naïves, dénote une nature serviable, dévouée, mais timide, irrésolue. Les blondes rient en I, ce qui ne veut pas dire que toutes soient naïves. Evitez comme la peste tous ceux qui rient en ê7ce sont des avares, des hypocrites, des misan thropes. Pour eux les plaisirs n'ont aucun charme. e n>n <5-» La mortalité ses causes et ses adoucissements. II est très-pénible pour un homme de dire qu'il," ne sait pas, surtout dans uue matière qu'il professe ou qu'il est censé devoir connaître. Sa réputation lui défend de confesser sou ignorance. De là le grand accroissement des "soi-disant maladies de coeur. Le médeoin ne sachant pas, sans doute, discerner immédiate ment la cause de la maladie, truuve un moyen tout prêt de se tirer d'embarras, en l'attribuant a une maladie de cœur. On ne nous comprendrait par si nous disions que ces milliers de mala dies de cet organe, le principal de la vie, n'existent point mais nous pensons fermement que plusieurs maladies, dites de cœur, ne sont que le résultat de la circulation imparfaite du sang, causé par une mauvaise indigestion. Dans de tels cas, le meilleur et le plus prompt moyeu de soulagement se trouve dans les Pi lules Hollonay, qui ont obtenu une réputation universelle. Elles agissent directement sur le sang, ce véhicule par lequel la nour riture se répand dans tout le système, et indirectement sur toutes les parties du corps, restaurant celles qui sont désorganisées, et donnant une nouvelle vigueur aux autres non encore atteintes. Des milliers de guérisons obtenues et d'existences préservées sont là pour prouver leur efficacité. Le vaste établissement d'HoIIoway (avec ses innombrables agences, son immense correspondance, et l'énorme quantité de sa publicité)son intelligent systèmeau moyen du quel ses Pilules et son Onguent sont dirigés dans chaque partie du globe, est une des merveilles commerciales du monde. Personne, si non un esprit supérieur, n'eût pu concevoir un tel plan. Il ne fallait rien moins que l'énergie et la persévérance d'un autre Napoléon pour pouvoir le mener bien. On dit qu'il ne se trouve pres- qu'aucun ouvrage imprimé, en quelque langue que ce soit, où le nom d'HoIIoway n'ait apparu, ni aucun port, de quelqu'impor- tanoe, sur le rivage de l'océan, de la mer, ou d'que baie, où ses médecines ne soient pas régulièrement oonsiguêes. Ce sont des euralifs d'origine civilisée qui ont gagné la confiance des nations sauvages et demi-sauvages. Les Malais, les Birmans, les Chinois, les Hindous, les Indiens des Deux Amériques, et, eu fait, toutes les nations de couleur qui sont en communications avec les con trées chrétiennes, ont plus ou moins expérimenté leur influence fortifiant^ et curative. Peu de temps avant la récente insurrec tion des natifs de l'Inde, une forte commande fut envoyée par le Roi de Siam l'Agent d'HoIIoway Singapour et le Roi d'Oude, pendant son dernier séjour Londres, déclara que les Pilules et l'Onguent Holloway étaient les dons les plus précieux que la Grande Bretagne eût accordés au monde oriental. The IVanthuckiam. A Sainte-Pélagie. Un visiteur un journaliste incarcéré Diable les lits paraissent bien plats et bien durs, ici. Heu pour des lits de presse, ils ne sont pas encore trop mauvais. Hier, un monsieur et une dame entrent dans un restaurant de la rue de Rivoli et s'asseoient une table. Un garçon accourt aussitôt. Ce pauvre diable a les yeux rouges, enflammés, et paraît n'y voir qu'à demi. Le monsieur, après l'avoir considéré un instant avec intérêt, lui, dit Est-ce que vous avez une ophthalmie? Je ne sais pas monsieur, répond le garçon je vais demander au chef. État-civii, d'Ipres, du t' Novembre au 7 inclus. Naissances. Sexe masculin 4, idem féminin 5, total 7. Mariages. Donck, Amand, sans profession, et Tyberghein, Marie, snus profession. Hubené, Char les, caporal clairon, et Pottel, dentellière. Mahieu, Polydorc, musicien au 10" de ligne, et Huygens, Ger- trude, couturière. Décès. Dehollander, Amélie, 43 ans, dentellière," épouse de Charles Dezittcr, rue de Menin. Mar quette, Hermanie, 26 ans, sans profession, rue Close. Gorrissen, Norbert, 13 ans, étudiant, rue Close. Allaer, Blondine, 39 ans, dentellière, épouse d'Henri Verhoesl, rue Notre-Dame. Dethoor, Julie, 28 ans, sans profession, épouse d'Henri Thooris, rue du Temple. Ferryn, Joséphine, 71 ans, sans profes sion, célibataire, rue de l'Étoile. WillemsAmélie, 56 ans, sans profession, épouse de,Charles Roost, rue Longue de Thourout. Enfants âu-dessous de 7 ans sexe masculin 1. Marché »'¥pres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le! Novembre 1868. NATURE DUS grains et denrées. quantités VENDUES. Kilogrammes. prix moyen PAN cent ilogrammes. poids m" st l'hectolitre. Froment 36,306 fr. 28 25 80 Seigle. 4,200 22 50 73 100 24 00 44 1,400 26 50 80 Eèverotes 500 25 00 80 Pommes de terre 6,500 6 25 Bearre 340 00 Pain de farine de froment brute, 27 c. le kilo. Idem pour les fondations, 30 c. 1,110 grammes. marchés. ROULERS, 3 Novembre. Froment blanc, 1 h. 1/2 fr. 36 39 id. Anst. 33 36 id. roux 33 36; seigle 20 23; avoine 16 19; féverole» 33 36. Hoiles: de colza, fr. 71-30 72-30 les 103 kil.; id. de lia 76-50 77 les 103 kil. Graines de colza 33-50 ne, LILLE, 4 Novembre. Huiles par hectol.; colza indigène, 71-23 00; id. épnrée 77 00. Graines Colza par hectol. 24 24-50 Oeill. 30 53 Lin du pays, 27-50 28 id. étranger 25 26 Camebne 20 23 Chanvre 14 50 15-50. Tourteaux colza par 100 k. fr. 16-50 17 œil. 16 17 Lin du pays 27 31 id. étranger 23 29 Cameline 16 16-50; Chanvre 13 15. FDRNES, 4 Novembre. Par 145 lit. Froment, fr. 30 33; Seigle, fr. 25-50 26; Avoine, fr. 15 17 Fèves, fr. 26 29. AVIS AU COMMERCE. Avances tout Commer çant honorable, désireux de donner de l'extension ses affaires, ou momentanément embarrassé, sur sa simple signature et sans garantie fournir opération simple, frais très-minimes, résultat immédiat, discré tion absolue. Écrire franco au Directeur du Comptoir industriel et commercial, roMte d'Asnières158, Clichy, près Paris [Seine). Un très-grand nombre de négociants et de produc teurs, n'ayant pas de représentant Paris, ne peuvent profiter de ce grand débouché pour écouler leurs produits. Le Comptoir industriel et commercial se charge, moyennant une faible commission, de la vente de toutes espèces de marchandises, dans de bonnes con fions vins et spiritueux, huiles, cafés, soies, laines, métaux, tissus, produits manufacturés, etc., etc. Pour donner toute facilité aux négociants dont il se charge de vendre les marchandises, il leur avance de suite, en espèces, une forte partie de la valeur dcsdiles marchandises. Écrire cl envoyer franco les échantillons au Direc teur du Comptoir industriel et commercial, route d'As nières, 158, Clichy, près Paris [Seine). m 3 S M CH O O s--- Pi w W Q-a M g h g in «=c: «s ïx3 3 w os S os os CQ «q. W os eu o c- 868, om den der Auguste te Ypre- iaer Vla- STHOORN. Notaris 3 -g 53 PHA 5 s 1 -C Hk w- -O .5 2 te c? =c 6 eo S Ichicde n dcn Po van dcn go J O e o - "2 3 O C rs Q a T3 C e c s o 45 ■3 "O c da», uren czierh edouw So «- c - j 2 "te "S r— 2 -S i b» buiten. mertin Bcta CS faJ - -M H 93 MM U C cc OS qj O S r 1 en M l cS O o as n B'îS

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3