y V Qui l'aurait cru Même sous le ministère de Saint Malou lâfersécution anti-catholique est l'ordre du jour en Belgique le Courrier de Bru xelles et le Bien publie l'affirment en chœur. La persécution sévit, parce que les familles pa raissent maintenant résolues ne plus se laiséer détrousser par les gens d'église. C'est une abo mination selon le Courrier de Bruxelles et il espère pourifbonneur de la jurisprudence belge, que les revendications judiciaires des parents seront partout repousses avec dépens, car ce serait une ènormitè que <1 ne pas reconnaître le droit-supé rieur des gens d'église sur le patrimoine des fa milles ce serai rétablir contre eux la mort civile et la conjiscati^. C'est toujourh'artuffe qui après s'être artifi- cieusement enqré des biens - d'Qrgon crié au voleur et la couscalion, parce qu'Orgon reven dique ses biens. C'est encore Riert Macaire, qui assailli par les réclamations de Gogol'actionnaire crédule s'écrie avec dédq que ce M. Oogo est donc canaille Le Moniteur du» publie le tableau comparatif de la population rétablissements d'instruction m* 1 en ne de l'État\u 10 novembre des années 1870 1873 Il résulte de ce tailu que la popotâtfon actuelle des athénées est de lia élèves et celle des école#* moyennes de 9.3221 y a, sur l'année 1872'une augmentation de OSèves pour Tes premiers,de ceiTétablissements ettSK) pour les seconds Si l'on compare lallation actuelle celle de l'année 1853 la prere qiii\guivit la mise en loi du lr juin 1850 on atbn totale est de 1086 çt ie 4,374 pour les écoles exécution complète constate que l'augr élèves pour les atheiw moyennes. L'athénée et lec comptent respective! sur l'année derniere 15 élèves. Le correspondant t\C" xelles continue le cour [myenne de notre ville 1) et 263 élèves c'est çmejj^kjB de 3 et de L'assemblée, presque sans liscussion, a aussi adopté cette manière de voir il aété entendu ce pendant que d'autres moyens de éaliser l'union du parti pouvaient être présentés, le >as échéant notamment les articles relatifs la représentation proportionnelle ont été réservés. L'assemblée a ensuite adopté dans ses aticles et son ensemble le projet de règlement qui :*;i était présenté sauf quelques petites modificati^g de détail. Ce règlement applique parfaitement.]es bases indiquées par le Congrès libéral de 1846 pt»r l'organisation du parti dans l'arrondissementle cantons et les communes s'il est réalisé le comités libéraux seront solidement constitués et l'action de l'Association se fera sentir sur tous les points de l'arrondissement. L'assemblée s'est séparée, animée d'un espoir fondé que le parti libéral l'emportera aux élections générales de 1874. Le Roi a passé près de deux heures au bal d'inaugqration de la nouvelle Bourse de Bruxelles. Sa Majesté s'est entretenue quelques instants avec les meiibres du corps diplomatique et avec M. le bourgm ;stre de Bruxelles. Lés r ombres du corps diplomatiqe avaient re vêtu l'h .bit de cour, le grand costume de cérémo nie. Les membres du cabinet étaient en habit noir. MM. de ^lieux et Malou n'assistaient pas la fête. Nous aurions fort faire s'il;""noutP fallait cite" toutes! s notabilités qui se trouvaient làni bal Bruxell s y était la province ava'Relégués lés de la lLurse ui\ grand nom*^clence elle-même, lettres, laSùolitigue, du commerce et de amment de finance®8 par leur chef de arts, leq indépeui l'indty|ti[e, y étaient] file. .Avarl Je toij sei. s H ]a ReinLérçt fait ^u pr<§^£fâ£e, lia On a apporté dans la chaufferie une certaine quantité de terre friable et légèrement sablonneuse que l'on a mêlée du charbon de terra très-divisé. Conformément aux indications fournies par les journaux belges on a procédé au mélange de ces deux substances dont on a fait ensuite une pâte en les mouillant avec la-dissolution prescrite. Les fourneaux d'une des chaudières étaient préalablement allumés au moyeu de charbon or dinaire l'amalgame a été introduit par pelletées sur le brasier. Au bout de quelques instants le mélange avait acquis en séchant une certaine cohésion et formait une croûte brune. Un peu plus tard, cette ^croûte prenait une teinte rouge et brûlait avec une \marquable facilité sans cependant se consumer.. vite. *Le premier point des.expériences est donc ré solu Je nouveau combustible... est combustible. Les Bt,eSt qU; Iie so„t pas ennemis de la plaisan- terie n,n0US onj point trompés cette fois. C'est déjà quehJe chose de savoir que leur fameuse dé couverte n\i p0jnt une mystification. Nous lisons\jaus \Echo du Parlement que' baisse du charon paraît devoir s'accentuer offre aujourd'hui Lille, du charbon fr. l'hectolitre on esvîéi" l'°'n des ,„.;x ,je fr -50 que l'on e*u "u &ore il y a un peu p],d'uu moi" L'opiniâtreté du peupCrT.T'"^ T ,i„„ républicains l'Assemblée r/ais a enry jeter l'inquiétude dans le" Ver^^es Comme tout pouvoir qui conïï?/ loit de se gouverner comme il l'ef a" fP" nairdfe, pour empêcher ropiniom^f^^f^ter non-seulement redoubleront de Crité l'égard de la presse, mats iront même jus^ sunorimcr ces élections partielles, qui sont mf{tflnL leur cauchemar. La proposition formelle de ,s ajourner jusqu ^ires le vote de la loi électorale^ faite! au seiq de la commission d'initiative et p droite,! avec 1 ensemble qu'on lui connaît, a voté I, prise en cowuderation de cette proposition. Les auteurs de ce projet ont osé soutenir qu'un départe menti qui a choisi aux élections générales c'est-à-did" sous le canon de Lennemi d—ant^uit jouij canon irage.uni mil

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 2