7 4 Janvier 1874. (I FRANCS PAR AN. JOURNAL D'Y PRES ET DE L'ARRONDISSEMENT, In^rlciir. ÎV° 3,410. Dimanche, 33" ANNÉE. •mm LE PBOGBÈS 7. PARAISSANT LE JEUDI ET LE DIM ANC&Ë." y{BES ACQCIRIT ECNDO. A1U>NNI;MKN'1 'l'Ait AN: INmr l'arroii'l' administratif cl judiciaire (l'Ypres. fr. 6-00 lilétN Pour In restant du pays7-00 'l'uni ce qui ennemie le journal doit être adressé l'éditeur, rue au Beurre, 83. INSERTIONS: Annonces* la ligne ordinaire fr. 0-t5; Réclames la ligue fr. 0-30 Les anunuces de Bruxelles et de l'étranger sont reçues chez MM. I.eciikin et PiCAiin, 13, Montagne des Aveugles, Biutxri.i.ks. VoiivpIIps «le rcll'iuigci*. L'Assemblée de Versailles a été saisie dans sa séance d'hier, par le ministre de la guerre, d1un projet de loi -ayant pour objet de donner un caractère définitif la -situation toute provisoire jusqu'à présentde ceux des princes d'Orléans qui ont été admis dans l'armée sans avoir rempli aucune des conditions réglementaires exigées pour obtenir le grade qui leur a été conféré. •Cette mesure de faveur dont on chercherait.en.vain une explication raisonnable n'est pas faite coup sûr, pour accroître la popularité de la maison d'Or léans, non [dus que celle du cabinet de Bruglie. Les dernières nouvellesde source officielle de l'armée expéditionnaire néerlandaise devant Alchin semblaient faire esi>ércr un prochain dénoùmcnt. Ou y parlait de négociations engagées avec le Sultan atchi- uois du découragement de ses troupes de la disette .qui les menaçait. D'autre part on constatait les progrès -que faisait l'armée du général vari Swietcn mais mentionnait aussi en termes voiles les ravages flue. faisait l'épidémie et les difficultés de terjfliiqét de cli mat que les troupes avaient vaincre. de Penang annonce qu'une forte reeoimaSfcaccc des Hollandais vers le Rralou du Sultan a entraîné une lutte très-vive contre un gros corps atebinois. Cet en gagement n'a pas eu de résultat décisif, mais il prouve", ■que le commandant hollandais maître des positions importantes prix d'efforts et de pertes peut-être considérables. La junte de Cnrtbagène s'est réfugiée bord de la JVumaMÎa, ce qui semble indiquer que ta lutte contre ■cette ville touche sa fin cl que les chefs du mouve ment se préparent chercher leur salut dans.la fuite. Meriones et son armée ont quitté Sautona près Santander pour se diriger sur Miranda dans la valll^"~ de l'Ébre. Il a donc abandonné l'idée de dégager Bil- tiao. est ce phare, quel est cet astre Ou la philosophie qui répand généreusement son principe émancipa- teur tout être qui pense, et qui a pour personni fication agissante le libéralisme,dans son acception la plus large et la plus honnête, ou l'ulttamonta- nisme, cette expression la plus absolue de l'immo bilité, de la rQ6ÎS|Bnce, de la passivité, en un mot de cette force 'd'inertie, la plus redoutabp de tou tes, dp cette espèce dieu terme, qui résume toute sa puissance dans l'inflexible non possumus Admettre le progrès, n'est assez dire dans quel sens doitêtre envisagé l'avejiir,et peut-être l'année- présente en sera une étape et se signalera par quelque manifestation éclatante. La poudr,j.;nyamt joué un rôle'qxSgéré dans ces derniers temps et le salut fie tous existant dans d'autres préoccupations qp>-* celles qui ontSfours sur 1^ fcamps de bataifj sont ffis intérêts d'un orâre'pfus élevé qui ifiicfih- slle quiy.f»- berm^ l'attention dès' cffafticelluries europei^ Ce nèstfias'Ou'on reléguera dans les outyirf^ Jfellaest la situation devant canons et leî»fusilb ;i«*n perfectionnera pour ne pae laisser dormir la science fi remplira et. on multipliera les cadres pacce que dans ce siècle de lumières N'oublions pas l'Espagne, ce malheureux pays des reliques et des castagnettes, des moines et des brigands, qui se débat, au nom de la liberté, hélas encore mal connue sur les bords de l'Èbre, contre la tyrannie cléricale et contre les supersti tions d'un peuple élevé l'école de Philippe II.—J Partout la lutte de l'avenir contre le passé révolte de l'içdépendance contre l'oppressiojj delà liberté contre l'asservissement; la sci^ étendant ses conquêtes et disputant, pied le terraiu l'ignorance soutenue par unj fanatique et exclusif l'homme revendiqu droits et la liberté de penser contre un pa lérant et rétrogade; les gouvernement^ partout humiliés et forts de la partiei -au demeurant celle avec laquelle ils ^réagissant contre une église qui n'a et qui ne connaît et ne respecte «l'est d'aucun pays, et ne relève,. ne poarrtr se rt^psre montrerà la hauteur, de s de l'ennemi qu'ait' *qûi sait?' faut le^^on,,^ |mi rbcir.e 1)11(1 (iliyr JS savoir fijïu,V» .t auouverainetj aiiis'': i'-a.. Vp#k», lu 3 Janvier. Nous voilà entrés dans l'année 1874. Quelle •sera-t-elle Quelle sera la marque qu'elle portera ■dans l'histoire Sera-t-elle la continuation pure et simple de celle qui vient de finir sera-t-elle un saut plus accentué des tendances libérales qui ont surgi de tous côtés, depuis quelques mois, en pré- J senee des prétentions tous les jours plus nettement affirmées de l'ultramontanisme, ou sera-t-elle un recul Le temps marche si vite, et les événe ments ont un développement si lent, eu égàrt? au but final, qu'une période de douze mois nAcogjpt.» pas dans la séridples années, et que i*' soient les hav^ v\ et les coups inatt prennent p 7^ Sylvestre, ças\ c -duc iWjf .llIC (les liai s «la us 3 Si Chiite impc A' (f cS o -.1 g=g» ci3 asseoir leu tion réelle i\§j g «S Sans préœj g de pressent,3 détails, au serait qu' dévelo"^'- les, 'e premier Janvier 'ùte du tempsqin'vien' bonnet1 leur sigiîifica- g est permis t j^tefofs ferve, sinon datiq-fies, emble.L*j progrès n#; 'était le résblrat du instituions' soi es a teuses et peut-être inutl elles le -seront toujours ef- on se trouvera devanJ^p ennemi tous- redouA implacable et pluy ^L ^Jircii (fana voulons parler d^-'éè Hfpinilrc sa joi parle Ronqe ettPl'ésidcnce. Le czar ne^ sent plus cie borrro" "niun et il va forcer 'C'est ce gouverné «gil d uil voys" rant au gouvernement 3 a tout progrès, qui s'intei 1 .^«(Visant pour que tous les rois, torts/ présidents de républiqéy,,.;,,,^ rêfer dans ses usurpati<>iu.z K en plus insolentes.VpiiHU un faisan i i lequel tournera prUsurg s'il q|aiia raie de oettu.annpeilii/' <isan où -nrtl Cavour, surtout, uilléc AAépowillX^|| plus avoir avec L i 1 de courtoisie, si»t Suit a' elle allait se^v,'lk,T. uL t fe." i, i, >mni»ile et ueiacWtj patteS [jt,rfiTia^é. ptjfsnx ceqi»' jre Pi0"" '-■"'"te' lè l'jrogç nie .le U -e K bi-j a URSENT 4'®7 e iVcn« .12, evêques^ 'us qu^gis institi fondrer *—'is le l'ai casoarl ^leÂiuî ouvert^ que les' religï lue

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