BOOMVENDITIE
VERKOOPIM
B01SBLANCS
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LIVRES EN LECTURE
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PILULES Hl
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DEV IS SALVES.
OPENBARE
ORMES ET CHÊNEAUX,
A VENDUE.
VILLE D'YPKES.
114 sjsiï-i!!
- if I i si
La Vérité!!!
IN EN BIJ
WOUMEN-DORP,
000r 't ambt van den
Notaris Laurent Proot,
ALDAAR.
Muandag, ln Oecember 1873, (S*
Eloydag) ton 2 ure jnist uamiitiing,
voor 1° d'ei fgenaraen Lenoir2° weituwe
en kinders Selschotler-Dupon ci» andere,
41 Icoopen zware Aclitkante
Olmen eu Ksscheu Boom en.
TE DIXMUDE.
nijnadag, 25° November 1873,
ten 2 j~2 ure juist iiamiddag, ton Stad-
huize, van
1*- H. 1-21-26 c. ZAA1LAND te
Couckelaere, gehiiclitc Hoogkwm lier
bckenil lnj kadaster sectie nummeis
534a, 590, 591592 en 593in 3 koopeu.
Gebruikt door Philippe Wîllaert-Seys.
2" H. 0-16-22 c. ZAAlLAND, le
Ichtegheni, wijk Reiger. Gebruikt
door Francis Boucquez-Dupon.
3° Een SCHOON WOONHUIS en h.
0-11-98 e. Erf, in Woumen-dorp, long» de
steenweg. Gebruikt geweest door d'beer
Kyndt- Commelein
4" Een HUIS van 3 woonsten en II.
0-06-8S c. Erf, te Woumen, nabij 't dorp,
langs de steenweg. Gabruikt door Félix
Lecomte en andere.
5° H. 0-28-60 c. ZAAlLAND te
Woumen bij *t buis hiervoori'ii), kadasler
iectie A, nummer 480.
Ten overstaan van Mijnheer den Vrede-
reebter te Dixntude.
De litels en veilvoorwaarden bij den
Notaris Lâchent PltOMT, te Woumen.
Ook inlichtingeii te bekomen nopens 't
Goed te Woumen bij den notaius STE-
VEKI.TNCK, te Dix mufle.
PLOEGSIEERT,
a PROXIMITÉ 0(J bourg
1" Sur la ferme occupée par François
Liefooghe, et 2° Sur une pâture
occupée par la veuve de Casimir Du-
crocq, contre le pavé cf Arm entières
Messines.
25 GROS
40 BEAUX
C A A S) A S
quelques
convenables a la construction,
I.e Mardi. 25 Novembre <873,
une heure apiès-midi, sous les conditions
ordinaires.
La réunion la ferme occupée par le
sieur Liefooyhe.
Le Notaire TIIËRRY, Neuve-Église,
est chargé de cette vente.
Le COLLÈGE DES BOURGMESTRE ET
ECHEVINS prévient les intéressés que le
rôle de l'indemnité paver par les proprié
taires pour l'éiablisseuieiit des imitons
du Vieux Marché au Bois de la tin de la
rue des Chiens et du n° 8 de la rue du
Lombard a airêté provisoirement p»r
le Conseil communal en sa séance du 8
courant, et qu'il sera déposé pemiaut quinze
juurs A l'Inspection des personnes imposées
de ce chef.
Fait Ypres le 8 Novembre 1873.
les bourgmestre et écrevins,
P. BLKL.
PAR ORDONNANCE
le secrétaire,
J. DE CODT.
ON DONNE
des
In illustre chimiste, Raspail, dans son Manuel de la santépage 118, dit que le goudron embaume la
circulation du sang et il le conseille dans une foule de cas. Bouchardat. dans son Traité de thé
rapeutique^ aunee 1866, page 92, dit propos d'une affection qui avait résisté a tous les autres
traitements: après quelques jours de traitement parle goudrou, l'ezérna avait disparu et les
furoncles avaient cessé de se reproduire. Le même résultat a étécoirstalé chez d'autres malades et ces
divers faits sont venus ainsi constater l'efficacité du goudrou comme moyeu d'empêcher la repro
duction des furouoles.
Dans {'Annuaire de thérapeutique pour 1869, p?ge 83, il est dit l'usage habituel et quotidieu du goudrou
est très-recommandé chez les convalescents et les persouries faibles »l constitue un excellent préservatif
contre un graud nombre de maladies, surtout oontre les maladies épi'iémiques.
Le docteur Jozan, dans son Traité pratique des maladies des voies urinairesdit l'avoir ordonné aveo
succès dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'urètre.
Mais où le goudrou est d'une efficacité supérieure tout autre médioameut, c'est oontre l'asthme, les
rhumes négligés, les bronchites ohrouiques, la phthisie et les rhumatismes.
Dans l'asthme, la respiration est difficile et laborieuse, cause de l'occlusion incomplète des bronches;
quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectorations compactes, grisâtres, grugielées, fades
et nauséabondes; houffisures de la faoe, et souvent de toutes les autres parties du corps-, étouffenieuts
fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysaut les foncuniis des moqueuses,
rend les produits de leurs sécrétions plus conorets et moins faciles a se détacher Cne.^ou deux capsules
de goudron tous les soirs, avant le dernier repas, suffit pour dissiper.tous ces symptômesamener un suuLi-
gemenf immédiat et bientôt une guèrison complète
Un rhuuie négligé ou mal traité huit par amener le marasme, quand il ne se trausfonne pas eu phthi
sie pulmonaire -, parfois les quintes Unissent par devenir si fréquentes et si violentes, que imite la constitu
tion eu est ébranlée le sommeil eu est chaque instant tioublé les pommettes rougissent les jouéi
pâlissent le pouls est fébrile et rapide. La moindre impression de'froid redouble s" Jaurès
plus tard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, obstruent les p^rre [j
l'oxygénation du sang; lorsqu'ils vieuuentà suppurer, ils sont le foyer de la y ;de
poumon, et y occasionueut de larges pertes de substauçe, que l'on désigne s/ I n jpoi
lade est pris d'une langueur sans souffrances, d'une mélancolie sans eunuj^!^ u a""jopll'Cs»
pumeux et nacrés, virent de plus eu plus vers une coloration de mauvais a P' ériiie
>it ensuitJ n^uoyaW 1 I»
s'éteint pr-ifaAnf#S<u"a>3lbeC0l A
eso.- -ai,
reriïff.d'ne)
ils sont d'un vert herbacé. Le dévoieuient le prend au débUjL et ue Yait t
plus qu'une leute agonie, sans reuiords et sans regrets, eL s'éteint
1 époque où la'nature se réveille, sait celle où elle s'endort. AvtlL.! Jx UffYPfsÇ
n est
sendoru £.hi 1X mres 7$
Vne vu deux capsules de goudron:, tous les Soirsavamt le df jt as,s J? rvr 9' ;ts»(i
tmps le rhume le plus opiniâtre* la bronchite la plus inre^rêe Qpour enrager *Î1
phthisie, mimpasSet avancée; dans ce dernier cas, le gr >- 1
temps le rhume le plus opiniâtre* la bronchite la plu
phthisiemime asiez avancée dans ce dernier casle
nature aidant, la guérison est sauvent très-rapt de. x
11 est iumlile de faire l'éloge du gÔudrràJ les médV t
seulement, l*p^>udion liquide répugne, et.beaucoup dedCIlOïl '4
capsules se ti nt sur la langue et sont avalé* au iir
arrière guùt capsules contiennent le you
d'âne effica>hf fj"ur, imv.iMe; une seule c
Ui,ufi r„l™co"victi"u Pr^
te ly|i!lDÛll 'eio, Eu
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Dément allcl
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ciiaque^o^^asee-r?.-
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chex FELIX LAMBIN,
Rue de Dixmude, 59, a YPRES.
BrnxelleM, 31, rue de* Fripiers.
Liégr, 42, rdk Si'rlkt. Toute machine qui ne
remplit pas d'un maniéré irréprochable le but déailé
sera échangée ou remboursée sans frais
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Pour nettoyer et conserver saines les
dents et la gencive, ainsi que pour faire
disparaître toute mauvaise odeur de
la bouche on peut recommander
comme des plus efficaces l'£au denti
frice analhérinepréparée par M. te
docteur J.-G POPP, «ienliste de la
cour impériale et royale de Vienne.
Celte prépara lion qui ne contient
aucun ingrédient nuisible la sanlé,
empêche la carie des dents et la for
mation du tartre elle préserve des
maux de dents et de la mauvaise ba
leine, et, dans le ras où ces nUectious
existeraient déjà, elle les diminue et
les guérit en peu de temps.
La Foudre dentifrice végétale du
même lioetènr nolto'e si bien les dents,
que sou usage quotidien a pour effet
non-seulement de prévenir la forma
tion du tartre, ordinairement si fà-
ehruxniais encore de conserver
l'émail des dents et d'en augmenter la
blancheur.
Eau analhérine, fr. 5-00 le flacon.
Poudre, fr. l-OO la Imite
YTRES Dumon, 50,.rue de Lille.
Lorsque les pellicules ab<>u<ieut, c'est un signe
certain de la prochaine châte des cheveux. Employez
vite, vite l'huile Dalmiuesi vous voulez les conserver.
Par suite de son application, les cheveux resseut
'de tomber et les têtes les plus chauves se couvreut
d'un léger duvet qui tomberepousse et huit par se
transformer en une abondante chevelure.
Cette huile dispense de pommade et ne tache pas
Essayez et vous serez persuadé persuadé per
suadé
Fr. 2-50 le flacon avec brochure contenant
des notions d'Hygiène de la chevelure
GROS le REPRESENTANT du docteur
almin, rue Fontaiuas, 52, Bruxelles.
i DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue de
Lille, 50.
Nui remède n'est comparable ces Pilules pour la
guérison de tous désordres du foie et de l'estomac;
elles purifient le sang et exercent une influence
des plus salutaires sur l'action organique du cœur
et sur les affection? des reins. La débilité mentale
et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse
ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le
système entier reprend de la vigueur sous l'action
la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses
Pilules. Elles sont la panacée des personnes in
valides et d'une constitution ébranlée car elles
chassent du système les humeurs malsaines, réta
blissent Ja digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, eu un mot,
rendent au corps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriétés cftratives
sont aussi èfficaces.pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit
le sexe, et dans toutes Je s périodes de la vie, dès le berceau même, elles détruisent
les germes de ces maladies qui sapent les fondements de l'existence humaine.
ore produit'aucun spécifique égal 4 cAji-ci.Il assura
i la peau et de toutes espèces d'ulcérations. Sous
1 lsamiques, les anciennes blessures, les plaies, les
de jambes, et eaux des seins disparaissent. C'est
tre la feigne, les maux scrofuleux, les
ehs de rhume, toux, bronchite,
estion, goutte, et rhumatismes.
uente et sont»-ue de