BOOffVBNDITIElV. BOOM VENDITIE I 1 BOSSGIIEN, PILULES H OL L 0 WAV ONGUENT HOLLOWÀY rmtnKmmtammmmÊiÊÊmM mwm BOOMEN, HotarU Capellc, Notaris OEGRYSE, OVERSUG VAN 3 P&RTIJEN ZAA1MNI), sJl J VcriléJ!! TE WYTSCHAETE, OPENBARE YERKOOPING sïïwsaa PLUS DE CHEVEUX BLANCS Ie lot groot.45 a. 90 c. inges/el^,600fr J8 il n s DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue de Lille, 50. 2 îi 2 1°—Zater«l»ir, ■O".Vaimari 1874, ten een ure namiddag, van 7 koopen GESNEDEN BERKENHOUT, eéne groote hoeveelheid VLAKEPER- SEN, HOPPEPERSEN, BOONPER- SEN, 12 koopen HAIvHOUT met 325 PLANTSOENEN. En 2" Ziiterilne, IV" .fa- miari 1874, ten een ure namiddag, van 78 koopen EIKEN, ABEELEN en BEUKENBOOMEN. Voor verdere inlichtingen, de plak- brieven na te zien. De Notaris VANDERMEERSCH is met deze verkoopingen belast. £R SS t? S van den TE WATOII. Dondcrdag, 99° Januarl 1874, Oui 12 lire 's rniddags, te Leyselb, liij den Eik, ter bofstede en mcdrgaamie landen gebruikt door sieur Verbrigghe- Proot, SCHOONE KOOPDAG van 118 loten allerbande schoone en xware "oomen dienstlg voor aile groote werken, wanof velc vuii l»00 loi 9™50 dlkte. De vcrgadering 1er Hof|ilaats. Al door 't ambt van den Notaris CjU'ELLE, te Watou. MERKWEERDIGE Bij de herberg de Jager, alias de Stoppe, langst de calchiede van Yper naer Waesten, op tfhofstede gebruikt door Treve-Coppin, De Maendag, 19' Jlannary 1874, oni een uur namiddag, de Notahis VIC~ TOIIB, te Waesten vcrblyvende, zal op de weiden en landen van bovcngcmelde holstede openbaerlyk verkoopen, 80 koopen barde en zachf e lepen, ElkenCanadas Benken en Abeclen. Deze Boomen staendeop kleinen afstand van gezcide calchiede, zyn van gemakke- Ivk vervoer en dienen tôt aile slach van werken. Tyd van betaling, mils goedc borg. De vergadering ter bcrberg de Jager, alias dr Stoppe. Voorwaerden en betaling in banden van gezegden Notaris VICTOOR. VAN TE GHELUWE. Dyssendag, 90° Jannary 1874, len een uer, den Notaius PVCKÉ!, te Ledb- ghbh, zal openbaerlyk verkoopen in eenen bosch, genoemd bet Ileerescliip, te Ghb- ldwb, by de berberg de Vyf-Wegen, en Dadizbblb, Scboone El KEN, konnende dleucn voor as pestels kulpers en tlmmermaas. van den te zonnebkke. Médaille de la Société des soieuoes induit riell e de Paria. MÉLANOGÈNE, te1wtcbr par E1CELLRIICE de UlCQUEMAItE aîué, de Rouen. Pour teindre a la minute, es toutes nuances, les cheveu* et la harhe, sans daogrr pour la peau et sans aucune odeur. Cette teinture est supérieure a tou tes celles employées jusqu'a ce jour. Dépôt pour la veille eu gros cliez Frey, rue de l'Escalier, A Bruxelles. Y PRES, Va* Etdk, nu fleur, 22, rue au Beurre Prix 8, 19 et 15 fr. 1° JMaandng, 19" Jtannnrl 1874, om 12 ure 's rniddags, vrrkooping van 5 HEKTAREN ALLERSCHOONSTE TAILI.IE en 87 PLANTSOENEN, cenen Alteel en drie Wilgen-Buoiiicu, tb Zonnebekk, bij de berberg den Haan, op den nigcuilom «1er liccrcn Vekiikyleweghrn, te IJpre. En 2°Vrijdng, 16° Jannarl 1874, om 4 ure namiddag 1er berberg hbt Gemebnte-IIuis, te Zunneheke, Gelegen le Zonnebeke, in den West- boek, te samen groot iugevolge kadasier sectic D, nuratr.cr8 689a, 692a, 692b, 110 en 578, 99 aren 50.centiare», waarvan de twee eersle zijn gebruikt zonrier recbt vari pacht door de kioders van Benedictu.s Snrasin en de wtjiluwe l,ogie, en de derde ongebruikt. -(J u -Isl'l 2T «-5 S .2".2* S ap a- w s h a Um tt - -3 o - - j; 3 J~ S «o -j a S 73 1m :s u - 3. s m m a - s a a t - - - t. a "Ot>u - r~ "O 5 A4 3 bi c "a '8 .1 3 i 4 S S- 22 ij a gz» il s 5 2^ u M C/3 •U2 a •- s w v c a X X TZ MX u •S s? *- c 2 -s 1 s (S -C 's sE£ -e Ji - m U _C J-J O g 2 Q K Ad 2- 51 -Ë 1 tli||-s S "S-s l J M\.| ii aS Zs US Mi -5 - 5>« x O s» w i s -S s - 3^ h s ci I. t» r v - -« s b •»'w Làf Lorsque les pellicules abondent, c'ast un tiyn^ certain de la-prochaine cfiâtè des cheveux. Employez vite, vite l'huile Daim iue si vous voulez les conserver, 2?ïot 16#. 20c. ^,^800 J Par spite de sou application, les cheveuA^cesseut 3? lot T.élO de tomber*et les têtes les plus chauve^ Se convreut jd'uu lé^er quTtomjffî repjÊts»^t finit par se Un illustre chimiste, Baspait, dans son Manuel de la santépage tt circulation du sang et il le conseille dans une foule de càs. ,Bc rapeutiqueannée 1866, page 92, dit propos d'une anectiou 1 traitements: après quelques jours de traitement par le gofudre/ furoncles avaient cessé de sè reproduire. Lè même résultat a étécoi| divers faits sout venus ainsi constater l'efficacité du goudron cbmt! duction des furoncles. v Dans VAnnuaire de théraveutique pour 1869, p?ge 85, il est dit l'ugtïge est très-recommandé chez les convalescents et les personnes faibles i\ eo contre un grand nombre de maladies, surtout oontre les maladies épWHévij Le docteur Joian, dans son Traité pratique des maladies des voit suecès dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'urètrj Mais où le goudron est d'une efficacité supérieure tout autre i rhum» négligés, les bronchites chroniques, la phthisie et les rburaad Dana l'asthme, la respiration est difficile et laborieuse, cause de l'J quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectorations co «l nauséabondes botiffi.su res de la face, et souvent de toutes lésai fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid pari rend les produits de leurs sécrétions plus couorets et moins faciles- aN de youdron tous les soirs, avant le dernier repas, suffit poutodissiper foi uemenf immédiat et bientôt Une yuérison complète. T On rhuoie négligé ou mal traité fiuit par amener le marasme, quand lie pulmonaire parfois les quintes finissent par devenir si fréquentes et si! lion eu est ébranlée le sommeil eu est chaque instant troublé les poml pâlissent le pouls est fébrile et rapide. La moindre impression de froid il [Jus tard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, obstruent le.v I oxygénation du sang; lorsqu'ils viennent suppurer, ûs sont le foyer de la dj Limon, et y occasiouueut de larges pertes de substan^ que l'on désigne sd1 nie est pris d/uue langueur saus soufFrauces, d'une uoplie Saus^eunui f unteux et nacrés, virent de plus en plus vert une P.ou de mauvais au l sont d'un ^grt herbacé.JjC dévoieme'ijle prend a.e (JU ut et ne fart ensq,ij (5flaus km0rds et POUS ^rels» el d 8*ôtêiu oit ?elle o e tut. uC(>n:;lfli4 /.eres posét >rie dernier reptt gnt o (tÇnchi.% comme elle ij ponr tnr,.J "^"""messieurs les déi |en(A^- ra; Fini, iprescriveill j»nr| fet b* 1 dtliesse refuseut a| lit'a-ivoture avec l''u"e g«'g«e dJ tardent de Dilbeek 'etréi es du chemn. vt un préservatr lues persanes* 4e g«»«ia roù i<mhTI if. vraimei.f nas la nlVp"?»»»" 9uiles '"M, b Pas m PA,ut d'iiUeusilé, »'eq sont est ou v" 1 1 Jerabaume la traité de the- t les autres laru et les |ades et eps la repro- igoudron préservatif i Rimé avej |sllime, i es [jronebes; |ees, fades rllements huq lieuses, t hapsules souta- i pbtlii- [*îboii>ti iu les joués ItlfiauceK l'Ut ainsi èllules du [s. Le fna- trarfsfo.rmer eu uné aboudautg chevelure. Cette huile dispense de pommade et ne tache pas. Essayez et voua serez persuadé persuadé per suadé l Fr. 2-50 le flacon, avec brochure contenant des notions d'Hygiène de la chevelure. GROS le REPRÉSENTANT du boctbur almiii, rue Foutainas, 52, Bruxelles. BURGF.RL1JKE GODSHUIZEN DER STAD IJPEREN. VERKOOPINGEN van en PLANTSOEN SPARREN bn in db ZKtlogznal vnn bet Relle-Cod»liul«, RIJSELSTRAAT, TE IJPERE.N. enque eux, cl 'm. ÏK tlîC. I<£ I loTs il n'y jcschet au dc^;^ 'xD'autant, j A /,-personies on, un enfi Compter ce! l.^N den i eu tM t quand ^.amps qu'on songe ue cebx puérison de tous désordres du foie et de l'estomac elles purifient le s»ng et exercent une influence des plus salutaires sur l'action organique du cœur et sur les affections de» reins. La débilité mentale et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le système entier reprend de la vigueur sous l'action la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlée car elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot, rendent au eorps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriété» curatives sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit le sexe, et dans toutes les périodes de la vie, dès le berceau même, elles détruisent les germts de ces maladies qui sapent les fondements de l'existence humaine. ence médicale n'a encore produit aucun spécifique égal celui-ci. Il assure ^érison des maladies de la peaû et de toutes espèces d'ulcérations. Sous tence de ses propriétés balsamiques, les anciennes blessures, les plaies, les les cancers, les inausî de jambes, et ceu^x des seins disparaissent. C'est oent un remède infaillible côqtre la teigne, les maux scrofuleux, les les, et tofftes affections du même genre. En cas de rhume, toui bronchite, l palpitions, congestion du foie, indigestion, goutte, et rhumatismes, .uniîtom'ji ,=oje p I nt par la friction fréquente et soutenue de cette .rtiqâ du eprps effeotées. 7 ans Ut instructio js f n» accompagnent chaque lotie. la. --a r a t fr. le Pot ou 1» Boîte. Pour la m*£>rô)riL. iJiecAiii>.'jfesseui'HoUow»y, *-de. jsé». 1^ c 3. l6S"*Y 5 oa1^"™^is de A' ^Ç.ll «ni —«.i fctre oe, 85. iq. lV y

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 2