D'HUITRES LYS DE BAYLE, RECHTSMACHT On ne donnera aux électeurs des campagnes line notion exacte de la situation politique et des principes qui dirigent les deux partis antagonistes que par une propagande directe qui est actuelle ment peu près impossible. On parle de distribuer des journaux libéraux dans les campagnes Ces journaux personne n'osera les recevoir ni, par conséquent, les lire. On parle aussi d'organiser des conférences dans lesquelles des libéraux anversois iront exposer aux électeurs campagnards leurs idées et leurs principes mais ces conférences personne ne se rendra. A mon avis il faudra cinquante ans peut-être avant que nos paysans comprennent que le clergé les trompe et les gruge. Il faudra pour cela l'ac tion lente et patiente, mais irrésistible, des grands centres qui agira par rayonnementattirant ceux-ci d'abord les localités les plus rapprochées puis les autres. Par arrêté du 18 septembre 1873 le curé Evrard est nommé chevalier de l'ordre Léopold pour services rendus. Des services funèbres, sans doute Les personnes qui voudraient correspondre se crètement par cartes correspondances n'ont qu'à se servir pour écrire d'une plume d'oie trempée de jus d'oignon. L'écriture séchée ne laissera pas de trace. Il suffira au destinataire de chauffer au feu la carte pour faire apparaître l'écriture en ca ractères très-lisibles. Nouvelles diverses. VERKOOPING bij TE PASSCHENDAELE. Op Zondag, 28° September 1873, om 9 uçe 's morgens; te Passchendaele, wijk Droogenbroodhoek, op d'hofstede genoemd de Meiboom, laatst bewoond geweest door Félix PlanckaertKoop- Jag bij rechtsmacht met den gereeden Idde en zonder verhoog, van Meubelen, rHuiskatheiléjjfe Làndshal'm, Wagenhar- Fourrltgiën, gedroo'gd en op stam ailes gesai- ihèer a NEUVE-ÉGLISE. 1° Mardi 30 Septembre 1873 9 heures du matin, en la ferme occu pée par le sieur Amand VanEcckhoutte, à.Kemmel VENTE DE MEUBLES INSTRUMENTS ARATOIRES, BES TIAUX et RÉCOLTES. Et 2°Mercredi, 1r Octobre 1873, 9 heures précises, du matin en la maison mortuaire de M. Maerle, en son1 vivant instituteur Wulverghem, VEN- TE D'UN TRÈS-BEAU MOBILIER.' chez TERR1ER-DERAEDT, Dépôt La Vérité!!! ENTRAIT CHIMISTE, Chevalier de la Légion d'honneur. L On écrit d'Anvers Un terrible malheur est arrivé hier sur le chemin de fer de ceinture if l'endroit dit Looybroek Deux trains se trouvaient sur la voie, l'un stoppant pour livrer passage l'autre qui se dirigeait vers le bassin, quand le nommé P. Hendrickx, cultivateur, profitant de l'espace laissé libre entre les deux convois, voulut traverser la ligné ferrée. Malheureusement l'un des trains le gagna de vitesse le ronversa et l'écrasa sur place. Le cadavre fut transporté l'hôpital de Borgerhout la jambe et le bras gauche ne pendaicut plus au corps que par quelques nerfs. Un affreux accident est arrivé hier au canal S1 Jean un malheureux enfant de 5 6 ans a été écrasé par un gros bloc d'acajou, pesant au moins 3,000 kilog. et que des ouvriers étaient en train de manœuvrer. La ville de Tongres la plus anéienne ville de la Belgique va bientôt être démantelée. Ces superbes murs, presque tous construits de pierres de silex et de granit, ces bastions élevés qui dominaient la ville enfin les portes de S'-Trond et de Coninxheira qui condui saient vers la Chaussée Romaine, toutes ces antiquités vont bientôt disparaître. On écrit de Liège Un audacieuse tentative de vol a eu lieu mercredi dernier au domicile de M. K... à.Seraingpar une nuit d'une obscurité complète. Vers minuitM. K...ayant entendu un bruit insolite, au rez-de-chaussée de sa maison, ouvre avec précaution la fenêtre de sa chambre au premier et travers l'obscurité, croit apercevoir qu'on veut s'in troduire dans la cuisine du rcz-de-chaussée. Un indi vidu avait enlevé un earreau, fait une ouverture dans le volet et s'apprêtait entrer. M. K... crie au voleur; l'individu 9e mêt fuir et va réjoindre un autre misérable qui fesait le guet dans le jardin. M. K... lâche deux coups de revolver et les deux voleurs se mettent, de leur côté, riposter vers la maison au moyen aussi de revolvers. La lumière de leurs armes ayant indiqué le lieu où ils se trou vaientM. K... prend un fusil de chasse chargé plomp et tire la direction de ces audacieux coquius qui s'enfuient sans demander leur reste. Ont-ils été atteints par les plombs du fusil C'est assez probable. Cependant, jusqu'ici, malgré lesactives recherches de la police et de la gendarmerie, on n'est point parvenu encore découvrir les coupables. Un bien douloureux accident a mis en émoi les habitants de la rue «le Metz. Les époux C... vivaient dans la plus parfaite union joies et peines étaient également partagées et pour ajouter encore leur bonheur M°>"> C..., mettait au monde il y a quelques jours un gros garçon frais et rose que le père au comble de la joie montrait fière ment tous les voisius. M"" C.., était il est vrai dans la période critique de ses relcvailles mais aucun danger ne semblait apparent, et son mari qui veillait sur elle avec la plus tendre sollicitude crut pouvoir pendant quelques instants seulement, monter chez un voisin. Soudain un bruit confus se fait entendre dans l'esca lier, M. C..., prête l'oreille, et croit comprendre qu'uu accident vient d'arriver. Il descend précipitam ment, et pousse un cri terrible il venait de se trouver face face aveu le cadavre de sa femme quipendant le cour instant où elle s'était trouvée seule avait été prise d'un violent accès de fièvre..., et s'était jetée du 5° étage dans la rue. M™" C..., était âgée de 22 ans. Le désespoir de l'infortuné mari est tel qu'on craint fort pour sa raison. UN BATELIER SAUVÉ PAR DEUX FEMMES. Dimanche soir, vers 10 heures, Louvain, mi batelier en état d'ébriété voulant rentrer par la planche dans son bateau, perdit pied, et piqua une tête dans le canal. Il allait disparaître, et se crainponait un morceau de bois près du rivage lorsqu'une dame et sa servante une brugéoisè,'rentrant d'une soirée, entendant les cris de détresse da malheureux, curent le rare courage et la force de retirer, non sans peine, l'homme auquel elles avaient tendu leurs mains secourables. Ce courage admirable mérite plus que des éloges. Il sera signalé a la société des Sauveteurs belges. Bilan da S' empire français La natiou française ABC La gloire F A C L'armée D P C Les places fortes 0 Q P Deux provinces C D Le peuple E B T Les lois L U D La justice D C D Les juges T La liberté i F M R Le crédit B C Les denrées L V La ruine H V La dette nationale O C Le courage civique N R V Le prestige 0 T L'épée de la France K C Les plus saines doctrines U E La honte seule. R S T Le Times publie, une dépêche de Madrid en date du 16 disant que le bombardement de Carlhagènc a commencé hier. Le blocuf par terre est établi mais le blocus par mer est impossible. On n'espère pas que des négociations officielles amè^ lient une capitulation. Une partie des volontaires de Malaga, arrivés ici ont refusé de continuer leur route vers le Nord. Quelques légers désordres en sont résultés, mais ils ont été réprimés immédatemeut. Les mutins oui été désarmés. Le capitaine Montigny, dont nous avons annoncé l'arrestation Paria comme pick pocketest bien l'exemple le plus frappant de l'homme descendant tous las degrés de l'ignominie une loi» la première faute commise. A 35 ans, Montigny était capitaiue- qoartier-maitre au 3e chasseurs pied il était le plus jeune ollicier-comptable de son grade, et avec de la conduite, il devait, par la force des choses arriver l'intendance en chef de l'ar mée. -.Au. lieu de celace jeuue oflicier plein d'avenir pour satisfaire de mauvaises passions vola un jour une somme de 10,000 francs dans la caisse dont il était dépositaire et déserta. Les membres du couseit d'administration du régiment, déclarés responsables durent rembouis. r celte somme sor leur solde et l'on cite un oflicier supérieur pensionné qui avait fait partie de ce oonseil de surveiliauce qui dut aussi payer sa quote part pour réparer le vol commis par Montigny. Pilules d'Uolloway. Le Grand Secret. Avec la tempéra ture vaiiable de ce pays, il est rssentiel pour se préserver la bonne sauté que le saug soit purifié de temps autre et que lea matières nuisibles soient expulsées du corps. Pour cela, le pus blic peut être sou propre médecin et un prix insignifiant. Des instructions pour leur emploi sont fournies avec les Pilules et la moiudre attention, a peu de restrictious près, eulretenu la sauté quelles que soient les circonstances et les épreuves. Ces Pilule- sont aiiéralives, toniques et apéritives. La Médecine Holloway doit être sous la maiu, afin qu'elle soit administrée aussitôt que le premier symptôme avertit de l'approche d'une maladie. 11. Eu vente: Pilules et Onguent, obet Fbtsou-Vah OoTaivs, rua de Dixmude, 35, Ypres. aassDa DE M" VAN EECKE, NOTAIRE, Médaille de la Société des sciences industrielles de Paris. PLUS DE CHEVEUX BLANCS MÉLANOGÈNE, TEISTIIRR PAR KXCELI.EXCE de.DlCQUEMARE aîué, de Roiien^ Pour teindre a la AfKKÉBLAIllSIE Jîj Homards Saumons Turbots et toute sorte de poisson de mer. Lorsque lespellicules abondent, c'est un signe certain de la-prochaine chdte des cheveux. Employez vite%vite l'huile Da Irai ne si vous voulez les conserver. Par.suitede sou application, les cheveux cessent de tomber et les têtes les plus chauves se couvrent d'un léger duvet qui tomberepousse et finit par se transformer en une aboudaute chevelure. Cette huile dispense de pommade et uetachepa9 Essayez et vous serez persuadé persuadé per>» suadé lï Fr. 2-50 le flacon, avec brochure contenant d.es notions d'Hyèièue delà chevelure. GROS: le REPRESENTANT du docteur almin, rue Foutainas, 5J2, Bruxelles. "POT JtPRfS. Dumon, rue de L'usage journalier de l'Extrait de fleura de Lys conserve aux personnes jeunes leur jeunesse, leur fraîcheur et prévient les rides. Chez les personnes fatiguées par l'insomnie, la poussière des balS, l'air brûlant des théâtres et des salons, il revivifie le teint décoloré, leur rend l'éclat, la fraîcheur, et effàce les rides. Héroïque contre les taches de rousseur qui affligent les peaux les plus fines, il les fait disparaître en se substituant aux fluides du tissu qui les occasionnent. Le hâle de la mer et le hâle du soleil qui. affligent et désolent nos touristes intrépides et nos jolies baigneuses, ne sont pl.us redouter, l'usage quotidien de l'Extrait de Fleurs «le Ljs leur per met de braver le soleil, et de courir impunément les plages de la mer. La couperose, cette irritation des tissus qui enlumine le visage des blondes sur tout, dont la peau fine et fragile a la sensibilité de la sensilive, disparaît sous l'influence des sucs ra- f'amollissants ex,lrai ts> duLys» Les gerçuresle» les Jeux du visage et même les dartre Eissent après nu usage de quelques jours. pût Liège, chez De Uotcx, n ane. EAU ET POMMADE LlèuLAIRES DE BAYLE. lez Uuiuod, Lille, SO.

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3