leimiHii MAAIGRAZEN VERKOOPING \tt (Jï en I STRASZAK DEVIS SAUVES. YPRES Dumon, 50, eue (le Lille. c_ o a fa z =3 Jt-2 -S g-s S' Près de cinq mois se sont écoulés depuis le crime mystérieux du Marché-aux-OEufsa Anvers, et la justice n'est pas encore parvenue mettre la main sur l'assassin de l'infortunée Virginie Huvenccrs. Le voile qui couvre ce crime reste toujours inpénétrable cl peu peu l'affaire allai* tomber dans l'oubli quand un fait, non expliqué jusqu'ici, vient de nouveau appeler l'attention sur ce sombre drame. Dans l'interrogatoire des voisins, quelques-uns de ces derniers avaient déclaré que le soir du crime, ils avaient aperçu un individu vêtu d'un pardessus et ayant une casquette en peau sur la tête, qui rôdait dans la rue. Or, lorsque, quelques jours après le crime, le parquet fit chercher les vêtements de la victime, on trouva, parmi ceux-ci, la casquetic en peau dont avaient parlé les voisins. Il faut donc que l'assassin, après la découverte de sou horrible méfait, ait encore reparu sur les lieux du crime, car la malheureuse Vir ginie Huveneers a déshabillée la nuit de sa mort personne, alors, n'a vu la casquette, et c'est parmi les habillements qu'elle a été trouvés. Jusqu'ici malgré toutes les investigations, on n'est pas parvenu con naître le propriétaire de cette casquette. Le plus grand secret avait été recommandé par la justice lors de la découverte de cette pièce de conviction. [Escaut.) Sir R... un jour explorait les rives d'un ruisseau en compagnie de l'aubergiste qui avait l'honneur de l'hé berger. Celui-ci s'étant maladroitement rapproché un moment où le pêcheur donnait la volée sa ligne l'hameçon s'engagea dans la paupière du pauvre diable, non sans y causer de notables avaries. L'Anglais déga gea froideinent.i'aiguillon,en ajusta l'amorce, et comme l'aubergiste continuait de crier comme un brûlé Aoli? lui dit-il h demi-voix vous mettrez l'œil a vous sur la petite note mais vous devez taire vous pour ne pas effrayer mon poisson. Et la ligne ayant recommencé son évolution inter rompue cette exquise sensibilité eut une fort belle truite pour récompense. La police des mœurs de Paris continue ses visites et ses arrestations dans les garnis. Hi«r, dans une razzia, elle a arrêté une pauvre lillc mineure, plus intéressante que coupable. C'est une jeune fille de dix-sept ans nommée Marie N... Elle est fille d'un négociant du quartier des (faites. La pauvre enfant s'étant laissé sé duire par un de ses cousins, sou père la chassa dosa maison, voici quatre mois de cela. Depuis, elle a erré de garni en garni, après s'être vainement adressée son cousin, qui a vingt mille livres de rentes au inoins, et qui est notable commerçant. De degré en degré, elle en est tombée aux derniers échelons de la prostitution. A deux reprises différentes, elle a essayé de se suicider. Au restaurant Le consommateurGarçon, qu'est-ce que vous avez de froi<l? Le garçon Monsieur est bien bon ce sont mes pieds. Onguent et Pilule(Vflolloway. Maladies Dangereuses. Combien de maladies dans le cours de la vie se produisent par suite de la négligence de symptômes, eu apparence, sans im portance. Le bouton susceptible d'une guérisou prompte dans l'enfance, devient, faute de soins le tourment incurable de toute la vie. Avec la connaissance du pouvoir curatif de l'On guent let des Pilules H dloway, ceux qui négligent d'extirper les premiers germes de maux héréditaires auront subir le châtiment provenant de leur folie. Les remèdes d'Efolloway font disparaître les éruptions de la peau, les maladies de scorbut, les scrofules, eu toutes sortes d'ulcères, maux, blessures ou écor- chures. Par l'emploi des excellents remèdes d'Holloway qui sont prompts et sûrs,- beaucoup de peines et de grandes dépen ses peuvent cire épargnées et un grand bienfait est assuré aux présentes, comme aux futures géuératoins. 12. En vente: Pilules elOnyuent^ uliet F«tsou-V*w Oiitiivb, rue de Dixmude, 35. Ypres. N B. Veudue maintenant en état torréfié, la Revalenta n'exige plus qu'une minute au feu et pour les personues en voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avons préparé des BISCUITS L)Ë KE VA LENT A, qu'on peut mangkr bn tout temps; eu boîtes de fer-blanc de 4 et 7 francs. Santé tous rkndur sans Médrcinr par i-a dklicibusk Farine de Santé Revalbnta. arabica Du Barrt dr Londriîs. Tout malade trouve, par la douce Revalenta Du Barry, santé énergie, appétit, bouue digestion et bon sommeil. Elle guérit, sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gas tralgies, glaires, vents, acidité-*, pituites, nausées, renvois, vos missemeuts, constipation, diarrhée, toux, asthme, phtli sie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reius, intestins, muqueuse, cerveau et sang. /4.000 cûres, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, Mn,° la marquise de Brélian, etc., etc. Plus nourrissante que le viande, elle économise 50 fois son prix en d'autres remedes. Cure N° 65,184. Jumet, près Charleioi, 9 Mai. Votre précieuse Revalenta vient d'opérer la guérison de ma femme, sujette des soulfrauces et des vomi-sements conti nuels. et de maux qui, depuis 4 ans, la tourmentaient sans trêve. Enfin un brave médecin de nos euvirons lui couseilla de faire usage de votre farine. File commença de s'eu servir le 19 avril dernier, et déjà, au grand étotiuement de plusieurs personues, les vomissements ont cessé l'affection des yeux ainsi que celle des jambes ont disparu, le sommeil est redevenu paisible, les douleursdu cœur,de l'estomac et des reins cèdent insensiblement et sont déjà presque nulles. L. J. Dury. Eu boîtes: 1/4 kil 2 fr. 25; 1;2kiL,4fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil 32 fr 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta eu boîtes de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som meil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. En boîtes de 12 tasses, 2 fr. 25; de 57G lasses, 60 fr., ou en vi rou 10 c, la tasse. Envoi contre bon de poste. Dépôt Ypres. C. Becuwe. pharm.. rue du Verger H. Frysou. pharno., rue de Dixinude G. Veys, pharru., rue de Lille; H. Mahieu, boulanger, rue du Verger Bruges. Veuve L)e Grave, drog., rue Eeckout, 2; S. Veys-Delcampe, pharm., rue Nord du Sabhm, 9 V. Veys-Frysou, près S1 Jacques, 21, pharm. H. Standaert, pharm., rue des Pierres, 29 L. Algoel-Dispersyn, négt., rue Notre-Dame, 55 De Hondt-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10; A. Willaert-De Smet, denrées coloniales. Grand' Place, 5; A. Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord du Sablon, 24. Codrtrai. U. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm.; L. Kindt-de-Gheyrie, pharm., C. Vauder Espt, pharm. Dix mude. Claus-Vandcnbussche,fabrique de chicorée.— Fcjrnes. J. Dobbelaere, pharm E. Duclos, pharm. Mknin. Veuve Van Ackere, pharm. Moorsledk. Ch. Bostyn, boulanger. Niru- port. L. J.efevre, pharm Vaubaeckel-Focqueur, pliartu. Ostende. F. Kockenpoo, pharm., rue. Louise; HayWard. denrées coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et négociante, Place S* Joseph. Poperinghe. A. Haelewyck, pharm. Roolers. F. Araeye, pharm.; H. Boutens-Degheest, pharm. Thirlt. J. Buyssens-Byl, pharm. Thourout. J. Vande Casteele, impiimeur. 4. Sera Ypres, le Dimanche, Lundi et Mardi de chaque semaine. Pour nettoyer et conserver saines les «lents et la gencive, ainsi que pour faire disparaître toute mauvaise odeur de la houclic ou peut recommander comme «les plus efficaces l'Eau denti frice anatliérine, préparée par M. le docteur J.-G. POPP, dentiste de la cour impériale et royale de Vienne. Cette préparation qui ne contient aucun ingrédient nuisible la santé, empêche la carie des dents et la for mation dii tartre^ elle préserve des maux de dents et de la mauvaise ha leine, et, dans le cas où ces affections existeraient déjà, «-Ile les diminue et les guérit en peu de temps. La Poudre dentifrice végétale, «lu même docteur nettoie si bien,les dents, que son usage quotidien a pour ITet non-seulement de prévenir la forma tion du tartre, ordinairement si fâ cheux, mais encore de conserver l'émail des dents et d'en augmenter la blancheur. Eau aualhérine, fr. 2-0Ô le flacon. Poudre, fr. l-'60 la boite. GEWOONE VERKOOPING VAN ZKKR SCHOONE TEN MEERDEREN DEELE FIJN PEERDHQOI, VOOR DEN ONTBLOOT VAN 1873, gelegen in de ges1ef.nten RENINGHE, OOSTV LETE REN EN NOORDSCIIOTE. 1° Vrljdag, 4" Jtilij (873, om 4 1(Jt.11 iren namiildag, ter herherg île Peereboom^"""'"". LAIGRAZEN bclroo- Kci,mSne* ninghe, den Grooten en Kleinen Binst, de Hautcclocque, de MAAIGRAZEN vau de Armeschoo) Simoens zes gemeten de Pastorijlijn en andere. En Mnnndag, 7" Jalij 187,5, om 4 uren namiildag, ter lierberg van sieur P. Merlevede-Vanrechem, in den Westbroek, te Reninghc van de sclioonc en goede PAPEGR.ÏZEN, de Palinck-tien lijuen, de Palinck-twaalf gemeten en Clarebouts vicr gemeten. De Verkooping der voorschrcvrn Maai- ^razen, verdeeld in koopen ten gerieve van ccii ieder, zal gedaan worden op langenî tud van betaling, voor wat het principnal aangaat, mils borg le stellen, de bcsprekpn Izullcn inoeten gereed hetaald worden in jhanden van den Notaris 1*1 ET EUS, te 2" H. 1-54-95 c. GOED MAAIGRAS, te Woumen in Neckersbroeck bckend bij kadaster sectie C, nummers 71,6, 718 en 721. Gcbruikt geweest door wijlen Sophia-Cliristina Lenoir om aauslonds in gebruik te treden. Deze Verkooping gesehiedtten overslaan vau Hijnheer den Vrederechtcr te Dix mude. Door 't amht van den Notaris Lavrkst PROOT, (e Woumen. te Reniiiglie, van de MAAIGH rende de Burgcrlijkc'GodsIioizeu vau Ypre, l.azernijBelle-Godshuis en Bcgijnen MAAIGRAZEN van de Armeschool, bij het Zwijnstal; de MAAIGRAZEN vau Mevrouw Dclerive-Bcke, Mergliclyneks vijf gemeten, Serlippus vijf gemeten, de Rooman cil de MAAIGRAZEN van de kiudcren Degryze, te S' Jan, gelcgcn te Noonlschote en Re niiiglie daarna zal meu verscheide partie» ■ACHTERGUAS verpacbten. 2° Zaterdag, 5° Jliilij 1873, om 4 uren nainiddag, ter' herberg den Een- hnorn, ter plaats van Rcninghe, der MAAI GRAZEN van de Krrk en Disch van Re- IN EENE ZITTING. 1 Jlnli 1873, Icn DIXMUDE, ten a ure Stad- Itlnandag, 14 juist namiildag, te buize, van 1» Een SCHOON HOFSTF.DEKE en h. 1-81-70 c. Erf te WoqsiEN, zuid-wesl bij 't dorp bekend bij cadaster scctic C, nummers 774, 800, 861, 873, 874, 875,876 en 877. tXJ ua o -a i $3"! 2 I -S S ■_z: i- M» n CL, !:•5 2PcL.» «- O '3 (O 3 S" co _3 O «3 3 O o M «j J". 3-3 5 .3, -'2? v w Q-- u n es. s - a- 3 J" H ^cL«!n*ç i»l m 5 3 l^1 3 - V - X 3 -2 3 s .2 *53 •w r" - 3 on r- i-SïViiJ 3 2 a i S-2 5 3 S fi U D - y gl»' '■O2 8 3.S03 SW n M O y jj S 6 "S a s Sm M a w u a 3 -s f - .S s nJ IH s» «»3 3. 5 ce - 2 "3 3 3 -J3 - t - 2 C.T G. a w 3 D 3 O - a M 3 3 a, S 3 Œ3 S a u .2 o <o x 5 "o fa 3 3 3 «J - h m S S 68 u q «S 3 5 2P 2 4? 2 - 'S P ec s L s »h331S.S S -s, e aT'S """'-n t- s S S-S .-s Jfr S a - 5«-"Q5w 3 3 3 a, - qd C ce ce o "O -O s *4\ U-2 H S eh ^i ri. fa cS S ■eP W e s m -—S "aa O Es- U3 ta j M j ce J cc Q •J O K tD U a - E22» r jSJ® i. EE O h ce q P. o o w 27 a H EH m M S S - a"> 2 H- 24 SZï-gsS-, faa - c- O 3 a g -■5 5 S s y a i*-= - M v— 2 S s m™ -ëëo m w J 2 u. i

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3