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LYS DE BAYLE,
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AIter ROLLY, AATARIS
TE WULVERINGHEM.
Len bePlant
CHIMISTE,
Chevalier de la Légion- d'honneur.
A propos du personnage qui a soustrait les papiers
de M. Thiers, le. Bien public rectifie les bruits qui
avaient été mis en avant par la GazeUe de Spener.
Plusieurs journaux, dit-il, ont désigné le détenteur
de ces pap;ers par une simple initiale B. D'autres
ont dit que cet individu se nommait Bowles.
Ces journaux se sont trompés. Le nom de cet escroc
est Polbès.
Ces papiers, nous l'avons déjà dit, n'outjaucuuc im
portance.
Le Courrier de France rapporte un bruit d'après le
quel le comte de Chambord serait très-vivement sollici
té par ses plus sincères amis de venir passer quelques
mois en France.
Après avoir résisté cet appel, le comte de Cham
bord serait aujourd'hui disposé répondre au désir de
ses conseillers intimes et venir séjourner assez pro
chainement, soit Paris, soit dans les environs de Ver
sailles.
Les campagnes d'un coq blanc. On vient de nous
communiquer, raconte la Patrie, les états de service
d'un coq blanc de race cochinchinoise au 25* régiment
d'artillerie.
Ce coq a fait toute la campagne du Rhin il a été
prisonnier de guerre Augsbotn g, il a assisté la fa
mine de Metz, il a pu voir des soldats déterrer des
chevaux pour lesmanger, et lui, qui relativement aurait
fait un si bon rôti, il fut toujours respecté.
A Gravclottc, il était "juché sur lis épaules de son
maître, qui servait la 3* batterie, et il s'était si bien
habitué au bruit du canon, qu'il n'y faisait plus atten
tion. Le matin, dès l'aurore, il chantait le réveil, sans
s'occuper autrement de la mitraille.
Un jour, son maître fut tué par un obus, un autre
artilleur l'adopta, et c'est ainsi que notre coq a tou
jours suivi l'armée. Aujourd'hui, il vit tranquillement
en compagnie d'une poule que lui a donuée gracieuse
ment la cautinière du régiment.
il a bien mérité celte douce retraite.
Un touiinoi de joueurs d'échecs. Jamais, de mé
moire d'homme, les amateurs du royal jeu d'échecs
ne se sont trouvés fête plus intéressante qu'au grand
tournoi d'échecs qui leur a été donné, avant-hier soir,
dans les salons du restaurateur Laurent Catclain, par
le professeur Rosenlhal.
A huit heures el demie, dit Y Evénement, vingt-huit
des plus fameux joueurs de l'Europe étaient leur
poste.
M. Rosenlhal est un polonais qui a été vainqueur
du grand tournoi international de 1870, Baden-Ba
den, et de celui de Londres en 1872. Le tour de force,
auquel il s'est livré avant-hier soir, coifsistait jouer
simultanément vingt-huit parties d'échecs contre les
meilleurs joueurs et ne pas rester plus d'une minute
pour jouer chaque coup. 11 en est sorti victorieux,
puisqu'il a gagné vingt-six parties les deux parties
perdues ont été celles soutenues contre lui par le prince
de Mingrélie et le baron André.
Ce tournoi ne s'est terminé qu'à deux heures et
demie du matin. M. Rosental avait joué en six heures
onze cents coups.
A pigeon-vols. L'autre jour une réunion intime
chez M. H-, il s'est produit un incident assez drôle.
Ou jouait aux petits jeux et après avoir épuisé la
série des charades, la petite M* de D., qui est fort gaie,
propose une partie de pigeon-voie,.jeu bien connu du
tout le monde.
Au plus fort de la partie et soit hasard, soit malice,
M* de D. qui dirigeait la partie désigna un des assis
tants qui tort ou raison jouit d'une fort mauvaise
réputation.
M. X. vole.
l'ouïes les mains se levèrent spontanément, sauf
bien entendu celle de M. X., qui, rouge de honte et
de colère sortit du salon de M. II... sans proférer une
parole.
Encore un procès en séparation. C'est M" R. qui
plaide pour mousicur. Le célèbre V..., uu spécialiste,
défend madame.
L'autre jour, MeR... va faire un dîner Un avec une
jeune dame, dans un de nos grands restaurants. Tous
les cabinets étaient pris. On offre notre avocat la
moitié d'un salon coupé en deux pour la circonstance
par une cloison mobile. Il accepte. Au dessert, le cana
pé sur lequel se trouvait le couple s'ébranle, glisse,
repousse la cloison et l'eutrouvre. M" R... roule daus
le cabiuet voisin.
Dans ce cabinet, il y avait M" V... avec une dame
précisément la plaideuse en séparation, sa cliente
M" V... se précipite sur son confrère R..., lui jette uue
serviette sur la tête cl lui crie
Tu es un liuiinête homme il est convenu que tu
n'as rien vu
M'R... promet tout ce qu'on veut.
Huit jours après, le procès vient devant le tribunal.
M* V..., sûr de la parole de son adversaire, représente
sa cliente comme un ange calomnié. M° 11..., lié par
sa promesse, ne peut pas détromper les juges, et le
tribunal rend un jugement foudroyant contre le mari.
Pilules IlollowayImportant pour les personnes délica
tes. Il est difticile de déterminer ce qui éprouve le plus la
constitution humaiue; les temps humides et froids de l'automne,
ou les vents secs et pénétrants du printemps. Une bonne sauté
peut, en toute saison, être maintenue par quelques doses des
Pilules Holloway qui purifient le sang et les reins. Ce célèbre
remède n'a besoin que d'être convenablement essayé pour con-
vaincre ceux qui souffrent ou qui sont abattus, qu'il les restau
rera et les ranimera sans danger, sans souffrances, ni incom
modités. A»euue famille ne devrait être dépourvue des Pilules
et de l'Onguent Holloway paroe qu'au moyen de ces remèdes,
pris temps, on rétablit les fonctions; on soulage les souffrances
et l'on sauve l'existence. 5.
Eu vente: Pilules et Onguent, obez. Fr»soo-Vab Outrive, rue
de Dixmude, 55. Ypres.
N. B. Vendue maintenant en état torréfié, la Revalenta
n'exige plus qn'une minute au feu et pour les persouues eu
voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avons prépare des
BISCUITS DE REVALENTA, »o'on peut mangkr en tout
temps; en boîtes de fer-blanc de 4 'et 7 francs.
Santé a tocs rendue sans Médecine par la délicieuse Farine de
Santé Revalenta aradica Do Barrt de Londres.
Aucune maladie ne résiste la douce Revalenta du Barry,
qui guérit sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies,
gastrites, gastralgies, glaires, vents,acidités, pituites, nausées,
renvois, vomissements, constipation, diarrhée, toux, asthme,
phihisie, toas désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des
bronches, vessie/foie, reius, intestins, muqreuse, cerveau et
sang. 74,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de
Pluskow, M"' la marquise de, Bréhan, etc., etc. Plus nourris
sante que la viande, elle économise 50 fois son prix eu d'autres
remèdes.
Cure N» 05,218. Longueville [Belgique), le 21 septembre.
Je me suis servi de la Revalenta, il y a quelques mois, contre
uue toux dout je souffrais depuis plus d'un an, et an bout d'un
mois je fus radicalement guéri. Quatre autres personnes qui
j'ai conseillé ce remède, se sont trouvées mieux au bout d'un
cèrtain temps, et sont venues me lemercier du conseil que je
leur avais donné. P.-J. Imberechts, clerc de no-are.
Eu boites; 1/4 kil..2fr.,25; 1/2kil.,4 fr.; 1 kil.,7 fr.;6 kil..
32 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenla eu boîtes de 4
et 7 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som
meil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles et
nourrit dix fuis mieux que la viande et que le rhooolat ordinaire.
En boîtes de 12 tasses, 2 fr 25 de 576 tasses, 60 fr., ou en
viron 10 c. la tasse. Envoi contre bon de poste. Dépôt
Ypres. C. Becuwe. pbarm.. rue du Verger; H. Frysou, pharm.,
rue de Dixmude G. Veys, pharm., rue de Lille; H. Mahieu,
boulanger, rue du VergerBkgges Veuve De Grave, drog., rue
Eeckout, 2 S. Veys-Delcampe, pharm., rue Nord du Sahlnn,
9 V. Veys-Frysou, près Si Jacques. 21, pbarm. H.,Staudaert,
pharm., rue des Pierres, 29 I,. Alguet-Dispersyn, négt., rue
Notre-Dame, 55 De Bondi-G-izet, denrées colonial.-s, rue des
Pierres, 10; A. Willaert-De S;pet, denrées cotouiales, Grand'
Place, 5; A. Delplace, imprimeur éditeur, rije Nord du Sablou,
24 Coiïrtrw. H. Bossaert, pharm.; E. fliers. pbarm L.
Kindt-de-Gbeyne, pbarm., C. Vander Espt, pbarm. Dix-
mode. Claus-Vandcnhussclie,faljrique de chicorée.— Furnes. J.
Dobbelaere, pbarm. E. Duelos, ptiarm. Mrnin Veuve Vau
Ackere, pharm Moorsledk. Ch. Bostyn. boulanger. Nieu-
port. L. Lefevre, pbarui Vaubaeckel-Focqueur, pharm.
Ostendk. F. Kockeupoo, pbarm.rue Louise; Hayward. denrées
coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et
négociante. Place S1 Joseph. Poperinche. Haelewyck,
pbarm. Rodlers. F. Ameye, pbarm.; H Bontens-Degheest,
pbarm. Thiklt. J. Buysseus-Byl, pbarm. Tuodroot. J.
Vande Casteele, impiimeur. 1.
SEULES VERITABLES
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Dieusaert en Jozef Tack voor de heercn
Boedt, advokaat en grondeigenaar te IJpe-
ren, De Breyue-Pecllâert, grondeigenaar
te Dixmude, en anderc.
Juist 83 koopen schoone eu
zware Abeeleu, Oluicu, Wilgcn,
ENAcheuEiken eu Achtkaute
Booiucn.
EXTRAIT
KiHIOOR
van
ltouderdag, 30" Januarij 1873.
oni cen ure nahiiddag, te Loo, 1er Imf-
stede het jeptior; gcbruikt ilodr sieur Louis
Cornette- Ver faillie, ten verzoeke van Me-
vrouw de Douairière van Mijnhecr den
Graaf /d'Ennetieuls, te IJpercn, Vcuditie
van 1
- 58 koopen Boom en
Waaronderzes ichoone HOLLANDERS
LUMÉfeciiMUdig dik 3 m. 2 ni.
c.) en 52 koopen
^Jtirnarij 1873,
Idag, le Vkukne, in
l'Aigle bij d'heer
IKOOPIiNG,
îitting.
groot
7D0,
1° 0c-
L'usage journalier de l'Ex
trait de fleurs de Lys
conserve aux personnes jeunes
leur jeunesse, leur fraîcheur
et prévient les rides. Chez les
personnes fatiguées par l'insomnie, 1a pous
sière des hais, l'air brûlaut des théâtres et
des salons, il revivifie le teint décoloré, leur
rend l'éclat, la fraîcheur, et efface les rides.
Héroïque contre les taches de rousseur qui
affligent les peaux les plus fines, il les fait
disparaître en se substituant aux fluides du
tissu qui les occasionnent. Le hàle de la
mer et le hàle du soleil qui affligent et dé
solent nos touristes intrépides et nos jolies
baigneuses, ne sont plus redouter, l'usage
quotidien d/ l'Extrait de fleurs de
Lys leur permet de braver le soleil, et de
courir impunément les plages de la mer.
La couperose, cette irritation des tissus qujj
enlumine le visage des blonde^ surtoia
doiït la peau fine el fragile a la sensiltil
de la seusitive, disparait §ous l'iuflucul
des sucs rafraîchissants extraits du Ly 1
Les gerçure?, les boutons, les feux du oJ
sage et même les durfres disparaisseil
après un usage de quelques jours.
Dépôt j.rége, chez Da Boeck".
Saiuje-Mari
EAU ET POMMADE
[Tir ici la m a
dépôt elii L IH
sur, rue de Lille,]