PILULES H0LL0WAY ONGUENT HOLLOWAY îe r J m H.-J. PETIT 1 cr 4 EAU TONIQUE. a» QJ FABRIQUE DE MACHINES A COUDRE 14, RUE DES CROISADES, 14, BRUXELLES. GARANTIE 2 ANS CONTRE TOUS VICES DE CONS'I RUCTION. AVIS. GOUTTE. RHUMATISMES. SCIATIQUE.— LUMBAGOS. AUX ASTHMATIQUES IN ot a ris Laurent Proot, TE WODMEN. ■s il-ri C es V S s'S, i I lill S S IsSa eu V) •xi "o ac O co CD «âc: se (Aboutissant la place des Nations, près de la station du Nord.) NOUVEAUX MODÈLES PARUS A L'EXPOSITION DE VIENNE. CBQ8. DÉTAIL. feLPOHTÀTlOW. La M.rhine coudre étant devenue un objet de première nécessité, et, pour certaines classes, un bienfait huniauitaire, j'ai attendu pour eu mettre le pris la portée de toutes les boursesque ma production eût atteint on cbitfre assez important Actuellement ce chiffre est de deux mille machine» par mois, dont je réserve cinq cents machiuea pour la Belgique. Ces circonstances exceptionnelles et mes nouveaux moyens de fabrication me permettent d'eu établir les prix comme suit, y compris tous les accessoires: Machine u» t. 165 fr., nouveau modèle; u° 2, 175 fr., id. il» 3, 185 fr.t id. Machine bras poor renouveler les élastiques et pour faire les Heurs, 225 fr., apprentissage compiis. Pour les per sonnes qui peuvent se passer d'apprentissage, il sera fait une réductiou importante sur ces prix. Une machine coudre prise chez moi, fabricant, ou chez mes agents, a uue double valeur, en ce sens que les réparations éventuelles sout faites par le constructeur même de la machine et sur-le-champ. Mille francs la personne qui pourra prouver qu'il existe une machine coudre exé cutant mieux tous les ouvrages de couture que celles sortant de mes ateliers dans lesquels travaillent journellement 600 ouvriers et de plus je m'engage échanger ou rembourser celles qui ne seraient pas dans cés conditions La preuve de la supériorité de mes machines est que, tous les ans, je fais annoncer daus tous les journaux le paragraphe ci-dessous Toute personne qui possède des machines sorties de ma fabrique depuis dou^e ans et por tant inou nom iucruslé sur le bras, peut m'envoyer ses machines franco pendant deux mois, partir du t' janvier 1874-, si des réparations sont nécessaires, elles seront laites sans aucuns frais. La chambre de commerce des arron dissements d'Ypres et de Dixmude a l'honneur de porter la connaissance du public qu'une EXPOSITION INTER NATIONALE des œuvres d'art, des produits de l'agriculture et de l'industrie sera ouverte SANTIAGO (Chili) du 16 Septembre au 31 Décembre 1875. Les personnes qui désirent obtenirdes renseignements au sujet de cette expos! TICS DOULOUREUX. nevralgies. Guérison certaine par le Baume aro matique anti-rhumatismal perse. Ypbf.s se trouve chez M. Fhysou-Van Outuvvb. Dépôt général Bruxelles tion, sont priées de s'adresser au secré- pharmacie normale, 37, rue Neuve, tariat de la dite Chambre. I potion Aubréb, médcc.-ph. Ferlé Vidame (Eure-et-Loir) Notice, 40 c. VAN DEN INSTEL Diasdng 12° Oktobcr 1874, len 3 ure juist namiddag, en OVER- Sl.AG, 27" rlcrzelve innnnd, te Clerc- ken-Seisse, bij Ileiiold Van Acker Vai» ecn SCIIOON HOFSTE- I DEKE en ti. 1-87-41 c. Erf, le Woumcn en Clercken nabij Clercken-dorp, langs de straal van Clercken naar VVounien. Gebruikt door wcduwe Van Acker-Van Hues, lot Oktober 1875. V» instelpenning te winnen. Une lionne maison de Champagne dési rerait un Agent spécial pour la ville d'Ypres et les environs. Inutile de se présenter saos de bonnes références. Écrire f0° aux'publicité de Rudolf Mossb initiales C. R. buieau restant il Reims. ,DICQUEMARE «.îiié, chimiste A ctive la pousse des cheveux Empêche la décoloration Détruit les pellices. Prix du (lncon 2 fr. Dépôt pour la vente en gros chez Frcy r. de l'Escalier, t4, Bruxelles. YPRES Van Eydr, coiffeur,2*2, rue au Beurre, b Dans le but d'offrir un article courant on eherchc un nombre d'adresses de celte ville. Celui qui veut en noter est prié de s'adresser f" sous F 1413 l'Office de Munich Allemagne.) Nul remède n'est comparable ces Pilule» pour la guérison de tous désordres du foie et de l'estomac elles purifient le sang et exercent une influence des plus salutaires Bur l'action organique du cœur et sur les affections des reins. La débilité mentale et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesso ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le système entier reprend de la vigueur sous l'action la fois calmant* et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlée car elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot, rendent au corps humain toute sa santé et aa vigueur. Leurs propriétés curativés sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles Agées, quel que soit le sexe, et dans toutes les périodes de la vie, dès le berceau même, elles détruisent les germes de ce# maladies qui sapent les fondements de l'existence humaine. La science médicale n'a encoro produit aucun spécifique égal celui-ci. Il assure la guérison des maladie# de la peau et de toutes espèces d'ulcérations. Sous l'influence de ses propriété» balsamiques, les anciennes blessures, les plaies, les tumeurs, les cancers, les maux de jambes, et ceux des seins disparaissent. C'est également un remède infaillible contre la teigne, les maux scrofuleux, les pustules, et toutes affections du même genre. En cas de rhume, toux, bronchite, asthmes, palpitations, congestion du foie, indigestion, goutte, et rhumatismes, on trouve un prompt soulagement par la friction fréquente et soutenue de cette excellente préparation sur les parties du corps affectées. Prendre le* Pilule* comme indiqué dan* les instruction* que accompagnent chaque balte. Se vendent chex les Pharmaciens 1 fr. 60 c., 3 fr. 76 c., et 6 fr. le Pot ou la Boite. Pour la vente en gros, s'adresser chez le propriétaire, le Professeur Holloway, 633, Oxford Street, Londres. DÉPOSÉS. si QC-- -S O a s j - - I s Mb W çj SJ sa sa 3 «- 9 V "S o* =-i SI •3 3 S? J- - a* V 3 V - l~Co£-P3W3 V s -2- w 3 c en SjgS 5 B ■- s u'o"3"o S- - 2 2 S -'3 2- V 9 g - -3 2 S -3 -jT.oc v 'S 2 3 j TZ O - h - a. S -a s S V -3 - ■a Se i ai S 3 3-fi g l ce =3 g "C 2 a Xi oi-j "Z u 3 3 ;o - - se w fl S j-3 k a S -2 »'-®SïaSi,E -Q 3 Î.H S 2 2 -3 .- S o .'■s J -i s Ta 5 i S - -o 3 2 S S -y 'S 2 - "9 •- c- a l'I'f S Il a -a S 3J O up a 3 'S C - M a w .j S .5 «r s 1 S o x triz S eu a c a Z - -c a .3 n -a; Z cj y V QD O a S g -S* a* J *5 a - c- s u 3 f, 'C v fl Sri *2 bc o-a C i o -S u "9 -5 J- 1 a - ■a -à 5 si u s". Cft U U S ce V) O 9} Ki c J V c. ttî - e'Sk" fM X C eu t en en j CU H J E-| J O O o W o H *1 S g!i£§ t> o le '9i S -ï S îi - S ~e on a 2 S W 2 3è -C - 5 -C X jj 3 S l 5 a - *3. - S-a C ^4) Jy a s o «- -os s a "3 w «0 o v v tr« a Sf| |:i c d. 5 J: a as.»® 3 2" - S 3 o o v =u oS 4» -s S 3 i '3 «2 a Î5 •2iaï - c o I S a U w .B? S "3 "S 1 s 3 v o-i o 3 - x 3 - u 9 7 es o 3J -- .55 - t— J o *3 13 U T o - - a S 9 - - o -- a. c .Z N I â.-2 s 1 S s S s a a-» 2 - S HP J. - t- ai O K cc a 23 S, o -a 1 «Z- T -tS "a. v &rO -H i 3 H m C z o sû w s S J oT '3-^; •"09-52 - 3 I a -t* 2° w 5 si s i"2 3 1 5f» - tac x S g W J a.^r 2-w sf^S, g.2 - 7es S Si (5*1 3 2 i£ i o a" cn -p eâ cw V u -3 2 3.; J. - - O T»i a •T.s.j's'ïî 00 'S 3 1 7 6 8 >,3 I 9 a* U a •5 S T3 o - 38 2 I 2 iJ s - v X) CJ -3 5 H Jîî= 2 j -9 S 9 D S cc -a •S i"5 io O 3j 3 u r* - 3 "H» o <-» C 3-6J 9 2 I u. x Z 3 W 3 V S V .2 3 en CS H i -2 r z -3 S) W J? 3 - a 3 «5 I W 1 co es AP Z a» u. "9 9 - tc_3 o\0 loïàij; M? '3"<s 9» en en. o op H a= 9 t 3 3 9 -3' N f 5 -î r-1 J 2fi '5 S .i îp 0" 3- f= a u T3 O 3 =C 3- X x re 3 =5 fl 3 3 lil-i .iO u 3 IO 3 U .in us •c a. 5 -2 ea y 2 -9 u i - Y. 3 a 1 a .s u. - a 3.2 5 - tà>o!a ï|x 'i to u a U S 3J - -= a» -op 9 s - - 1 C= o - »v v g<=3a-â.E a 5 J. •- - îa a. fk&j 1 e - ft- v S r - ■a .it ri J5 nn I §1 v s K s M a M «S sïi 3 ■s) m o-9 •J p "Cl - "3 9 OP •Il 3 2 sjj H 1 21^1 c - -r 2 r U- -r1 en 1/ A» B«'3S a a o 3 w /J W - U -i 03 S» --aI I 'I 5 t «t w cr op c xi a -D r. JZ i - s g -§ s0 - O S L <=9 03 ---S •- 11 s 1: >0^ Ai O C/3 *3^~ Q 3- 0 C/3 M L-sJ Ul or n Z C/3 C3 OC J LU al LU LJ o: kà«9 m UJ -3 a tz i 1 mM C-3 5 W~ 1 5 i 1 QC m UU C/3 CJ LU UJ Q C/3 s 1 ■V*"— S s C/3 C/3 3 U pz CL C/3 UJ C/3 H— LU Z 1 wmmi C_D LU C/3 C/3 C/j LU I» LA* C/3 LU m

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 4