raïf aima©» 1lxï v Machines a coudre âméi^ïnes de elias rçowE,junior. U CRÈME DE RHUBARBE LES CARTOUCHES FOUR DÉTRUIRE LES'TERS fflsSZSp?* LU POUDRE DE BARATTAGE MOYEN SDR FODR DÉTRUIRE LES RATS ET LES SOURIS. Nous avons sous les yeux le premier numéri/de I'Europe Illvstrée. Depuis quelque temps il s'était fait autour de ce nouveau journal une publicité comme il ne s'en produit qu'en Angleterre et en Amérique. Nous l'avouons, nous avions quelquç peine ajouter foi toutes ces magnifiques annonces. Mais aujourd'hui, nous som mes obligés et charmés de le constater, ces briffantes promesses, non-seulement sont tenues, mais dépassées. Aussi la publi cation de I'Europe Illustrée est le grand événement du jour. Toutes les gravures sont en COULEUR, ce qui ne s'est jamais vu. Ce sont autant de jolies aquarelles et de splendidcs 'peintures Vhuile imprimées, par dë& procédés spéciaux, dans le corps du journal. Les dessins, comme les articles sont inédits. Tout le mouvement de la vie contemporaine est reproduit et commenté dans I'Europe Illustrée par l'élite des peintres et des écrivains européens. Ici, la plume et le pinceau ont rivalisé d'éclat et d'élé gance. C'est la fois un album de salon et une reVue des moeurs et des faits courants qui s'adresse aux artistes comme aux gens du monde. Tous les sujets sont traités dans une manière pleine d'intérêt et d'originalité, mais toujours avec le ton de la meilleure compagnie. C'est un recueil qui est digne d'être admis dans toutes les familles et, suivant l'expression consacrée, la mère peut en permettre la lecture sa fille. Cette illustration sans précédent est en même temps un prodige de bon marché qui s'explique par un tirage considérable et se justifie par le succès qui entoure dès maintenant cette grande et belle publication. L'apparition de I'Europe est une véritable révolution dans la presse illustrée. v cri ctamirmnnr ïtnivpdcpi est le m°yel1 ,e prs simple «"ntrv1®3 "k*! IUC nnnTTre H'inilTAIl exemples de lc*Ple substanoe nuisible calme LLu uUul lbu il iUlalUil champ les plus violentes douleurs causées par ui ENCRES. péçfyt Ypres, chez Ch. Becuwe, pharmacien, perché au Beurre. RooLERSj chez F. AmeyjCjjl>«rmacicn. v LA CF^OIX DE LA LÉGION «'HONNEUR «6 ïABRfQ/ 'M DE D A CTÎÎ I ro DAITD I A DniTDÎNF composées de rég^issf, de sel ammoniac, de malts I Au I ILLElO ruun Il A ITUlilllllIj d'anis, de soufre et d'extrait de pavot, sont d'u goilt agréable et recommandées par tous les médecins commè le meilleur remède contre la toux, l'enrouement, les maux de gorge et de poitrine. Elles se vendeqt en boites «qtièr^ r- et 60 cenlm. et en petites bouises l'essai 30 centm. A plus agréable et le garantit de rancir. Un paquet d'un demi kib> sulfil 1,500 litre? de lait et coûte tr. 1-40. f ,.A Lh OliL U 1 UlUAlilllyUtl UNlfuIluilL leurs d'estomac, les crampes, aigres, l'atonie, les maux de tête, le vertige et les palpitations Comme il y'rid d1 e xoeïwnt£j^vices l'art' culinaire pour la cuisson des pois, des fèves et des lentilles, eu général pour lé^pUuTeeJégu- miri' vises, ce sel devrait se trouver dans chaque ménage. 11 se vend eu piquets entiers fr, demi 75 en quart 40 centm. dents. LelTac. coûte 90 centrft substapcefr. 1-60 qui ne contient aucun poisonsuffit garantir une^naison ou un navipe, toute nue année, de rats, de souris, de lattes, etc. Une boîte donnée l'épreuve se vend fr. f Dépôt Yprès, chez Ch. Becuwe, pharmacien, Marché au Beurro Rodlers, chez F. Ameye, pharmacien. Et daus les autres endroits aux dépôts connus. Chaque article est suivi d'un prospectus sur Temploi. 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Je fite de cette occasion A vous assurer de ma plus haute considé- vous suis tres-reconuaissaut et profite ration. Veenendaal. G. Bos. Le gran'l tlipJômed'hooDeuràrExposiliJ^de Beai^yaia )R A L'EXPOSITION UNIVI rà L'Ex t ,LE DE PARIS,! 1867. ire ^69,îcfem àAllo la Belgique et.-lq I 103-.

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 4