a m M. ADLER CHIRURGIEN-DENTISTE, Place de Louvain, 3, Bruxelles. ASSOCIATION AGRICOLE fi fa O ïs I s .5 ■s e> a s -» e» ,5 es "g Sfi àS S S.? a S illustre absence. Les Pompiers ne restent-ils donc plus sous ses ordres immédiats DE L'ARRONDISSEMENT D'YPRES. Messieurs, Nous avons l'honneur de vous convoquer l'assem blée générale qui aura lieu I'Hôtel de ville d'Ypbes, le Samedi, 98 Novembre I8G8, dix heures et demie très-précises du malin. Nous croyons devoir vous informer que nous comp tons vous proposer d'introduire dans le règlement du concours pour la race bovioc, une proposition nouvelle ayant pour objet d'ériger un concours spécial en faveur des plus beaux lots de bétail, composés de trois vaches au moins. Nous vous recommandons de nouveau notre biblio thèque composée de plus de quinze cents volumes, dont la lecture peut être aussi utile qu'agréable pen dant les longues soirées d'hiver. LE PRÉSIDENT, le secrétaire, HENRI CARTON. ED. TAN BIESBROUCK. ordre: du jour 1° Réception de nouveaux membres. 2° Arrêter le programme du concours pour la race bovine. 3° Discussion des motions faites dans la dernière séance par MM. Vanden Peereboom Jean-Baptisle, et Van Alleynes, au sujet de certaines mesures, ayant pour but de prévenir les incendies et de les éteindre plus facilement dans les communes rurales. Le discours prononcé par M. Osborne, qui Tient de succomber Nottingham, après sa défaite, est un curieux spécimen d'humour britannique: Après ma chute, dit l'orateur, il ne me reste plus qu'à me retirer dans le sein de ma famille. Terminons toutefois la lutte de la même façon que nous l'avons poursuivie en paix et sans inimitié. (Applaudissements.) Depuis lundi dernier les choses ont bien changé. Je tenais alors la première place niais je suis accoutumé ces retours. (On rit.) Vous avez tous lu dans la Bible que le dernier sera le pre mier, et le premier le dernier. (Nouvelle hilarité.) Slais rappelez-vous que le garde qui se trouve la queue du train est celui qui veille sa sûreté. J'ac cepte cette position. Je reconnais la position éminente et les relations que possède le colonel Wright dans la localité, et je crois que vous avez en lui un bon député. (Applaudissements.) Je ne crois pas que vous puissiez en avoir un meilleur s'il avait d'autres principes. Je n'aime pas ses principes mais j'aime sa femme. (Ex plosion d'hilarité. L'orateur serre la main de M" Wright.) Quand j'ai vu deux des plus belles, des meil leures et des plus honorées dames de la Grande-Bre- lagnc entrer en lutte, j'ai écrit ma femme C'en est fait de moi. (Vive hilarité.) Nous avons entendu parler beaucoup, messieurs, de corruption dans les électidOs. Je vous accuse, M" Wright, d'avoir gagné le peuple par la douceur de votre sourire. Je vous accuse, Jady Cliften, d'avoir fait votre mari ce qu'il est, par votre grâce persuasive et votre main charitable. (Ap plaudissements.) Mais pour avoir été battu, je ne suis point déshonoré j'ai été battu par deux dames contre lesquelles j'étais impuissant. (Nouveaux applaudis sements.) Le Constitutionnel annonce que les cheveux poudrés vout être adoptés cet hiver par la haute société d'Angleterre. Lundi soir, l'Opéra, on remarquait dans les loges, Covent-Garden, plu sieurs jeunes personnes qui semblaient la copie exacte des pastels de Latour. MARCHÉS. ROTJLERS, 24 Novembre. Froment blanc, 1 h. 1/2 fr. 56 39 id. Aust. 35 56 id. roux 53 56; seigle 20 23; avoine 16 19; féveroles 55 36. Huiles: de colza, fr. 71-50 i 72-50 les 105 kil.id de lin 76-50 77 les 103 kil. Graines: de colza 55-50 n. D1XMUDE, 25 Novembre. Froment l'hectol. fr. 20 22-65 Seigle 19-30 20; orge, 14 07 15-50 Avoine 9-76 12-41 fèves 19-62 20-74. Marché D'TPRES. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 28 Novembre 1868. NATURE ■ES grains et denrées. quantités VENDUES. Kilopammes. prix moyen PAR cent ilogrammes. poids m° DB l'hectolitre. Froment 44 800 fr. 27 75 80 5,900 22 25 73 500 24 50 44 Fois 1,900 25 50 80 Féveroles 500 26 50 80 Pomme» de terre 7,200 6'25 n 530 00 Pain de farine de froment brute, 27 e. le kilo. Idem pour les fondations, 50 c. 1,110 grammes. État-civii. d'Tpres, du 22 Novembre au 28 inclus. Naissances. Sexe masculin 7, idem féminin 4, total 11 Maiusces. Delbeke, Henri, joaillier, et Desmet, Jeanne, modiste. Meesdom, Jean, huilier, et Van- tliuyne, Mélanie, domestique. Decoene, Pierre, domestique, et Catteau, Stéphanie, dentellière. Décès. Wenes, Marie, 70 ans, dentellière, veuve de Jean Vuylsteke, rue de l'hôpital S1 Jean. DoolaegheAdélaïde, 68 ans, sans profession, céliba taire, rue des Chiens. Debruyne, Joseph, 66 ans, couvreur, veuf de Marie Vanlimbeek, rue de Menin. SegersFrançois, 32 ans, tisserand, époux de Cathérine Tyteca, rue de Menin. Lafonteyne, Henri, 81 ans, marchand, veuf de Mélanie Annoy, Grand'Place. Looten, Rosalie, 62 ans, journalière, veuve de Joseph Beschuyt, rue Longue de Tbourout. AVIS AU COMMERCE. Avances tout Commer çant honorable, désireux de donner de l'extension ses affaires, ou momentanément embarrassé, sur sa simple signature et sans garantie fournir opération simple, frais très-sninimes, résultat immédiat, discré tion absolue. Écrire franco au Directeur du Comptoir industriel et commercial, route d'Asnières, 158, Clichy, prêt Paris (Seine). Un très-grand nombre de négociants et de produc teurs, n'ayant pas de représentant Paris, ne peuvent profiter de ce grand débouché pour écouler leurs produits. Le Comptoir industriel et commercial se charge, moyennant une faible commission, de la vente de toutes espèees de marchandises, dans de bonnes con ditions vins et spiritueux, huiles, cafés, soies, laioes, métaux, tissus, produits manufacturés, etc., etc. Pour donner toute facilité aux négociants dont il se charge de vendre les marchandises, il leur avance de suite, en espèces, une forte partie de la valeur desdites marchandises. Écrire et envoyer franco les échantillons au Direc teur du Comptoir industriel et commercial, route d'As- nières, 158, Clichy, près Paris (Seine). 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Une bonne santé peut, en toute saison, être maintenue par quelques doses des Pilules Hollovray qui purifient le sang et les reins. Ce célèbre remède n'a besoin que d'être convenablement essayé pour [convaincre ceux qui souffrent ou qui sont abattus, qu'il les restaurera et les ranimera sans danger, sans souffrances, ni incommodités. Au cune famille ne doit se trouver sans un assortiment des Pilules et Ougueut Holloway parce qu'au moyeu de cesjremèdes,îpris temps, on rétablit les fonctions on soulage les souffrances et l'on sauve l'existence. 5. Eu vente Pilules et Onguentchez Fbtsou-Vah Ootryvb, rue de Dixmude, 55, Ypres. Nous apprenons que M. Adler, cédant aux sollicitations de sa clientèle, viendra le 5 Décembre prochain, Ypres. C'est une heureuse nouvelle pour notre ville, car la réputation, le talent et l'estime générale dont il jouit depuis de longues années, sont un gage de confiance pour les personnes qui ont recours son art. N'oublions pas qu'il est le seul dentiste dans toute la Belgique qui a été couronné d'une mention honorable de la faculté de médecine. M. Adler a déjà g/oduit plusieurs ouvrages remarquables entr'autres VOstéologietraité sur Part dentairc} en vente chez les principaux libraires de Bruxelles. 3 0 0 u a c w tm S w E O 3 es o E o ES £3 ss u ç- CsS H r-l ga ES ca PL, O H fi W C C tû 33 o m S O S E W Z y U w uj S Ci! o UJ sa y I- S w S3 UJ ss a s -< i- S e e oc 15 s 15 O 0 15 S C S 15 a S ao 1 a S. s OO g il e 00 U M u SB 53 fa u «v o H fl g js n fa S *Z fa S s I 5 ê?.2 s «e g- S S 12 P M M c c a c 2 oc xi o c/> 2 C O r S B S« Si 9 I g a fa fa U a a e a ss S c 5 -m. Si •9 e e e ss a 1 e - Si ïc af 2 S* i g g - 3 o 05 S -C s c ES O 6- 05 „0O J2 c O O c fi 1) - 7 CS "c« G Se fcf S o c 55 .3 C- a o tes "S o c w p S- c v o C ai «c c te ■Ev 2 S .3 V -, - .2 e» S 15 -O c S- 15 a a*o s- oa o O O Ci -9 c s 15 CD «5 15 C S c cj ifC3 o2 "r -E u EO i •I 1 C« - o u o a c r. - - g - s 5 SP fe Cm 3 cC LU - H S r et s H 2 UJ EB M M I—i cC s 05 55 2 EB o as S S O 'CS Nouveaux procédé* de DENTS et DENTIERS ARTIFICIELS inaltérables ne nécessitant aucune extraction de racines et se posant sans la moindre douleur. Succès{jarantisles seuls dans toute la Belgique qui, par décision du corps médical, ont obtenu une MENTION HONORABLE de la Faculté do Médecine. Redressement des dents aux enfants âgés de moins de quinze ans, breveté du Roi des Belges. Spécialité pour la «ooservalion des dents malades par la mastication et l'orification sans douleur. M. A DLER sera visible Ypres, Hôtel delà Téte d'or, le Samedi, 5 Décembre 1868, de 9 heures du matin 4 heures de l'après-midi. —.M. ADLER se rendra chez les personnes qui le feront demander. r>"

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Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3