AFFAIRE DE KERCHOVE PENERANDA. Les pré
venus du vol Peneranda ontcomme les journaux
Font annoncé été renvoyés par la chambre du
conseil du tribunal de Bruges, devant la chambre
■des mises en accusation de la cour d'appel de Gand.
Celle-ci sur les conclusions conformes du par
quet près la cour et sous la présidence de M. le
premier président Lelièvre, vient de renvoyer de
vant la cour d'assises de la Flandre occidentale le
fils de M. le représentant De Kerchove fugitif et
latitant, les deux fils Deby et leur mère ces trois
derniers prévenus détenus Bruges sous l'accu
sation de vol avec effraction et de complicité de
vol par recel et par instructions données, etc., du
■chef du vol commis dans la nuit du 3 au 4 septem
bre 1873 au domicile de M. de Peneranda
Saint-Michel-lez-Bruges.
On avait dit qu'un jésuite était impliqué dans
l'affaire aucun jésuite n'a été renvoyé devant la
cour d'assises, mais l'enseignement jésuitique est
au nombre des co-prévenus. Aux fruits se juge
l'arbre.
La Banque nationale, dans la prévision d'avoir
opérer le remboursement de fortes quantités de
papier monnaie, continue défendre son encaisse
métallique en maintenant le taux de l'escompte
G p. c., ce qui provoque les plaintes du petit com
merce.
D'après XEtoile, le ministre des finances, préoc
cupé de cette situation, vient de faire adresser une
lettre tous ceux qui avaient déposé des lingots
la Monnaie, pour les prévenir que, malgré les
échéances longues qui avaient été jusqu'ici indi
quées pour le monnayage, ils pourraient obtenir
l'instant des pièces de 5 fr. d'argent.
Dès aujourd'hui de fortes sommes de pièces de
,5 fr. auraient étérainsi versées la Banque natio
nale.
On écrit de Liège H 4ML
On rapporte qu'une importante mateonn|ui
:s'occupait en France de remplacements militaire^,,
va venir s'intaller en Belgique, où elle 1 déjà .établi
plusieurs agences dans quelques grandes villes.
b Cette maisgn offriraitparait-il des rempla-
çimtsj^BBBBwUivement.modérés et coiÊmc,-
^vèc .IeflÉ^B's
jles.
liorer la position des officiers ou leur fermer tout
débouché or cointnie ils n'ont pas assez de
ressources personnëfles pour se faire commer-
b çants ou industriels.', ils seront obligés de se'
mettre la solde des particuliers mais, dans ce
cas outre la difficulté de commencer pareille
i> carrière beaucoup hésiteront perdre 15 20
b ou 25 années de service sur lesquelles ils comp-
tent pour leur pènsion adoptons donc le sys-
- tème de refuser l'entrée dans nosadministratious
aux officiers, et nous parviendrons les conser-
ver sans bourse délier
b Cette trame a été dévoilée un sous-lieutenant
b par un représentant de... Cet officier.s'était
déjà adressé au département des finances, il y a
b deux mois pour obtenir un emploi il n'a pas
reçu de réponse. Alors il s'est adressé au minis-
b tère des travaux publics et il recherchait toutes
b les influences pour l'obtention d'un emploi lors-
b ie s'adressant au représentant susdit, très-bien
b disposé pour luicelui-ci lui a dit que c'était
b -inutile, qu'il n'obtiendrait rien du gouvernement
b parce que les ministres s'étaient entendus pour
b refuser tout emploi aux officiers qui en sollicite-
b raient., s
La Belgique militaire ajoute
Est-cè possible Nous ne pouvons nous faire
cette idée que M. le ministre de la guerre accep
terait de |ubir une pareille pression de la part ■de
ses .collèguës du gouvernement. Oit en serions-
nous, s'il en était ainsi
L'àrméq^st malheureuse et non-seulement i
on ferme l'oreille ses plaintes mais on forcerait
encore par un machiavélisme inqualifiable
vivre dans la misère cdùx qui voudraient en sortir
Ce serait le coup de jjfcice.
Yb Nous nous refusons^, croire que le gouvqrne-
fjjjènt ait adopté un pareif plan.., et surtotit que le
^ministre de là guerre l'ait accepté, b
AOiivcSIcs «llvcr.«u
U (■■'«ml émoi samedi aii tribunal corj
rj'oui nai. IVoispéiuouïs de la classe m
rélés etiViencH» ^Ki'isun ci-llul lire, su
faux témoignage dans une alTuirc de etf
Ils oui préicndu avoir iliué avcc'le
même où IcsAïuirestémums, en iiomhq
grand, oui déposés eiuqij
|tiouiici de
été jir.
tic
effleura la lèvre de l'achclcur légèrement excoriée
pue sude d'un rhume.
Ail bout de quelques heures la lèvre s'enfla d'une
mnii ère effrayante et des symptômes de gangrène
se montrèrent de manière que les médecins durent
pratiquer line opération chirurgicale très-doulourcusc,
et qui nécessairement défigura le patient.
Combustion économique de l'Ituile Celte com
bustion est, pendant l'hiver, une dépense assez lourde
pnur qu'une réduction mérite toute l'attention des
ménagères.
Voici le iuoycn.de réaliser celle économie
Dans une dissolution saturée de sel de cuisine que
l'on filtre, on 'plonge une mèche que l'on fait bien
sccher. On inélaiigc-pnsuile parties égales d'huile et do
solution câline que l'on agite pendant quelque temps.
Après ml repos suffisant, permettant li l'huile de reve
nir la .surface on décante pour la recueillir et s'en
servir'.
La mèche ainsi préparée donne une flamme très-
britlanle, sans lumée, et l'huile ainsi traitée dure beau
coup plus longtemps que l'huile ordinaire.
M. CROMMELlJJCK,-Traitement des rhaladies chro
niques réputées incurables des Vous uamiKEs
Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements vicia^
tinii du sang affections cutanéeselc.). Auteur di^
Vhaï TnÉsuii de la sanré ou Traité des maladies i
voies unitairesécrit pour les gens du monde.
é(U. 165 fig. Prix: 12 fr. chez i'auleu
liltfi.YRLI.HS, 18, rue Notre-Damc-aux-Neigj
élut M. Lambin, fils, rue au Beurre, Ypj
Consultations tous les jours, de 9 h. I h. IL
ni les dii^i.ochcs ni les jours de fêle, moiis
ver»lion spéciale préalable.
<V. H. Il est souverainement imprudentj
sa sauté un incdeein que l'on ne coin
une,annonce, alors surtout que toute au
pcce est d'avance taxée de charlalanesij
Crommelinck engage vivement quicij
de b» consulter II lire d'abord souj
fi.lier que nul ne regrettera dei
ouvrage unique eu SOU genre.
Onguent et Pilules <T /followay.
Beaucoup de maladies existent r
sciemitnjtf préfèrent les porter eij
.leur prisAfcrtid apii. Aucune ap^
pO^D'/^H^fraîtffiisSanl et cuj
guéïispn qu'il pa
Itres malatjips éa
