FAILLITE. PILULES HOLLOWAV ONGUENT HOLLOWAY AVIS. LIVRES EN LECTURE ENCRE BELGE ta J VILLE D'YPBES. FAILLITE. Hîilll IONIQUE. OFFICE JUDICIAIRE, La Vcrilc! OUATE ANTI-RHUMATISMALE fi l -£i 'fi 'fi PERFECTIONNÉE L'ADMINISTRAI ION LOCALE prévient les hululants que le rôle de l'exercicemétalliques l§7i,|iour le recoM»rc«ie«»t de lir^ ï_i Tî»xc communale sur le» eliici»». e= K est iirovjsoimiieitt arrêté et déposé au Se-|-ï crcUrial l'inspection des contribuables jf Médaille de Bronze l'Eiocsition Internationale d'Amsterdam 1869. admise l'Exposition de Londres 1871-1872. et au Musée de South Kinsington. Celle Encre d'un lies-beau noir en écrivant d'une limpidité inaltérable, ne dépose pasdans l'en orier, ne s'épaissit jamais et n'oxide pas les plume - 5 a J u Ceux qui se croiraient lésés, tout admis j, __.j;j faire valoir leurs réclamations devant le S S j; Conseil toinnlumiL g i g .Fait rilôicl-dé-vtlle, le 28 Février 1874. f Z r JJ M iir .3 les bouugmesthe et echkvlnë, v4m1c (JLE. par ordonnakce: I.K SKCItéTAlHE, J. HE codt. 2 s s a -5 Z -ï 5 a >x -c 'fi Z. X - X - "!L*~" z - ec S C M ei 15 - ,1. S 2 - - U <Q .2 2 Il I s-s-il w ai 3 .2 "C i 5 Les créanciers admis au passif de la faillite du sieur CHARLES VANDEN- BROUCKE, ci-devant agent en fonds publics Wervicq, sont convoqués en assemblée générale pour le Vendredi, 20 Mars 1874, trois heures de relevée, au Palais de justice, en la Chambre du Conseil du Tribunal de première in- f| l'stance, Ypres, pour entendre le rap- .ËrjJ Iport du curateur sur l'état de cette H-M.Ô faillite, les opérations qui ont eu lieu, les mesures prendre ultérieurement, comme aussi, ie cas échéant, pour en tendre le failli dans/ses propositions aux fins de concordat, s'il croit pouvoir en faire, sinon continuer la liquidation. H ~<L' x cc "Z 5-3- - 'r xz -y >,o 2: oo c. Les créanciers admis au passif de la faillite de feu MARTIN SAMYN., en son vivant marchand de volaille Messines, sont convoqués en assemblée générale pour le Vendredi, 20 Mars 1874, 50, Bruxelles trois heures de relevée, au Palais de justice, en la Chambre du Conseil du Tribunal de première instance, Ypres, POUR LE DÉTAIL. Eu vente niiez Lambin, fiLs, rue au Iteurre. Y|>reS, ci chez Ions les librai"" et papeti"\ E. PLANCHE, Fils (seul fabricant), rue le Prusse, 25, et rue de la Tétc de Mouton, lansq-ie le» pellicules abondent, c'est un siijne pour entendre le rapport du curateur ,u u rr„chnine Mie des cheveux. Kmpt»ye« sur l'état de cette faillite, les opérations vite,rit» t'imiteDaiminesi vousvouiez le» qui ont eu lieu, les mesures prendre ultérieurement, comme aussi, le cas échéant, pour entendre les héritiers et ayant-droit du failli dans leurs proposi tions aux fins de concordat, s'ils croient pouvoir en faire, si non continuer les opérations. le curateur de la"faillite, S. ViERLYNDE. AV«. Far Mille «le sou application, les cheveux cessent le tomber et les tètes les plus chauves se couvrent «l'un léger duvel qui tomberepousse et finit par se transformer en une abondante oheVelure. Celte huile dispense de pommade et ne tacbepas. Essayez et V<hm se réf. peisuadé persuadé! per snadé 1 Fr. 2 50 le flacon avec brochure contenant de» notions d'Hygiène «le la chevelure GUOS le IIKPRESKNTANT du* doctko* almin, rue Fontainas, 52, Bruxelles. DÉPÔT: YPRES, Domon, rue de Lille, 50. t.k cuiiatkuh 1>k i.a faillite, S VERLYNDË. AV1. DICQtIF.MAHEaiiié, chimiste, Active la pousse îles cheveux pèclie la décolora lion Déliait les pellicules. Prix du flacon îl fr. Dépôt |ioui' lu vente en gros citez Frev, r. de l'Escalier, 14. Bruxelles. YPRES Van Eyor, coiffeur,22, rue au Beurre, b ON DONNE des CHEZ FÉLIX LAMBIN, Rue de Dixmude, 59, a YPRES. 25, RUE DE LOXUM, A BRUXELLES, Fondé par des bouillies versés dans la con naissance des luis el des affaires, »e chargé de lotis les procès tint civils que comnier- ciaux, recouvrement de etéances, etc. Il traite avec grande discrétion mutes les ciiu- leslat uns litigieuses.Tout eoiniiieiçant gêne lans ses affaires peut éviter la faillite eu confiant ses intérêts I Office Judiciaire. Des experts comptables sont attachés laits ses bureaux pour quiconque désire faire mettre ses livres en lègle au vœu de la lui. Les bureaux de l'Office resteront enn- taiiiinriit ouverts pointant les vacances judiciaires où deux jurisconsultes donne- onI des consultations gratuites. o\ tiiaitb a forfait. o c 3 u o> Z _3 S o c o w a j c E m aaque/ eiZ comme ructions qui atj ix il se trouve f ment, plus de 3t eu,-qui ne produisen Luparflu qulaurait pu tous ceux qui sor f me la main au pair, merçoit ainsi des som l que c'est pour te se côté du denier de S' importantes même s.-a ce k V O c c 2 a - g S XfiO m -G «3 r Jl Ci 1. s t> L. V r -a e» 5 o t; S2 s C- "-" t-, U) w O) Z- o lt -oj r r CD a. O C D «fi t 3 2 - "ce -E Z .r c« M O - te 9 w c-lt V5 "C O <v o H3 ce O tn V w o -3 a o S U3 93 O 93 93 -93 "T" 3 er* C 'u 5 t «8 «- 'S «2 &S-53 h 5 w - «0 V3 m X Q ïf. zj S CJ s £2 E. 0 J z n O u '5 CJ A 4i cr« m 5 ■en O •m v> ■0 im "CJ c c V ôfi o 5 s e S S" S «c CJ 5 h. CJ S X «3 s ■r en •m m O S C m z s 5 VI CJ 2, 4) V U) S m CJ ■J3 9 z c CJ m 5c. o S m 5 C6 "S e V> •n *5 X e L W A CJ ça ti 5 e s e z CJ 'v-J r "V O C 3 i B 3 r e ÇJ ce fii m. w Cfi V3 isif C0 "T -S 0 e 3±2 - S«C<I3 1 s -f J t B S-ï JD 'zz - rj x. t? o O î- C- S5 2 avZ*«fil2~!2 tcr~r en en _o O -al -aï O O O O iQ H5 93 o "3 T3 s 5 3 O i/3 W5 C/3 O •S ^3 i gs -93 C ts 3 tT1 u c- S - 93 c ."2 15 o o o en 93 tr> c_ -CJ (J •4-0 CJ C CJ se .b *0 eu Z» 5e r i i o 1 o 3 i^* X 2 ec X w >-* C3 CL X "C 2 CJ «s cn "w i~ O ■s 5^ >- CJ C - z I z Vï mm .ïF «fi (n o _5i 0-0 2 -i Cl «4i V3 r - CJ. X' S'iaS z Ie es jv -a j - J 11 3 u "3.1 c-3"^ «J st 'VIT S c' Vj "S S S x 0\ n -T~S c jz c~ »- Ci C es C/) CJ t« es c les LA du Dr. PATTISON, soulage inslantaiiéiu' etguéril radicalement In Goutte cfJKhiminliMmeN de toute sorte, mal aux dents, lombagos, irritations de poitrine et maux de gorge. En rouleaux dfr. 1-50 el demi rouleaux 80 centimes, chez M. BECUWE, pliarma- Dl'eii, Ypiiks. Sa - S'S ÎSS 3 - .r r - o* îl 5 S o-;ï S o-r - s -■«3 o 5ê -a. - s -v 'i? 2 - 3 li 2 'fi O "L.~z --a - y v s?-- 1 o i - i2 2 3 V .-ï j; 3 H Q U. •ui r 2. 2 "3 O •2-S 5 g 1 3 .2 3: .2 2 te es 5 ?- ■:5iS5 *3 *3 S H J J 1 s— r- V3 5 r= «e - 5J. 0) - r CÛ 9 - ..sS -j -~ 5 h - «5 2 r »o 3 S 3 a-"î L X CJ z T= -m «8 2 x c y •- y c/. 2 3 r 3 «e O X X 3 2 ifi - a-J hî c 3 O ez 2 "S. i 1 f -e •itrrt t 3 3 ti b 4) 'y *y 2 S E; .x 9 x 3 3—-^ x x C "C Rul remède, n'est comparable ces Pilules pour la gnérison de tous désordres du foie et de l'estomac elles purifient le sang et exercent une influence des plus salutaires sur l'action organique du cœur et sur les affections des reins. La débilité mentale et physique, résultat de Pimprudence de la jeunesse ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le système entier reprend de la vigueur sous l'action la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlé e car elles ohassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot, rendent au corps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriétés curatives sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit le sexe, et dans toutes les périodes de la vie, des le berceau même, elks détruisent les germes de ces maladies qui sapent les fondements de l'existence hamaine. La science médicale n'a encore produit aucun spécifique égal celui-ci. Il assure la guérison des maladies de la peau et de toutes espèces d'ulcérations. Sous l'influence de ses propriétés balsamiques, les anciennes blessures, les plaies, les tumeurs, les cancers, les maux de jambes, et ceux des seins disparaissent. C'est également un remède infaillible contre la teigne, les maux scrofuleux, les pustules, et toutes affections du même genre. En cas de rhume, toux, bronchite, asthmes, palpitations, congestion du foie, indigestion, goutte, et rhumatismes, on trouve un prompt soulagement par la friction fréquente et soutenue de cette excellente préparation sur les parties du corps affectées, i Prendre les Pilules comme indiqué dans les instructions que accompeflnent chaque ItAie. Se vendent chez les Pharmaciens 1 fr. 50 c., 3 fr. 75 c., et 6 fr. le Pot cA 1» Boîte. Pour la vente en gros.^f re-ser chez le propriétaire, le Professeur Kplloway, V 533, Oxford Street, Loi DÉPOSÉS. ^sts I.AaiRiiv, FiLS. éditeur, rue au WI II «Il II

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 2