Variété*. MM. LES PHARMACIENS ET DROGUISTES DE LA BELGIQUE. premier siècle de l'ère chrétienne, 450,000 sous jVurélien, 400,000 II paraît qu'en 1198, il n'était plus que de 55,000 40,000, et qu'il tomba 20,000 pendant le séjour des papes a Avignon. Après le sac de Rome par les liocdes du connétable de Bourbon, il était de 32,000. Vers le milieu du XVII" siècle, il s'éle vait déjà 85,000 la fin du xvm" siècle, en 1796, 166,000. En 1870, le nombre des habitants était de 226,000. Il est aujourd'hui de 248,000. On lit dans la Meuse de Liège La grande collecte de livres organisée par la Société Franklin a eu le plus grand suceès. Les douze camions, qui ont pnrcoiiru les différents quartiers, sont rentrés chargés pleins bords. Deux de ces voitures qui parcouraient le quartier du sud étaient tellement surchargées que l'on a dû enlever une partie des livres qu'elles contenaient pour leur permettre de con tinuer leur marche. La collecte-argent n'a pas été moins fructueuse elle a produit une somme ne 5,700 fr. qui sera également employée en acquisitions de livres. Qn évalue le nombre des livres recueillis 14 ou 15 mille volumes. Toutes les personnes qui ont organisé celte excellente œuvre et l'ont misé exécu tion ont droit la reconnaissance des amis de l'ins truction. M°" Eugène Cavaignac, veuve du général Cavaignac, ancien président de la république française, a suceombé dans la nuit de mercredi jeudi-aux suites d'une opé ration au sein. Restée veuve de très-bonne heure, elle avait consacré sa vie l'éducation de son fils. Encore un vol dont l'administration des chemins de fer aura subir sans doute les conséquences. Une somme de 50,000 fr. était expédiée hier de Bruxelles pour AtII par l'express partant 8 il. 12 du soir. Arrivé Atli, le chef-garde, ou plutôt l'employé qui en faisait les fonctious, constata que la somme avait disparu. Que s'est-il passé? Le train ne s'arièlant pas avant son arrivée Ath, le vol a dû s'accomplir Bruxelles ou pendant le par cours par un membre du personnel. On'dit que le garde a quitté un instant sa voiture avant le départ du train,dansla gare du Midi. (Vén'Ié.) On nous rapporte que la foire tenue samedi Cincy a failli ne pas avoir lieu par suite de la maladie qui a décimé le bétail d»ns les environs de celte ville. L'in flammation pulmonaire a* fait beaucoup de ravages dans plusieurs étahles cl si la maladie continue, les foires et marchés devront être suspendus. Toujours des désastres financiers, Paris. Pendant qu'on examine au parquet l'affaire de M. Clément Duvernois et de ses associés dans la Banque territoriale, un banquier du nom de Ludovic Celmain, directeur de la Caisse des Arts-et-Métiers 259 rue Saint-Martin a été trouvé vendredi matin évanoui dans un massif du boulevard Richard Lcnoir. Ruiné de fond en comble, le malheureux n'avait pas voulu se voir déclarer en faillite, arrêté peut-être et, s'était tiré un coup de revolver. Son état est désespéré. Il vaut mieux. Il vaut mieux prendre du ventre qu'un pain la vitrine d'un boulanger. Il vaut mieux éirc exécuteuriiestamentaire que de hautes œuvres. Il vaut mieux être palefrenier que pâle d'effroi. Il vaut mieux toucher ses rentes qu'à su dernière lieu re. Il vaut mieux, en hiver, être couvert de fourrures que d'applaudissements. Il vnui mieux aller au tir h la cible qu'au soleil - Il vaut, mieux être gravé sur l'airain que de la petite vérole. Il vaut mieux verser dans l'erreur que son sang. Il vaut mieux être cité pour son esprit qu'en justice. Il vaut mieux prêter rire que son argent. Il vaut mieux être an été par uu scrupule que par un gendarme. Le commissaire de police du Faubourg Montmartre vient d'avoir constater le suicide du bohème de lettres Arthur R Avant de se pendre le malheureux avait écrit une lettre qu'on a trouvée sur sa cheminée et qui se termi nait ainsi N'accusez personne de ma mort n'ayant plus rien fourrer au clou, j'ai pris le triste parti de m'y accrocher moi-même. Une jolie réponse de M. de Bismark. On parlait de l'entretien qui eut lieu après Sedan entre Napoléon prisonnier et Bismark pendant qu'ils attendaient le vainqueur Vous ne pouviez guère parler politique, disait- on M. de Bismark, et d'autre part les lieux communs durent être bien vile épuisés. Le fait est, répondit le grand-chancelier, que j étais dans- la siluatiou d'un homme qui a invité une vieille femme pour le colillou et qui voudrait bien que le bal fût fini. Une jeune actrice, des plus jolies, mais dont l'intel ligence laisse un peu désirer, répétait dernièremenî le rôle de l'Ambassadrice dans un théâtre de province. C'est très-bien, mon enfant, lui dit le directeur vous avez de l'entrain de l'allure une jolie voix de jolies jambes..., mais il faudrait repasser un peu votre rôle. Livrez-vous ce petit travail et j'irai demain vous faire répéter chez vous. Le lendemain le directeur arrive chez la belle enfant, qui ne savait pas plus son rôle que la veille. Elle l'avait cependant repassé toute la nuit. Mais il est bon d'ajouter qu'elle avait repassé... avec un fer A la sortie d'un café, un Monsieur reçoit une dégelée tout casser. Il paraît qu'il avait fait perdre une forte somme son agresseur. Giffles et coups de poing se succédèrent au milieu d'un groupe de curieux. Le rossé parvient se dégager il recule de deux pas, et toisant son adversaire Je ne vous crains pas Monsieur s'écrie-t-il et je dirai devant tout le monde ce que vous êtes Eh bien qu'est-ce que je suis Vous êtes UN QUERELLEUR 1 Verminet est un ancien galérien libéré qui n'a euhi que dix-sept condamnations. Il n'avait celte fois qu'à répondre d'un simple vol et il niait. Pourquoi nier? dit le président espérez-vous donc nous persuader de votre innocence Allons parlez vite, dites-nous tout. Non, je ne répondrai pas. Non et pourquoi C'est que vous m'avez au commencement de l'audience, manqué d'égards et que je n'ai jamais été présidé comme ça. Une jolie réflexion dans le n* I d'un journal nou veau, la Fronde L'amour est une bien singulière chose Il n'est jamais au-si complet quelorsqu'il est partagé! A l'orchestre d'un théâtre peu récréatif un gros monsieur suait grosses gouttes,s'épongeait et soufflait comme un phoque. Un voisin grincheux finit par lui insinuer que, s'il était si mal son aise, il pouvait aussi bien s'en aller. Vous êtes bon répond le monsieur. Je m'ennuie horriblement, mais il faut que je reste j'ai payé ma place IHsrcbf. u'frnc*. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen îles grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 2 Mai 1874. NATURE ms grains et denrées. quantités vkudoks. kilogrammes. prix motbn poids m" par dr cent kilogrammes, l'hecioliue Froment 31,200 fr. 37 50 KO Seigle 5,100 27 50 73 1,200 29 50 44 400 28 00 80 Féveroles. 1,800 29 00 80 Pommesde terre. 7,000 7 50 Beurre II 270 00 État-ci vit. nT'pncs, du 26 Avril au 2 Mai inclus. Naissances. Sexe masculin 7 idem féminin 7, total 14. Mariages. Lieven, Jean, vitrier, et Decroiz, Marie, dentellière. MeniezHenri, cordonnier, et Wulkms, Marie, dentellière. BonneelEdouard, charpentier, et Declercq, Eugénie, dentellière. Décès. VerhaeqheIsabelle, 72 ans, célibataire, rue au Beurre. Verbiese, Pierre, 76 ans, sans pro fession, veuf de Barbe Vanden Bcrglte, rue au Beurre. Samyn Amélie, 65 ans, journalière, veuve de Charles Willemyn, rue de la Boule. Beague, Augus tin, 72 ans, sans profession, époux de Sophie Vcrgult, rue de Lille. Vantroeyen. Romanie, 34 ans, den tellière, célibataire, rue des Récollets. Enfants au-dessous de 7 ans, sexe masculin, 0, idem féminin, 3, total 5. Les robes en foulard de l'Inde faisant fureur, il faut pour en recevoir franco 900 échantillons, écrire l'Union des Indes rue Auber 1, Paris, la seule mai. son qui ait obtenue trois médailles pour ce tissu. Messieurs, Dans les journaux de la Belgique, je donne déjà depuis des années une publicité générale nies méde cines (les Pilules et l'Onguent Holloway), et mon inten tion est non-seulement de la continuer mais de l'augmenter. En même temps je crois qu'il est de mon devoir de notifier tous ceux qui tiennent mes médecines en Belgique que je suis disposé faire insérer leur adresse au bas de mes annonces dans les journaux de leurs localités respectives, dès qu'ils m'en auront exprimé le désir. Agréez, Messieurs, l'assurance de ma parfaite consi dération. THOMAS HOLLOWAY. lr Janvier 1874. Londres, 533, Oxford Street, W- C. Pilules (THolloway. Peines d'Estomao et des Iutestins. L'estomac est l'intendant du système physique, il fournit l'en tretien matériel de chaque organe. S'il est dérangé, tout le corps languit,mais lors même qu'il setrouvesévèrement afièotés son ton et sa force peuvent toujours être rétablis par l'emploi de ces Pilules irrésistibles. Des milliers de personnes attestent la vérité de oette assertion et pas un des patients qui en ont essayé, ne voudrait nier leur suprême efficacité. Parmi les cas de maladies d'estomac, depuis celui le plus bénin de dyspepsies jusqu'à l'horrible cancer, depuis les nausées du foie libre jus qu'au vomissement qui accompagne un estomac ulcéré, cei Pilules soulagent immédiatement et, en général,.guérisseuh 13. En vente: Pilules si Onyuentoliei Farsou-Va» Ouvris», rr de Dixmude, 35. Ypres. 8 S - i U x D X S..Ç p C.O ~e.

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3