tut elles <livev*4CS. i C'est Y Echo du Luxembourg qui nous fait con naître ces curieux détails. Il faut avouer que le gouvernement pousse jus qu'aux dernières limites du ridicule son exclusi visme et son aversion pour les libéraux. Après avoir placé la tête du tribunal de Mali- nes un ancien fabricant de fécules de pommes de terre, en arriver recruter le personnel de la jus- ticMfcarmi les cochers de vigilante c'est tomber daii^a caricature et faire du gouvernement une chargé digne du crayon de Cham. Le Bien publie prétend que le ministre de l'inté rieur, d'accord avec le ministre de la guerre est dans l'intention d'imposer chaque mairie de France une carte du département en reliefqui serait publiquement exposée, sur laquelle tous les chemins et les moindres sinuosités de terrain seraient exactement relevés. Les annexes des départements voisins seraient également indiquées aux extrémités de la carte, de manière pouvoir tirer parti de toutes ces indications dans un cas quelconque. Un empoisonnement par le sel d'oseille. On écrit de Toulouse 30 octobre Deux familles habitant ensemble Toulouse viennent d'être victimes d'une erreur déplorable. Ces deux familles sont composées des époux Fauré de la dame veuve Rivière, de deux jeunes gens et de deux petits garçons. La dame veuve Rivière belle-mère du sieur Fauré fit bouillir des châtaignes. Elle ne s'était pas aperçue qu'au lieu de verser du sel ordinaire dans la marmite c'était du sel d'oseille qu'elle avait fait servir inconsciemment cet usage. Les effets du poison ne tardèrent pas se faire sentir mais lorsqu'on a soupçonné et découvert la fatale erreur, il était déjà trop tard. Sur sept qu'ils étaient, quatre, les plus jeunes, ont triomphé du mal. Quant la dame veuve Rivière âgée de 75 ans elle a succombé hier 9 heures du matin suivie le soir même, 11 heures, par son gendre, le sieur Fauré, âgé de 50 ans, ancien militaire. L'épouse de ce dernier, qu'ôifcft)ylBfr#afc#rd mortellement atteinte s'est peu peu remise et aujourd'hui, grâce aux soins dont elle a été entou rée, elle est hors de tout danger. A propos d'une histoire de vicaire accusé d'avoir enlevé une jeune fille de seize ans, le Bien publie laisse échapper cette imprudente réflexion Il y a mille parier Contre un que voici encore une de ces méchantes inventions, »'etc. Mille contre un Le Bien Public admet donc que sur mille vicaires il y a au moins un capable d'enlever les petites filles t Notre pieux confrère ne nous avait pas habitués de pareilles concessions. [Gazette.) Sommaire de /'illustration européenne, 4" annéen" 52. 7 Novembre 1874. Gravures Une jeuç^ fille de l'Herzégoyine. Dans le parc. L'habitant de la Nouvelle-Zélande sur les ruines de Londres. Dixième épisode de Petrus et Matbias. Texte Nos gravures. Chronique de Partout. Le Brigand Jéna et l'avocat Liégeois. Aventure de J voyage. Les repas. Leur nombre quand ils doivent t avoir lien intervalle qui doit les séparer. L'âge des x Femmes. L'aigle et les tourterelles. Petrus et Mathias, ou la Gilde et la Commune au moyen-âge. L (F'iLi jiderjecbt a jpjs arrière ces jours cotres bœufs et e Curcghem ^le la maladie Un «gjjnt usi^flpé ce S. caution de semer de l'acide plié nique ^t du chlore sur le parcours, afin de prévenir toute propagation conta gieuse. Une srène affligeante a ému jeudi les magistrats e» toutes les personnes qui se trouvaient au Palais de Justice Paris. Un magistrat s'estau milieu d'une séance mis se lever et agiter les bras en chantant cl grimaçant Il venait d'être frappé d'un accès d'a liénation mentale. On juge de l'effet que produisit dans la salle cette scène incroyable. Le président s'em pressa de déclarer la séance levée, et d'emmener l'in fortuné magistrat qui continuait toujours grimacer et chanter. On a appelé au plus vite un médecin pour lui donner des sbins. Où vont les diamants?. Où iront ceux de la reine d'Espagne Isabelle de Bourbon s Il paraît que décidément ils vont être mis aux en- cl'èi es Londres dans quelques jours. Ils ont déjà été expédiés «u commissaire-priseur qui va les ij's- perser entre les plus offrants et derniers enchéris seurs. Il y en a pour douze millions. État-ci vu, u'Ypkks du 1r Novembre au 7 inclus Naissançes. Sexe masculin 1 "2, idein féminin fi total I8.; Mariages. Verdoene, Emile, tailleur, et Develtere Léonic, dentellière. DecheiverVictor, fondeur de fer et Dehollandert Julie, dentellière. Alarrecau Julien, scieur, et CremerMarie, dentellière. Bvele Henri commis de commerce et Vanftaclewyn Flo rence, sans profession. Décès. Dehollander Ferdinand 75 ans sans profession, époux de Colette Vaudanime, rue de Mciiin, Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin I, idem féminin 1total 2. il! aftf'hk i^Vphes. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grainsfourrages et autres produits agricolesvendus le 7 Novembre 1874. NATURE DKS GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS vksduks. kilogrammes. PRIX MOTEN pis cent kilogrammes. POIDS M" dk î'becioîilre froment 41,000 fr. 24 50 KO 7,700 20 25 75 Avoine 1,000 25 50 44 Pois 600 25 75 80 Féverolex.*. 1,100 24 50 80 Pommes de terre. 1,200 6 25 Beurre a 540 00 ENFIN L'HOMME INFAILLIBLE EST ARRIVE ou, le progrès de la medecine. Ce fût avec une fierté et une satisfaction peu communes que nous eûmes, dernièrement l'honneur d'être introduits auprès d'un des hommes les plus renommés du temps,Professeur Thomas ttolloway, qui a fait plus pour le progrès des sciences médicales que tous ceux qu*on peut nommer, sans excepter les «savants» éminents têls que A bercrombie, Rush, Clark., ou Majendie. Il nous fit remarquer combien la majeure partie de la médecine de l'époque actuelle si vantée était empirique, et combien, en réa lité, on connaissait peu les Lois delà Physiologie. Poursuivant ses investigations, une heureuse idée le frappa comme une inspi ration, et il localisa le siège de chaque maladie —quels que soient sa nature et son diagnostic dans le sang. Il est d'avis, d'accord avec les plus célèbres pathologistes que le sang possède vitalité, épuisé, amaigri et affligé de maladies de différentes espèces Purifier le sang et.le tenir pur, c'est virtuellemW chasser la maladie de la terre. Ainsi et alors il y a de JîAMB: pour celui qui souffre. Le pauvre invalide qui désespèj^^^^K^guérison, peut rentrer dans le monde, en homm o fra'" tement d'Hollovray extirpe tous de l'es- P.D3flSyyou de la peau, il reporte leur origine au sang et ramène l'org*nL>évidem« ment maladfcàsa première et parfaite santé. Connaissait cela, comme no^ple connaissons d'après l'expérience de n^s amis aussi bien que d'après notre propre expérienoe, nous renplissons vis-à-vis du public un devoir Samaritain, en recommandajut cor dialement les Pilules, et l'Onguent Holloway les premières pour les dérangements internes du système, le second pour applications externes sur les blessures et maux qui ont résistés tout autre^Soit-disant remède. Quand un patient est languissant semaines et mois sans éprouver le moindre bénéfice de la science du inédecinifl111?^110613^ tenu en suspens, comme cela arrive e pénible et sans joie qui doit se terminer dans ps vraiment fcourt, nous pensods sincèrement comble de la folie, ;*>u pis, de l'empêcher par 'avoir recours un remède celui-ci, pas de bien, ne J?eut auoui titre lui/faire iliers de personne» se sont abstenues deen- que par préjugé, et cpmbieu ouV*sti ces insérée^B^n5Tesj°un,aux ue, dans 1'espççe croirç que 1< uientj été. avec une un espa que ce simple qui, s'il ON SOUSCRIT DÈS CE JOUR k Vliiilicaleiir Général Illustré se l'industrie et du commerce relues 1875, Psrnisssnt courant du mois de mai de chaque année. Ouvrage approuvé par lé Gouvernement. Cet ouvrage est distribué gratuitement dans les prin cipaux établissements de In Belgique et des grandes villes de l'étranger Cafés cercles sociétés bétels restaurants, et sur les bateaux vapeur. Le prix de la page est de 80 francs la demi-page 50 francs le quart de page, 55 francs le huitième de page, 120 francs. La souscription est faite pour deux ans mai 1875 mai 1877), et n'est payable chaque année qu'après publication de l'ouvrage (mai 1875 et tuai 1876). Tout souscripteur d'une page a droit au volume relié avec luxe. Ceux d'une demi-page, au volume broché et ceux d'un quart et d'un huitième de page recevront I» forme dans laquelle ils se trouvent et le nom des établissements de leur ville où est déposé VIndicateur général. Ecrire franco MM. Lechein et Picard éditeurs et agents de publicilé, 41, rue d'Edimbourg, Bruxelles. MUSIQUE NOUVELLE. Nous ne nOus étions pas trompé en prédisant aux œuvres nouvelles de Jules Klein Patte de Velours! valse, et Soupir et Baiser mélodie ilélicieusc de sun- pliciic, ui| succès sans précédent. En effet, ces inspira tions lourà tour brillantes et rêveuses, sont accueillies dans les salons et dans les concerts avec un véritable enthousiasme, ainsi que tout le répertoire de l'émnicnt maestro Fraises au Champagne Lèvres de Feu valses, Cœur d'Artichaut i l'eau de Salin, polkas. N'oublions pas d'ajouter que les valses l'azza d A- more et Fraises au Champagne ont paru admiiablc- ment arrangées pour le chant. On reçoit franco les œuvres de Jules Klein, en en voyant pourcliacune d'elles 12 Ir. 50 c. en timbres-poste 4 mains 5 fr. I fr. 70 c. pour la mélodie) a Dkliége, magasin de musique, 94, rue de I» Montagne, Bruxelles. Pilules d'1/ollaway.— Pas d'Excuse. Lorsque des railleur de personnes certifient volontairement que Celle médecine les A débarrassées d'effrayantes maladies qui «uuiaient leur sauté „oi menaçaient leur existence, il n'y aucune excuse pour |es pali.-lits qui se refusent en essayer. Les Pilules d'HolloW ay sont particulièrement destinées remédier toutes les défec tuosités du cerveau, des poumons, du coeur, de l'estomac, 'le foie, de la région des reius et des intestius. Ces admirables Pilules produisent un effet fortifiant et eonstringeut sur la fibre animal.-, aiguisent l'appétit, améliorent la digestion, donueut de la vigueur aux Deifs, règlent l'ao^ça du fois, des poumons du cœur et engendrent la bonne humeur. Iles avantages aussi éteudus n'ont jamais jusqu'ici été oouuus comme découlaut d'une seule source, mais le Professeur Holloway prie l'iuval ide, qnelqii'affligé qu'ii soit, de consentir un essai et déjuger par loi ruéme. 15. Eu rente: Pilules et (htyuent, oliee Farsou-V Ou rat va, 1 ue de Pixniude, 35. Ypres. CIMTC A TI1IIC rcndne sans médecine, sans purges et oAN I t A I UUO sans frais, par la délicieuse farine de Santé de Du Barry de Londres, dite REVALENTA ARABICA. Vingt-six ans d'invariable succès. Elle combat avec succès les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, même en grossesse, constipa, lion, diarrhée, dyssente.-ie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdisseoients, oppression, congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisemeut, anémie, chlorose, tous désordres de la poitring, gorge, haleiue, voies des bronches, vessie, foie, reins, intestins, moqueuse, cerveau et sang. 75,000 cures, y compris oelles de Madàuie la Duchesse de Casilestiiart, le duc de Pltiskow, Madame la marquise de. Bréhan, Lord Stuart de Deoies, pair d'Angleterre, etc., etc. Lfssine,. 21 décembre 18G5. On dit ici beaucoup de bieu de votre Revalenta; elle a déjà opéré, quatie guérisons, van de putte. Toux, asthme M. p.-j. Imbrechts de Longueville, Nivelles, a été guéri d'une toux dont il souffrait depuis un quatre autre spersonues, sur ses conseils, ont essayé la Revalenal et se sont guéries. Cure N° 65,511. Vervant, le 28 mars 1866. Monsieur, Dieu soit béni votre Revalenta m a sauvé la vie. Mon tempérament faible était ruiné par suite d'une horrible dyspepsie de huit ans traitée sans résultai favorable par les médecins, qui déclaraient que je n'avais plus que quelques mois vivre quand l'éminenle vertu de votre R^valeiiia m'a rendu J la santé. A. Bronelièrb curé. Cure N° 45 270 Phthisib.-* Roberta, d'une consoraptio pulmonaire avec toux, vomissements, constipation et surdité 25 années. Cure N° 74,442. Counnes, Vence (Alpes-Maritimes}, juillet! 1871. Depuis que je fais usage de votre bienfaisante Reva- leuta, je ressens une nouvelle vigueur, la laryngite dont je souffre depuis deux ans fend disparaître avec le malaise que j'éprouvais dans mes membres. •le vous en exprime toute ma reconnaissance. Cure N° 68,415. M. Lacan père, de 7 ans de Paralysie bras et de la langue. r Plus nourrissante que la viande, elle économise encore! son prix en médecines. En boîtes 1|4 kil., 2 fr. 25 lj 4 fr. 1 kil 7 fr. t 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de lé gu boîtes de 4, 7 et 1 fi francs. La Revalenta chnc\ >îtes de 2 fr. 25 c. de 576 tasses, 60 fr. Euvoi t Dste, les boîtes de 52 et 60 fr .franco. Dépôt 'îbcuwe, phaim., rue du Vergtlr H. Fp^^on, plu hDixmude, a Y près. Du Dau^t et C». ij^, Bouj bauxelî1 i >11s, van dk J-a eville, gfè* JF uis un an

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3