Au ministère des travaux publics A. Pour remboursement dcjroules aux chemins de fer, fr 500,000 Cnnstruutiou de ponts appartenant des routes, fr. «00,000 Bâtiments civils et agrandissements du Palais de la N»>ion et des hôtels des ministères, fr. 500,000 Transfert du ministère des travaux publics aux rues Ducale, de Lotivain et.de l'Orangerie, fr. 1,000,000 Restauration du palais de Liège, fr. 300,000 Appropriation du Conservatoire de musique de Bruxelles, fr. 350,000 Construction d'un hôtel pour la direction des con tributions Garni, fr 1 «0,000. B. Travaux hydrauliques construction d'un bar rage dans la Meuse en amont de Nainur, fr. 1,000,000. Travaux stipulés dans le traité du 12 mars 18«3 avec les Pays-lias, fr. 400,000 Travaux dans le canal de Turnhout Anvers, fr. 1,000,000 Amélioration du régime de la Lys, fr. 250,000; Canalisation de la Mandol, fr. 55,000 Subside la ville d'Ath pour travaux la Dendre, fr. 35,000 Amélioration du régime de la Dyle, fr. 40,000 Amélioration du régime de l'Yser, fr. 400,000 Amélioration du régime de la Grande-Nèthe, fr. 125,000 Travaux dans les Polders, fr. 150,000 l>rl de l'État dans les frais d'établissement de murs de quais et de magasins de commerce au port d'Os- tende, fr. 105,000 Approfondissement du canal de Gand Tcrneuzcn, fr. 2,000,000 C. Chemins de fer et télégraphes Chemin de fer de Bruxelles Luttre, fr. 4,000,000; Raccordement des stations des Goiliemins et Vive- gnics Liège, fr. 2,500,000 Chemin de fer de ceinture de Gand, fr. 1,500,000 Extension des lignes et appareils télégraphiques, fr. 400,000 Construction d'un steamer destiné au service entre Ostende et Douvres, fr. 750,000 Travaux d'extcntioii et de parachèvement des rail— ways, fr. 25,000,000 Extension du matériel de traction et de transport, fr. 9,500,000. Ligne du Grand-Loxcmbourg. Amélioration et ex tension des voies et du matériel exécution des stipu lations de la convention du 31 janvier 1873, relative aux travaux cl du matériel en construction fr. 18,000,000. Ministère des finances Dette publique. Remboursement 550 fr. par titre desl 14,460aciions émises par la compagnie du Grand- Luxembourg, fr. 62,950,000. Prix stipulé par l'article 25 de la convention du 31 janvier 1873 pour l'exécution de lignes nouvelles raison de fr. 200,000 par kilomètre, fr. 46,000,000. Total de toutes les dépenses comprises au projet de loi, fr. 179,850,000. Art. 2. Le gouvernement est autorisé contracter, aux conditions qu'il déterminera, un emprunt d'un capital effectif de 240 millions de francs. Le produit en sera affecté, jusqu'à concurrence de fr. 179,850,000, aux dépenses prévues .par l'art. 1', L'emploi du surplus sera réglé par la Législature. Un crédit spécial de 500,000 fr. couvert par les ressources ordinaires, sera ouvert au département des finances et de la dette publique pour subvenir aux frais de confection et d'émission des litres de cet em prunt. Art. 3. La présente loi sera obligatoire le jour même de sa publication. Et dans tout cela, qu'y a-t-il pour l'arrondisse ment d'Ypres Brosse Mais nos moutons rece vront une bénédiction de Monseigneur et ils devront être heureux et contenus Espngne. Voici le texte du Message adressé, aux Cortès par le roi Amédée,pour leur signifier son abdication i Grand fut t'bonneur que ipé fit la nation espagnole en me choisissant pour ocCuper'le trône cet honneur était d'autant plus appréeiable pour moi, qu'il se pré- entouré des diffkuitéf et des périls qu'entraîné T'alais l'entreprise d\gouverner un pays aussi pro- Palais de- rouble. Transf du 3ePen^#nt Par l'esprit dé résolution pro- Consetvs rec',erche plutôt qu'elle ne fuit a" *N- (n'inspirer uniquement du bien de CHO a eer au-dessun de tous les partis., l3° livmh". /eusoment le serment prêté par 14? £)es tra® '-s constituantes, et préparée faire 5° Une sacr'1ces l*°nr donner ce peuple pa.x dont il a besoin, la liberté qu'il mériur, deurà laquelle lui donnent droit sa glorieuse laâtmurage de ses enfants, je crus que le peu Se ma vie dans l'art rie commander |i\ iar la. loyauté de mon cap/'/y^yt que |S CENT _.iX,\ _-iXNEUF MILLK je trouverais une aide puissante, pour conjurer les périls et vaincre les difficultés, qui ne se cachaient pas ma vue, dans les sympathies de tous les Espagnols aimant leur pays et désireux de mettre enfin un terme aux luttes sanglantes qui depuis longtemps déchirent ses entrailles. Je reconnais que ma bonne volonté m'a trompé. Voilà deux longues|années que j'ai ceint la couronne d'Espagne, et l'Espagne vit dans une lutte perpétuelle, voyant chaque jour s'éloigner davantage l'ère de paix et de bonheur que je désire si ardemment. Si les enne mis de son honneur étaient étrangers, alors je serais' le premier les combattre la téte de ces soldats qui sont aussi braves qu'endurcis 9 la fatigue mais tous ceux qui avecl'épée, la plume, la parole, aggravent et perpétuent les maux de la nation sont Espagnols. Tous invoquent le doux nom de la patrie; tous combattent et s'agiloni pour son bien, et au milieu du bruit du combat, au milieu de la clameur confuse, étourdissan te, contradictoire des partis, au milieu de toutes les manifestations opposées de l'opinion publique, il est impossible d'affirmer quelle esi la vraie cause et plus impossible encore de trouver le remède de sembla bles maux. Je l'ai cherché avidement dans les limites de la loi et je ne l'ai pas trouvé. Qui a promis d'observer la loi, ne peut le chercher en dehors de la loi. Personne n'attribuera une fablesse de cœur ma résolution. Il n'est pas de péril qui me déciderait dé poser la courouoe, si je croyais qu'elle restai sur ma tête pour Je bien des Espagnols, mon esprit n'a éié nullement troublé par le péril que courut mon au guste épouse, qui, dans ce moment solennel, se joint moi pour exprimer le vif désir que l'on pardonne aux auteurs de cet attentat. - Mais j'ai la très-ferme conviction que mes efforts sêrout stériles et mes inten tions irréalisables. Ce sont là, messieurs les députés, les raisons qui me décident restituer la nation espagnole, et en sou noin,à vous, la couronne qui m'a été offerte par un vole national, je fais cette abdication pour moi, mes enfants et leur descendance. Soyez assurés qu'eu abandonnant la couronne, je n'abandonne pas l'amour de celte Espagne aussi noble que malheureuse, et que je n'emporte d'autre regret que celui de n'avoir pu lui procurer tous les biens que mon cœur désirait loyalement pour elle. Programme des morceaux qui seront exécutés le Mer credi, 26 Février 1873, sept heures,la Concorde, par la musique du 1' régiment de ligne, sous la direction de M'. Ch. Simar. 1. Marche des Nobles, de l'opéra le Tannhauser. (fl. Wagner.) 2. Pauline, redowa. (Frambâch.) 3. Les airs suisses variés, (arr. Weber.) - 1° Thème pour hautbois, 2° variations pour grande clarinette, 3° idem hautbois et deux clarinettes, 4» idem petite clarinette, 5° idem grande flûte, 6° idem deux trom bones, 7" idem saxophone, 8" idem piston et liugle, 9° idem tuba, 10» idem petite flûte et finale. 4° Bénédiction des poignards opéra les Huguenots. AJtyerbeer 5° L'enclume, polka. plastner Sommaire du n" du 22 Février 1873de ^'Il lustration européenne, 3° année. Gravures I.e naufrage du Norlhflfet. Une vue de Saida. L'abandonnée. Le vaisseau le Nortbfleet. Texte Nos gravures. Causerie, Les bals masqués. Le baron de Jama* gne. Histoire condrozienne. Le pays des bossus Poésie Noms donnés aux partis en France depuis 1789.— Histoire littéraire. Louis XIV jouant la comédie. Les voies du châti ment. (Roman.) MABCaÉ irYpurs. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grainsfourrages et autres produits agricoles, vendus le 22 Février 1873. NATURE 1 des GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS tendues. kilogrammes. PRIX MOYEN par cent kilogrammes. POIDS H" de l'hectolitre Froment 31,400 fr. 31 50 80 Seigle1 10,400 18 .75 75 3,200 20 75 44 Pois 1,600 20 25 80 Féveroles. 6,600 21 50 80 Pommes Je terre, 4,000 8 50 Beurre ii. 350 00 Pain de fariné de froment brute, 31 c. le kilo. Idem pour les fondations, de'50 c. 960 grammes. L'empiré qui ne voit jamais se éoi^cher le soleil. rgueil ^ranjLjA"» spoe, qu'il suiVm 3t cepf tousJÉ l'a p3£5ïïaeon même celui de la oolossale Babylone, aux jours de sa plus grande gloire celui de la Perse, sous Xercès, de la Macédoine, sous l'ambitieux Alexandre et, enfin, celui de la Rome Éternelle dite la majtresse du monde. L'autorité britannique est maté* rielle et morale c'est-à-dire qu'elle s'appuie sur le pouvoir et Tinûuence. Mais il y a une sorte d'influence que les Anglais exeroent d'une manière frappante nous voulons parler de la capacité médicale que semble avoir gagnéfe l'un d'eux, avec le titre indien de Vhomme Médical de FUnivers Nous faisons allu sion au Professeur Holloway sur la sphère desquels remèdes Le soleil ne se couche jamais en effet* n'importe où se trouve la maladie, ces remèdes y péuétrerout De même que Londres est le pôle physique et commercial du monde, de même aussi le sim ple et modeste établissement du Professeur Holloway, près de Temple Bar,..* Londres, est 1 e quasi-pole Médical de F Univers. Les chercheurs d'or de l'Australie trouvent dans ses Pilule* certaines guérisons pour lotîtes leurs maladies internes et dans sou onguent, le remede infaillible pour toutes les maladies externes. Dans les vastes et populeuses régions de l'Inde, les remedes Holloway sont une véritable panacée pour toutes les formidables maladies qui affligent spécialement ce brûlaat cli mat L'habitant de la Nouvelle Zélande, dans sa région primi tive, les estime comme de vrais amis les (udigènes comme les colons européens, dans lesrégions fiévreuses de l'Afrique, les regardent comme un sauveur au moment du besoin. Ces Médi caments sont l'ancre de salut pour l'habitant des Antilles, quand il est en danger de périr par la dyssenteriepréluda de la gan grène et de la terribl e fièvre jaune. Cet épouvantail de la nuit, ce démon du jour, dans ces oolonies Si ces Remèdes n'ont pas encore supplanté tous les autres eu Europe, ce n'est que par la forfanterie ou l'ignorance, si communes parmi les hommes qui <i ne savent pas ce qui est bou pour eux. Les habitants du Canada ont été les premiers a faire connaître les louanges accor dées aux préparations Holloway. Elles paraissent avoir, avec une rapidité merveilleuse, remplacé les vieilles prescriptions. Les préparations stéréotypées de la Phaimacopée pour les fièvres et les accès, la dyspepsie, les scrofules etc. ne peuvent lutter avec ces médicaments La presse a dû conséqtiemment annoncer lès guérisons obtenues par eux, comme le' commencement d'une ère nouvelle, dans l'histoire sanitaire de l'Amérique anglaise. On ne doit oepeudaut pas supposer que la vogue des remèdes Holloway dans les colonies, soit le simple écho de leur réputa tion en Angleterre. Ces Médecines qui ont prouvé qu'elles étaient des spécifiques pour les principales maladies de ces li mais, ont été acceptées- avec bonheur, et jamais jusqu'à ce jour, aucun remède n'a obtenu autant de vogue, que ceux du Pro fesseur Holloway. Maulmain Eagle. Pilules (FIlolloway Le Foie et la région des reins. Les effets pénétrants et pernicieux du froid et du vent éner vent les plus fortes constitutions, dérangent les fonctions de la peau, et couséquemment nuisent la circulation libre du sang dans les organes intestinaux.. Les seuls moyens d'éviter le mal dans ce cas, consistent augmenter les sécrétions des organes engagés, but qui peut être atteint facilement par l'emploi des Pilules d'HoIloway. Ces Pilules agissent rapidemént et sûrement sur le foie et la région des reins, les débarrassant de toute con gestion oppressive et en même temps rétablissent une circulation du saug bien proportionnée. Le résultat salutaire est obtenu sans que les Pilules engendrent aucun mal. Elles purifient tout en foi tifiant, elles augmentent l'appétit et rendent ie goût au palais, sans la crainte de la dyspepsie ou de désordes pires. 3. En vente: Pilules etOnyuentobe& Frysou-Vam Oui rive, rue de Dixmude, 35, Ypres. N. B. Vendue maintenant en état torréfié, la Revalenta n'exige plus qu'une minute au feu et pour les personues en voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avons préparé des BISCUITS DE REVALENTA, qu'or peut manger en tout temps; eu boîtes de fer-blanc de 4 et 7 francs. Santé a tous rendue sans Médecine par la délicieuse Farinb de Santé Rbvalbnta arabica Du Barrt de Londres. Depuis la cure du Saint-Père par la douce Revalenta Du Barryt et les adhésious de beaucoup de médeoins et d'hôpitaux, nul ne pourra plus douter de l'efficacité de cette délicieuse Farine de Santé, qui guérit, sans médeciue, ni purges, ni frais, les dyspep sies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, toux, asthme, phthisie, tous desordrés de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reius, iutestins, muqueuse, clerveau et sang. 74,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape le duc de Pluskow, Mmc la marquise de Bréhan, etc., et ect. Plus nourrissante que la viande, elle économise 50 fois son prix en d'autres remèdes. Cure N° 62,815. Thuillies (Belgique,) 30 septembre. Depuis 20 ans j'ai souffert d'une dyspepsie avec toiis les maux qui l'accompagnent. Votre Revalenta a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les congestions cérébrales. J.-J.Noel. fCertifioat N« 62,476. S'» Romain-des-Iles (Saône-et-Loire,) 30 décembre. Monsieur, Dieu soit béni Il a mis fin mes 18 ans de souffrances horribles de l'estomac et sueurs nocturnes pour m'accorder de nouveau le précieux trésor de la santé. j. Comparet, curé, îîn boîtes 1/4 kil2 fr. 25; 1/2 kil,, 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil., 32 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta en baîtes de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som meil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles et. nourrit dix fois mieux que la viande et que le rhooolat ordinaire. En boîtes de 12 tasses, 2 fr. 25; de 576 tasses, 60 fr., ou en viron 10 c, la tasse. Envoi oontre bou de poste. Dépôt Ypres. C. Becuwe. pharm. rue du Verger 11. Frysou, pharm., rue de Dixmude j G. Veys, pbarm., rue de Lille; H. Mahieu, boulanger, rue du Verger Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeçkout, 2; S. Veys-Deloampe, pharm., rue Nord du Sahlony' 9 V. Veys-Frysou, près S1 Jacques, 21, pharm. H. Staudaert pharm., rue des Pierres, 29 L. Algoet-Dispersyn, nêgt., rue Notre-Dame, 35 De Hondl-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10; A. Wiilaert-De Srnet, denrées coloniales, Grand' Place, 3; A Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord'du Sablon, 24. Courte ai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers. pharm. L. Kindt-de-Gheyne, pharm., C. Vander Espt, pharm. Dix- muj>£. —Claus:Vandenbussche,fabrique de chicorée,— Formes. J. Dobbelàere, pharm E. Duclos, pharm. Mknin. Veuve Van Aokere, pharm. Moorsledr. Ch. Bostyn. boulanger. Nieu- port. L- Lefevre, pharm Vanbaeckel-Focqueur, pharm. Ostende. F. Kockenpoo, pharm., rue Louise; Hay ward. denréej coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épiceri négociante,' Place S* Joseph. PopERiNaax- A. Hj - ph?. m. Rqulbrs. jjtAja^^frpharm. l%J*outeî ruais* Et ment for; mi peu prqs 1° 4^' (f

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3