M E N y ADJUDICATION LIEREN pouvaient plaireàde véritable» hommead'Etat. Le jour de son arrivée, il harangua le peu ple d'un ton qui effraya M. Plaisant chargé de la sûreté publique. Ce fonctionnaire se rendit au siège du gouvernement l'enten dre, de Potier allait s'installer au palais royal et être proclamé dictateur. Van de Weyer qui connaissait bien son ancien client ^dit M. Plaisant Avez-vous un appartement disponible chez vous Oui tout mon se cond. Retournez auprès de lui. Offrez-lui votre second. Il acceptera. I! n'y a pas de dictateur de second étage. Van de Weyer trouva toute sa vie de ces mots qui n'étaient pas seulement spirituels qui étaient des flè ches lancées par un rare bon sens. M. Laugel raconte que daos un de ses drrniers entretiens Londres avec le roi Léo- poldM. deTalleyrand avait dit ce dernier Sire, vous allez régner sur des populations dont les mains sont propres aux arts ainsi qu'au labourage puis il avait conseillé au Roi d'apparaître dans sa capitale sans uni forme. sans grosses épaulettes un frac, un simple habit noir annonceraient au peuple un nouveau Médecis de meilleure maison. Point d'armée, source d'impôts 4,000 ou 5,000 hommes de bonne police Le Roi, raconte Van de Weyer, regarda Talleyrand de son œil fin et profond il ne dit rien, et dès le lende main de son arrivée, il s'occupa des places fortes et de l'armée. Celte anecdote est d'autant plus carac téristique et plus intéressante noter, que M. Laugel, dans son aiticle, De fait aucune allusion aux régulations contenues dans les Mémoires de -wàlmerston, publiés par lord Dalling, et d'où il résulte'qhe Talleyrand, en faisant mine de caresser la Belgique n'avait d'autre préoccupation que de l'annexer adroi tement la France. On comprend qu'un écrivain français glisse très-légèrement sur ce terrain délicat et sa glissade est trop appa rente pour n'être point préméditée. Programme des morceaux qui seront exécutés le 26 Novembre 1874, 7 heures, la Société de la Concorde, par ta musique du lr régiment de ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. 1Le C^ïd, ouverture. [A, Thomas 2. Tyrol, chœur d'A. Thomas, transorit pour harmonie, far Ch. Simar. 3. Doux espoir mazurka. (L Booiie. 4. Bénédiction des poignards, [Meyerbeer.] 5. Riuieubranza, pot pourri, demandé. [arr. Se h roder.] nouvelles tlivcriit Pendant la nuit du 17 au 18 novembre 1874, un vol de 80 aunes de toile bleue, 3 couvertures)en laine et courte-pointe en coton bleu, a' été commis dans l'intérieur et au préjudice du couvent des Trappistes, Westvleteren. Ces objets se trouvaient dans une armoire fermée clef. Rien n'a été cassé ni fracturé, mais il est présumer que le voleur était muni de fausses clefs et en a fait usage. La valeur des objets volés se monte la somfoe de 225 francs. Ces jours derniers un commencement d'incendie a éclaté dans la brasserie de M. Meynne Nieuport. Grâce aux prompts secours, le feu a pu être bientôt éteint le dégât s'élève 3000.fr. Voici une petite affaire qui donne «ne jolie idée de la ma- nière dont se cou tract eut certains mariages eu Algérie. José et Pépita se préseutent devjtrtt M", ie/sômmaudaut supé rieur, remplissant les fonctions de juge paix. ^Josb (un bel échantillon, comme couleur', de bronze florentin, cheveux crépus, nez épaté) Mou commandant j^i'épousé Pé-?" pita pour 50 fi'ancs. Elle m'avaif prié d'aller, pardessus le mar ché lui chercher ses meubles Nemours. J'ai faille transport Aigene une laçon peretnpioire de demoetrer qu'orna sut violente transpiration.) Hier soir je suis allé.chez Pépita, elle m'a mis la porte. Pourtant je lui ai versé les 50 fr? convenus, M Le Comjëandakt. Eli bien Pépita qu'avez-votis répon dre PÉPIT4 (belle bru lier,, aux cheveux noirs un peu fatiguée... par le climatsans doute). C'est vrai mou commftuilant mais, que voulez-vous, il est trop laid. José (souriant avec incrédulité). Ah par exemple, elle est bien la première.*. M. Le Commandait Pépiia). Il faut lui rendre son argent. Pépita (d'un air dégagéy. Ça, je ne le peux pas pourquoi M Le Commandant. Eh Pépita. Je l'ai mangé. M Lr Commandant Mais i Pépita. S'il veut, je lui ferai un billet. José (haussant les épaules). Peu h i Pépita. Tu ne veux pas? Eh bien voici ce que je propose Je me suis mariée le mois passé avec Pépé, moyennant une truie. Quand elle fera des petits je lui en donnerai pour 50 francs. M le Commandant José. Acceptez-vous José. Il vaut mieux cela que rien. VIEILLES ERREURS. UNE NOUVELLE ET MEILLEURE PHILOSOPHIE. 4 Nous honorons l'homme qui ne craint pas de dénoncer les erreurs invétérées auxquelles le monde acquiesce tacitement depuis des siècles et qui défend une théorie nouvelle et plus vraie laquelle les esclaves des préjugés peuvent donner, le nom d'hérésie. Tel est Thomas Holloway, le médecin r< formateur de'notre temps. Son système de traitement lui est propre; il est basé sur de,nouveaux principe^, il .a été perfectionné par ses recherches, l'expérimentation et l'observation, il réussit au-delà de toute expression. Les résultais étonnants produits par ses Pilules dans tous les cas de maladies internes, sont de notoriété*/ publique dans^cette contrée et dans le monde entier. Nous avons éu souvent l'opportunité ^d'être témoins de la rapidité et perfec- tion avec lesquelles les affettious d'ulcères sout réduites ou plutôt extirpées par l'action'combinée de l'Onguent et des' Pilules. Ces deux grands spécifies semblent réciproquement s'aider dans la guérison de cette classe de maladies. Beaucoup de praticiens ont peur d entreprendre la guérison d'un mal de jambe ou d'un abçès profond de l^réduction d'une loupe oud'une tumeur. Quelque bounes que soient, excepté celles d'ilollonay toutes les méthodes de traitement de ces espèces de maladies* elles sont toutes superficielles, mais lui, les impute tout d'abord* l'état d'un sang vieié, et attaque le foison jeté dans la circula tion par les organes absorbants, sa source, l'estomac et le8 intestius. Pendant que Tes Pilules Agissent sur les organes et sur les fiuides quelles électent, il applique l'Onguent l'extérieur l'endroit où le mal est, placé et attaque l'inflammation et la décomposition externes a travers les pores. Ainsi l'ulcère, la plaie, l'abcès, la tumeur ou le cancer sont soumis une doubla attaque du dedans et du dehors. Pour se servir d'une expression militaire, ils sont complètement investis. L'écoulement dn poison de l'intérieur est coupé et le virus déjà en circulation dans les vaisseaux extérieurs est neutralisé. Cela fait, l'actiont morbide cesse, et la guérison est sûrement et définitivement accomplie. La philosophie sur laquelle sa pratique est basée est saiue,ses résultats sont toujours salutaires. m*rr A TfïllC ren^uc sans médçcine, ®a,ls purges et vAIiIl. A I U U sans frais, par la délicieuse farine de Santé de Du Barry de Loudres, dite REVALENTA ARABICA. Vingt-six ans d'iuva.iable succès. Elle combat avec succès, sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, veuts, aigreurs, acidi tés pituitesnausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, dyssenterie, coliques, toux, aslhme, étouflemeuts, étourdissements, oppressions, congestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète; faiblesse, épuisement, anémie, phthisie, tous désordres de la poitriue, gorge, haleine, voie des bronches, vessie, foie; reius, intestius, muqueuse, cerveau et sang. 75,000 cures, y compris çefles de Madame la Duchesse de Cas- tesiluart, le duc de Plnskow, Madame la marquise de Biélian, Lord Stuartde Decies, pair d Angleterre, etc., etc. Cure N® 48,614- Mmf la marquise de Bréhan, de 7 ans de Maladie du foie, d'estomac, amaigrissement, battement nerveux sur le corps, agitation nerveuse et tristesse mortelle. Monsieur. Dieu soit béni la Revaleuta Du Barry a mis fin mes dix-hnit années de souffrances de l'estomac et des nerfs de .faiblesses et de sueurs nocturnes. J. Compaket curé. Cure N® 62,986 M',!e Martin, de Suppression des règles et Danse de Sainte-Guydéclarée incurable, parfaitement guérie par la Revalenta. Cure N® 65,112. E Payard, de Gdstralgie et Vomissentçnts. Il ne pouvait plus se tenir sur ses jambes, ni dormir, ayant toujours le creux de l'estomac gonflé. Cure N° 62.845. M. Boillet, curé* -de 36 ans dtAsthme avec éloutfemeiits dans la nuit. Cure N® 70,421. M. A. $parado, d'une Constipation opiniâtre de 9 ans. C'était terrible, et des médecins hors ligue avaient déclaré qu'il n'y avait pas moyen de le guérir. Plus nourrissante que la viande, elle économise encore 50 fois sou prix en médecines. En boîtes 1J4jt.il 2 fr. 25 1/2 kil., *4 fr. 1 kil 7 fr. 12 kil., 60 fr. Les Biscgits de Revalenta en boites de 4. 7 et 16 francs. La Revhlenta cKkqolatée, en boîtes de 2 fr. 25 c. de 576 tasses, 60 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 32 et 60 fr. franco- Dépôt chez MM. C. Bkcowe, pharm., rue du Verger-, H. Farson, phartn rue de Dixmude, Yprbs - Do Bahrt et C®. 19, Boulevard dit Nord, Bruxelles. 3. Pilules d'f/olloway. Pas d'Excuse. -« Lorsque des millers de personnes certifient volontairement que cette médecine les débarrassées d'effrayantes maladies qui ruinaient leur santé soi menaçaient leur existence, il n'y aucune excuse pour les patieuts qui se refusent en essayer. Les Pilules d'Holloway sont particulièrement destinées remédier toutes les défec- tuosités du cerveau, des poumons, du cœur, de l'estomac, de foie, de la région des reins et des intestins. Ces admirables Pilules produisent un effet fortifiant et constringent sur la fibre animale, aiguisent l'appétit, améliorent la digestion, donneut de la vigueur aux neifs, règlent l'aotion du fois, des poumons du cœur et* engendrent la bonne humeur. Des avantages aussi étendus n'orft jamais jusqu'ici été connus comme découlant d'une seule source, mais le Professeur flolloway prie l'inval ide, quel qu'affligé qu'il soit, de consentir un essai et déjuger par lui même. Eu vente: Pilules et Onguentohez F»i«lo-Vâi Oijtsvvs, *ue de Dixmude, 35. Ypres. de OURNITURES DIVERSE8. Le Jeudi, 17 Décembre I8J4, h heures du matin, l'Administration de ride, ce dûment autorisée, indication publique d. ju service de?ct 15 na ires, s'il y en a qui soot présents dans le cas contraire, le sort décidera. Les soumissions signées par deux cau tions solvables et par l'adjudicataire, seront remises au moment de l'adjudication elles pourront aussi dater du 2 dudit mois, être déposées ou adressées par la poste, au Secré tariat de la dite Administration Messines Les soumissions porteront sur l'enve- loppe la suscription suivante Soumission pour l'adjudication de fournitures faire l'administration de i Institution Royale de Messines. Le soumissionnaire indiquera en outre la deorée pour laquelle il soumis sionne. Pour tous renseignements s'adresser chez M. le Secrétaire-Trésorier de l'Institu tion, Messines, ou chez M" vuioftt; Notaire d Warnètonchargé ^^mdjudi- c dlinn. AUX voyageurs de commerce, agents d'assurances et autres. Une importante maison de Bordeaux demande des représentants soit sédentaires, soit voya geurs1, pour le placement des vins et spiritueux, au commerce et la clientèle bourgeoise. Écrire A. Z., rue Saint-Esprit, n-2l,à Bordeaux (France.) Affranchir. STADkIPEREN. [iirilueux,dem] kisiter la cli ITS. b<! |e des re boqrgeq Goi pecember 1874, ton 1 al er gehouden worden 4 - IKOOPEN ZEER SCHOORÊ. POPELIERM, ABEELEN, WILGEN EN (EPEiVItOOlIEN, TE KOOPEX TE ZILLEBËKE, tf.gkn DE CALCHIEDE EN LA.NGS DEN GRAVIER. 1» Op de Holstedc gebruikt door Jeaiè Desmyttere. En 2" In de Weide gebruikt door Ignaes Desmyttere en degene gebruikt door Joannes Pyck. Donderdag, 3" December 1874, ont 12 uren middag. Door het ambt van den Notàris va E EN I.ANGSTA MMIGF.jPEB^OERSCB, te Ypre. ËDOLàRD DIDIER-DEKEEi/ FERBLANTIER, J— ZiriÇtiiste, Plombier et Lampii Ifestharm der Vaart te nfstand van bet Half- acbter d'hof- rts TITECJt, Rne de Boesinghe, n° A l'honneur d'anmàcer jspendu s'établit- comme maîtFe f«f aujre guistfc, plombier et lampiste Ayant pendant plusieurs! chez les principaux patron^ espère par la bonne vaux et Ja. modicité confia I autre lettons

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3