GELEGEN T'YPHE,
tjzer,
demande pourquoien donnant avis
mestres qui comptaient des miliciens
vaient être remplacés par le départe-
a guerre les commandants de dépôt n'y
jointcomme cela se pratique pour les
ordinaires un bon pour coupon de che-
fer qui leur aurait permis de se rendre
ais destination
dernière des réunions électorales organisées
ue de l'élection communale du 18 novembre,
té tenue hier soir huit heures au local du
etit Paris (rue Ducale) sous la présidence de
Crocq.
La candidature de M. Bauffe a été adoptée sans
soulever aucun débat. Appuyées par M. Yseux, les
candidatures de MM. Delecosse et Gheude ont été
admises toutes deux l'unanimité moins une voix.
Celle de M. Huart n'a été maintenue qu'à la suite
de plusieurs épreuves douteuses.
Répondant une interpellation de M. Jqnniaux,
M. Wynand Janssens a déclaré qu'il est encore
aujourd'hui architecte de la ville, mais qu'il renon
cerait cet emploi si les électeurs lui confiaient
un mandat communal.
La candidature de M. Wynand Janssens a été
adoptée l'unanimité. Un accueil favorable a
également été fait aux candidatures de MM. les
docteurs Kops et Sacré.
L'Assemblée était moins nombreuse qu'aux réu
nions précédentes et la séance n'a pas duré plus
d'un quart-d'heure. Indép
Désorganisation dn chemin de fer.
On écrit du Luxembourg
Un accident de chemin de fer s'est produit lundi
dernier vers onze heures du soir. Un train de mar
chandises se dirigeant vers Arlon, était arrivé
800 mètres de la station de Lavaux (Assenois)
lorsque des chaînes d'attache étant venues se
romprele convoi fut divisé en deux parties.
Celle de derrière se lança contre la première qui
ralentissait sa course, pour entrer dans la station.
Du choc, quatre voitures chargées de coke dérail
lèrent et furent brisées deux autres subirent des
avaries. Le garde-frein du milieu, Auguste Lator-
,che d'Assenois (Bastogne)fut précipité par terre
et écrasé tel point qu'il en est mort. Deux autres
gardes-freins ont aussi reçu des blessures. Le
dommage matériel est évalué 6,000 fr.
41 y a aujourd'hui un mois, que quatorze ballots
de papier ont été expédiés de Liège pour Nivelles,
n" 1 14 marque C. S. Ces ballots ne sont pas
encore arrivés leur destination et courent tou
jours. Une récompense honnête est offerte celui
qui pourrait les rattraper.
On se montre très-ému au ministère des
réclamations que soulève, de toutes parts, l'appli
cation de la loi sur la milice.
On aurait passé légèrement sur les plaintes des
grandes villes, où le parti clérical sait qu'il n'a
rien gagner. Mais le mécontentement a gagné
aussi les campagnes, les précieuses campagnes.
A la veille des élections, c'est grave.
M. Malou, très-inquiet, très-anxieux, vient de
faire appel aux lumières d'une commission spéciale,
composée de divers gouverneurs commissaires
d'arrondissement et autres fonctionnaires dépen
dant du ministère de l'intérieur.
La commission a reçu pour mission de recher
cher les moyens de tempérer, dans la pratique,
les rigueurs de la loi et, au besoin, de pro
poser des modifications la loi elle-même.
Du bois d'allonge.
Une réforme sera introduite prochainement dans
l'armée. A partir du lr janvier les tambours seront
supprimés.
Avec les tambours disparaîtront les douze tam
bours-majors des régiments de ligne et le tambour-
major du régiment des grenadiers un homme
superbe.
Les tambours seront remplacés par des clairons.
Nouvelles diverse».
Hier, 5 heures du soir, un terrible incendies
éclaté dans la fabrique de tabacs de M. Gouteaux
Cliâtelet. En un instant, le feu qui, dit-on. a pris dans
le séchoir, avait fait des progrès considérables, alimenté
qu'il étaft par do grandes quantités de matières in
flammables renfermées dans les magasins. Les secours
furent proiuptement organisés, mais déjà on ne pouvait
plus songer qu'à circonscrire l'élément destructeur.
Le cadavre entièrement carbonisé d'un ouvrier de
la fabrique nommé Massarl a été retiré des débris
fumants.
Il ne reste que Ie9 murs des bâtiments. Les approvi.
sionneinents. que l'on disait très-considérabies ont
été entièrement consumés.
Les pertes sont énormes. Qn dit que] tout était
assuré.
Dn joyeux vaudevilliste a fait jouer il y a quelques
années une pièce de théâtre intitulée le Parapluie
homicide. Il ne se doutait guère qu'un meurtre pût
être commis avec cet ustensile pacifique. C'est cepen
dant ce qui vient d'arriver Tours.
Deux garçons boucliers âgés de 16 ans Octave
Georget. et Auguste Noguet s'étaient pris de querelle
au café. Ils sortirent la discussion continua dehors.
Arrivé rue du Commerce. Noguei donna avec le bout
de son parapluie un coup si violent dans l'œil de son
adversaire que. ce dernier tomba pour ne plus se rele
ver le bout du parapluie avait pénétré dans la léte
jusqu'au cerveau.
Les médecins n'ont pu que constater la ra.ort. Le
meurtrier a été arrêté.
Une femme enragée. Tous les habitants dtj
passage Rona Belleville étaient depuis plusieurs
jours effrayés par des cris qui n'avaient rien d'humain
et qui sortaient d'un logement situé au n° 24 de ce
On apprit bientôt que dans cette maison demeurait
une femme nommée M1" Borchères (Julie! et qu'elle
avait été mordue, au mois d'octobre, par un jeune çha£
ayant tous les symptômes de l'hydrophobie.
Mm" Borchères venait d'être atteinte par cette épou
vantable maladie de là les cris féroces qui épouvan
taient le quartier.
Personne n'osait approcher de cette malheureuse
tant elle était effrayante l'écume la bouche et leç
yeux sortant de leur orbite.
Un gardien de la paix du 20? arrondissement, nom
mé Liénard eut l'idée de se vêtir d'habits civils et
parvint pénétrer ehez Mme Borchères. Là force
d'adresse et de sang-froid, il réussit la calmer et, lui
promettant une promenade en voiture, il obtient d'elle
qu'elle s'habillât descendit dans la rue et montât en
voiture. Il la conduisit alors Saint Louis où scion
toute probabilité la malheureuse ne tardera pas
succomber aux épouvantables crises qui la torturent.
Onguent et Pilules <T flollouiay. Aide Efficace. Dana le
cours ennuyeux d'une maladie,il est agréable (l'a.prendre qu'il
existe un remède certain et qu'on peut se le procureàbas prixa-
Les Pilules d'Holloway sont précieuses pour soulager les peines,
diminuer les inflammations et rétablir la marohe des fonctions
darangées. Elle» ne peu veut jamais être employées tort, et
dans aucun cas, elles ne peuvent nuire. Prises en Hases appro
priées, elles sont un bienfait pour le riche qui souifre d'une
indigestion, de la goutte.de maladies de peau, etc et la sauver
garde du pauvre atteint d'une maladie La médecine d'Holloway
devrait être en la possession des soldats, de3 marins, et de*
émigrants qui seraient ainsi a même de soulager eux-niême*
leurs douleurs et de se guérir, lorsque l'assistance médicale leur
fait défaut. f 16.
En vente Pilules et Onguent, oltet Faïseo-Va» Ocraiva. rue
de Oixmude, 35. Tpres.
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te Langeniarck, zijnde d'herberg de '/.v. »an,
zal overgegaan worden tôt de openbare
Aanbesteding bij afbod, in drie loten »ls
boven gezeid en wauof de onkoslen begroot
zijn
Die van leller A. op fr. I7,M6-IS
B. 2,71*2-9»
C. 642-09
De plans, bestekken en voorwaarden
berusten ter inzage der gegadigden in het
Gemeente Sekretariaat.
Te Langemarck, den 24' October 1873.
BURGMEESTER EN SCHEPENEN,
HENRI ELLESOUDT.
TER OB.SOKNAMTIE
01 SEKBETARIS,
LIEBAERT.
LtJ TONIQUE,
Die Q U E M AREa^ué,
■lïcul
