l\lLUTi:.
BOOME
LA FERME D'ÉPOURDON
RECHTSMACHT-
EMPRUNT D'ANVERS.
Notarié €APELLE,
VAN 72 KOOPEN
ial de première
jmerciale-
aété
ÉTUDE
A LOUER, APRÈS LA RÉCOLTE DE 1875,
Lannoy, Notaire,
COMINES.
VAN S KOMNGS WEGE.
5° Enseignement agricole et distribution de livres
agricoles aux écoles.
6" Arrêter le programme d'un nouveau concours qui
aura lieu en 1875, en faveur des meilleurs rapports,
mémoires ou notices sur des questions qui intéressent
l'agriculture.
Sommaire de. ^'illustration européenne, 4e
année, n" 50. 24 Octobre 1874.
Gravures Le Château de Modave. (Bords du
Hoyoux.) Devant l'archange Michel. Newton dé
couvrant lus lois delà lumière. Huitième épisode de
Petrus et .Matiiias.
Texte Nos gravures. Chronique de Partout.
Les appartements et les ameublements sous Louis XV.
Mon rustique presbytère, épitre M. L. Les trois
filles de Grétry. Petrus et Malhius, ou la gilde et la
commune an moyen-âge. (Suite.)
C'i'at-civii, u'Yi-uks (lu 18 Octobre au "24 inclus.
Naissances. Sexe masculin 9, idem féminin 10,
total 19.
Mariages. Bruynsteen Charles cordonnier et
DebreuClémence, domestique.
Décès. Hollebeke, Charlotte, G8 ans, sans profes
sion Marché au Buis. Berlen Virginie 67 ans
couturière épouse de Célcstfn Pannclier rue de la
Bouche. VergraclitJulien, 14 ans, Grand'Place.
Vandenpeereboom, Félix, 60 ans, propriémire. époux
de Céeilc Lccocq, rue d'Elverdinglie. Van Gillewe,
Philippe, 74 ans, sans profession, veuf de Reine Leroy,
Zaalltof.
Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin tidem
féminin 0, total 1.
marché n'yi-iiiom.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des
grainsfourrages et autres produits agricolesvendus
le 24 Octobre 1874.
NATURE
des
g ii ains et dénuées.
quantités
vendues.
kilogrammes.
pftix moyen
par
cent kilogrammes.
poids m"
d.
i'hestoiiite
Froment
99,900
fr. 24 75
80
6,900
19 87
73
Avoine
800
24 50
44
100
25 50
80
FéVéroles.
1,000
26 50
80
Pornmesde terre.
1,400
6 00
350 00
Machines coudre broder et tricoter. Aiosi que tous
ceux qui ont visité l'Exposition des arts industriels nous avons
été surpris d'y lencontrer oette immense pyramide formée uni
quement de machines coudre et nous nous sommes demanié
si cette exhibition d'aspect originalnous en convenons
rentrait bien dans les conditions du règlement.
L'autre jour, nous finies part de nos appréheusions un mem
bre de'la commission, et sans répondre directement nos ques
tions il nous dit Ne traitez donc pas avec autant de dédain les
machines coudre et avant de les juger allez voir là où on les
fabrique et vous verrez une industrie des plus intéressantes
éminemment belge et qui ce titre tout au moins avait lu
droit d'être représentée l'Exposition.
Profitant d'une annonce que nous avons lue dans VÉtoile,
nous uous sommes rendu l'invitation qui nous était faite, - et
nous n'éprouvons aucun scrupule le reconnaître, uous avons
été surpris, étonné nous ne nous doutions pas de l'existenoe,
Bruxellesd'une fabrique aussi importante que celle de M.
Petit.
Pendant longtemps les États-Unis ont eu le monopole pour
les machines coudre des manufactures s'y sont établies sur
uue graude échelle, m nia' M. Petitqui a introduit la machine
coudre américaine en Belgique et qui peut s'appeler le fon
dateur de cette fabrioation a bientôt compris qu'un établisse
ment de ce genre aurait ou succès-certain d'abord parce que
la uiaiu-d'œuvre est beaucoup moins élevée qu'en Amérique et
ensuite, lorsqu'il vient manquer quelque chose une machine,
il faut un atelier convenablement moulé et outillé pour faire
rapidement les réparations et daus de bonnes conditions.
M. Petit, ayant commencé modesleuien t, est aujourd'hui la
têre d'une fabrique qui peut rivaliser avec la plus import -nte des
États-Unis File est située près de la gare de Nord, rue des.
Croisades. Derrière uue maison d'appareuce modeste s'élèvent^
trois vastes corps de bâtiment cinq étages chacuu, renfermant
un ou il!âge di s plus peifectiouués Tout se fait dans la manu
facture de M Petit le fer la foute l'acier et le bois y entrent
l'état brut et en sortent l'étal de ces admirables machines
que l'on voit et que l'on admire aux Halles et qui sont aujour
d'hui recherchées sur tous les marchés du monde.
Rien de plus intéressant que de voir les nombreuses .opéra
tions que subissent les diverses pièces constituant une machine
coudre pièces exécutées par un outillage aussi considérable
qu'ingénieusement organisé.
Les machines broder sont appelées faire surgir de nouvel
les industries bien lucratives.
Les métiers tricoter affranchissent les fabricants de bonue-
terie de Uuze f4K)ûruai et* Pcruwelz de la dépendance de la
France et de l'Angleterre, et fis ne se sont plus gênés pour les
réparations. Ils auront le fabricant sous 11! main.
ON SOUSCRIT SANS FRAIS
chez M. A. VONCK CLEMENT, a YPRES.
Pilules d1 l/olloway. La Mortalité provenant de Diarrée,
et de maladies d'intestius est aujourd'hui alarmante un haut
degré.' Les fameuses Pilules Hollovay prises par doses appros
priées guérissent ces maladies aiusi que l'attesteut des millier-
de personnes dont l'existence a été sauvée au moyeu de cet
excelle nt remède. Oue le relâchement soit causé par une sup
pression de transpiration, uu froid subit, uu aliment indigeste
ou des fruits acides, ces Pilules offrent un antidote efficace; elles
feront disparaître l'irritation des intestins, calmeront les trans
citées, feront oesser les llatuosités désagréables et détruiront les
germes mêmes de maladie. Les Pilules d'Holloway, autant que
possible, devront être prises au début des désordres, car ellel
procureront un adoucissement immédiat et empêcheront sa
diarrhée de se couvertir en dissenlerie ou choléra. 17.
En vente: Pilules et Onguent, ohez Favsou-VàK Outrwb, tue
de Dixmude, 55, Ypres.
K ANTOOft
van den
te Watou.
Op IUaaudag 2° November 181
zijnrie Allerzielendag, om 1 ure namidd,
te Rousbrugge-IIauinghe, Ooslhoek, ter il
stede gobruikl door sieur Bttlaye-Debrel
na Portier,. 9
EXTRA SCHOONE KOOPDAI
Aïs Fiken, lepeii, Hollan
de rs eux. waarondei
vele van 3 metera U
3 clvconfcrencle ei
«en Eschvau 10"hoo:
é7J°,dH
commune de Berlaucourt canton de La Fèrc arron
dissement de Laon (Aisne).
Les terres d'un seul tenantsont d'une contenanc#
de 168 hectares. Elles sout contigues la Fabrique
de sucre de Mont-Rouge.
On pourrait traiter de suite avec le fermier sortant
pour l'époque d'culrée en jouissance.
S'adresser M" Goupil, Notaire Paris, Quai
Voltaire, n° 23 et M'° Blot Notaire La Fère.
çm M TÉ A TflIlC ren^l,e sans médecine, sans purges et
OAll I t A I UUO sans frais, par la délicieuse farine de
Santé de Du Bariy de Loudres, dite
REVAXETrA YRVIÎLCV.
Vingt-six ans d'invariable succès.
Elle combat avee succès les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites,gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pituites,
"nausées^* reuvois, vomissements, même en grossesse, constipa
tion, diarrhée, dyssenlerie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étoiiffemfeuL», étourdissements, oppression, congeslion, névrose,,
insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuiseraeut, anémie,
chlorose, tÔus désordres de la poitrine, gorge, haleine, voies de«
bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et
saug. 75,000 cures, y compris celles de Madame la Duchesse
de Casffestuart, le duc de Pluskow, Madame la marquise de.^
Bréhau, Lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, etc., etc.
Dyspepsie M. J.-J. Noël, de Thuillies (Haiuaût), de vingt
années de dspepsie. Dartres M. Gr. Vous, de Liège, aban
donné par les médecins qui déclaraient qu'à son âge (55 ans,
toute guérisou était impossible. été totalement guéri des dar
tres pai l'usage de la Revaleuta,
N® 49,842 Mra0 Marie Joly, de cinquante ans de oonstipation,
indigestion, nervosité, insomnies, asthme, toux, flatus, spasmes
et nausées. N® 46,270 s M. Ruberts, d'une consomption pul
monaire, avec toux, vomissements, constipatîou et surdité de 25
années.-* N* 46,210: M.- le docteur-médecin Martin, d'une
gastralgie et irritation d'estomac qui le faisait vomir 15 18 fois
par jour pendant huit ans. N° 46,218 le colonel Watson, de
la goutte, névralgie et constipation opiniâtre. N° 18,744
docteur-médecin Shorland, d'une hydropisie et constipation.
NJ 49,522 M. Raldwiu, de l'épuisement le plus complet, para
lysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeuuesse.
Cure N° 62,913. Valgorge (Ardèehe), 19 octobre 1863. La
Revalenta est un remède que j'appellerai presque d/vin. El le a
fait un'bien immense uotre bonne sœur Julie, atteinte depuis
quatre ans d'uue névralgie la têie, qui la faisait souffrir cruel
lement et ne luiv laissait presque aucun repos. Grâce votre
péciûqne, elle est aujourd'hui guérie. Monassier, enré.
Plus nourrissante que la viande, elle éoouoaiise enoore 50 foi,
son prix eu médeciues. En boîtes 1|4 kil., 2 fr. 25 1/2 kil.,
4 fr. 1 kil., 7 fr. 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Revalenta,
en boîtes de 4, 7 et 16 francs. La Revalenta chocolatéeen
boîtes de 2 fr. 25 c. de 576 tasses, 60 fr. Euvoi contre bon de
poste, les boîtes de 32 et 60 fr. franco. Dépôt ohez MM. C.
Dkcowe, pharm., rue du Verger; H. FRrson, pharrn., rue de
Dixmude, Yprrs. Du Barry et C°. 19, Boulevard du
Nor®, Bruxelles.
M
Lundi, 16 Novembre 1874 midi
précis, daos les vergers de la fcrme-caharél
QC@©[P®^©
b1j
Op Zondag, 35° Oclober 1874, om
8 1/2 ure 's morgens, zal er 1er hofslede
hewoond door sieur Ebanci» Thibaut, land-
bouwer, wonende le Westoutbe, overge-
gaan worden lot de opeuhare vciliug, met
den gereeden gelde en zonder verhoog,
Bascul met Gcwigten, cen groote
id Hoppe, Zolder wagen, Stoof
Aalkartcel, 32 Buizcn, 5
Kar, Woèg, pom-
nassuren, 2
ilogram-
sca,