BOOMEN
PILULES HOLLOWAY
FOURNITURES
PopelierehBOOM EN
D'ARBRES
a fi
56 KOOPEN
DEVIS SALVES.
Institution royale de Messines.
ADJUDICATION
TE BOESIINGHE,
VERKOOPING
TE BRIËLEN, IJPRE EN S' JAN.
VENTES PUBLIQUES
t
racun spi'eîi
DIVERSES.
Le Lnndl, 39 Décembre 1873,
neuf heures du matin, l'Administration de
l'Institution Royale, procédera, dans un do
ses locaux Messines, l'Adjudication pu
blique des objets suivants, nécessaires h cet
Établissement durant l'année 1874
quantités présumées nécessaires
350 litres.
8,500 kllogr.
550 idem.
6 hectol.
350 idem.
1,000 kllogr.
300 hectol.
10O kllogr.
1° Cy on levure.
2" Viande
o® Sel.
4" - Vinaigre
3* Bière.
6* Savon noir
7* Huile épurée.
8* Chandelles
L'Adjudication aura lieu par soumissions
cachetées, sans reliais ultérieur, mais si
plusieurs soumissions portent le même
prix, pour une même fourniture, elles se
ront représentées au rabais, »ux soumis
sionnaires, s'il y en a présent dans le cas
contraire, le sort décidera.
Les soumissions signées par deux cau
tions solvables et par l'adjudicataire,seront
remises au moment de l'Adjudication
elles pourront aussi, dater du <0 de ce
mois, être déposées au Secrétariat de l'Ad
ministration de la dite Institution, ou être
adressées par la poste au Secrétariat de
la dite Administration Messines.
Les personnes qui désireraient obtenir
des renseignements du cahier des charges
approuvé par Monsieur le Ministre de la
justice pourront s'adresser an Secrétariat
de l'Institution Royale de Messines ou chez
M"* VICTODH Notaire
chargé de l'Adjudication.
VVarnêton
OpMacndag. 15° Deccmbei
1873,
EEN URE NAMIDDAG,
VEND1TIE
van
ZWARE EN LANGSTAMMIGE
Langs den Westbarm der Vacrt le bo-
ginnen op kleinen alstand van bel 11aIf-
weegliuizeken.
Doorlict ambl van den NotaiiIs TITECA,
le Ypbren met de tusschenkonnt van den
StedeljÈjten Onlvangei- in wiens handen
de hciforckeii aouslonds zullen uiocleu vol-
daen worden.
BUREEL VAN WELDADIGHEID
DER STA» IJPRE.
van zebu schoonb
lEPENPOPULIEREN
kn andeiib
8e(j les V
Douderdng, 11" Deceinber 1873,
A. Om 1*2 uhen middag, ophet linl'stedeken
gcliruikt door sieur Placide Bossaert te
Brielen.
B. Om 1 dtrn namiddag op lict Hove-
nieriiuf gebiuikt door sieur Jacobus Devos,
te lj|»re, huiten, bij de herberg den Zoelen
Inval.
C. Oh 2 uke!» namiddag op bel hof-
stedeken gebrinkt door de weduwc Bertier
gelegen te S* Jatt, bij de Brijke.
D. Om 3 111 oren namiddag in de weide
geliruikt door sieur Isidore Pootte IJpre,
huiten, bij de herberg de Drie Zotlen.
«fToor het ambl van den Notaris VAN-
le IJpre.
Un illustre chimiste, Raspail, dans son Manuel rie ta santtpage 118, dit que le goudron embaume la
circulation du sang et il le conseille dans une foule de cas. Bouchardat. dans sou Traité de thé
rapeutique, année 1866, page 92, dit propos d'une affection qui avait résisté tous les autres
traitements après quelques jours de traitement par le gotidrou, IVzéraa avait disparu et le
furuuoles avaient oesaé de se reproduire. Le même résultat a étécuustaté chez d'autres malades et ces
divers faits sont venus ainsi constater i'efiicacité du goudrou comme moyeu d'empêcher la repro
duction des furoncles.
Dans l'Annuaire de thérapeutique pour 1869, page 83, il est dit l'usage habituel et quotidieu du goudron
est Irès-recommaudé citez le» couvalesoeutset les personnes faibles il constitue un excellent préservatif
«outre un grand nombre de maladies, surtout ooutre les maladies épiilémiques.
Le docteur Jozait, dans son Traité pratique des maladies des voies urinaireu, dit l'avoir ordonné areo
luacès dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'urètre.
Mais où le goudron est d'itue eilîoàcilé supérieure tout autre médicament, c'est eoyitre l'asti.tue. 1 es
rhumes négligés, les bronchites chroniques, la phthisie et les rhumatismes.
t Dans l'asthme, la respiration est dillicile et laborieuse, cause de TocolusioA incomplète des bronche s
quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectorations compactes, grisâtres, gjtijuelé fades
«t nauséabondes bouflîsures de la faoe, et souvent de toutes les autres parties du corps étnu1 "r u
fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysant les ftuiriimis des m dotlDC
le leurs sécrétions plus conorets et moins faciles a se «lét.clu. Une
ÉTUDE
DB
M" Laimoy, Notaire,
COMINES.
Rrnxellef», 31, rue den Fripiers.
Liège, 42, rue Sprlrt.— Toule machine qui ne
remplit pas d'uu manière irréprochable^ but désiré
•era échangée ou remboursée sans frais.
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SUR PIED.
Lundi, 15 Décembre 1873,
1" A 10 boutes du matin In petite
ferme occupée par Pierre Dec.roixrPaUtjn
ZILLEREIvE jlmiilo île Zaïiivmu'de),
30 marché* «le beaux Peuplier».
2° a line In ur.' de relevée, In Terme
occupée par Louis Roussel-Delbecqueprès
du Château, a Zv i'VOORDE,
60 marché* «le hraux Peupliers,
Orme» (fine* feuille») et Chê
ne».
Pour nettoyer et conserver saines b's
«lents et la gencive,ainsi que pour faire
disparaître toute mauvaise odeur de
la bouche on peut recoinnionder
comme «les plus efficaces l'Eau denti
frice anuthérine. préparée par AI le
docteur J.-G. l'OPP, «lenti-te «te la
cour impériale et royale «le Vienne.
Celte préparation qui ne contient
aucun ingrédient nuisible la santé,
empêche la carie des dents et la for
mation du tartre; elle préserve des
maux de dents et de la mauvaise ba
leine, et, dans le cas où ce, affections
existeraient déjà, elle les diminue et
les guérit en peu de temps.
La Poudre dentifrice végétale du
même docteur nettoie si bien les dents,
que sou usage quotidien a pour effet
nofi-seuleineut de prévenir la forma
tion du tartre, ordinairement si fâ
cheux, mais encore de conserver
l'émail des dents et d'en augmenter la
blancheur.
Eau anaihérine, fr. 3-00 le flacon.
Poti'lre, fr. 1-60 la boîte.
YPRES Dumon, 50, rue de Lille.
rend les produits de I
de goudron tous tes soirs, avant le dernier repas, suffit pour dissiper tous ces
gement immédiat et bientôt une guérisou complète.
Un rhume négligé ou maltraité finit par amener le marasme, quand
sia pulmonaire parfois les quintes finissent par devenir si fréqu utes et si
tion eu est ébranlée le sommeil en est chaque instant tiooidé tes p«>n>
pâlissent le pouls est fébrile et rapide. La éqoiudre impression de ft'n.j
plus tard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, obstruent
1 uxygéuatiou du saug; lorsqu'ils vieuneutà suppurer, ils sont le fov-ctï e9
pouuiou, et y «rccasiouuenl de larges pei tes de subst;
i i j'iira'.,,,*
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'de le bras
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lade est pris d'une langueur sans souffrances, d'une '^élau
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puuieux et nacrés, virent de plus en plus vers une c<>lo
ils sont d'un vert herbacé. Le dévoieuient le prend
n'est plus qu'uue lente agonie, sans remords
l'époque où la nature se réveille, soit celle o
Une ou deux c*r suies de goudr n, ton* les
temps le rhume il (jj opiniâtre.
phtlûtit, "Urne B avancée,i
nature aidant. Hcl °fison est s,r se P1
_i> soiraculeui'éi
(da
nsl
dMieu des ca-l
Nul remède n'est comparable ces Pilules pour la
guérisou de tous désordres du foie et de l'estomac;
elles purifient le sang et exercent une influence
des plus salutaires sur l'action organique du cœur
et sur les affections des reins. La débilité mentale
et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse
ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le
système entier reprend de la vigueur sous l'action
la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses
Pilules. Elles sont la panacée des personnes in
valides et d'une constitution ébranlée car elles
chassent du système les humeurs malsaines, réta-
Drincinti'?ent digestion, règlent les sécrétions, raffe missent les nerfs, et, en un mot,
Uent au eorps humain toute sa santé et sa vigueuj. Leurs propriétés curatives
8 «J8 <e b ,ugg[ efficaeespourt.es personnes jeunes que pour celles Agées, quelque soit
as qu'ilfe, et dans^aites dp périodes de la vie, des le berceau même, elles dêtrùisent"
jéeic termes d^ 'subiV 'pi sapent les fondements de l'existence humaine.