6 FRANCS PAR Al*. Intérieur. y ÉLECTIONS LÉGISLATIVES. N» 3,411. Jeudi, 33* «iiikii. «««■ta 8 Janvier 1874. m nuteo h.o li 'i. 'riv lr;(ï:i r:0 LE 'I fOO tv 7 \\i JOUI'iNAI. lï.YPIiES ET DE L*ARROrÏDISSEMENT. 'I PARAISSANT LE JEUDI ET LE DIMANCHE. i, vires acquirit 6on 1)0: AINtNNKMliNÏ l'Ail AN Pour Tarrond' administratif cl judiciaire (fYpres. fr. 6-00 Idem Pour le restant du pays7-00 Tout ce qui concerne le journal ddil être adressé l'éditeur, rue au (leurre, 83. WtfcÈtïf IONS Anwvcks L .ligue ordinaire fr. 0-15 IIschhks la ligue fr. "-3'i Les aijuonees do llnixclles et (<le l'étranger sont reçues cire* MAII.hohmn et PiCamu, rij,; Montagne des Avéuglos, A. ll.uijxiu.LiiS. ,\oiivpl!(). «le l'étranger. L'Assemblée nationales voté mardi pour 80 millions de nouveaux impôts. Jamais discussion de cette im- portance n'a été menée plus lestement. Celle besogne terminée l'Assemblée s'est donné <5|n congé de bipt, jours, en mettant la loi suc les rtiairc^ comme premier objet l'ordre du jour de sa rentrée. Les rigueurs contre la presse en France ne con naissent plus guère délimites. Métpc te régime impé rial, bien plus attaqué cependant que celui du 24 mai, ne montrait pas ce point l'Europe, surtout dans les derniers temps de son existenée 4a faiblesse et son isolément. Parmi les journaux qui viennentde nouveau d'éprouver les rigueurs de l'autorité, figure le Journal de Lyon un des organes les plus modérés du centre gauche. M La situation du trésor anglais est excellente. Le Daily \ews prévoit pour i'auuéc financière utrexcé- dantde cent millions de francs. Dès k présent.les neuf mois d'exercice écoulés donnent poHr les recette encaissées cinquante millions de plus que le chiffre prévu au budget. Les Chi-nt<bri's prussiennes font reprendre leurs travaux dont l'abondance et l'importance exigeraient «ne longue session. Mais comme le Parlement alle mand se réunira probablement le 12 février, le gouver neincnt pour éviter la réunion simultanée des deux Avant de livrer l'assaut au vjce, les bril-, lantes phalanges cléricales ne devraient-elles pas écarter, de leurs rangs, les guerriers qui se munirent les complices des ennemis com battre et qui pourraient même leur servir de précepteurs eo certaines matières Croyez-nous, écrivains pieux et diserts, frappe^ des foudres de volre^éloquence ceux dès vôtres qui dérogçnt, et «qui. hélas de viennent trop nombreux pour confirmer la règle titre d'exception. Fraè^ez fort èt^ frappez juste. Aidez-vous et, si mériteji que le ciel votifr aide, It vous aidera. Eff attendant ne publiez jaj dans vos '^bàst<$Tcolonnes des diutribes^q inetlent vos lecteiirs impartiaux dans lèc de vous rapgelèr ,à'~fa '"pudeur.. Netlojy*Wj d'df)oi (l -.vos écuries d ^uyias- QuandJlbus vous serez tirés ^Mreç lyxntteur de d Hercule^on vous confiera la voie Mais avant tout rappelez-vo» ho BIEN ORDONNÉE COMMENCE PAR SO<-BÊM%.Ijo.In^j; Assemblées législatives, prorogera la session des Chant- bres prussiennes jusqu'à la clôture de, celle du Rciclts- Ps. Le rat h au mois de mai et les convoquera de nouveau dans une session supplémentaire. Tprci, le 7 JfanvSer. Cftarilë bien ordonnée commence- par soi-même* Le Journal d'Ypret publie, dans son nu méro de jeudi dernier, un deuxième arlicle relatif aux théâtres contemporaine dont il confond les représentations sous !a dénomi nation générale de luxure publique Quel est le but du pieux journal En veut-il bien sincèrement la luxure Ou bien eo veut-il seulement la publicité de la luxure???Est-ce que, par hasard, la luxure publique porterait ombrage la luxure privée des petit- fréristes, Paul-Pit- tistes et autres tonsurés ou congreganisles ejusdem farirtœ Est-ce que, par hasard, les rédacteurs du Journal d'Ypres effondraient pour leurs héfos de cour d'assises la concur rence des héros du théâtre bt cette crainte existe, elle est vaine S ci la vérité prime la fiction', et nul roman n;.. s, Z ;jl "ïENGOED aui esprits sérieux l'ii lérêt dé l'hisfltr'j -J |"2 nliovcniSlal est évid- nt que les ac. urs cléricaux td-| qui De pet -l se quab ?r dans aucuh gue (V futiles I pitude m |-21 ridici''.«ÏS r/Scc (4 rt. CQtril Ypfés "recoin ma n rl leurs, par la voie 4ps annonce?, Ies.nl mjjFsiijie suivants Livres fié feuvalse," (s'agit-il des lé| prophète Peau de satin, polka, (s'agit-il de cclle^ qui donna dans l'iàil de David Cutur d'artichautjiolka, (s'agit-il d'd vjla serrejihâudc de Salomon y. Tous les journaux catholiques effroyable de voir la Chambre or i du compte-rendu analytique d elle a voté récemment la pt*bîic..> n'a pas décidé, comme on l^avafit anri compte-rendu serait envoyé gr^is i teurs mais, tôt ou tard, ce proje't mis en pratique il rie sera, du restel séquence logique de la publication dd des débats législatifs. colj Les adversaires de ce projet, dibiseJ recours, pour le combattre une» plusynauVaises les un ri''cM- nuinr4 coufna ln nnuf n contre le coût d f - - réer j. oriy» t?ï£yjf dc ZEER -vb^ sonr r droit d ^co tsidéreir. J .2 jJvfîr; fia'i. siopef-o^S ^5" a*" *7 5 i S 3 - A O I rirto,.' ti< v -a tl Si - fi loo S5ï| i C .o tr 15 ^5 -al s j ^gaterct et, t" art-"" a 1 dé vue le. i te 's«mc 40 £entisicr ierfc, kadnstorj sent 2end U y a longtemps que ce parti a proclamé que la liberté dô la presse était une liberté doflt on ne saurait avoir assez d'horreur. Il ne redoute pas tnoins la liberté parlementaire que la liberté de la presse. Ce qu'il veut, c'est que les électeurs qui sont* sOué-s»"domination, n'écoutent que ce qu'il veut bien leur dire. De là cette guerre faite tous les journaux libéraux, et qui n'a ôu d'autre résul tat que de doubler le nombre de leurs abonnés. Nos adversaires devront bien en prendre leur parti. Leurs principes, répudiés aujourd'hui non-seule ment eq'Europe, mais dans le monde entier, ont fait leur temps ils auront beau vouloir élever une espèce de muraille de Chine autour des popula- «ions qui leur sont encore plus ou moins dévouées; ib*rté renversera tous ces obstacles factices, ns la presse comme la Chambre, la victoire toujours ceux qui défendent la cause des s^bérales et du. progrès de l'humanité. '-It Br«. j* CL malade' quij ^fiq m«s nouq séparent encore des oIlLélccùouglégUijatiyçs 5 les deux.çrands /".liv-^des commencent a se compter et a >,-.'1 j-tfieûrs .chances de succès. Les cléricaux ïgmt et friBM^ssent leurs arines avec une a laquelle il faut rendrê hommage. A les itendve leur victoire sera telle que la majorité •lementaire, loin d'être affaiblie, se trouvera en- Ve renforcéeLes plus exaltés comptent sur cette toirp pour forcer la main au ministère et l'en- aînér malgré lui dans la voie de la réaction. ue/Ais sont les réformes qu'ils prétendent accom plir ?'ip'est ce que nous ignorons et ce qu'ils ignorent éblement eux-mêmes. s* demande en effetdit la Presse Belge ji manque au bonheur des catholiques. Les r!i*tA se multiplient l'infini. L'instruction pu- i'-est toujot&s la merci du clergé, grâce la ^12. La main-morte, abolie eu droit, conti- riées.urir clandestinement et frauduleusement. |flldiatisix>(M'^t le crétinisme s'épanouissent libre- ^ydans iôs belles provinces. Bref, la gent api le est en pleine prospérité. Que peut-elle hdé.de plus l fait Qu'elle désire c'est sans doute affirmer sa de Dix/au poi£)ir par quelque bonne loi réaction- %is quel sera l'objet de cette loi Ici l ot I^NTiT "cf mr^c.bce- Il n'y a guère que la questi\i ôens(Lt j "Nj7Îèreh 1 oven Ipff -#* *TH el ya^er "u puiFse être mise j l'ordre c UD^'aît-il bieriîp b e l'aborder queues cl"i rmet^e, fùt-cki luy rimobileir Quantauxf f lie "mpte dn/ 'v rofitlisse •V» I ?'|i. t OJ 60 C i feekl I W a H o .tel§ w- w> -~'A> O g -s* OCQ 4 PQ-SS S3 est l'afe a'i^ùt dobi- nru'ji on m?"-!--- r^ute i] ;jui éciai "auquel iut ce qujj 4 êjtr. qu Ji en es; institutiêi s-' -ire c<£ g, tout t- ■PÇ n'est p xppré- visent |ie ces T® coup x, car '-pal chaine. sont arri{ mjnm ibéè b-.z T? ")lfc^ prendt_ vnt teif -jsrtti (legs te bygiil S1 Julie." tx Fidèle 01 14,

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 1