STRASZAK
v-
Véritable Extrait de Viande Liebig
Paris 1861 Havre 1868. Amsterdam 1869.
Moscou 1871 - Lyon 1871 - Pans. 1871
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J
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s d
V
La discussion du projet de loi relatif l'administra
tion de la justice en Armand avance péniblement. La
Chambre des représentants n'en a voté hier qu'un seul
article, avec un amendement qui, s'il est maintenu au
second vote, causera le plus admirable gâchis que l'on
puisse imaginer. 'On a admis que le prévenu ou l'ac
cusé pourrait se faire défendre en français ou en fla
mand sou choix cela n'a pas été sans mal ruais
il a été décidé que le ministère public parlerait en
flamand même lorsque la défense du prévenu ou de
l'accusé» été, de sou consentement, présentée en fran
çais. I/airtendcment^qui consacre celte bizarre innova
tion, a adopté par 42 voix contre 41. Le projet de
la section centrale portait que, lorsque la défense avait
été présentée en français le ministère public avait le
droit de faire usage de la même langue tous les mem
bres de la section centrale, président cl rapporteur
cii tète ont voté contre la proposition soumise par
eux la Chambre.
A la fête de l'Elysée ou causait du voyage du shah,
de questions en questions, on eu arriva celle-ci
Voyons est-ce que le shah depuis son arrivée
en Europe, u'a remarqué aucune femme
Absolument...
Alors, il n'aime pas les Européennes
Si...
A Londres pas une Anglaise n'a fait impression
sur lui A Paris, pas une Parisienne
Si fait... Mais jamais il ne viendrait la pensée de
Sa Majesté de cueillir une fleur qui a du être seulement
respirée par un autre.
Oh
Après sa condamnation par la cour d'assises de
Brabarit du chef de banqueroute frauduleuse, Henri
Van Lecuy père ex-directeur de la maison d'aliénés
d'Evere extradé de l'Angleterre où il s'était réfugié
fut transféré,il y a environ deux moisau pénitencier Oel-
lulaire ou prison centrale de Louvain pour y subir sa
peine. Il ne tarda pas tomber malade,et il vient de
mourir dans l'infirmerie de cette prison,
Vincendie de là rue Mange. Un sinistre épouvan
table vient de jeter la conslernaliou dans le quartier
Mouffetard.
Les magasins de nouveautés au Grand Mange
situés 100, rue Monge, au coin de la rue MoufletaiM, et
appartenant MM. Morcau et C* ont été réduits eu
cendres.
Le feu s'est déclaré on ne sait encore comment, lundi
soir onze heures moins un quart, au rez-de-chaussée
dos magasins et s'est propagé avec une effrayante rapi
dité.
On n'est parvenu qu'avec la plus grande peine dans
les magasins du rez-de-chaussée, cause de la ferme
ture en fer vis que l'on a dû enfoncer coups de
liachc. Cette circonstance a été la cause de la mort de
trois employés qui couchaient, dans les magasins par
mesure de précaution.
On a retrouvé leurs cadavres horriblement mutilés
enlièrémeiit carbonisés au milieu des décombres.
On a malheureusement en outre des deux morts
ci-dessus mentionnées, déplorer une troisième vic
time.
M. Gauthier, professeur de mathématiques élémen
taires au collège Rollin, s'est tué en voulant descendre
du quatrième étage l'aide de draps de lit noués en
semble cette corde, mal assujettie, s'est cassée et il
est tombé sur le'sol pour ne plus se relever.
Le malheureux était âgé de quarante-trois ans sa
femme était accouchée il y a deux jours Suresnes.
i u a»
Les soldats et les marins.
C'est un fait étrange que les soldats et les marins, bien que
mienx vêtus et mieux nourris que la.majeure partie de la popu
lation, sont plus atteints de la mortalité. Ce fait extraordinaire a
été suffisamment prouvé dans la plupart des contrées.
Une cause de maladie provient infalliblement de l'oisiveté qui
engendre le vice; mais, en rpeuie temps, ou peut se demander
quels sont les meilleurs remèdes pour guérir complètement cette
maladie. i
Nos nous rappelons un iuoident frappant sur ce point et bien
reconnu^ savoir que des centaines de nos troupes, deviennent
hors de service, par suite de ces deux maladies dominantes dont
la nature afflige les licencieux nous tenons le fait auquel nous
faisons allusion d'un malade même. Il raconte qu'il s'était em
barqué de l'Inde daus un état de santé délabré, après avoir
vajueinent essayé tous les remèdes presorits par j'ajutorjté, lors
qu'un vieil ofhoier du pays, voyant sa position, l'engagea
essayer des Pilules et Onguent Holloway. Le malade n'avait pas
confiance daus ce temède, mais il consentit ne faire l'essai,
pensant bien que si ces médecines ne lui faisaient pas de bien,
elles ne pourraient certainement pas le rendre pire qu'il n'était.
Mais, grande et des plus agréables fut sa surprise, en trouvant
le plus immédiat soulagement dans ces remèdes dont il avait
l'habitude de rire, comme s'ils avaient été de simples drogues
pour attraper de l'argent, ou de ridicules panacées, u Eo quel
ques semaines, dit-il, les Pilules et l'Onguent Holloway
m'ont complètement guéri. Les faits sont proverbialement des
habitudeseuiacinées et le cas présent, relaté par une personne
reconnue incrédule et communiqué d'autres qui u'avaient
aucun intérêt, parle aussi haut que des volumes, en faveur des
Remèdes du Professeur flollowayauxquels tant de millions de
personnes sont redevables de l'existence et de la restauration de
leur sauté.
A aucune classe de personnes les Remèdes Holloway n'ont été
plus seiviables qu'aux émigrauts, si souvent attaqués de toutes
sortes de maladies incurables; partout on trouve d«3 témoignages
de leurs précieux et invariables succès Suivant tes statistiques
que possède Thomas Holloway, les premiers colons, envoyés la
Grande Rivière par la Nouvelle Compaguie Anglaise, en 1852-5,
reçurent l'ordre de se pourvoir eux-mêmes de quelque médecine
de famille, de leur propre choix. Ils choisirent les deux célèbres
remèdes Holloway qui, depuis, ne furent jamais oubliés parmi
les provisions de l'émigraut. Avec de tels faits sous nos yeux
et nous pourrions en ajouter plusieurs autres pourrions nous
douter que le nom d'HoIloway ue survive aux siècles venir,
comme le conservateur de la santé et de la force et le préservateur
de toute maladiealors inéme qu'Harvey, Abernethy, Astley
Cooper, et Brodie seront oubliés Colonial Correspondent.
Marché id'Ypiif.s.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des
grainsfourrages et autres produits agricolesvendus
le 19 Juillet !d75.
NATURE
des
grains et denrées.
quantités
vendues.
kilogrammes.
plilx moyen
par
cent kilogrammes.
poids m"
dr
l'hectolitre
F roifrenl
18,400
fr 34 50
80
9,800
20 50
73
A voiue K
ii
Pois.
1,100
25 50
80
Féveroles.
3,200
25 50
80
Pommesde terre.
3,000
7 50
Beurre
ii
280 00
État-civil id'Ypkfs, du 15 Juillet a u 19 inclus
Naissances. Sexe masculin 4, idem féminin 5,
total 7.
Makuges. GoudezeuneHenri, tisserand, et Om-
meslagValérie, dentellière. StekelorumAugoste,
tailleur et Byntem Marie tailleuse. Deraeve
Alphonse, aidc-pharmacien, et NaeghelsElodie, sans
profession.
Décès. FerrynRosalie T 62 ans fleuriste céli
bataire, rue au Beurre. Wenes Virginie.62 ans
dentellière, célibataire, rue de la Boule. Vanheule
Charles 53 ans cordonnier célibataire S* Jacques
lez-Ypres. Beck< Jeanne, 72 ans sans profession
veuve de Charles Six, S1 Nicolas lez-Ypres.
Enfants àu-dbssous de 7 ans sexe masculin 1, idem
féminin 1, total 2.
Onguent et Pilules <J'Holloway. Soulagement pour chaque
Mal Cet, Onguent donne le moyen le plus rapide, le plus
sur, et le plus aisé pour recouvrer la santé dans toute espèce de
maladies de peau, affections scrofuleuses. maladies scorbutiques,
ulcérations, éruptions et inflammations II n'y a rien de nuisi
ble dans la composition de l'Onguent Holloway-, au contraire,
celui-ci. de même que les Pilules, possède les qualités les plus
douces, les plus dépuratives et fortifiantes. La peau délicate des
enfants n'est pas affectée par l'application de cet Onguent, qui,
eonséquemmeut, convient admirablement la jeunesse et guérit
ces ulcérations chagrinantes qui attaquent la vieillesse. Dans
loute affection constitutionnelle chronique ou complexe, les
Pilules d'Holloway doiveut être prises pendant qu'on fait usage
de l'Onguent, aûn que toute matière nuisible soit expulsée du
corps. s 10.
Eu vente: Pilules et Onguent, oliez Farsou-Vâ* OnratfB# rue
de Dixmude, 35. Ypres.
N. B. Vendue maintenant eu état torréfié, la Revalenta
n'exige plus qu'une minute au feu et pour les personues eu
voyage, ou qui n'ont p^s de cuisine, nous avons préparé des
BISCUITS DE REVALENT V., qu'on pkot mangkr en tout
temps; en boîtes de fer-hianc de 4 et 7 francs.
Santé a tous renoue sans Médecine par la délicieuse Farine de
Santé Revalenta arabica Du Barrt de Londres.
Tonte maladie cède la douce Revalenta Du Barryt qui rend
santé, éuergie.digestion et sommeil. Elle guérit, saus médecine
n: purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires»
vents, acidités, pituites, nausées, renvois, yomissemeuts, consti
pation, diarrhée, toux, asthme, phtbisie, tous désordres de la
poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins,
intestins, moqiiense, cerveau et sang. 74,000 cures, y compris
celle de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, Mme la marquise de
Bréhan. etc. Plus nourrissante que la viande, elle économise
50 fois son prix en d'autres remèdes.
Cure N° 68,471. Prunetto (près Moudovi). le 27 ootobre 18Ô6.
Monsieur,— Je puis vous assurer qne je fais usage de la mer*
veilleuse Revalenta Arabica du Barry. c est-à-dire depuis deux
ans, je n'éprouve plus aucune incommodité de ma vieillesse, ni
le poids de mes 84 ans. Mes jambe h sont devenues fortes, ma vue
est tellement bonne que je n'ai pas besoin de faire usage de
lunettes mon estomac est robuste comme l'âge de 50 ans.
Bref, je me sens rajeuni je prêche, je confesse, je visite les
malades, je fais des voyages assez longs pied, et je me sens l'es
prit lucide et la ménioi><- fraîche. Je vous autorise donner
cette déolaration toute la publicité que vous voudrez.
Votre très-dévoué. L'abbé Pierre Cartellï,
Bachelier ès-théologie, et ouré de Prunetto
Eu boîtes 1;4 kil2 fr. 25;. Iy2k.il», 4 fr.; 1 lui., 7 fr.; 6 kil
52 fr. 12 kil., 60 fr.— fies Biscuits de Revalenta eu boîtes de 4
et 7 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som
meil et énergie aux personnes et aux eufauts les plus faibles et
nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire.
En boîtes.de 12 tasses, 2 fr. 25; de 576 tasses, 60 fr., ou en
viron 10 c. la tasse. Euvoi contre bon de poste. Dépôt
Yprrs. C. Becuwe. pbarm.. rue du Verger H. Fryson, pharm.,
rue de Dixmude G. Veys. pharm., rue de Lille; H. Mahieu,
boulanger, rue du Verger Bruges Veuve Ue Grave, drog., rue
Eeckout, 2 S. Veys-Delcampe, phanu., rue Nord du Sahlon,
9 V. Veys-Fryson,' près S1 Jacques. 21, pharm. H. Standaert,
pharm., rue des Pierres, 29 L. Algoet-Dispersyu, uégt., rue
Notre-Dame, 35 De Houdl-Gazet, denrées coloniales, nie des
Pierres, 10; A. Willaert-De Smet, denrées coloniales. Grand'
Place, 3; A. Delpiace, imprimeur-éditeur, rue Nord du Sahlon
24.— Codrtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pliann. L.
Kindt-de-Gheyue, pharm., C. Vander Espt, pharm. Dix
mude. —Claus-Vandenbussclie,fabrique deohicorée.— Furnes. J.
Dobbelaere, pbarm. Ei Duclos, pbarm. Mrnin. Veuve Vau
Aokere, pliarra.— Moorslede. Cb. Bostyn. boulanger. Nibu-
port. L. Lefevre, pharm; Vaubaeckel-Focqueur, pharm.—
OsTeNDg. F. Kockenpoo, pbarm., rue Louise; Hayward. denrées
coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et
négociante, Place S1 Joseph. Popbringiie. A. Haelewyck,
pharm. Roulbrs. F. Ameye, pharm.; H. Boutens-Degheest,
pharm. Thiblt. J. Buysseus-ByI, pharm. Thourout. J.
Vande Casteele, imprimeur. 5é
Sera Ypres, le Dimanche, Lundi et Mardi de
chaque semaine.
de I» Compagnie Liebig, Londres,
fabriqué àFRAY-BENTOS (Amérique du Sud).
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