STRASZAE
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o
ta
la Chambre s'écarter ainsi des propositions du gouver-
nenient. Ses regrets auront encore été plus vifs en
voyant la Chambre voter, malgré lui et malgré le chef
du déparlement des travaux publics, l'amendement de
la section centrale portant cinq millions le crédit
pour le canal de Terneuzen. Aussi, au second vote, M.
le ministre des finances essaiera-il de faire revenir la
Chambre sur ces décisions. Il réussira peut-être pour
l'intérêt électoral
[Journal de Bruges.)
Voilà où nous conduisent les anti-militaristes du
parti clérical.
l'Yser mais Gand aura ses millions
de la droite l'exige.
Le Sénat a terminé dans sa séance de samedi la
discussion générale du budget de la guerre pour l'ex
ercice courant.
Plusieurs .des orateurs qui y ont pris part ont saisi
cette occasion pour dire ce qu'ils pensaient des projets
militaires encore soumis actuellement l'examen de la
section centrale de la Chambre des représentants. D'au
tres ont donné libre cours leurs aspirations cléri
cales.
Tel, par exemple, M. Solvyns, qui voudrait ce qu'en
termes la mode on appellerait la messe obligatoire.
Son succès a été mince. M. d'Anethan a très-nettement
défini les résultats qu'aurait une pareille mesure, en
disant qu'elle ne conduirait qu'à faire des hypocrites
et nullement des hommes religieux. M. Solvyns se l'est
tenu pour dit.
C'est aussi M. d'Anethan que nous devons un des
incideuts de la séance. Se faisant l'echo de divers
organes de la presse cléricale il a exprimé le regret
que le gouvernement eût posé la question de cabinet
propos des nouveaux projets militaires. C'était offrir
M. Malou l'occasion de s'expliquer, et l'honorable mi
nistre des finances n'a pas manqué de la saisir. Sa
réponse nous a rappelé certaine note publiée par le
Journal de Bruxelles et où l'on déclarait que le
gouvernement n'avait pas entendu réclamer l'adoption
des dits projets ne varietur. Ce ne varietur a reparu
dans le petit discours de M. Malou, et nous savons offi
ciellement aujourd'hui ce que nous ne savions qu'plfi-
çieusement, c'est-à-dire que le cabinet était disposé
accepter les amendements qui pourraient améliorer la
nouvelle organisation militaire.
Reste savoir seulement si M. le général Thiebauld
s'y engagera avec lui.
Un pétitionnement considérableVorganise dans l'ar
rondissement de Verviers et spécialement dans le
canton d'Aubel, contre les changements proposés par
le cabinet la loi de milice. Déjà plusieurs de ces péti
tions sont arrivées la Chambre, et ont fait de la part
de M. David l'objet d'une demande de prompt rapport.
Une dépêche de Paris nous apprend que le conseil
supérieur du commerce, l'unanimité,y compris MM.
Pouyer-Quertier et Ozenne, s'est prononcé en faveur
du retrait de la loi sur 'les matières premières et du
retour aux traités de commerce de 1860.
[Écho du Parlement.)
Nous appelons l'attention sur les renseignements ci-
dessous qui feront voir comment les subsides de l'en
seignement primaire sont payés aux instituteurs dans
la Flandre occidentale, ou plutôt comment il ne leur
sont point payés.
Jusqu'en 1870 les budgets communaux de l'instruc
tion publique primaire étaient annuellement approuvés
par la députation permanente au mois d'avril. En 1871,
cette approbation a été retardée jusqu'au 17 août et en
1872 jusqu'au 12 septembre.
L'envoi do cë document la commune eut lieu par
circulaire du 16 décembre 1872.
Le payement des subsides de l'État et delà province
jusqu'en 1871 eut lieu annuellement en'unc fois au
mois de Juin. Y
Pour 1872, trois à-comp^e's sont payées et au 12
juin 1873, il restait encore 2;6 de subsides de 1872
payer aux instituteurs auront droit 6 mois de traite
ment de 1873. Les communes devront faire l'avance
des fonds. Celles qui n'ont pas de ressources pour cette
avance devront faire attepdre les instituteurs..
Si M. Je ministre de l'intérieur ne remédie pas cette
situation, est-ce que la Chambre ne se croira donc pas
obligée de lui adresser une uouvèlle réclamation cet
égard. (Etoile.)
Il y a quelques jours on a distribué l.e nouveau bud
get de la guerre pour 1874, édition revue, corrigée et
coument augmentée.
est établi sur une force moyenne de 43,
|e»_et 10,090 Chevàù*.
enne gui a servi du base au budget de
933 hommes et 8,791 chevaux. Il y a
une augmentation de 2,802 hommes
our 1874 s'élèvent 40,990,000 francs
6e 2,987,415 fr. ceux de .1873.
^augmentation de TROIS MILLIONS sur
précédent et de CINQ. MILLIONS sur le der-
get, fyésenté par le parti libéral en ,1869..
l'europe illustree. sosimaibe do vil.
(14 Juin 1873.)
GluvonEs Les Bords de la Lesse, aquarelle de
Trumper. Le Jeu de Balle A Bruxelles, dessin et
composition de L.-V. Elliot. Les derniers Evénements
d'Espagne. Les troupes Républicaines dispersant l'a
vant-garde de Dorregaray dans les Montagnes de
Lengua. (D'après un croquis de notre correspondant
Andres-MAiicos.) Ems. Paysagede Tromper.
Texte Courrier, par Fantasio. Les Bords de la
Lesse. Le Congrès Préhistorique, par A. Jourdan.
Le Jeu de Balle, par Ed. Beaudoux. L'insurrection
d'Espagne. Le combat de Lengua. par A. Bervillb.
Les villes d'Eaux. Ems, par P. Fooqoier. Un
Chanteur Succès. Histoire invraisemblable, par G.
Garbvail. La Tasse de Chine. Nouvelle, par Ch.
Bousquet. Le Sport, par le Vicomte Le Bailly.
Sommaire de ^'Illustration européenne 3"
année. 21 Juin 1873.
Gravures Mgr. Dechamps. Au bord de la Mer.
Le préau de la prison de Newgate Londres.
Une Bergère Italienne. Texte Nos rébus. Nos gra
vures. Causerie. Le Jardin Zoologiquc de Bruxelles.
Une excursion dans uue Houillièrc. Relation
d'une course en Ardennc. Les voies du châtiment.
(Roman.)
Mabché d'Ypbes.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des
grains, fourrages et autres produits agricolesvendus
le 21 Juin 1873.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES.
QUANTITÉS
VENDUES.
kilogrammes.
PRIX MOYEN
PAR
cerd kilogrammes.
POIDS M"
DE
l'hectolitre
Froment
20,000
fr. 34 00
80
8,400
21 50
73
Avoine
II
Pois.
700
22 50
80
Féveroles.
2,200
22 75
80
Pommes de terre.
8,000
50
Beurre
>1
280 00
État-civil d'Tpbes, du 15 Juin au 21 inclus.
Naissances. Sexe masculin 3, idem féminin 3,
total 6.
Mariages. LeloupAnatole, sous-licntcnant au lr
régiment de ligne, et DenysMarie, sans profession.
MelsensAlexandre, marchand de tamis, et Dumay,
dentellière.
Décès. Stekelorum, Henri, 18 ans, mitron, céli
bataire, rtie de Menin. Note, Câthérine 79 ans,
sans profession épouse de Louis Goudemée rue de
l'Étoil.e. GodartPierre, 70 ans, journalier, Céliba
taire, rue de Thourout. Depaepe, Pierre, 74 ans,
sans profession veuf de Reine Coffyn rue de Dix-
mude. Mensen, Antoinette, 84 ans, fripière, veuve
de Philippe Scharfft, rue de Menin.
Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 2, idem
féminin 2, total 4.
Fatales» épidémies.
A certaines saisons, la maladie devient épidémique et par
court en triomphe .sa course destructive, jusqu'à ce que quelque
purifiant remède, tel que les médeoines Holloway, suit employé
pour calmer sa violence et détruire son principe.
La natnre abonde en médecines pour tontes les maladies qui
attaquent le genre humain mais heureux est l'homme qui,
comme le Prolesseur Holloway, tombe sur le vrai remède pou
vant parvenir J usqu'à la tour ce cachée de ta maladie faute de
quoi, on tentera .vainement d'obtenir la guérisont L'origine de
cette maladie a longtemps embarrassé les médeoins qui sont
souvent déroutés par des symptôme! contraires, provenant évi
demment de différentes causes, De là, ils se moquent l'idée
d'une médecine universelle, comme celle du Professeur Hollo
way, simplement parce qu'ils n'ont pasété capables de déoouvrir
la cause première de toute maladie elles moyens d'eu.triompher.
Qu'une telle découverte ait été faite par le bien célèbre Profes
seur Holloway,c'est évident d'après les nombreuselet différentes
maladies qui ont été si promptement guêpes par ses simples
Pilules st Onguent. Aiusi, quoi de plus différent daus leur nature
et leurs symptômes, que les fièvres intermittentes et les rhuma
tismes? Et, eueore, ces grands fléaux cèdent également aux
Pilules et l'Onguent Holloway. Nous pourrions citer plusieurs
autres maladies de diverse origine, pour lesquelles ces remèdes
ont été également efficaces, assurant invariablement le rétablis
sement de la santé et toujours sans la moindre prostration, -A oe
quî arrive sj^éséralement durant un traitement prolongé avec
les médecine? ordinaires, qu'il a été souvent bien prouvé que la
cOBStitùliou du malade avait été plus attaquée par i s médeciuejÉ
quc'paéla maladie elle-même. Tel cependant, u'ast pas le
aveo te» médecines et le traitement du Professer Holloway
parviennent directement la véritable source de la maladie et
la guérissent complètement. Toutes les expériences ont justiGé
les succès de la pratique et, conséqueinmeut, nous devuns'con
clure qu'il a découvert le vrai principe, relativement tant la
cause qu'à l'origine de la maladie. Les praticiens ont été obligés
de s'incliner devant les invariables succès de ces remèdes qui ont
atteint ce que n'a jamais pu obtenir la Faculté, malgré tout son
talent et son habilité, savoir la propagation universelle. Que
l'on calcule, si o'est possible, la différence eutre le nombre de
ceux qui ont recours l'assistance médioinale, dans un dispen
saire publio et l'innombrable multitude qui. tous les jours, em
ploie les remèdes Holloway? Chaque année qui se suocède
augmente I impossibilité de oalculer les heureux partisans du
Professeur Holloway et les pauvres malheureux qui vont encore
errer dans les temples du uou-infaillible Esculape. Borne
Correspondent
Pilules JIlollowag. Le Grand Secret. Avec la tempéra
ture variable de ce pays, il est essentiel pour se préserver la
bonne santé que le sang soit purifié de temps autre et quatre
matières nuisibles soient expulsées du corps. Pour cela, le pu
blic peut être sou propre médecin et uu prix insignifiant.
Des instructions pour leur emploi sont fournies avec les Pilules
et la moiudre attention, a peu de restrictions près, entretenu
la sauté quelles[que soient les circonstances et les épreuves. Ces
Pilules sont altératives, toniques et apéritives. La Médecine
Holloway doit être sous la main, aGn qu'elle soit administrée
aussitôt que le premier symptôme avertit de l'approche d'une
maladie. H-
Eu vente: Pilules elOnguent, obéi Favsou-V.a Outrive, rue
de Dixinuile, 35, Ypres.
N B. Vendue mainteuaut eu état torréfié, la Revalenta
n'exige plus qu'une minute au feu et pour tes persouues en
voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avous préparé des
BISCUITS DE KEVALENTA, qu'os peut manger en Toor
temps; eu boites de fer-blanc de 4 et 7 francs.
Santé a tous renbue sans Médecine par la délicieuse Farine de
Santé Revalenta arabica Du Barrt dr Londres.
Santé tous par la douoe Revalenta Du Barrg, qui guérit, sans
médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastral
gies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomis
sements, constipation, diarrhée, toux, astbme, pbthisie, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches,
vessie, foie, reins, intestins, moqueuse, oerveau et sang. 74,000
cuks, y compris celtes de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, Jl™
la marquise de Bréhan, etc., etc. Plus nourrissante que la
viande, elle économise 50 fois sou prix en d'autres remèdes.
Certificat N» 62,812. Liège, le 14 novembre.
Atteint de dartres au bas des jambes depuis 1851 et trouvant
que le mal ne faisait que s'empirer sous le traitement de trois
médeoins qui m'assuraient du reste qu'à mon âge (55 ans) la
guérison était impossible, je me suis décidé, mon grand bon
heur, de faire usage de votre Revalenta, qui m'a parfaitement
guéri eu peu de temps et a affermi ma santé eu général d'une
manièie surprenante. Gr. Voos,
Concierge au banc d'épreuves des armes feu.
En boîtes 1/4 kil„ 2 fr. 25; l/2kiL, 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil
32 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta eu boites de p
et 7 fr. La Revalenta chocolatée reud appétit, digestion, som
meil et énergie aux personnes et aux eufauts les plus faibles et
nourrit dix fois m ieux que la viande et que le cbooolat ordinaire.
En boîtes de 12 tasses, 2 fr.25; de 576 tasses, 60 fr., ou en
viron 10 c. la tasse. Euvoi contre bou de poste. Dépôt
Ypres. C. Becuwe. pharm.. rue du Verger; H. Frysou, pharm.,
rue de Dixmude G. Veys. pliarm., rue de Lille-, H. Mahieu,
boulanger, rue du Verger Bruges. Veuve De Grave, drog., rue
Eeckout, 2 S. Veys-Deloampe, pliarm., rue Nord du Sablon,
9 V. Veys-Frysou, près S1 Jacques, 21, pliarm. II. Staudaert,
pharm., rue des Pierres, 29 L. Algoet-Dispersyu, uégt., rue
Notre-Dame, 35 De Hondt-Gazet, denrées coloniales, rue des
Pierres, 10 A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, Grand'
Place, 3; A. Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord du Sablon,
24.— Courtrai. H. Bossaert, pliarm.; E. Hiers. plia nu. L.
Kindt-de-Gheyne, pharm., C. Vauder Espt, pliarm. Dix-
ucde. —Claus-Vandenbussclie,fabrique de chicorée.— Fuknes. J.
Dobbelaere, pbarm. E. Duclos, pharm. Menin. Veuve Van
■Ackere, pharm. Moorsledr. Cb. Bostyu. boulanger. Nieu-
port. L. Lefevre, pliarm Yaubaeckcl-Focqueur, pharm.
Ôstcnde. F. Kockeupoo, pliarm., rue Louise; ilayward. deurées
coloniales, 68, riie de la Chamelle Veuve Philips, épicerie et
négociante, Place S1 Joseph. Popbringhe. A. Haelewyck,
pbarm. Roulers.F. Ameye, pliarm.; H. Bouteus-Degheest,
pharm. Thirlt. J. Buyssens-Byl, pliarm. Thourout. J.
Vande Casteele, imprimeur. 3.
Sera Ypres, le Dimanche, Lundi et Mardi de
chaque semaine.
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