Nouvelles «Ilverses. -- revaeenta arabica. traitements, et pour la rendre permanente, il fau dra porter au budget des crédits cette fin qui seront demandés, nous dit-on, prochainement la Chambre. A l'heure qu'il est, nous apprenons qu'il manque encore pour compléter les cadres d'officiers 150 lieutenants d'infanterie, 100 id. d'artillerie et 40 id. du génie. Il^^question de supprimer les droits de navi gation perçus sur les canaux et les fleuves en France. Ces droits qui ne procurent d'ailleurs que de faibles produits sont pour la navigation fluviale une charge sensible. Du reste la suppression des droits de naviga tion, comme l'abaissement des tarifs de chemins de fer, en un mot, comme tout ce qui peut tendre la réduction des prix de revient, des frais géné raux de l'industrie française, n'est que le complé ment obligé et indispensable du régime de liberté commerciale que la France a définitivement ac cepté et auquel elle s'attache de plus en plus. Sur cette question comme sur beaucoup d'au tres la Belgique se laisse donner des leçons par les autres nations malgré les réclamations réité rées de nos Chambres de commerce. On écritde Louvain quedimanche, à8 h. du soir par un fort brouillard et une distance" de 300 mètres du chemin niveau de Kesselloo près de Louvain, le train de voyageurs venant de Bruxelles a été pris en flanc par le train arrivant de Ma- lines. M. Pierre de Louvain vicaire aux Riches- Claires Bruxelles a sauté de la voiture dans laquelle il se trouvait et a fait une chute si mal heureuse qu'il a eu la tête écrasée. Il est mort instantanément. Plusieurs personnes,ont été blessées ou contu sionnées. Quatre ou cinq voitures du train tam ponné ont été pulvérisées. Tous les signaux avaient été régulièrement faits et les gardes excentriques étaient leur poste. Aussitôt l'alarme donnéele personnel de la station s'est rendu sur les lieux onze heures la route était déblayée et le service des trains n'a presque pas subi d'interruption. MM. Henot et Vandenhoven, substituts du pro cureur du roise sont rendus sur les lieux et ont fait une première enquête. Programme des morceaux qui seront exécutés le 12 Novembre 1874, 7,'/, heures, la.Société de la Concorde, par la musique du lr régiment de ligne, sous la direction de M. "Ch. Si'mar. t. Obéron, ouverture. (Weber.) 2. Thème et variations pour clarinette. (Brepsant.) 3. Nini, valse n* 3. - (Julien Siniar:) 4. L'Africaine, fantaisie. (arr. Ch. Simar.) 5.j^aristocrate^iolk^ionr piston. (Arhan.) On écrit de Tournai Un avis anorfyme avait prévenu les douaniers que certain charretier passait chaque jour impunément du tabac leur nez et leur barbe. Le lendemain, ils virent arriver notre homme, conduisant sa charrette ordinaire elle était chargée de briques rouges et attelée de deux forts chevaux. N'ayant qu'une confiance très-restreinte dans le ren seignement anonyme, les agents ont voulu d'abord questionner le délinquant «pour voir quelle serait sa contenance. Où sont les cigares que vous portez lui a demandé l'un d'eux brûle-pourpoint. ent, des cigares a fait le charretier un je, n^n-ai point. ifVous pouvez Dans la charrette, oui; mais est-ce qu'il n'y en aurait pas ailleurs Dans les colliers de vos chevaux, par exemple Le charretier essayé de rire bruyamment, mais son trouble n'a pas échappé aux employé». Sûr désor mais de leur fait, ils ont éventré les colliers de che vaux ils étaient rembourrés de cigares Ne pouvant plus nier, le charrcticraloutdit.il recevait vingt francs par chaque voyage. Avec lui, on va tenir toute une bande de fraudeurs. Une vengeance. B... s'est trouvé floué dans un buffet de chemin de fer où un déjeùner servi part pour lui et... une jeune dame, ne lui a pas coûté moins de 219 francs. Depuis ce jour, B... prend le train une fois par semaine. A peine les voyageurs sont-ils entrés dans I» salle du restaurant et avant qu'on ait eu le temps dé les servir B... se coiffe d'une casquette galon doré et cric de toutes ses forces Messieurs les voyageurs, en voiture Tout le monde se précipite et le restaurateur perd une recette. On nous assure que le tribunal de commerce de Bruxelles sera bientôt saisi d'un singulier procès, ap pelé faire sensation dans le monde judiciaire et dans le monde artistique. Voici le cas Samedi soir on jouait Faust au théâtre royal de la Monnaie. Il y avait dans une loge un quatuor d'étrangers, deux dames «'t deux messieurs des Anglais dit-on munis de tout ce qu'il fautselon les traditions du Haendel-Festivalpour écouter un oratorio ou un opéra livret traduction du livret et partition sans parler du poëine de Goethe consulter dans les en- Ir'actes. Pendant que les deux messieurs se partageaient le livret, les deux dames suivaient la musique sur la par tition. A la fin de l'acte du jardin, elles constatent que l'oreheslre de sou autorité privée coupe les douze dernières mesures de la phrase symphonique qui ter mine la scène de la fenêtre dont elle est le complé ment et le commentaire. Grand émoi dans la loge insulaire. Les dames trou vent le procédé slioclcing et leurs cavaliers ne font ni une ni deux ils courent chez un huissier et lui font rédiger séance tenante un exploit assignant le direc teur du théâtre en restitution du prix de la loge. Ces messieurs veulent en avoir pour leur Brgcnt. Ils sont allés la Monnaie pour entendre le Faust de Gounod et non un arrangement plus ou moins arbi traire de cet opéra. Quand les Anglais s'y mettent on sait qu'ils sont d'une susceptibilité très-châtouilleuse et pointilleuse. Rien de raide comme un Anglaisa cheval sur son droit. Enfin ceux-ci se considèrent cominc volés. S'ils ne ré clament pas de dommages-intérêts c'est par pure condescendance, mais quant la restitution du prix de la loge ils y tiennent d'autant plus que la coupure contre laquelle ils protestent leur parait absolument inexplicable. Si nous sommes bien informés, le directeur du thé âtre de la Monnaie, sans décliner la responsabilité qui lui incombe de ce chef, se propose d'exercer son re cours contre celui de l'orchestre. Nous tiendrons nos lecteurs au courant des suites de cette curieuse affaire. L'affaire est arrangée. Le procès n'aura pas lieu. Nous voulons parler du procès intenté théâtre de la Monnaie par des Anglais qui se plaigndHt d'une coupure faite au Faust de Gounod samcdâBernier. On nous assure que le directeur s'est dé^^B prêt faire droit la réclamation mais dans^^^Kiditions équitables. La restitution du prix de Ia I gérée il aurait offert de rembduô port ionnelle^ la coupure et in vit le compte ift mesures de la partit!1 ensuite, au rnoyen-d'une règle de tri .F- P M fa ts- •H o i "S. 'i'&S jps 50 "S «2 B - ■H S 2 P3 1 3 •W o "3 i -a 5 3 "3 z. ne S rs - |»"0 es M -= s g g.* 5 2 B 63 «53° S o w S S) "B -s «j t s? s o "3 *3 cz cn 3*5 00 .3 c tl leur revenait sur le prix de leur loge de quatre places pour les douze mesures arbitraircmcntsupprimées la fin du troisième acte. Devant cette proposition les Anglais ont reculé d'épouvante et retiré leur plainte. Tout est bien qui finit bien. Mais qu'on ne recom mence plus. M. CROMMELINCK, Traitement des maladies chro niques réputées incurablesdes Voies urinaires Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements vicia- tinn du sang affections cutanéesetc.). Auteur du Viiai Trésor de la santé ou Traité des maladies des voies urinaires, écrit par les gens du monde, 12° édit. 1 65 fig. Prix: 12 fr. chez l'auteur, BRUXELLES 18 rue Notrc-Dame-aux-Neigcs et chez M. Lambin, fii.s, rue au Beurre, Ypres. Consultations tous les jours, de 9 h. 1 h. Il ne reçoit ni les dimanches ni les jours de féte, moins de con vention spéciale préalable. N. B. Il est souverainement imprudent de confier sa santé un médecin que l'on ne connaît que par une annonce, alors surtout que toute annonce de l'es pèce est d'avance taxée de charlalanesque. Le docteur Crommelinr.k engage vivement quiconque se propose de le consulter lire d'abord son ouvrage. Il ose se flatter que nul ne regrettera de l'avoir lu. C'est mi ouvrage unique en son genre. Onguent et Pilules <f tlolloway. Aide Efficace. Dans les cours ennuyeux d'une maladie,il est agréable d'apprendre qu'il existe un remède certain et qu'un peut se le procure bas prix. Les Pilules d'Holloway août précieuses pour soulager les peinea diminuer les inflammations et rétablir la marche des fonctions dérangées. 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CureN» 56,212 M. le oaphaine Allen, d'épilepsie Cure N» 40,852. M010 Marie Joly, de 50 ans de constipation indigestion, nervosité, insomnies, asthme, toux, flatus, spasmes e Cnre N" 65 476. M. le curé Comparet, de dix-hui ans de Gastralgie, de souffrances de l'estomac, faiblesse desnerts, et sueurs nocturne». CureN» 47 422. Epuisement. M. Baldwiu, de délabrement ,!e plus complet, de paralysie des membres par suite d'excès de jeu liesse. Cure N» 76 448. Verdun. 16 janvier 187Î. Depuis 5 ans je souffrais de maux dans le côtédroitet dans le creux de l'estomac, de mauvaises d.«.estions, etc. Je n'hésite pas von, certifier que votre Reralenta m'a sauvé la vie. Esnkit Musicien au t»oc tle- liyne. Plus nourrissante que la viande, eUe économisé eooore Sfr foi. sou prix eu médecines. En Imites 114 kil-, 2 fr. 2o 1/- xil., 4 fr 1 kil 7 fr 12 kil., 60 fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3