ft BELLE 1IVIS0A <r PILULES H0LL0WAV ONGUENT HOLLOWAY! DENTS SAINES. 93 O 3 2 •J - 50 AU BASSIN oe COMMERCE, n° 3, VINS ET SPIRITUEUX. t T" Un illvstre chimiste, Raspail, dans son Manuel de la santépage 118, dit que le goudron embaume la circulation du sang et il le conseille dans une foule de cas. Bouchardat, dans «ou Traité de thé rapeutiqueannée 1866, page 92, dit propos d'une affection qui avait résisté tous les autres traitements après quelques jours de traitement par le gnudrou, l'ezéma avait disparu et les furoncles avaient cessé de se reproduire. Le même résultats étécoustaté chez d'autres malades et ces divers faits sont venus ainsi constater l'efficacité du goudron comme moyen d'empêcher la repro duction des furondes. Dans VAnnuaire de thérapeutique pour 18G9, p?ge 83, il est dit l'usage habituel et quotidien du goudron est très-recommandé chez les convalescents et les personnes faibles; il constitue un excellent préservatif contre un grand nombre de maladies, surtout contre les maladies épidéraiques. Le docteur Jozan, dans son Traité pratique des maladies des voies urinairesdit l'avoir ordonné avec succès daus les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'urètre. Maison le goudron est d'une effioacité supérieure tout antre médicament, c'est contre l'asthme, les rhumes négligés, les bronchites ohroniques, la phthisie et les rhumatismes. Daus l'asthme, la respiration est difficile et laborieuse, cause de l'occlusion incomplète des bronches, quintef violentes de toux, qui se terminent par des expectorations compactes, grisâtres, grmnelées. fades et nauséabondes bouflisbres de lu face, et souvent de toutes les autres parties du corps étouffements fréquents. Le fioid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysant les fonctions des muqueuses, rend les produits de leurs sécrétions plus concrets et moins faciles a se détacher Une ou deux capsules de goudron tous les soirs, avant le dernier repas, sqffit pour dissiper tous ces symptômesamener un soula gement immédiat et bientôt une guérison complète. On rhume négligé ou mal traité finit par amener le marasme, quand il ne se traasforine pas eu phthi sie pulmonaire parfois les quintes finisseut par devenir si fréquentes et si violentes, que toute la constitu tion en est ébraulée le sommeil eu est chaque instant troublé; les pommettes rougissent et les joue* pâlissent le pouls est fébrile et rapide. La moiudre impression de froid redouble toutes les souffrances plus lard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, obstruent les capillaires et paralysant ainsi l'oxygénation du sang; lorsqu'ils viennent suppurer, ils sont le foyer de la désorganisation des cellules du poumon, et y occaiionuent de larges pertes de substance, que l'on désigne sous le tfom de cavernes. Le ma lade est pris d'une langueur sans souffrances, d'une mélancolie sans eunui ses crachats, d'abord blancs, pumeux «t nacrés, virent de plus eu plus vers une coloration de mauvais augure, et, la deruiere période, ils sont d'un vert herbacé. Le dévoieaient le prend au début et ne fait ensuite que s'accroître. vSou existence nVsl plus qu'une lente agonie, saus remords et sans regrets, et il e'éleiut eu pleiue connaissance, soit a 1 époque où la uatuie se réveille, soit celle où elle s'endort. Vne ou deux capsules de goudrontous les soirs, avant le dernier repas, suffisent pour guérir en peu de temps le rhume le plus opiniâtrela bronchite la plus invétérée pour enrayer et guérir en peu de temps la phlhisiey même assez avancéedans ce dernier casle goudron empêche la décomposition des tuberculeet, la nature aidantla guérison est souvent très-rapide. Il est Inutile de faire l'éloge du. goudron, les médecins Je prescrivent journellement leurs malades; meut, le goudron liquide répugne, et beaucoup de persouuesse refusent a le prendre, taudis que uos nies se* mettent »>r la langue et sont avalées au raojru d'une gorgée d'eau saus laisser le moindre jCit. Ces capsules contiennent le goudron de Pin Sylvestre Maritimele goudron rectifié est le seul ça cité toujours invariable; une seule capsule contient les principes de trois ou quatre litres d'eau de Jrd$naire Dans notrecouvictiou profonde,ce goudron est un préservatif oertaiu contre la variole éra, ta lièvre typhonle, etc. Eu preuaul nue simple capsule de goudron tous les jours, ou peut impu Jt aller soigner les malades atteints de ces maladies; loutes le» persounes qui les ont employa s peu- «pidemie varioiique qui a dernièrement sévi Paris avec tant d'intensité, s>u sont bien trouvées ei ftvTeHe* n'a éprouvé les atteintes du fléau. ji tlacou de capsules est coiiienu dans une boite portant le ca i qui ne porterait pas ce cachet. iteme.it par le Gooosos, il couvient de irgatives Ôadvin, que nous avons aualyséesj Caû -3 h a O* Z/2 2 2 3) - - -5 5 «- a. - k es a fi tn - a 5- tr 3 ■jz •- an O "X. te 3 ■- o 2 5 g "3j S J* - 2y - D O t s o *2? w a 3 3 I •r - 1 t «O 3 •- *5 o- ,2 m 3-g ■s i S s s S V. r* s "S s *- s 2 -3 5 I a m S - V 3 V ï- -3 O a Z je a 5 S - O s .tT 2 O- O p „.3« rz Z "te S 5« £8 - E w M 0 -= 2 o."s i s o a s w id S3 s S s g J 2 T 5 S u v oc 3 ce «o -i* "5 S - 3SS=i! s- c s a ■s 5 3 S J S a •r r-, k Û..5 l r .<0 M -S - Q s 3 3- r2 c -s U 4 "S. s G- r «5 i - s ES SEULES VERITABLES mA Pour nettoyer et conserver saines les dents et la gencive, ainsi qoe (tour faire disparaître toute mauvaise odeur de la bonclie on petit recommander comme des plus efficaces P£du denti frice anathérinepréparée par M-. le docteur J.-G. POPP, dentiste de la cour impériale et royale de Vienne. Cette préparation qui ne contient aucun ingrédient nuisible la santé, empêche la carie des dents cl la for mation du tartre; elle préserve des maux de dents et de la mauvaise ha leine, et, dans le cas où ces affections existeraient déjà, elle les diminue et les guérit en peu de temps. - La foudre dentifrice vét/êtale dti même docteur nettoie si bien les "lents, que son usage quotidien a pour ffet non-seulement de prévenir la forma tion du tartre, ordinairement si fâ cheux, niais encore de conserver l'émail des dents et d'en augmenter la blancheur. Eau auatbérine, fr. Î-OO le flacon. Poudre, fr. t-60 la boîte. YPRES Dumon, 50, rue de Lille. Bruxelles, 31. rue des Fripiers. LiÉgb, 42, ruk SliRLRT.—Toute machine qui ne remplit pas d'un manière irréprochable le but désiré, 6era échangée ou remboursée saus frais. A LOVER a 400 pas ne la ville. Grenier, quatre chambres, trois pla ces au rez-de-chaussée cuisine cave cour et eau de source. A 35 francs par mois contributions foncières charge du propriétaire. Une maison importante de Bordeaux dé sire s'adjoindre un représentant sérieux et capable.Bonnes remises. Écrire initiales B. C.. 65, Cours d'Albret Bordeaux. Nul remède n'est comparable ces Pilules pour la guérison de tons désordres du foie et de l'estomac elles purifient le sang et exercent une influence des plus salutaires sur l'action organique du cœur et sur les affections des reins. La débilité mentale et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse ou de tous autres excls, disparait rapidement, et le système entier reprend de la vigueur sous l'action la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlée ear elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot, rendent au corps humain toute sa Santé et sa vigueur. Leurs propriétés curatives sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit le sexe, et dans toutes lés périodes do la vie, dis le berceau même, elles détruisent les germes de ces maladies qui sapent les fondements de l'existence humaine. La science médicale n'a encore produit aucun spécifique égal celui-ci. Il assure la guérison des maladies de la peau et de toutes espèces d'ulcérations. Sous l'influence de ses propriétés balsamiqjues, les anciennes blessures, les plaies, les tumeurs, les cancers, les maux de jambes, et ceux des seins disparaissent. C'est également un remède infaillible contre la teigne, les maux scrofuleux, les pustules, et toutes affections du même genre. En ca? de rhume, toux, bronchite, congestion du foie, indigestion, goutte, et rhumatismes, lent par la friction fréquente et.soutei arties du corps affectées. SjPj' w imtructions que accompagnent i ie p£t ou la T Frysou-Van Outryve, phj f, rue du Verger Courtraj chant de victoir

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 4